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La notion du Vrai est-elle subordonnée à la notion du Bien ?


Fraction

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Membre, Posté(e)
saynow Membre 332 messages
Forumeur accro‚
Posté(e)

à propos de votre question

en fait 

la vérite -peut-être-subordonne soi-mémé à les forces du bien  et peu-être pas!

mais la meilleur réponse est...... c'est mieux si la vérite suboerdonne soi-mémé à le bien 

la verité ou le fait peut être est détruisant

et les faits peut-être sont désagréable et détruisant et ça est bien sûr est la contraire à le bien et ça est pas bon du tout

et si on veut à vivre une vie qui a une grande valeur  et a une signification et sympa , la vérite devrait subordonner soi-mémé à le bien


je pense que il ya types de vérite qui sont un bien privatif.
 et ça est la vérite personnelle 

mais il y a vérite commun entre nous tous et ça est la vérite qui on tous sait 

Merci 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 898 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
Il y a 15 heures, Fraction a dit :

Ce n'est pas ce que je voulais dire.

Je vais être plus explicit.

 

_ La cause suffit à l'effet, et l'effet nécessite la cause.

Il s'agit d'une double implication qualifiée, donc non équivalente.

 

De la même manière :

_ L'ensemble du Bien implique l'ensemble du Pragmatique.

_ La notion du Pragmatique implique la notion du Bien.

On a encore une double implication qualifiée, donc non équivalente.

 

On aurait pu dire également :

_ Le lieu Paris implique le lieu France.

_ L'objet France implique l'objet Paris.

Comme ça, tout le monde peut comprendre.

Un point intéressant, c'est que si on recherche un "absolu" dans ces liens "d'implication", c'est uniquement la relation

Que serait l'effet sans la cause, que serait la France sans Paris, que serait le bien sans le mal ?

Et finalement quelle serait la brique élémentaire des mathématiques, de la physique, de la morale ou du réel qui servirait à échafauder une construction logique sur l'ensemble de notre réalité ?

De facto, on s'aperçoit qu'aucune propriété sans contexte n'est intrinsèque en soi par soi

Même la masse qu'on associe à la matière comme son attribut évident s'avère "en réalité" n'être qu'un attribut secondaire lié au champ de Higgs

L'être ou le concept fondamental en soi, sans un cadre defini ni contexte lui donnant corps... n'existe pas

Comme la forme n'existe pas sans le fond

Et c'est d'ailleurs amusant puisque lorsqu'on qualifie Dieu ou l'être comme un fondement originel, on lui prête une définition extrêmement personnelle et non partagée universellement et qui ne répond d'ailleurs à aucune de ces questions qu'on se posait en la cristallisant sur ce fondement 

Aucune cosmogonie ne part de rien

Il y a toujours une situation initiale d'où le reste découle et sans savoir d'où vient la situation initiale 

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 7 004 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

Un point intéressant, c'est que si on recherche un "absolu" dans ces liens "d'implication", c'est uniquement la relation

Que serait l'effet sans la cause, que serait la France sans Paris, que serait le bien sans le mal ?

Et finalement quelle serait la brique élémentaire des mathématiques, de la physique, de la morale ou du réel qui servirait à échafauder une construction logique sur l'ensemble de notre réalité ?

De facto, on s'aperçoit qu'aucune propriété sans contexte n'est intrinsèque en soi par soi

Même la masse qu'on associe à la matière comme son attribut évident s'avère "en réalité" n'être qu'un attribut secondaire lié au champ de Higgs

L'être ou le concept fondamental en soi, sans un cadre defini ni contexte lui donnant corps... n'existe pas

Comme la forme n'existe pas sans le fond

Et c'est d'ailleurs amusant puisque lorsqu'on qualifie Dieu ou l'être comme un fondement originel, on lui prête une définition extrêmement personnelle et non partagée universellement et qui ne répond d'ailleurs à aucune de ces questions qu'on se posait en la cristallisant sur ce fondement 

Aucune cosmogonie ne part de rien

Il y a toujours une situation initiale d'où le reste découle et sans savoir d'où vient la situation initiale 

Chaque Tout est cohérent et exhaustif, que ce soit l’Univers ou le solipsisme.

