Aller au contenu

Vente de technologie nucléaire à la chine


Totorino75

Messages recommandés

Membre, 67ans Posté(e)
Totorino75 Membre 175 messages
Forumeur survitaminé‚ 67ans‚
Posté(e)
 
D'anciens dirigeants d'Areva, dont l’ancienne n°1 Anne Lauvergeon, ont été mis en examen dans l'affaire du rachat controversé de la société minière canadienne Uramin.
Surnommée « Atomic Anne26 » par la presse américaine27, elle entraîne son groupe dans un développement énergique hors de France. Areva devient numéro un mondial du nucléaire28. Pour mener à bien son expansion dans un secteur international très concurrentiel29, elle s'appuie sur un réseau influent, constitué notamment de membres du corps des mines22, de puissants appuis au Parti socialiste30, de personnalités françaises et étrangères rencontrées lors de son passage à l'Élysée et au sein de laboratoires d'idées internationaux31, mais aussi sur les syndicats, notamment la CFDT22.
 
Elle reproche à l'État, actionnaire de référence, son manque de vision stratégique. Son indépendance passe difficilement parmi les autorités de tutelle, par exemple quand on [Qui ?] lui refuse en 2004 de surenchérir pour le rachat du fabricant d'éoliennes, le danois Bonus, devenu filiale de Siemens, puis pour l'allemand REpower Systems acquis par l'indien Suzlon Energy, ou quand l'introduction en bourse d'Areva est repoussée en 2005.
 
En 2006, Jacques Chirac reconduit Anne Lauvergeon, malgré l'avis du ministre de l’Économie et des Finances Thierry Breton29. L'année suivante, au lendemain de l'élection présidentielle française de 2007, elle refuse de Nicolas Sarkozy un poste de ministre, préférant rester chez Areva2. Cela expliquerait ses relations tendues avec le nouveau président de la République29. Celui-ci la nomme néanmoins à la Commission pour la libération de la croissance française, dite Commission Attali, en 2008, en qualité de personnalité qualifiée dans le domaine scientifique et industriel.
 
 
Ce qui se complique elle refuse de vendre la technologie Nucleaire à la chine.
En juin 2011, quelques mois après l'accident nucléaire de Fukushima, Nicolas Sarkozy ne la reconduit pas à la direction d'Areva, contre l'avis du président du conseil de surveillance Jean-Cyril Spinetta32. Cela arrive alors qu'Areva enregistre sa première perte opérationnelle (423 millions d'euros en 2010) et malgré la vente de quatre réacteurs EPR, dont plus aucun ne sera vendu par la suite29.
Elle a des relations avec
Maureen Kearney, syndicaliste chez Areva afin de dénoncer les accords de vente de technologie avec la chine.
 
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre, Obsédé textuel, 73ans Posté(e)
Gouderien Membre 38 422 messages
73ans‚ Obsédé textuel,
Posté(e)
il y a 44 minutes, Totorino75 a dit :
 
D'anciens dirigeants d'Areva, dont l’ancienne n°1 Anne Lauvergeon, ont été mis en examen dans l'affaire du rachat controversé de la société minière canadienne Uramin.
Surnommée « Atomic Anne26 » par la presse américaine27, elle entraîne son groupe dans un développement énergique hors de France. Areva devient numéro un mondial du nucléaire28. Pour mener à bien son expansion dans un secteur international très concurrentiel29, elle s'appuie sur un réseau influent, constitué notamment de membres du corps des mines22, de puissants appuis au Parti socialiste30, de personnalités françaises et étrangères rencontrées lors de son passage à l'Élysée et au sein de laboratoires d'idées internationaux31, mais aussi sur les syndicats, notamment la CFDT22.
 
Elle reproche à l'État, actionnaire de référence, son manque de vision stratégique. Son indépendance passe difficilement parmi les autorités de tutelle, par exemple quand on [Qui ?] lui refuse en 2004 de surenchérir pour le rachat du fabricant d'éoliennes, le danois Bonus, devenu filiale de Siemens, puis pour l'allemand REpower Systems acquis par l'indien Suzlon Energy, ou quand l'introduction en bourse d'Areva est repoussée en 2005.
 
En 2006, Jacques Chirac reconduit Anne Lauvergeon, malgré l'avis du ministre de l’Économie et des Finances Thierry Breton29. L'année suivante, au lendemain de l'élection présidentielle française de 2007, elle refuse de Nicolas Sarkozy un poste de ministre, préférant rester chez Areva2. Cela expliquerait ses relations tendues avec le nouveau président de la République29. Celui-ci la nomme néanmoins à la Commission pour la libération de la croissance française, dite Commission Attali, en 2008, en qualité de personnalité qualifiée dans le domaine scientifique et industriel.
 
 
Ce qui se complique elle refuse de vendre la technologie Nucleaire à la chine.
En juin 2011, quelques mois après l'accident nucléaire de Fukushima, Nicolas Sarkozy ne la reconduit pas à la direction d'Areva, contre l'avis du président du conseil de surveillance Jean-Cyril Spinetta32. Cela arrive alors qu'Areva enregistre sa première perte opérationnelle (423 millions d'euros en 2010) et malgré la vente de quatre réacteurs EPR, dont plus aucun ne sera vendu par la suite29.
Elle a des relations avec
Maureen Kearney, syndicaliste chez Areva afin de dénoncer les accords de vente de technologie avec la chine.
 

Anne Lauvergeon, c'était la Madame Foldingue du nucléaire. Elle aurait vendu sa technologie nucléaire à n'importe qui - c'est d'ailleurs ce qu'elle a fait -, elle l'aurait même donnée gratuitement, rien que pour le plaisir de voir pousser des centrales partout. Un danger public.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
Pierrot89 Membre 9 335 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Madame Lauvergeon avait une politique énergétique de grande ambition.

 

Bien évidemment elle a réussit à vendre 2 réacteurs EPR à la Chine, il faut rappeler que d'autres réacteurs avaient été vendue à la Chine bien avant son arrivée.

La France vend des réacteurs à des clients tels que le Royaume Uni, la Finlande, la Belgique, l'Inde, etc. il ne s'agit pas de brader une technologie mais de faire des affaires dans un domaine ou la France a une excellente réputation, idem pour les Airbus,Renault, Peugeot, le vin, le Champagne, le blé, les parfums, la construction navale, l'éolien, l'hydraulique, l'espace, la chimie, la pharmacie les travaux publics, ses architectes, son cinéma, son théâtre, ses livres, sa gastronomie  etc.

 

Si on ne vend rien, on ne peut rien acheter ...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×