Se jeter dans les bras d'un(e) autre après une séparation

Le 30/07/2022 à 23:20, sirielle a dit :

Se jeter dans les bras d'un(e) autre le lendemain, surlendemain, ou disons dans les jours proches suivants une rupture, une séparation, voire un veuvage, qu'en pensez-vous, le faites-vous vous-même?

euuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuh......... 

Disons qu'après une rupture mon état d'esprit est plutot 

Il me faut du temps pour m'en remettre...alors allez voir une autre femme tout de suite après une rupture c'est juste impossible pour moi. C'est comme ça j'y peux rien.

Maintenant chacun a le droit de vivre sa rupture comme il le souhaite. Mais il faudrait essayer de ne pas trop faire souffrir les autres en leur promettant monts et merveilles alors qu'il s'agit juste d'une relation sans importance.  Après je ne sais pas, je ne suis pas dans la tête des gens, c'est juste quelque chose que je ne ferai pas c'est tout.

Le 22/04/2023 à 22:31, Elisa* a dit :

Je suis ok sur la possibilité d’une relation « pansement » mais je ne pense pas que ce soit plus spécifique à un sexe en particulier. 

Une relation-pansement quand on est seul(e) et qu'on ne veut pas s'attacher, c'est l'idéal, faut-il encore trouver le sparadrap qui va bien...

Le 22/04/2023 à 21:37, Crabe_fantome a dit :

Est ce que tu as envisagé la possibilité que la moitié des femmes que tu as connus ont attendu le dernier moment pour te quitter alors que ça faisait des mois qu'elles y pensaient? Je ne compte plus les femmes qui viennent (et qui repartent aussi vite) sur le forum pour dire qu'elle ont un doute sur leur histoire d'amour. En général quand y a un doute c'est qu'il n'y en a pas. Elles viennent donc recevoir l'absolution, quitte leur mec et vont vers l'autre qui les faisait vibrer en cachette depuis des mois... 

C'était en quelque sorte inclut dans ce que je disais puisque j'évoquais le fait qu'elles se tapent des mecs qu'elles n'ont pas pu se taper avant (essentiellement pour des raisons morales ou pratiques). La rupture peut même en partie être due à ça oui, bien sûr, avec toute la dissimulation, le mensonge, la simulation qui l'accompagne.

Après, n'oublie pas, ou ne feint pas d'ignorer, que je ne parle pas que de moi, et même en fait beaucoup plus d'autres couples que les miens, mais la position d'observateur rend plus objectif, surtout quand on peut recueillir comme cela m'est arrivé 4 à 5 sons de cloche des participants à l'histoire.

Mais ce que tu n'as pas bien lu, c'est que j'en ai surtout vu de nombreuses qui baisaient entre 3 et 10 mecs dans les 6 à 9 mois. Avec des exemples de certaines qui s'en tapaient 3 / 4 dans le seul premier mois !

Et j'ai des notes prises alors de leurs 'discours', c'est très amusant/triste/édifiant.

Le 22/04/2023 à 21:43, celsud a dit :

Oui, ça m est déjà arrivé... et ça va encore faire grincer des dents : j appelle ça la relation "médicament" ou "pansement", qui n est d ailleurs pas faite pour durer^^

L'appeler comme ça est surtout une façon de conserver un estime de soi face à un comportement dont on perçoit bien qu'il pose problème.

Une femme ne pourrait conserver une estime d'elle-même en réalisant toutes ses envies qu'en acceptant une logique théorique de sauvagerie anti-sociale. Ce qui n'est pas possible, ou du moins pas encore (je pourrais y revenir sur ce qu'entretient philosophiquement l'individualisme avec la cybernétique (apparue dans les années 30 / 50)), mais se profile toujours plus avec le consumérisme et le repli du corps dans les théories du genre et transhumanistes.

Mais la guerre des sexes à bien commencée avec la libération sexuelle.

il y a 5 minutes, Easle a dit :

 

C'était en quelque sorte inclut dans ce que je disais puisque j'évoquais le fait qu'elles se tapent des mecs qu'elles n'ont pas pu se taper avant (essentiellement pour des raisons morales ou pratiques). La rupture peut même en partie être due à ça oui, bien sûr, avec toute la dissimulation, le mensonge, la simulation qui l'accompagne.

