La puissance du bien

il y a 57 minutes, CURIOSUS23 a dit :

(...) D'après Kyrill, ce serait Dieu qui aurait placé Poutine à la tête de la Russie.

Vous rendez vous compte ???  Vous y croyez toujours ???

À quoi ?  Que ce serait Dieu qui aurait placé Poutine à la tête de la Russie, vous voulez dire ?? Vous croyez en ce que dit Kyrill, vous ? Moi, non.

Il y a 19 heures, Passiflore a dit :

 

À quoi ?  Que ce serait Dieu qui aurait placé Poutine à la tête de la Russie, vous voulez dire ?? Vous croyez en ce que dit Kyrill, vous ? Moi, non.

Bien sûr que non, je ne crois pas un mot de ce que peut braire ce sinistre guignol. Mais en Russie notamment beaucoup doivent le croire, et c'est là le drame.

Je considère Poutine comme une ignoble créature diaboliquement intelligente au service du mal absolu.

Tout lui a réussi. Il est très fort. Il a ridiculisé les présidents américains, à commencer par le plus  bête de tous : TRUMP. Un démon !!!!!!!

Le 26/07/2023 à 12:15, pic et repic a dit :

bonjour,

j"aimerai y croire mais les agissements des hommes me font vite comprendre que je me berce d'une douce illusion !

plus tu es puissant et plus tu es ...con ! ( d'ailleurs , si tu es à cette position, c'est que tu as dû faire pas mal de bassesse pour y parvenir ) .

il est permis de rêver quand même à un monde plus équitable ( peut être même un monde plus juste et honnête ... ) .

bonne journée.

Bjr pic et repic, 

Pour résumer, le fort n'a jamais été juste. Le problème étant que c'est toujours le fort qui dirige. 

a+

Il y a 18 heures, Abu nuwas a dit :

Pour résumer, le fort n'a jamais été juste. Le problème étant que c'est toujours le fort qui dirige. 

 

bonjour,

c'est ce que j'écrivais ....il est permis de rêver !

mais le monde à vite fait de nous confronter à la réalité des choses .

bonne journée.

Le 12/08/2023 à 14:34, Abu nuwas a dit :

Bjr pic et repic, 

 

Pour résumer, le fort n'a jamais été juste. Le problème étant que c'est toujours le fort qui dirige. 

 

a+

pas forcément, Abu.

Le 12/08/2023 à 14:34, Abu nuwas a dit :

 

Pour résumer, le fort n'a jamais été juste. Le problème étant que c'est toujours le fort qui dirige. 

 

Je pense qu'on peut renverser la phrase. Le juste n'a jamais été fort.

Le problème de la force est qu'à moins d'être né avec le seul moyen de l'acquérir sans la désirer c'est de recevoir la technique de quelqu'un de fort assagi par le temps.

Le mentor.

Pour les gens nés avec des talents extremes la force consiste à développer ce talent. Il n'y a parfois même pas besoin de mentor.

Pour les gens moins spécialisés c'est à dire la vaste majorité des gens la force c'est l'équilibre. Il faut être un rationnel émotif, social et solitaire etc... il faut concilier les opposés.

Quelqu'un de normal voire modérément intelligent qui apprend les mathématiques ne gagne pas à abandonner les autres dimensions par exemple sociales. Parce qu'il nexcellera pas autant qu'un véritable génie et n'est pas assez passionné pour ne vivre que de mathématiques.

De fait il lui faut éviter de se replier sur un domaine.

Dans la pratique les gens comprennent cela très tard et les mentors sont rares. De fait les gens se replient sans le savoir sur des aspects par lesquels ils se définissent et se limitent. En l'absence de mentor le developpement des compétences est lent et se fait par essai erreur.

De plus ils évitent sciemment de trop intellectualiser leurs domaines de travail pour ne pas mesurer objectivement leur véritable avancement de compétence.

C'est la raison pour laquelle vous ne rencontrez pas beaucoup de mentor. Ceux qui développent des compétences ne les comprennent pas assez bien pour les transmettre car ils les développent par adaptation et non par analyse.

De plus ceux qui n'excellent pas n'ont aucune raison de donner de l'avance à des potentiels concurrents.

L'échec du "bien" comme la majorité le conçoit a lieu à cause de cela (outre le relativisme du bien il existe tout de même un certain bien commun basé sur la survie et la joie collective qui reste mesurable).

Le mal lui n'a pas besoin d'éducation. Le fort nait fort ou le devient en suivant ses impulsions naturelles. Cette cohérence interne le renforce naturellement car toutes les actions suivent le même chemin.