Et comme vous l’avez mentionné, l’Univers est une superposition de champs élémentaires :

_ L’objet champ de Higgs implique l’objet boson de Higgs.

_ Le lieu boson de Higgs implique le lieu champ de Higgs.

On voit bien là l’osmose ontologique entre l’élément et le Tout.

 

Le temps est une grammaire, et je vous invite en cela à lire mon dernier topic sur « Science ».

Mais dans le cas du solipsisme, ou du solipsisme convivial, l’exhaustivité n’est pas réelle mais notionnelle, dimensionnelle.

C’est la notion du Bien qui est à la fois récursive et exhaustive.

J’ai développé la récursivité du bien propre dans ce topic ici même.

Mais en quoi le Bien est-il exhaustif ?

Ce que vous avez sous les yeux n’est pas un réel, mais une fonction.

Sa qualité objective est déjà perçue par votre conscience comme une fonction, ne serait-ce qu’esthétique.

Sur le plan des valeurs et de la fonction, l’exhaustivité du Bien est tautologique :

La notion du Bien implique la notion du sage, qui implique la notion du pragmatique,...

Mais aucune notion n’implique la notion du Bien.

Le bien propre est le macrocosme de la conscience, sa quête systématique, et son prisme systématique.

 

Dans l’art fractale, il existe trois types d’implications exhaustives :

_ L’implication causale, chronologique : La cause suffit à l’effet, et l’effet nécessite la cause.

On pourrait la symboliser par un arbre.

_ L’implication référentielle, subjective : le lieu Paris implique le lieu France, l’objet France implique l’objet Paris.

On pourrait la symboliser par un réseau de bulles.

_ L’implication homothétique, ontologique : le camping-car est au voyageur ce que la coquille est à l’escargot.

On pourrait la symboliser par un flocon de neige.

Si vous lisez mon topic sur « science », vous y trouverez une correspondance avec la multilatéralité du temps.

La chronologie seule est excessivement hasardeuse, et elle est incapable de justifier le caractère anthropique de l’Univers.

Seule la multilatéralité du temps, sa grammaire, saurait l’envisager.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 898 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
il y a une heure, Fraction a dit :

 

Et comme vous l’avez mentionné, l’Univers est une superposition de champs élémentaires :

_ L’objet champ de Higgs implique l’objet boson de Higgs.

_ Le lieu boson de Higgs implique le lieu champ de Higgs.

On voit bien là l’osmose ontologique entre l’élément et le Tout.

 

Oui, à chaque particule élémentaire est associé un champ

D'ailleurs c'est la théorie quantique des champs qui permet de construire les modèles décrivant l'évolution des particules, en particulier leur apparition ou leur disparition lors des interactions comme au LHC

la particule élémentaire est un quantum de ce champ manifestée sous la forme d'une excitation locale, le champ étant quant à lui par définition alocal et isotrope

Mais paradoxalement, le boson de Higgs n'est pas la "plus petite unité" du champ de Higgs donc son constituant

Le champ de Higgs est un champ scalaire 

Et par exemple, ce n'est pas par leurs interactions au boson de Higgs que les particules acquièrent une masse mais simplement par leur interaction au champ de Higgs

Il n'existe pas de bosons de Higgs autour de nous notamment....car ils sont trop...lourds...autour de 125 GeV

En pratique, il faut des chocs entre des particules (des protons au LHC) pour exciter ce champ de Higgs et créer dans cette collision de nouvelles particules qui ne sont pas des "parties des protons initiaux" et qui ont une masse plus importante que celle des protons originels (dont notre fameux boson, 80 fois plus massif qu'un proton)

Il y a littéralement "création de masse" dans ces interactions et création de matière selon E=mc2 en transformant l'énergie cinétique en masse.

