Trouvez-vous votre rythme d'écriture ?

Bonjour les lettrés,

Je participe à un atelier d'écriture, et j'adore ça : on se réunit dans un café culturel associatif, et on s'exerce, principalement à la narration, mais aussi aux dialogues, par contre pas de poésie (qui demande une certaine expertise).

On a réuni nos textes dans un livre. Notre atelier s'appelle : Jetez l'Encre !

On écrit le mercredi de 18h30 à 20h30 ; on fait des petits exercices de 20 min. Ensuite, chacun et chacune lit, si il / elle veut, son texte. Et à la fin, on a un exercice à faire à la maison pour la fois prochaine.

Je pense comme Bernard Werber que l'imagination est un muscle, et que plus on va à la salle de sport, plus ce muscle se développe.

Mais voici mon problème : je n'ai pas trouvé de rythme d'écriture en dehors de cet atelier. J'aimerais écrire tous les jours. Une fois, je me suis levé à 6 h 30 pour écrire, pour essayer de prendre une routine, comme Amélie Nothomb, mais ça ne m'a pas réussi, si tôt le matin je me suis senti vaseux et pas en forme pour écrire. Pourtant, je suis persuadé que c'est après une nuit de sommeil réparateur que les idées se trouvent le mieux agencées dans l'esprit frais et reposé.

Et vous, avez-vous trouvé votre rythme de d'écriture ?

il y a une heure, Crève a dit :

Bonjour les lettrés,

Je participe à un atelier d'écriture, et j'adore ça : on se réunit dans un café culturel associatif, et on s'exerce, principalement à la narration, mais aussi aux dialogues, par contre pas de poésie (qui demande une certaine expertise).

On a réuni nos textes dans un livre. Notre atelier s'appelle : Jetez l'Encre !

On écrit le mercredi de 18h30 à 20h30 ; on fait des petits exercices de 20 min. Ensuite, chacun et chacune lit, si il / elle veut, son texte. Et à la fin, on a un exercice à faire à la maison pour la fois prochaine.

Je pense comme Bernard Werber que l'imagination est un muscle, et que plus on va à la salle de sport, plus ce muscle se développe.

Mais voici mon problème : je n'ai pas trouvé de rythme d'écriture en dehors de cet atelier. J'aimerais écrire tous les jours. Une fois, je me suis levé à 6 h 30 pour écrire, pour essayer de prendre une routine, comme Amélie Nothomb, mais ça ne m'a pas réussi, si tôt le matin je me suis senti vaseux et pas en forme pour écrire. Pourtant, je suis persuadé que c'est après une nuit de sommeil réparateur que les idées se trouvent le mieux agencées dans l'esprit frais et reposé.

Et vous, avez-vous trouvé votre rythme de d'écriture ?

Écrire tous les jours, pourquoi pas? Mais écrire sur quoi? Trouve d'abord un sujet. Quelque chose d'assez important, pour que cela puisse justifier cent ou deux cents pages, soit des mois d'écriture (moins pour commencer si tu veux). Et ensuite, ça viendra tout seul, tu trouveras ton rythme. Mais sans idée à la base on ne peut pas s'imposer une discipline d'écriture. Et il ne faut surtout pas que ça apparaisse comme un travail ou une corvée : c'est d'abord un plaisir.

Après, comment trouver un sujet? En d'autres mots, comment connaître l'inspiration? Ça c'est une question épineuse. Les anciens pensaient que ça venait des muses, et c'est vrai que que c'est difficile à expliquer. Je pense que si on a vraiment une vocation d'écrivain, les sujets viennent tout seuls, tôt ou tard. Mais tu peux commencer à écrire sur un problème qui te tient à coeur - il y en a fatalement un ou plusieurs. Amélie Nothomb ne me semble pas l'exemple à suivre, dans le sens où elle écrit depuis tellement longtemps, que son cerveau bouillonne d'idées. Notons juste en passant qu'elle écrit le plus souvent des textes courts, et parfois (mais pas toujours) inspirés de sa propre vie.