Après, n'oublie pas, ou ne feint pas d'ignorer, que je ne parle pas que de moi, et même en fait beaucoup plus d'autres couples que les miens, mais la position d'observateur rend plus objectif, surtout quand on peut recueillir comme cela m'est arrivé 4 à 5 sons de cloche des participants à l'histoire.

Mais ce que tu n'as pas bien lu, c'est que j'en ai surtout vu de nombreuses qui baisaient entre 3 et 10 mecs dans les 6 à 9 mois. Avec des exemples de certaines qui s'en tapaient 3 / 4 dans le seul premier mois !

Et j'ai des notes prises alors de leurs 'discours', c'est très amusant/triste/édifiant.

 

 

 

Tu vas pas reprocher aux femmes d'être meilleure que nous pour tromper l'autre quand même?! Le fait d'être un peu con et de se faire pincer en train de tromper sa femme ça ne joue pas sur la morale. Des deux cotés tromper c'est pas agréable... 

Une position d'observateur, par définition, c'est subjectif. D'autant que si tu es obsédé par la question tu peux avoir tendance à voir des femmes infidèles partout avec un phénomène de Baader Meinhoff (une chose qu'on vient de remarquer pour la première est remarqué plus fréquemment). Sinon je regarde ma vie et ça m'est arrivé pour 20% de mes rencontres qu'elles aillent voir rapidement ailleurs. Je t'accorde même le 50% si tu veux. 

Mon ex avait un tableau de chasse qui dépassait largement les 10 mecs dans les 6 mois, mais elle était célib' à ce moment là. Là où d'autre n'ont eu qu'un mec en 6 ans... 

Le 22/04/2023 à 21:49, guernica a dit :

Les 2 fois avant d'être avec mon compagnon, ça m'a arraché le coeur. Je suis quelqu'un d'extrêmement fidèle. Quand je suis avec un homme, même si je suis sollicitée, je ne le trompe pas. Le premier voulait me changer de A à Z pour correspondre à son fantasme. Je l'ai quitté. Le deuxième, n'a pas supporté ma jalousie et ma folie. Il m'a largué. Entre les deux, évidemment qu'il y a eut des hommes, mais sporadiquement, plutôt pour me prouver que je plaisais. Le 3ième que j'ai aimé, a été étrangement le bon, alors que c'était ce qu'on appelle un bad boy. Mais peut être que nous nous sommes compris et complétés, par rapport à nos colères et à notre fragilité

Nous sommes sur des terrains extrêmement standard, qui font que je suis toujours impavide devant la nécessité formelle absolu (visiblement) de la plupart des êtres humains de se dire Unique, totalement et radicalement différent de tout ce qui a existé et existera. Et ce malgré le fait que toutes les fictions permettent de voir combien nous sommes semblables, combien les parcours sont identiques à des détails près sans réelle importance... Et heureusement d'ailleurs.

80 % des hommes qui cherchent à se prouver qu'ils plaisent ne font que briser un peu plus leur estime d'eux-même, que se retrouver humiliés, ou désabusés et détachés. Ce qui plait beaucoup apparemment à nombre de femmes qui préfèrent presque être utilisées qu'aimées (je sais, ce n'est pas ça, mais plutôt une peur de perte d'indépendance, une faible estime de soi, etc.... Non. Ce n'est qu'un discours AU contraire, de conservation de soi, d'hypocrisie pour maintenir son privilège d'abondance).

il y a 9 minutes, Crabe_fantome a dit :

Tu vas pas reprocher aux femmes d'être meilleure que nous pour tromper l'autre quand même?! Le fait d'être un peu con et de se faire pincer en train de tromper sa femme ça ne joue pas sur la morale. Des deux cotés tromper c'est pas agréable... 

Une position d'observateur, par définition, c'est subjectif. D'autant que si tu es obsédé par la question tu peux avoir tendance à voir des femmes infidèles partout avec un phénomène de Baader Meinhoff (une chose qu'on vient de remarquer pour la première est remarqué plus fréquemment). Sinon je regarde ma vie et ça m'est arrivé pour 20% de mes rencontres qu'elles aillent voir rapidement ailleurs. Je t'accorde même le 50% si tu veux. 