Bref

Le champ de Higgs seul n'implique "en soi" directement aucun boson de Higgs

Et aucun regroupement de bosons de Higgs ne vient impliquer la construction d'un champ de Higgs 

En revanche la détection du boson au LHC lors des collisions de protons démontre l'existence du champ de Higgs et du mécanisme Brout Engler Higgs 

on en arrive à la limite de l'osmose ontologique du classique 

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 7 004 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
il y a 5 minutes, zenalpha a dit :

Oui, à chaque particule élémentaire est associé un champ

D'ailleurs c'est la théorie quantique des champs qui permet de construire les modèles décrivant l'évolution des particules, en particulier leur apparition ou leur disparition lors des interactions comme au LHC

la particule élémentaire est un quantum de ce champ manifestée sous la forme d'une excitation locale, le champ étant quant à lui par définition alocal et isotrope

Mais paradoxalement, le boson de Higgs n'est pas la "plus petite unité" du champ de Higgs donc son constituant

Le champ de Higgs est un champ scalaire 

Et par exemple, ce n'est pas par leurs interactions au boson de Higgs que les particules acquièrent une masse mais simplement par leur interaction au champ de Higgs

Il n'existe pas de bosons de Higgs autour de nous notamment....car ils sont trop...lourds...autour de 125 GeV

En pratique, il faut des chocs entre des particules (des protons au LHC) pour exciter ce champ de Higgs et créer dans cette collision de nouvelles particules qui ne sont pas des "parties des protons initiaux" et qui ont une masse plus importante que celle des protons originels (dont notre fameux boson, 80 fois plus massif qu'un proton)

Il y a littéralement "création de masse" dans ces interactions et création de matière selon E=mc2 en transformant l'énergie cinétique en masse.

Bref

Le champ de Higgs seul n'implique "en soi" directement aucun boson de Higgs

Et aucun regroupement de bosons de Higgs ne vient impliquer la construction d'un champ de Higgs 

En revanche la détection du boson au LHC lors des collisions de protons démontre l'existence du champ de Higgs et du mécanisme Brout Engler Higgs 

on en arrive à la limite de l'osmose ontologique du classique 

Là, vous entrez sur un terrain que je ne maîtrise pas.

Je souhaite simplement vous évoquer la vacuité des particules :

la particule n'existe pas, elle n'est qu'un ensemble de propriétés, d'informations.

Qu'elle soit ponctuelle ou fonction d'onde non-localisable.

En ce sens, ma double implication asymétrique reste légitime :

_ L'objet champ implique l'objet particule.

_ Le lieu particule implique le lieu champ.

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 898 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
il y a 1 minute, Fraction a dit :

 

En ce sens, ma double implication asymétrique reste légitime :

_ L'objet champ implique l'objet particule.

_ Le lieu particule implique le lieu champ.

 

Je comprends 

On peut s'accorder sur le fait que ce soit nécessaire et non suffisant.

L'implication n'est pas remise en cause

Et oui la vacuité me semble fondamentale 

C'est juste que cette notion "relation" reste plus fondamentale que l'attribut ontologique en soi

Chaque "objet" en nécessite un autre relationnellement pour justifier de son "existence"

Qu'est le champ de Higgs, qu'est le boson de Higgs ?

On s'aperçoit que si le boson a "besoin" du champ pour se manifester, il n'existe que dans de rares situations de hautes énergies pour "exister" comme quantum du champ

Et que le champ de higgs est apparu après le big bang par transition de phase en dotant les bosons de jauge w et z de l'interaction faible d'une masse et par voie de conséquence d'un temps propre

D'où cette merveilleuse anagramme de Klein "le boson scalaire de higgs" est "l'horloge des anges ici bas"

A nous de comprendre les anges :)

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 7 004 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
il y a 9 minutes, zenalpha a dit :

Je comprends 

On peut s'accorder sur le fait que ce soit nécessaire et non suffisant.