Ma réponse est donc: le bien ne triomphera au sens "ne dominera" sur les tendances du mal dans la société que lorsque un nombre suffisant de "mentors" sera disponible. 

C'est à dire des gens capables de choisir quelqu'un de naturellement désintéressé du pouvoir et de lui en donner.

Ou dit autrement quand l'ingénierie sociale sera tellement performante que les gens progresseront très vite dans les domaines qu'ils touchent.

Il y a 6 heures, Elder a dit :

Je pense qu'on peut renverser la phrase. Le juste n'a jamais été fort.

Le problème de la force est qu'à moins d'être né avec le seul moyen de l'acquérir sans la désirer c'est de recevoir la technique de quelqu'un de fort assagi par le temps.

Le mentor.

Pour les gens nés avec des talents extremes la force consiste à développer ce talent. Il n'y a parfois même pas besoin de mentor.

Pour les gens moins spécialisés c'est à dire la vaste majorité des gens la force c'est l'équilibre. Il faut être un rationnel émotif, social et solitaire etc... il faut concilier les opposés.

Quelqu'un de normal voire modérément intelligent qui apprend les mathématiques ne gagne pas à abandonner les autres dimensions par exemple sociales. Parce qu'il nexcellera pas autant qu'un véritable génie et n'est pas assez passionné pour ne vivre que de mathématiques.

De fait il lui faut éviter de se replier sur un domaine.

Dans la pratique les gens comprennent cela très tard et les mentors sont rares. De fait les gens se replient sans le savoir sur des aspects par lesquels ils se définissent et se limitent. En l'absence de mentor le developpement des compétences est lent et se fait par essai erreur.

De plus ils évitent sciemment de trop intellectualiser leurs domaines de travail pour ne pas mesurer objectivement leur véritable avancement de compétence.

C'est la raison pour laquelle vous ne rencontrez pas beaucoup de mentor. Ceux qui développent des compétences ne les comprennent pas assez bien pour les transmettre car ils les développent par adaptation et non par analyse.

De plus ceux qui n'excellent pas n'ont aucune raison de donner de l'avance à des potentiels concurrents.

 

L'échec du "bien" comme la majorité le conçoit a lieu à cause de cela (outre le relativisme du bien il existe tout de même un certain bien commun basé sur la survie et la joie collective qui reste mesurable).

Le mal lui n'a pas besoin d'éducation. Le fort nait fort ou le devient en suivant ses impulsions naturelles. Cette cohérence interne le renforce naturellement car toutes les actions suivent le même chemin.

 

Ma réponse est donc: le bien ne triomphera au sens "ne dominera" sur les tendances du mal dans la société que lorsque un nombre suffisant de "mentors" sera disponible. 

C'est à dire des gens capables de choisir quelqu'un de naturellement désintéressé du pouvoir et de lui en donner.

Ou dit autrement quand l'ingénierie sociale sera tellement performante que les gens progresseront très vite dans les domaines qu'ils touchent.

Si l'on reste dans la fiction, donc dans dans un certain rêve, on peut donner un exemple de force juste chez Victor HUGO : Jean VALJAN.

Le 14/08/2023 à 11:19, Elder a dit :

Je pense qu'on peut renverser la phrase. Le juste n'a jamais été fort.

Le problème de la force est qu'à moins d'être né avec le seul moyen de l'acquérir sans la désirer c'est de recevoir la technique de quelqu'un de fort assagi par le temps.

Le mentor.

Pour les gens nés avec des talents extremes la force consiste à développer ce talent. Il n'y a parfois même pas besoin de mentor.

Pour les gens moins spécialisés c'est à dire la vaste majorité des gens la force c'est l'équilibre. Il faut être un rationnel émotif, social et solitaire etc... il faut concilier les opposés.

Quelqu'un de normal voire modérément intelligent qui apprend les mathématiques ne gagne pas à abandonner les autres dimensions par exemple sociales. Parce qu'il nexcellera pas autant qu'un véritable génie et n'est pas assez passionné pour ne vivre que de mathématiques.

De fait il lui faut éviter de se replier sur un domaine.

Dans la pratique les gens comprennent cela très tard et les mentors sont rares. De fait les gens se replient sans le savoir sur des aspects par lesquels ils se définissent et se limitent. En l'absence de mentor le developpement des compétences est lent et se fait par essai erreur.

De plus ils évitent sciemment de trop intellectualiser leurs domaines de travail pour ne pas mesurer objectivement leur véritable avancement de compétence.