Mon ex avait un tableau de chasse qui dépassait largement les 10 mecs dans les 6 mois, mais elle était célib' à ce moment là. Là où d'autre n'ont eu qu'un mec en 6 ans... 

Je ne reproche pas à un poisson de savoir nager... Ce serait idiot.

Mais le poisson lui ne peut s'interroger sur lui-même, évaluer sur le long terme les conséquences de ses actes, l'intérêt de faire des choix collectivement positifs plutôt qu'individuels uniquement et à courte vue. Et là oui, je le reproche, mais aux être humains, et pas que dans leurs sexualités.

Travailler sur un sujet, ouvre certes à une forme de vision possiblement subjective. Et tu es en droit de préférer me l'attribuer plutôt qu'une capacité de neutralisation axiologique. C'est surtout cette lecture de ce que je dis qui sera alors subjective mais bon.

Car cela implique de partir du principe que certains sujets (mais comme par hasard où des enjeux de pouvoirs, de puissance - au sens de potentialités - sont importants) qu'il y a illégitimité discursive intrinsèque.

Le déni de l'objectivité est bien moindre sur les observations de violences, de sexisme, de racisme, d'épuisement au travail, de logement, de pratiques agricoles douteuses, etc.

Drôle comme certains faits sociaux sont plus tabous que d'autres

Mais as-tu vraiment cherché à savoir, et donc 'observé' ? Qui plus sur d'autres plutôt que seulement sur tes nombreuses conquêtes ?

Le 22/04/2023 à 21:52, Elisa* a dit :

Contrairement à toi, je n’ai pas un « Master » en baise après rupture mais ce que tu décris s’applique particulièrement à certains hommes justement.

Et ça n’arrive jamais à des hommes ?! 

Ais-je dit le contraire ? Non ! J'aime bien l'allusion au master

A "certains" hommes, tu as tout à fait raison, et je n'ai rien dit d'autres, justement.

20 à 25 % des hommes, environ, se comportent comme les femmes. Mais, peuvent, en plus, s'en vanter, justement auprès de femmes que cela impressionnent ou titillent, là où la plupart des femmes préfèrent le dissimuler.

Et encore cela commence à changer avec l'inversion de valeur dominante qui est en cours. C'est encore timide mais le discours est très actif.

Ces hommes sont même dans une position de puissance supérieure à la plupart des femmes puisqu'ils sont les objets quasi unique de l'attention de celles-ci ; de leur attention réelle, intime, vraie.

Cette structure est très animale. Et c'est bien l'animalité qui fait ainsi un retour important. Ce qui accompagne aussi la distribution de plus en plus inégalitaire des ressources. Il y a toujours corrélation des inégalités et des injustices.

il y a 15 minutes, Easle a dit :

 

Je ne reproche pas à un poisson de savoir nager... Ce serait idiot.

Mais le poisson lui ne peut s'interroger sur lui-même, évaluer sur le long terme les conséquences de ses actes, l'intérêt de faire des choix collectivement positifs plutôt qu'individuels uniquement et à courte vue. Et là oui, je le reproche, mais aux être humains, et pas que dans leurs sexualités.

Travailler sur un sujet, ouvre certes à une forme de vision possiblement subjective. Et tu es en droit de préférer me l'attribuer plutôt qu'une capacité de neutralisation axiologique. C'est surtout cette lecture de ce que je dis qui sera alors subjective mais bon.

Car cela implique de partir du principe que certains sujets (mais comme par hasard où des enjeux de pouvoirs, de puissance - au sens de potentialités - sont importants) qu'il y a illégitimité discursive intrinsèque.

Le déni de l'objectivité est bien moindre sur les observations de violences, de sexisme, de racisme, d'épuisement au travail, de logement, de pratiques agricoles douteuses, etc.

Drôle comme certains faits sociaux sont plus tabous que d'autres

Mais as-tu vraiment cherché à savoir, et donc 'observé' ? Qui plus sur d'autres plutôt que seulement sur tes nombreuses conquêtes ?