L'implication n'est pas remise en cause

Et oui la vacuité me semble fondamentale 

C'est juste que cette notion "relation" reste plus fondamentale que l'attribut ontologique en soi

Chaque "objet" en nécessite un autre relationnellement pour justifier de son "existence"

Qu'est le champ de Higgs, qu'est le boson de Higgs ?

On s'aperçoit que si le boson a "besoin" du champ pour se manifester, il n'existe que dans de rares situations de hautes énergies pour "exister" comme quantum du champ

Et que le champ de higgs est apparu après le big bang par transition de phase en dotant les bosons de jauge w et z de l'interaction faible d'une masse et par voie de conséquence d'un temps propre

D'où cette merveilleuse anagramme de Klein "le boson scalaire de higgs" est "l'horloge des anges ici bas"

A nous de comprendre les anges :)

Je ne constate pas d'antagonisme majeur entre votre approche analytique et mon approche synthétique.

Mais je ne crois pas que l'approche analytique puisse expliquer l'humanité.

Qu'un Big Bang aussi accidentel puisse justifier l'émergence de l'humanité, c'est aussi improbable qu'un arbalétrier atteigne sa cible à 100 années-lumière.

 

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 898 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
il y a 17 minutes, Fraction a dit :

Je ne constate pas d'antagonisme majeur entre votre approche analytique et mon approche synthétique.

Mais je ne crois pas que l'approche analytique puisse expliquer l'humanité.

Qu'un Big Bang aussi accidentel puisse justifier l'émergence de l'humanité, c'est aussi improbable qu'un arbalétrier atteigne sa cible à 100 années-lumière.

Oui, je ne sais pas ce qui "explique" l'humanité, tout dépend de ce qu'on appelle explication 

Ce que m'a appris le quantique, c'est combien nos représentations issues de notre expérience humaine sont limitées 

Ce "calcul" est tiré des constantes inexpliquées de la physique 

Il a notamment été popularisé par Trinh Xuan Thuan

C'est le principe dit des ajustements fins des constantes de la physique 

Honnêtement les physiciens le notent régulièrement de hawking à Reeves en passant par Green et bien d'autres

Existent une vingtaine de constantes en physique qu'on mesure mais dont les valeurs n'ont aucune explication

Ce qui est notable, c'est que le moindre changement minime d'une de ces constantes aurait eu des conséquences dramatiques qu'on sait modéliser 

Et la marge de manœuvre est de cet ordre

 Hasard ou nécessité, question de Leibniz 

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 7 004 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, zenalpha a dit :

Oui, je ne sais pas ce qui "explique" l'humanité, tout dépend de ce qu'on appelle explication 

Ce que m'a appris le quantique, c'est combien nos représentations issues de notre expérience humaine sont limitées 

Ce "calcul" est tiré des constantes inexpliquées de la physique 

Il a notamment été popularisé par Trinh Xuan Thuan

C'est le principe dit des ajustements fins des constantes de la physique 

Honnêtement les physiciens le notent régulièrement de hawking à Reeves en passant par Green et bien d'autres

Existent une vingtaine de constantes en physique qu'on mesure mais dont les valeurs n'ont aucune explication

Ce qui est notable, c'est que le moindre changement minime d'une de ces constantes aurait eu des conséquences dramatiques qu'on sait modéliser 

Et la marge de manœuvre est de cet ordre

 Hasard ou nécessité, question de Leibniz 

Je respecte l'approche analytique.

Mais il est impropre de déclarer que les atomes du chat sont attirés par les atomes de la souris.

_ Déjà, il existe une émergence :

le vortex est davantage que la cinétique des particules qui le composent.

_ Mais de plus, l'échelle macro rétroagit sur l'échelle micro, pour finir par s'y substituer :

Si je vous parle de Principe Anthropique, et que vous me répondez physique des particules, alors nous ne parlons pas de la même chose.

Votre cheminement intellectuel vous appartient, je ne le juge pas, mais vous cherchez une cause, quand moi je cherche un sens.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 898 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
Il y a 3 heures, Fraction a dit :

Je respecte l'approche analytique.