C'est la raison pour laquelle vous ne rencontrez pas beaucoup de mentor. Ceux qui développent des compétences ne les comprennent pas assez bien pour les transmettre car ils les développent par adaptation et non par analyse.

De plus ceux qui n'excellent pas n'ont aucune raison de donner de l'avance à des potentiels concurrents.

 

L'échec du "bien" comme la majorité le conçoit a lieu à cause de cela (outre le relativisme du bien il existe tout de même un certain bien commun basé sur la survie et la joie collective qui reste mesurable).

Le mal lui n'a pas besoin d'éducation. Le fort nait fort ou le devient en suivant ses impulsions naturelles. Cette cohérence interne le renforce naturellement car toutes les actions suivent le même chemin.

 

Ma réponse est donc: le bien ne triomphera au sens "ne dominera" sur les tendances du mal dans la société que lorsque un nombre suffisant de "mentors" sera disponible. 

C'est à dire des gens capables de choisir quelqu'un de naturellement désintéressé du pouvoir et de lui en donner.

Ou dit autrement quand l'ingénierie sociale sera tellement performante que les gens progresseront très vite dans les domaines qu'ils touchent.

Bsr Elder, 

En effet, on peut inverser la phrase

La morale et la puissance. 

Un vieil adage dit : " si tu ne peux faire que le juste, soit fort, fait en sorte que le fort soit juste".

Ce début de 21ème siècle est la négation de cet adage. De fait, l'éthique, la justice sont des notions qui n'ont sans doute jamais été aussi maltraitées, aussi faibles. 

A l'évidence, nous vivons une époque sinistre qui ne correspond pas à l'ère ou vivait le sage auteur de l'adage. 

Aujourd'hui, non seulement le fort est insensible aux appels à la raison, mais qui plus est, il ne comprend qu'un seul langage celui de la violence. 

Le fort se drape dans une morale qu'il a complètement pervertie, mais qui constitue une véritable menace contre la pérennité et la prospérité  de son monde. 

a+

Le 13/08/2023 à 18:11, jacky29 a dit :

pas forcément, Abu.

Bsr Jacky29, 

Aux vues du coup d'état au Niger, et tout fraîchement au Gabon, il faut croire que le fort n'est pas juste. 

a+

Le 13/08/2023 à 09:26, pic et repic a dit :

bonjour,

c'est ce que j'écrivais ....il est permis de rêver !

mais le monde à vite fait de nous confronter à la réalité des choses .

bonne journée.

Bsr pic et repic, 

C'est fini de rêvasser, nous vivons un cauchemars éveillé. Dure réalité des choses, à laquelle il faut se confronter. 

a+

Le 14/08/2023 à 11:19, Elder a dit :

Je pense qu'on peut renverser la phrase. Le juste n'a jamais été fort.

Le problème de la force est qu'à moins d'être né avec le seul moyen de l'acquérir sans la désirer c'est de recevoir la technique de quelqu'un de fort assagi par le temps.

Le mentor.

Pour les gens nés avec des talents extremes la force consiste à développer ce talent. Il n'y a parfois même pas besoin de mentor.

Pour les gens moins spécialisés c'est à dire la vaste majorité des gens la force c'est l'équilibre. Il faut être un rationnel émotif, social et solitaire etc... il faut concilier les opposés.

Quelqu'un de normal voire modérément intelligent qui apprend les mathématiques ne gagne pas à abandonner les autres dimensions par exemple sociales. Parce qu'il nexcellera pas autant qu'un véritable génie et n'est pas assez passionné pour ne vivre que de mathématiques.

De fait il lui faut éviter de se replier sur un domaine.

Dans la pratique les gens comprennent cela très tard et les mentors sont rares. De fait les gens se replient sans le savoir sur des aspects par lesquels ils se définissent et se limitent. En l'absence de mentor le developpement des compétences est lent et se fait par essai erreur.

De plus ils évitent sciemment de trop intellectualiser leurs domaines de travail pour ne pas mesurer objectivement leur véritable avancement de compétence.

C'est la raison pour laquelle vous ne rencontrez pas beaucoup de mentor. Ceux qui développent des compétences ne les comprennent pas assez bien pour les transmettre car ils les développent par adaptation et non par analyse.

De plus ceux qui n'excellent pas n'ont aucune raison de donner de l'avance à des potentiels concurrents.

 

L'échec du "bien" comme la majorité le conçoit a lieu à cause de cela (outre le relativisme du bien il existe tout de même un certain bien commun basé sur la survie et la joie collective qui reste mesurable).