 

Tout ce que j'ai fais c'est t'inviter à la prudence de tes observations là où tu te positionnes en tant qu'observateur objectif. Déjà un observateur, par définition, n'est pas objectif. Même une caméra de surveillance c'est un point de vu limité et dans l'espace et dans le temps. Ajoute à ça ton enthousiasme à trouver des saloperies contre les poissons et ton objectivité s'effondre d'elle même. Maintenant fais toi un petit bouquet avec un code linguistique universitaire histoire de regonfler ton égo et continue sur ta lancée... Ou accepte d'être un simple être humain, vraisemblablement blessé et dont l'objectivité est mise à mal et discutons en; le forum est là pour ça. 

Le 22/04/2023 à 21:53, Crabe_fantome a dit :

Alors que j'en ai eu l'occasion... je m'étais fais larguer alors que j'étais en voyage en Thaïlande. j'ai retrouvé une amie là bas et on a partagé un bout de voyage ensemble... je le n'ai pas fais alors que l'occasion était là. On avait déjà fricoté il y a quelques années, on dormait ensemble parfois collé... et puis je lui en ai parlé, que j'y ai pensé, et que c'était pour "un soin" (parfois une vengeance ceci dit aussi) Elle m'a dit que j'avais bien fait, que sinon elle m'aurait démonté la gueule.  Elle aurait eu raison, à moins de se retrouver entre gens brisés pour s'aider à passer un mauvais moment, je n'aime pas cette idée d'utiliser l'autre. Et si elle s'était attaché à moi? J'aurais été (encore une fois?) une belle ordure. 

Pourquoi aurais-tu été une ordure de lui en faire la proposition. Elle aurait fait son choix. Mais en l'occurrence, comme souvent pour la plupart des hommes, cette proposition, et tu l'as sentie en réalité, n'était pas faisable. Les femmes adorent avoir des hommes chiens, des amis, dont le corps, sexuellement n'existe même pas pour elle.

La Friend Zone ne s'applique quasiment qu'à des hommes (et là, bien sûr, on va avoir les petits exemples qui montrent que OUI ! il y a aussi des femmes à qui ça arrive, très rarement, avec ces hommes dont j'ai parlé et qui sont en haut de la pile).

Mais crois-tu que les femmes ont ce type de prévention ? Demande à Elisa qui a expliqué avoir cumulé les occasionnels. Ah oui... Il est vrai que ce ne sont pas des 'amis'. Bien sûr puisqu'elles peuvent le lever en moins d'une heure. Là où la plupart des hommes vont essayer laborieusement, sur des mois, de se rapprocher d'une amie.

il y a 1 minute, Crabe_fantome a dit :

Tout ce que j'ai fais c'est t'inviter à la prudence de tes observations là où tu te positionnes en tant qu'observateur objectif. Déjà un observateur, par définition, n'est pas objectif. Même une caméra de surveillance c'est un point de vu limité et dans l'espace et dans le temps. Ajoute à ça ton enthousiasme à trouver des saloperies contre les poissons et ton objectivité s'effondre d'elle même. Maintenant fais toi un petit bouquet avec un code linguistique universitaire histoire de regonfler ton égo et continue sur ta lancée... Ou accepte d'être un simple être humain, vraisemblablement blessé et dont l'objectivité est mise à mal et discutons en; le forum est là pour ça. 

Des saloperies ? Mais où ? Ce sont des constations... C'est visiblement toi qui considère cela comme des saloperies.

Je ne fais que poser le réel, là où la plupart, pour des raisons de puissance, préfèrent conserver l'illusion.

Mon Ego,   Regonfler sur un forum ? Tu le penses vraiment ?

Voilà, nous rentrons dans la phase de discrédit par la blessure narcissique, psychologisation, commisération... etc.

hummpph

Je comprends.

il y a 11 minutes, Easle a dit :

 

Ais-je dit le contraire ? Non ! J'aime bien l'allusion au master

 

A "certains" hommes, tu as tout à fait raison, et je n'ai rien dit d'autres, justement.

20 à 25 % des hommes, environ, se comportent comme les femmes. Mais, peuvent, en plus, s'en vanter, justement auprès de femmes que cela impressionnent ou titillent, là où la plupart des femmes préfèrent le dissimuler.

