Nantes. Des bonnes sœurs obligées de partir.

il y a 53 minutes, Prendresoindesoi a dit :

 

Je ne suis pas étonnée .

Bientôt le tour des français qui partiront de leur pays .

tu es de quel pays ?

Il y a 3 heures, paulau a dit :

Des bonnes sœurs ne peuvent rester à  Nantes du fait de l' insécurité.

Ceux qui veulent voir les voilées partir vont être heureux d'en voir partir

il y a 7 minutes, Kyoshiro02 a dit :

Ceux qui veulent voir les voilées partir vont être heureux d'en voir partir

Mettre les voiles a Nantes , c'est original...............

Si la montée inquiétante de la violence contre les religions touche l’ensemble des croyants, le christianisme demeure la première cible des actes antireligieux en France comme en Europe. Dans une tribune collective, une vingtaine de personnalités appellent l’Union européenne à réagir et rappellent que tous les actes antireligieux doivent être combattus avec la même force.

et aucune réaction officielle et efficace contre ça !!

il est vrai que les " autres " tuent pas mal de chrétiens depuis 1980   au Liban !!!

des chrétiens qui se sont massacrés dans les pays musulmans , ça laisse les dirigeants occidentaux de marbre !!

Il y a 12 heures, boeingue a dit :

ça laisse les dirigeants occidentaux de marbre !!

oui , enfin pas tous . Chez les LR , la défense et l'aide des chrétiens en Orient à toujours été une priorité mais il est vrai que depuis Fillon , plus personne n'en parle .

Donc , campagne Fillon : on les soutient en dehors de la France ... depuis c'est en Europe que l'on est inquiété !

Puisque mon topic a été clôturé , je pose ici l'entretien du Figaro :

Départ des religieuses de Nantes : «Il s'agit bien d'une attaque en règle contre le catholicisme»

Victimes de violences, Sœur Agathe et Sœur Marie-Anne quitteront le centre-ville de Nantes cet été pour rejoindre Reims. Marc Eynaud, auteur de Qui en veut aux catholiques?, rappelle que le catholicisme est de très loin la religion la plus attaquée en France.

Après huit ans passés au sein de l'église Sainte-Croix, en plein cœur de Nantes, deux religieuses préfèrent se retirer, minées par un sentiment d'insécurité permanent. La situation à Nantes est-elle particulièrement préoccupante ?

Au-delà du cas précis de ces deux religieuses, c'est effectivement le premier volet de cette information. Nantes s'enfonce dans l'insécurité et on est inondé de témoignages de Nantais fuyant la ville. On ne parle pas seulement d'un ou plusieurs quartiers isolés. De ces territoires « en reconquête républicaine » pour reprendre la pudique terminologie de l'époque. On parle de l'église Sainte-Croix dans le vieux centre historique de Nantes. A tel point que la ville a du bénéficier de renforts et de dispositifs semblables à ce qu'a connu le quartier de la Guillotière à Lyon. A titre indicatif, et même si sa fiabilité est souvent remise en question, le site Numbeo a classé la ville des ducs de Bretagne à la 407e place de son classement mondial en matière d'insécurité derrière Bogota. Avec une note de 2,25/10 en matière de sécurité, on peut se faire une idée assez précise du ressenti tout en parcourant les 34 pages de commentaires laissés par des internautes unanimes. En matière d'insécurité, Nantes est deuxième derrière Sarcelles mais devant Grenoble. Mais ce qui demeure totalement significatif, c'est l'auto-satisfaction d'une municipalité qui dit ne pas comprendre la décision des religieuses de quitter la ville. On n'est même plus dans le cas de grandes villes équivalentes qui voient les municipalités s'efforcer non pas d'éradiquer l'insécurité mais tout du moins de la circonscrire. A Nantes, la situation semble hors de contrôle. Une situation qui, au vu des témoignages d'habitants et de forces de l'ordre aurait commencé à dégénérer sous l'effet de deux facteurs : l'élection de la nouvelle équipe municipale en 2014 et la crise des migrants de 2015 qui a rendu visible et réel une délinquance nouvelle.

https://www.lefigaro.fr/vox/societe/depart-des-religieuses-de-nantes-il-s-agit-bien-d-une-attaque-en-regle-contre-le-catholicisme-20230305

« Au bout de combien de prêtres assassinés, de religieuses agressées et d'églises profanées allons-nous prendre conscience qu'il ne s'agit, non pas d'actes hostile à la religion au sens vague ni d'une interprétation dévoyée de la laïcité mais bel et bien une attaque en règle contre le catholicisme pour ce qu'il est mais parce qu'il dit encore ce que nous avons été, ce que nous sommes et ce que nous voulons continuer d'être. »

Cela est-il représentatif des violences que subiraient les chrétiens en France ?