Le mal lui n'a pas besoin d'éducation. Le fort nait fort ou le devient en suivant ses impulsions naturelles. Cette cohérence interne le renforce naturellement car toutes les actions suivent le même chemin.

 

Ma réponse est donc: le bien ne triomphera au sens "ne dominera" sur les tendances du mal dans la société que lorsque un nombre suffisant de "mentors" sera disponible. 

C'est à dire des gens capables de choisir quelqu'un de naturellement désintéressé du pouvoir et de lui en donner.

Ou dit autrement quand l'ingénierie sociale sera tellement performante que les gens progresseront très vite dans les domaines qu'ils touchent.

Le 14/08/2023 à 11:19, Elder a dit :

Je pense qu'on peut renverser la phrase. Le juste n'a jamais été fort.

Le problème de la force est qu'à moins d'être né avec le seul moyen de l'acquérir sans la désirer c'est de recevoir la technique de quelqu'un de fort assagi par le temps.

Le mentor.

Pour les gens nés avec des talents extremes la force consiste à développer ce talent. Il n'y a parfois même pas besoin de mentor.

Pour les gens moins spécialisés c'est à dire la vaste majorité des gens la force c'est l'équilibre. Il faut être un rationnel émotif, social et solitaire etc... il faut concilier les opposés.

Quelqu'un de normal voire modérément intelligent qui apprend les mathématiques ne gagne pas à abandonner les autres dimensions par exemple sociales. Parce qu'il nexcellera pas autant qu'un véritable génie et n'est pas assez passionné pour ne vivre que de mathématiques.

De fait il lui faut éviter de se replier sur un domaine.

Dans la pratique les gens comprennent cela très tard et les mentors sont rares. De fait les gens se replient sans le savoir sur des aspects par lesquels ils se définissent et se limitent. En l'absence de mentor le developpement des compétences est lent et se fait par essai erreur.

De plus ils évitent sciemment de trop intellectualiser leurs domaines de travail pour ne pas mesurer objectivement leur véritable avancement de compétence.

C'est la raison pour laquelle vous ne rencontrez pas beaucoup de mentor. Ceux qui développent des compétences ne les comprennent pas assez bien pour les transmettre car ils les développent par adaptation et non par analyse.

De plus ceux qui n'excellent pas n'ont aucune raison de donner de l'avance à des potentiels concurrents.

 

L'échec du "bien" comme la majorité le conçoit a lieu à cause de cela (outre le relativisme du bien il existe tout de même un certain bien commun basé sur la survie et la joie collective qui reste mesurable).

Le mal lui n'a pas besoin d'éducation. Le fort nait fort ou le devient en suivant ses impulsions naturelles. Cette cohérence interne le renforce naturellement car toutes les actions suivent le même chemin.

 

Ma réponse est donc: le bien ne triomphera au sens "ne dominera" sur les tendances du mal dans la société que lorsque un nombre suffisant de "mentors" sera disponible. 

C'est à dire des gens capables de choisir quelqu'un de naturellement désintéressé du pouvoir et de lui en donner.

Ou dit autrement quand l'ingénierie sociale sera tellement performante que les gens progresseront très vite dans les domaines qu'ils touchent.

Dieu est soi-disant juste, d'après les croyants.

Il ne lui manque que la force suffisante pour mettre un peu d'ordre ici bas. C'est loin d'être  gagné.

Il y a 5 heures, CURIOSUS23 a dit :

 

Dieu est soi-disant juste, d'après les croyants.

Il ne lui manque que la force suffisante pour mettre un peu d'ordre ici bas. C'est loin d'être  gagné.

Bsr CURIOSUS23, 

Oui, Dieu est juste, il a laissé une très large autonomie aux hommes pour régler par eux même leur problème societal. Par conséquence il ne faut pas compter sur lui pour une aide, car son pouvoir n'est pas en concurrence avec celui de l'homme. Le pouvoir à Dieu, la souveraineté aux hommes. 

a+

Le 02/09/2023 à 23:11, Abu nuwas a dit :

Bsr CURIOSUS23, 

 

Oui, Dieu est juste, il a laissé une très large autonomie aux hommes pour régler par eux même leur problème societal. Par conséquence il ne faut pas compter sur lui pour une aide, car son pouvoir n'est pas en concurrence avec celui de l'homme. Le pouvoir à Dieu, la souveraineté aux hommes. 

 

a+

La souveraineté  n'est pas suffisante. Il y  manquera toujours un minimum de sagesse.