Mais il est impropre de déclarer que les atomes du chat sont attirés par les atomes de la souris.

_ Déjà, il existe une émergence :

le vortex est davantage que la cinétique des particules qui le composent.

_ Mais de plus, l'échelle macro rétroagit sur l'échelle micro, pour finir par s'y substituer :

Si je vous parle de Principe Anthropique, et que vous me répondez physique des particules, alors nous ne parlons pas de la même chose.

Votre cheminement intellectuel vous appartient, je ne le juge pas, mais vous cherchez une cause, quand moi je cherche un sens.

Les ajustements fins sont classiquement le premier argument du principe anthropique :)

ces constantes de la physique n''ont pas directement trait à la physique des particules...

Trinh Xuan Thuan évoque la densité de l'univers donc sa vitesse d'expansion mais il y a d'autres constantes et d'autres arguments pour la plupart tirés de la physique 

Brandon Carter qui a proposé le principe anthropique est astrophysicien.

Alors OK, c'était plutôt un spécialiste des trous noirs mais le principe anthropique est relié originellement à un physicien et plus largement à la physique

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 7 004 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
Le 16/12/2022 à 23:20, zenalpha a dit :

Les ajustements fins sont classiquement le premier argument du principe anthropique :)

ces constantes de la physique n''ont pas directement trait à la physique des particules...

Trinh Xuan Thuan évoque la densité de l'univers donc sa vitesse d'expansion mais il y a d'autres constantes et d'autres arguments pour la plupart tirés de la physique 

Brandon Carter qui a proposé le principe anthropique est astrophysicien.

Alors OK, c'était plutôt un spécialiste des trous noirs mais le principe anthropique est relié originellement à un physicien et plus largement à la physique

Je ne vais pas vous parler d’une connaissance, mais d’une intuition :

Les propriétés de la matière ne sont pas les mêmes lorsqu’on change l’échelle de l’étude.

Je vais me répéter :

L’échelle macro rétroagit sur l’échelle micro, pour finir par s’y substituer.

Si les propriétés des atomes C, H, O, N, P, S étaient les mêmes à l’échelle atomique qu’à l’échelle organique, alors l’organisme serait incapable de fonctionner.

Il serait d’une improbabilité gigantesque que l’échelle macro réponde d’un fonctionnement analogue à l’échelle micro.

 

Je prône le solipsisme convivial.

Aussi, je ne suis pas vraiment à ma place lorsque je parle de matière objective, je joue un jeu.

Le finalisme n’est pas une magie.

Il est tributaire de son substrat matériel, qu’il ne peut pas corrompre de façon traumatique et hallucinatoire.

Mais il est partout.

La matière a l’antériorité chronologique.

Mais sa fonction a l’antériorité référentielle.

Et le Principe Anthropique a l’antériorité ontologique.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 898 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
Il y a 3 heures, Fraction a dit :

Je prône le solipsisme convivial.

Aussi, je ne suis pas vraiment à ma place lorsque je parle de matière objective, je joue un jeu.

Le finalisme n’est pas une magie.

Il est tributaire de son substrat matériel, qu’il ne peut pas corrompre de façon traumatique et hallucinatoire.

Mais il est partout.

La matière a l’antériorité chronologique.

Mais sa fonction a l’antériorité référentielle.

Et le Principe Anthropique a l’antériorité ontologique.

Pourrions nous creuser cette partie ?

Dans le solipsisme convivial (au sens scientifique et donc en synonyme de la mécanique quantique relationnelle), le monde "fondamental", celui des quanta, celui dont émerge le monde macroscopique que nous experimentons classiquement n'est fait que d'interactions, d'ocurrences, d'événements discontinus, sans permanence.