Vouloir écrire et ne pas avoir d'idées peut être très frustrant. On peut aussi avoir la tête tellement encombrée de tout ce qu'on a lu, qu'on se dit que de toute façon, on ne trouvera jamais un sujet original. Mais tout le monde n'a pas une vocation de romancier ou de novelliste. L'histoire peut être une solution de repli : par exemple, écrire la biographie d'un artiste ou d'un personnage historique pour lequel on a une grande admiration; ou même de sa famille. Ou écrire l'histoire de l'endroit où l'on vit. Bien sûr l'histoire possède ses propres contraintes - la nécessité de trouver de la documentation, de critiquer et de comparer les sources. Mais au moins on n'a pas à faire appel à l'imagination.

De toute façon, l'important est de commencer.

Il y a 3 heures, Crève a dit :

Bonjour les lettrés,

Je participe à un atelier d'écriture, et j'adore ça : on se réunit dans un café culturel associatif, et on s'exerce, principalement à la narration, mais aussi aux dialogues, par contre pas de poésie (qui demande une certaine expertise).

On a réuni nos textes dans un livre. Notre atelier s'appelle : Jetez l'Encre !

On écrit le mercredi de 18h30 à 20h30 ; on fait des petits exercices de 20 min. Ensuite, chacun et chacune lit, si il / elle veut, son texte. Et à la fin, on a un exercice à faire à la maison pour la fois prochaine.

Je pense comme Bernard Werber que l'imagination est un muscle, et que plus on va à la salle de sport, plus ce muscle se développe.

Mais voici mon problème : je n'ai pas trouvé de rythme d'écriture en dehors de cet atelier. J'aimerais écrire tous les jours. Une fois, je me suis levé à 6 h 30 pour écrire, pour essayer de prendre une routine, comme Amélie Nothomb, mais ça ne m'a pas réussi, si tôt le matin je me suis senti vaseux et pas en forme pour écrire. Pourtant, je suis persuadé que c'est après une nuit de sommeil réparateur que les idées se trouvent le mieux agencées dans l'esprit frais et reposé.

Et vous, avez-vous trouvé votre rythme de d'écriture ?

Moi, c'est  le contraire, c'est  souvent la nuit que mon imaginaire brode sur le vécu  de ce qui peut m'arriver dans la journée,  et c'est  en me levant que je décris  ce moment 

Et finalement je le fais sans discontinuer,  sauf pour les fautes.

C'est  assez amusant de mettre par écris des sentiments et des images parfois virtuelles .

C'est avec de la pratique que tu t'amélioreras. Mon conseil est de toujours avoir un carnet ou meme utiliser ton téléphone pour noter quelque chose qui t'inspire à tout moment de la journée. 

Il y a 5 heures, Crève a dit :

Et vous, avez-vous trouvé votre rythme de d'écriture ?

Non car je n'en ai pas, de rythme d'écriture (uniquement des poèmes, quant à moi). J'écris un poème quand l'envie m'en prend et il peut se passer des mois, voire des années sans qu'elle me reprenne, l'envie de versifier.

Il est rare que je n'en écrive qu'un seul, lorsque l'envie d'écrire me prend mais sitôt l'inspiration retombée, je n'insiste pas; c'est une question d'émotions ressenties à des moments donnés.

Bonjour, c'est effectivement une approche très personnelle, et je ne sais pas si tel ou tel cas peux véritablement servir d'exemple ?

En ce qui me concerne, je somnole dans le train, et je cherche des idées originales voir loufoques pour mes sujets de réflexions...

Ensuite j'ai le parti pris de ne rien m'interdire, se qui suppose de ne pas avoir peur de se foutre a poil (de ses émotions)...

Egalement, je me lance des défis, des chalenges, Pour traiter des sujets dont tous le monde parle, avec ma façon de faire ...

tout a déjà été dit ou écrit, il reste juste a trouver sa "patte", pour que cela soit un peu original ...

le matin, le soir, tous les moments sont bons, également se faire confiance... bon ouvrage...