Il faut mesurer effectivement cet aspect. Le fait qu'il s'agisse de deux religieuses a évidemment marqué les esprits. Surtout deux gardiennes d'une église par définition un lieu de paix et d'ouverture mais surtout un lieu sacré. On serait tenté de dire « surtout les religieuses » car les catholiques sont souvent en première ligne face à ce phénomène nouveau.

Rien que sur les trois dernières semaines : mi février, une statue de la Vierge décapitée à Choisy-Le-Roi, 10 février une église profanée à Orly, 7 février un islamiste fiché S interpellé pour avoir menacé de mort un prêtre parisien, 10 janvier profanation d'une église, dans la région lyonnaise, deux départs d'incendie dans une église à Ligueuil, et trois départs de feu dans l'église Saint Roch de Chanteloup-Les-Vignes. Ce 3 mars, on apprenait la profanation de l'église Saint-Eustache à Paris. Cela, c'est uniquement ce qu'a rapporté la presse ces derniers jours et ce n'est qu'une partie émergée de l'iceberg.

On peut aussi citer un prêtre et une religieuse poignardés en avril 2022 sans compter l'attentat commis dans la basilique de Nice, l'assassinat du Père Hamel et différents projets d'attentats islamistes dans des églises déjoués in extremis… Sociologiquement, la religion catholique est de très loin la religion la plus attaquée en France et ce sont les chiffres du Ministère de l'Intérieur qui le confirment. Combien de fois allons-nous inlassablement égrainer ce chapelet de violence ? Au bout de combien de prêtres assassinés, de religieuses agressées et d'églises profanées allons-nous prendre conscience qu'il ne s'agit, non pas d'actes hostile à la religion au sens vague ni d'une interprétation dévoyée de la laïcité mais bel et bien une attaque en règle contre le catholicisme pour ce qu'il est mais parce qu'il dit encore ce que nous avons été, ce que nous sommes et ce que nous voulons continuer d'être.

@menon

Merci pour votre message.

notre classe politique est plus que lamentable !!!

non seulement elle a baissé son pantalon devant les personnes concernées , mais elle continue dans sa politique de l' autruche !!

autrefois , les agresseurs étaient discrétement , éliminés par des services secrets ou équivalent !

Si c'est l'insécurité qui les fait partir c'est quand même un problème...

il y a 52 minutes, boeingue a dit :

notre classe politique est plus que lamentable !!!

non seulement elle a baissé son pantalon devant les personnes concernées , mais elle continue dans sa politique de l' autruche !!

autrefois , les agresseurs étaient discrétement , éliminés par des services secrets ou équivalent !

Le SAC?

Et quand une mosquée est taguée, on entend la communauté musulmane hurler de douleur.

Oups !

J'ai dit le nom de ceux qui attaquaient la communauté chrétienne.

Excuses !

La règle est : restons muets, restons stoïques, restons pleutres.

il y a 2 minutes, new caravage a dit :

Le SAC?

non , ça c'était des hommes de mains au service du parti gaulliste , hé oui !!

non , il y a longtemps les terroristes ou équivalent , étaient abattus d' une façon discréte , par les services comme la DST  ou les services secrets !!

https://amp.lefigaro.fr/nantes/coups-crachats-insultes-les-raisons-du-depart-de-deux-religieuses-du-centre-ville-de-nantes-20230303
 

Les «coups, crachats, insultes», auxquels elles assistent et sont confrontées, se multiplient, comme le décrit Sœur Agathe. «C'est par vague, de manière inattendue», reprend son acolyte, qui garde le sourire malgré tout. Depuis le mois de juin, la police municipale est intervenue dix fois autour de l'église et 27 fois dans un périmètre un peu élargi. Le mois dernier, il a été décidé de condamner un accès au lieu de culte pour éviter les désagréments. La «porte sensible», autour de laquelle de nombreuses personnes errent, reste désormais fermée la semaine.
 

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@ouest35 Vous n’etes pas chochotte et donc on peut vous cracher dessus pas de soucis . Les bénédictines ont le le job 9 ans , elles retournent aux vœux de l’ordre pas si grave … Tout le monde n’est pas mère teresa comme vous ?