Et encore cela commence à changer avec l'inversion de valeur dominante qui est en cours. C'est encore timide mais le discours est très actif.

Ces hommes sont même dans une position de puissance supérieure à la plupart des femmes puisqu'ils sont les objets quasi unique de l'attention de celles-ci ; de leur attention réelle, intime, vraie.

Cette structure est très animale. Et c'est bien l'animalité qui fait ainsi un retour important. Ce qui accompagne aussi la distribution de plus en plus inégalitaire des ressources. Il y a toujours corrélation des inégalités et des injustices.

 

 J’aime bien que tu expliques des trucs mais ac des éléments concrets, à partir d’articles, de sources, tu pourrais presque me convaincre ! 
 

il y a 2 minutes, Easle a dit :

 

Pourquoi aurais-tu été une ordure de lui en faire la proposition. Elle aurait fait son choix. Mais en l'occurrence, comme souvent pour la plupart des hommes, cette proposition, et tu l'as sentie en réalité, n'était pas faisable. Les femmes adorent avoir des hommes chiens, des amis, dont le corps, sexuellement n'existe même pas pour elle.

La Friend Zone ne s'applique quasiment qu'à des hommes (et là, bien sûr, on va avoir les petits exemples qui montrent que OUI ! il y a aussi des femmes à qui ça arrive, très rarement, avec ces hommes dont j'ai parlé et qui sont en haut de la pile).

Mais crois-tu que les femmes ont ce type de prévention ? Demande à Elisa qui a expliqué avoir cumulé les occasionnels. Ah oui... Il est vrai que ce ne sont pas des 'amis'. Bien sûr puisqu'elles peuvent le lever en moins d'une heure. Là où la plupart des hommes vont essayer laborieusement, sur des mois, de se rapprocher d'une amie.

Non j'aurais été une ordure de ne rien lui dire et quelque part, de me venger sur elle, en négligeant en outre la possibilité qu'elle puisse avoir des sentiments. Je ne connais pas les mêmes femmes que toi je crois. On avait déjà eu une soirée olé olé quelques années auparavant. On était sur Melbourne, j'avais mon vol le lendemain, elle m'avait proposé de me loger chez elle. Tout était clair. On a été pris par le désir et voilà, on était libre tout les deux à ce moment là. 

Là où je ne te comprends pas c'est là où tu veux en venir... Elisa fait ce qu'elle veut, moi aussi, toi aussi, tout le monde en fait... C'est avec plus ou moins de difficulté, si j'étais gay je serais limité à (à la louche) 4% de la population masculine... là où aujourd'hui j'ai mon terrain de chasse auprès de 75% de la population féminine (pas de mineur ni de centenaire... désolé les mamies). C'est vachement plus simple pour moi. Toi tu as l'air de te mettre des barrières parce que tu voudrais que les femmes soient différentes de ce qu'elles sont... En tout cas tu les vois comme des chasseuses vénales manipulatrices et pour certaines je te donne raison. Mais c'est loin d'être la majorité... 

Le 22/04/2023 à 22:10, Crabe_fantome a dit :

Ah désolé, pour le coup je pensais à moi; C'est moi que je jugeais "ordurier" parce que ça m'est arrivé de ne pas prendre en considération l'attachement de l'autre et de lui faire du mal. 

Si ce n'est pas interdit, voire c'est même ultra conseillé! Mais toujours respectueusement. Comme on dit parfois "les pierres et les oeufs ne dansent pas dans le même panier"  

Tu vois, cet échange dit beaucoup de la difficulté du sujet.

Tension morale, mais inversion. Une femme ne peut plus être jugées pour des aventures (et ce n'est pas nécessairement un mal), mais un homme maintenant se juge lui, aussi durement qu'une femme auparavant.

Nous sommes empêtrés tant que nous pouvons pas nous défaire de nos préjugés. Et même alors nous restent nos frustrations (nous en avons TOUS et TOUTES), dont il faut prendre recul, qu'il faut au moins en partie suspendre, un peu.