Chaque interaction est un événement et ce sont ces événements qui constituent "la réalité" et non les objets lourds qu'on étudie en mécanique classique, objets chargés de propriétés absolues que la philosophie classique posait à tort en pré requis dessdits événement 

La matière y est un noeud dans un réseau, un peu comme nous le décrivions à propos du boson de Higgs qui présuppose pour exister un champ de Higgs et de hautes énergies, il est un de ces événements contingent et n'a pas d'antériorité chronologique 

D'ailleurs le temps lui même émerge de la variabilité du quantique selon Alain Connes par exemple 

Du coup, je ne comprends pas l'approche matérialiste où la matière serait le fondement avec le solipsisme convivial pour lequel la matière est contingente.

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 7 004 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
Il y a 5 heures, zenalpha a dit :

Pourrions nous creuser cette partie ?

Dans le solipsisme convivial (au sens scientifique et donc en synonyme de la mécanique quantique relationnelle), le monde "fondamental", celui des quanta, celui dont émerge le monde macroscopique que nous experimentons classiquement n'est fait que d'interactions, d'ocurrences, d'événements discontinus, sans permanence.

Chaque interaction est un événement et ce sont ces événements qui constituent "la réalité" et non les objets lourds qu'on étudie en mécanique classique, objets chargés de propriétés absolues que la philosophie classique posait à tort en pré requis dessdits événement 

La matière y est un noeud dans un réseau, un peu comme nous le décrivions à propos du boson de Higgs qui présuppose pour exister un champ de Higgs et de hautes énergies, il est un de ces événements contingent et n'a pas d'antériorité chronologique 

D'ailleurs le temps lui même émerge de la variabilité du quantique selon Alain Connes par exemple 

Du coup, je ne comprends pas l'approche matérialiste où la matière serait le fondement avec le solipsisme convivial pour lequel la matière est contingente.

Les scientifiques sont d’incorrigibles objectivistes.

Lorsqu’on leur parle de fonction d’onde, ils la cherchent dans l’espace.

Alors qu’elle est dans leur esprit.

L’ordinateur quantique n’explore pas le possible.

Il explore le crédible.

Un crédible dont l’a posteriori est prioritaire sur l’a priori :

Ce que tu me dis ne peut pas être vrai, puisque je vais l’oublier avant de le vérifier.

 

Le meilleur des physiciens ne sera pas physicien.

Le meilleur des amants n’est pas un obsédé sexuel.

 

Pour parvenir au solipsisme convivial, il faut davantage qu’un laboratoire quantique.

C’est une épreuve personnelle, parfois traumatique, parfois saine et intuitive.

On regarde par le trou de la serrure.

C’est le média privilégié du Diable.

Dramatisation mise à part, le solipsisme convivial ne peut s’appréhender que par un solipsisme pur :

Je suis seul au monde, voire le seul homme de tous les temps.

Je vous en offre la démarche initiatique :

https://www.forumfr.com/sujet958514-solipsisme-irr%C3%A9futable.html

 

Nous sommes tous dans une bulle.

Certains s’y complaisent, ce sont les introvertis, j’en fais partie.

D’autres s’en rebellent, ce sont les extravertis.

Ces bulles ont la capacité de créer une réalité analogique, en communiquant, ou en communiant.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 898 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
il y a 23 minutes, Fraction a dit :

Les scientifiques sont d’incorrigibles objectivistes.

Lorsqu’on leur parle de fonction d’onde, ils la cherchent dans l’espace.

Alors qu’elle est dans leur esprit.

L’ordinateur quantique n’explore pas le possible.

Il explore le crédible.

Un crédible dont l’a posteriori est prioritaire sur l’a priori :

Ce que tu me dis ne peut pas être vrai, puisque je vais l’oublier avant de le vérifier.

 

Le meilleur des physiciens ne sera pas physicien.

Le meilleur des amants n’est pas un obsédé sexuel.

 

Pour parvenir au solipsisme convivial, il faut davantage qu’un laboratoire quantique.

C’est une épreuve personnelle, parfois traumatique, parfois saine et intuitive.

On regarde par le trou de la serrure.

C’est le média privilégié du Diable.

