Quel est le terme pour l'effacement progressif du souvenir d'un rêve au cours de la journée?

Je suis sûr d'avoir lu ce terme et sa définition quelque part mais impossible de le retrouver.

Est-ce que quelqu'un connait?

il y a 6 minutes, Yoann_ a dit :

Je suis sûr d'avoir lu ce terme et sa définition quelque part mais impossible de le retrouver.

Est-ce que quelqu'un connait?

 

L'oubli?

L'effacement ?

L'estompage ?

Si je me souviens d'un rève , c'est au réveil , plus tard c'est rare , je pense que souvent on ne se souvient pas de ses rèves ... ? 

il y a 9 minutes, Paléocène a dit :

L'estompage ?

Un truc comme ça, mais non, c'est vraiment un terme précis lié à ce processus d'estompage. Je l'ai lu dans un bouquin de psychologie ou phylo mais je ne retrouve pas.

Alzheimer.

J'ai oublié

Alzheimer ?

L'hypnose, ou l'état de conscience modifié ...

Cavamrevnir !

l'amnésie lacunaire 

Merci pour ces efforts mais ce n'est grace, je vais retrouver le bouquin puis le terme!

Le processus de ''censure mémorielle onirique'' semble-t-il, un réflexe qui touchera surtout de petits saligots tentant désespérément de refouler toute trace de scènes de débauche aux pratiques que la morale nous interdira de se remémorer ...

L'évanescence des rêves ?
Je ne sais pas si c'est ça, j'essaye de trouver un terme qui est joli et poétique pour dire la chose.

évanescence  : nom féminin. Diminution qui se finira par une disparition.
Je trouve ma proposition est tip top

il y a 18 minutes, BadKarma a dit :

Le processus de ''censure mémorielle onirique'' semble-t-il, un réflexe qui touchera surtout de petits saligots tentant désespérément de refouler toute trace de scènes de débauche aux pratiques que la morale nous interdira de se remémorer ...

La censure mémorielle, dans le sens du clivage, c'est irrecevable, puisqu'il nécessiterait dans ce cas-là, d'avoir une vue d'ensemble, c'est identifiable comme le déni, mais ce n'est simplement qu'un état de fait, dont la jonction, n'est jamais possible, sinon par le moyen de l'imaginaire d'un tiers . L'interprétation, qui suit, n'engage que toi . Car l'activité onirique, c'est une activité solitaire . Ce qui semble peu probable, dans le cas de l'énoncé du sujet posé ici . 

Une absence de rémanence?

Il y a de belle choses, mais ce n'est pas ça.
Je crois que c'est un processus de restructuration du cerveau et c'est lié à l'hypnagogie et l'hypnopompie. Mais impossible de mettre la main sur le terme.

S'il s'agit d'un néologisme ou encore d'un terme en langue étrangère, difficile de trouver.

J'ai jadis, vécu l'expérience interdite, l'état de conscience modifiée . L'excuse, est facile, en effet, les sensations physiques, passées un certain stade, c'est l'apathie, hors de soi, c'est une réalisation sans sentiments, sans émotions, une expérience purement intellectuelle, chez un potentiel d'intelligence de vie . Ceci dit, dans ce cas là, l'être humain, identifie parfaitement la situation présente, l'humain est lucide, les agissements, sont en corrélation à l'état d'esprit du moment . Si les actions sont modifiables manuellement, effacer toutes traces de ces moments lucides, c'est sciemment, et parfaitement conscient, cela ne change strictement rien à l'action en soi . L'inconscience, reviendrait à exécuter les actions de sang-froid, et dormir du sommeil du juste, ensuite, voire s'en gargariser, dans le moindre détails, pourtant, l'état de conscience modifié, n'est jamais constant, puisque c'est toujours dans le cadre d'une situation particulière, ponctuelle, et c'est dans la précarité, que le sujet évolue . L'accumulation d'effacements des preuves probantes, et non équivoques, de la capacité du sujet à faire preuve d' actes de violences caractérisés, voire se rendre, par exemple, complice, et coupable d'assassinats, et tentatives d'assassinat, c'est une situation réelle . C'est donc une association de criminels en bande organisée, où chacun des membres, jouent un rôle déterminant, et bien précis, dans un but univoque, et commun, au mieux, seules les motivations diffèrent . L'état de conscience modifié, n'est que l'expression de l'aptitude du sujet, à réaliser des actions, en fonction de la potentialité, et de l'état de frustration du sujet, voire de la sensation de pouvoir suprême, et ultime . Parce que bizarrement, ayant expérimenté le rêve lucide, jamais je n'ai commis, le moindre acte répréhensible, dont l'action serait irréversible envers autrui, car l'être humain est bien réel, les dommages occasionnels, sont bien réels, l'assassinat, c'est réel, l'être humain, ne pourra plus jamais se réaliser . Nombreux sont ceux, qui expérimentent cela, se conditionner, avant un entretien d'embauche, un rendez-vous galant, c'est un état de conscience modifié . S'il suffisait de se mettre dans un état de conscience modifié, pour se transcender en parfait criminel, tout aussi bien qu'en parfait innocent, il n'y aurait plus un seul être vivant sur terre . J'ai opté pour l'exemple du meutre, car c'est l'exemple le plus parlant . Le seul acte pour lequel, l'être bénéficie de circonstances atténuantes, c'est le crime passionnel . Et, ce me semble, cela n'est aucunement le cas ici . Le moteur, c'est le pouvoir, et le plaisir de tuer . Le plaisir, c'est réel, les sensations physiques, en témoignent .