Lorsque je parle de neutralité axiologique, cela ne veut pas dire une objectivité totale, mathématique (et d'ailleurs.. cela se discute aussi ), mais d'une tendance.

il y a 5 minutes, Easle a dit :

 

Des saloperies ? Mais où ? Ce sont des constations... C'est visiblement toi qui considère cela comme des saloperies.

Je ne fais que poser le réel, là où la plupart, pour des raisons de puissance, préfèrent conserver l'illusion.

Mon Ego,   Regonfler sur un forum ? Tu le penses vraiment ?

Voilà, nous rentrons dans la phase de discrédit par la blessure narcissique, psychologisation, commisération... etc.

hummpph

Je comprends.

 

Tu sors ta panoplie de victime qu'on veut discréditer?! Sérieux?! 

En somme soit tu as raison et je suis d'accord avec toi, soit tu as quand même raison et je voudrais te faire taire... 

il y a 1 minute, Easle a dit :

 

Tu vois, cet échange dit beaucoup de la difficulté du sujet.

Tension morale, mais inversion. Une femme ne peut plus être jugées pour des aventures (et ce n'est pas nécessairement un mal), mais un homme maintenant se juge lui, aussi durement qu'une femme auparavant.

Nous sommes empêtrés tant que nous pouvons pas nous défaire de nos préjugés. Et même alors nous restent nos frustrations (nous en avons TOUS et TOUTES), dont il faut prendre recul, qu'il faut au moins en partie suspendre, un peu.

Lorsque je parle de neutralité axiologique, cela ne veut pas dire une objectivité totale, mathématique (et d'ailleurs.. cela se discute aussi ), mais d'une tendance.

Non je suis le seul à pouvoir me juger. Je n'ai pas à juger les autres et toi non plus sur ce qu'ils font de leur cul. Ce n'est pas un truc homme femme mais moi et les autres. 

il y a 3 minutes, Elisa* a dit :

 J’aime bien que tu expliques des trucs mais ac des éléments concrets, à partir d’articles, de sources, tu pourrais presque me convaincre ! 
 

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Ben non, je blague !
Tu n’arriveras jamais à me convaincre tant que tu conserveras des apriorismes mais ça n’est pas grave du tout.
Je trouve néanmoins que tu t’améliores un peu quand même ac moins d’avis tranchés.

Cool ! 

 

J'ai cité des livres, reste à les lire.

J'ai eu des échanges très intéressant avec des gens irl qui en lisaient au moins en partie. Après, recopier des passages ou des articles, long et arides... Qui plus est pour les soumettre à des torsions le plus souvent.

C'est le problème des forum, du moins depuis une quinzaine d'années. Sauf de temps à autre.

Le coup des a priori, c'est osé. Là encore, pas de côté, inversion.

il y a une heure, Easle a dit :

 

L'appeler comme ça est surtout une façon de conserver un estime de soi face à un comportement dont on perçoit bien qu'il pose problème.

Une femme ne pourrait conserver une estime d'elle-même en réalisant toutes ses envies qu'en acceptant une logique théorique de sauvagerie anti-sociale. Ce qui n'est pas possible, ou du moins pas encore (je pourrais y revenir sur ce qu'entretient philosophiquement l'individualisme avec la cybernétique (apparue dans les années 30 / 50)), mais se profile toujours plus avec le consumérisme et le repli du corps dans les théories du genre et transhumanistes.

Mais la guerre des sexes à bien commencée avec la libération sexuelle.

Me serai je trompée ? Suis je dans la rubrique philo ? 

Un comportement qui pose problème ? Lool

Pour qui ? 

Et à vrai dire, je m en fous ^^ je ne vis pas pour le regard des autres 

il y a 4 minutes, Crabe_fantome a dit :

Tu sors ta panoplie de victime qu'on veut discréditer?! Sérieux?!

Disons que c'est un standard, cette tactique est très souvent utilisée. La psychologisation et la commisération permettre de se mettre en surplomb, de se considérer comme supérieur (psy à l'écoute d'un pauvre et faible patient).

C'est une tactique rhétorique courante pour rabaisser l'autre dans un échange.

Je n'utilise pas d'arguments d'autorité.

il y a 4 minutes, Crabe_fantome a dit :

En somme soit tu as raison et je suis d'accord avec toi, soit tu as quand même raison et je voudrais te faire taire... 