Dramatisation mise à part, le solipsisme convivial ne peut s’appréhender que par un solipsisme pur :

Je suis seul au monde, voire le seul homme de tous les temps.

Je vous en offre la démarche initiatique :

https://www.forumfr.com/sujet958514-solipsisme-irr%C3%A9futable.html

 

Nous sommes tous dans une bulle.

Certains s’y complaisent, ce sont les introvertis, j’en fais partie.

D’autres s’en rebellent, ce sont les extravertis.

Ces bulles ont la capacité de créer une réalité analogique, en communiquant, ou en communiant.

Oui, je comprends 

Tu parles (et tu partirais donc) ... du solipsisme... philosophique

Disons que les mots ayant (normalement) un sens...partagé, et donc partageable.., le terme de solipsisme convivial (l'association de ces 2 mots) est...normalement...classiquement..."académiquement" ... un terme extrêmement précis propose par Hervé Zwirn par exemple, ou par Matteo Smerlak ou encore d'une autre manière par Carlo Rovelli et qui ressort ... de la mécanique quantique

C'est un peu dommage  de présenter ta conception par ces termes de "solipsisme convivial" parce que ça génère ... une confusion

La médecine quantique par exemple qui s'approprie cette définition "quantique" accolée à médecine est par exemple du charlatanisme, un kidnapping abusif du terme quantique 

Il n'existe aucune médecine quantique...

Du coup, j'ai lu ton lien

Et en effet, je retrouve une forme d'inspiration issue du solipsisme convivial de la mécanique quantique, une théorie dont le domaine concerne l'interprétation de la mécanique quantique et le monde subatomique

Une construction philosophique qui t'appartient un peu inspirée de certaines propriétés du solipsisme convivial... de la mécanique quantique dans un domaine particulier 

Juste dommage de reprendre ce terme qui a un autre sens.

Mais OK, compris.

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 7 004 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
il y a 6 minutes, zenalpha a dit :

Oui, je comprends 

Tu parles (et tu partirais donc) ... du solipsisme... philosophique

Disons que les mots ayant (normalement) un sens...partagé, et donc partageable.., le terme de solipsisme convivial (l'association de ces 2 mots) est...normalement...classiquement..."académiquement" ... un terme extrêmement précis propose par Hervé Zwirn par exemple, ou par Matteo Smerlak ou encore d'une autre manière par Carlo Rovelli et qui ressort ... de la mécanique quantique

C'est un peu dommage  de présenter ta conception par ces termes de "solipsisme convivial" parce que ça génère ... une confusion

La médecine quantique par exemple qui s'approprie cette définition "quantique" accolée à médecine est par exemple du charlatanisme, un kidnapping abusif du terme quantique 

Il n'existe aucune médecine quantique...

Du coup, j'ai lu ton lien

Et en effet, je retrouve une forme d'inspiration issue du solipsisme convivial de la mécanique quantique, une théorie dont le domaine concerne l'interprétation de la mécanique quantique et le monde subatomique

Une construction philosophique qui t'appartient un peu inspirée de certaines propriétés du solipsisme convivial... de la mécanique quantique dans un domaine particulier 

Juste dommage de reprendre ce terme qui a un autre sens.

Mais OK, compris.

Je ne me définis pas par appartenance, ni par essence.

J'utilise le terme "solipsisme convivial" comme un relai linguistique.

Vous êtes unique, et je suis unique.

 

Tous les médicaments sont des placébos.

Ce qui change, c'est la crédibilité de son concepteur, et son inscription dans l'histoire de la science, donc de la crédibilité.

La suggestion est toute-puissante.

Vous-même pourriez soulever des montagnes.

Mais l'inertie du monde est sa première qualité, et c'est la première qualité d'une institution.

Newton a légiféré la réciprocité de la force, or ce néant est disciplinaire.

Rien n'est gratuit, tout doit se payer.

Ce n'est pas le coût de la science, car ce coût est émancipateur.

La gratuité serait pire que l'inflation.

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