Non je suis le seul à pouvoir me juger. Je n'ai pas à juger les autres et toi non plus sur ce qu'ils font de leur cul. Ce n'est pas un truc homme femme mais moi et les autres. 

Justement non, ce n'est pas seulement une question individuelle mais aussi et même surtout sociétale et c'est moins un jugement qu'une analyse.

Se positionner sur le jugement (moral), c'est nécessairement adopter une position en quelque sorte agressive de la liberté individuelle. Or le problème n'est pas là. Nous sommes des animaux sociaux, même si actuellement le mouvement est celui d'une sortie (ou du moins pseudo sortie, simulée, désirée) du social.

il y a 2 minutes, celsud a dit :

Me serai je trompée ? Suis je dans la rubrique philo ? 

Un comportement qui pose problème ? Lool

Pour qui ? 

Et à vrai dire, je m en fous ^^ je ne vis pas pour le regard des autres 

 

 

Ou question, mais analysée du point de vue moral comme un problème. Et c'est là que cela devient justement un problème social, que la problématisation d'une question sociétale.

il y a 4 minutes, celsud a dit :

Et à vrai dire, je m en fous ^^ je ne vis pas pour le regard des autres

Vis-tu seul, pour toi, ou tiens-tu compte de la société ?

Qu'est-ce que faire société pour toi ? Cela ne passerait absolument pas par les rapports sociaux de sexe ? Ils ne seraient que des choses individuelles (cacher ce sein...)

il y a 12 minutes, Easle a dit :

Justement non, ce n'est pas seulement une question individuelle mais aussi et même surtout sociétale et c'est moins un jugement qu'une analyse.

Se positionner sur le jugement (moral), c'est nécessairement adopter une position en quelque sorte agressive de la liberté individuelle. Or le problème n'est pas là. Nous sommes des animaux sociaux, même si actuellement le mouvement est celui d'une sortie (ou du moins pseudo sortie, simulée, désirée) du social.

Faudra expliquer ça à Mathieu 7:1.... et Luc 6:37... ne pas juger et on ne sera pas jugé.

Et donc non, on a pas à juger ce que font les gens dans leur sphère de liberté individuelle. La règle n'est pas de juger mais de délimiter lorsque autrui empiète sur notre propre liberté. Mais les coucheries de Brigitte ou Franck, tant qu'elles n'ont pas lieu dans mon salon pendant que je regarde le 7ème sceau à la télé, je n'ai pas à les juger. Et si Franck couche plus et si Brigitte couche plus longtemps, et bien ni toi ni moi n'avons à nous immiscer dans leur intimité.

il y a 35 minutes, Easle a dit :

 

J'ai cité des livres, reste à les lire.

J'ai eu des échanges très intéressant avec des gens irl qui en lisaient au moins en partie. Après, recopier des passages ou des articles, long et arides... Qui plus est pour les soumettre à des torsions le plus souvent.

C'est le problème des forum, du moins depuis une quinzaine d'années. Sauf de temps à autre.

Le coup des a priori, c'est osé. Là encore, pas de côté, inversion.

Je suis trop cartésienne pour me contenter d’assertions non étayées par des sources d’autant plus quand il est précisé des données chiffrées, pourcentages.

Aucun pas de côté… bientôt tu vas nous affirmer que les meufs sont des crabes en fait ! 

Pas d’inversion non plus, je n’en vois aucun intérêt : je ne revendique rien hormis le fait que l’on peut céder à la « facilité » ou l’opportunité d’une relation sans prise de tête, sans engagement peu après une rupture. 

C’est juste l’humain, homme ou femme qui se protège par peur de l’échec, de la trahison éventuellement, crainte d’une relation complexe, toxique, douloureuse ou que sais-je encore.
Ce peut être simplement par peur de s’investir à nouveau après une rupture et être confronté à la déception, ceci sans absolument aucune distinction de sexe.

Il faut un délai, un temps plus ou moins long d’adaptation pour cicatriser la blessure narcissique engendrée par une séparation, d’où le choix pour certain.ne.s d’une relation plus légère dite « pansement ».