Qui est le vrai Macron?

il y a 14 minutes, TONY PECRESSE a dit :

Et juste pour le fun, et j'en resterai là, et merci d'avance aux cogne-fétus de rester coi ....

Tiens, c’est la phrase la plus citée du moment, après le décès de celui qui la prononçait de façon prémonitoire, et pourtant, feu Gérard Collomb pêchait par optimisme, avec sa fameuse et funeste prédiction : "aujourd’hui, on vit côte à côte, je crains que demain, on vive face à face."
Ben, force est de constater, après avoir vécu les derniers épisodes récents, que l'on ne vit déjà plus face à face, mais les uns contre les autres, pire, les uns violemment contre les autres !
On ne s’oppose plus, on s’affronte, y compris physiquement........
N'en déplaise à ce cher Gérald, lequel annonce la dissolution de certaines factions (lol) d'extrême-droite !
Ben oui, faut laisser la porte grande ouverte à la chienlit allogène ou d'importation, on peut pas dissoudre les "frères musulmans" et autres gentilles sectes, comme cette sympathique "assoc" dont l'objectif officiel est la renaissance islamique et la lutte non violente (re-lol) contre l'emprise laïque occidentale et l'imitation aveugle du modèle européen en terre d'Islam (tout un programme sympa) !
Véran, au fait, est de retour au bercail élyséen, mission accomplie (ouf) !
Allez, bon vent chers amis, et luttons contre le tabagisme, et vive les espaces sans tabac, c'est pas la lutte finale, mais en bottant en touche au débotté, c'est de la stratégie haut de gamme, bien joué en tout cas, nos artistes intra muros vont apprécier !

bye les poètes !

what is it, massot, ou was is das en chleuh ?

vous souhaitez une précision ?

Il y a 12 heures, TONY PECRESSE a dit :

what is it, massot, ou was is das en chleuh ?

vous souhaitez une précision ?

 

J'en connais suffisamment comme ça, merci.

Pour se détendre,  "une fille, un gars" avec Chouchou et Loulou   ( remboursement par la SS serait souhaitable)

Il y a 14 heures, TONY PECRESSE a dit :

pensez vous un seul instant que mon "fichtre"

Volontaire ou pas, ce n'était pas nécessaire. Le vocabulaire a un peu changé, mais le caractère, le style de l'auteur perdure et le révèle au lecteur attentif, à défaut d'être "intello".

"untello", je le prends bien, si c'est dans le sens qui réfléchit, qui argumente preuves à l'appui, donc mer...ci !

il y a une heure, MASSOT a dit :

J'en connais suffisamment comme ça, merci.

Pour se détendre,  "une fille, un gars" avec Chouchou et Loulou   ( remboursement par la SS serait souhaitable)

hello

et cadeau, un morceau de bravitude à lire sans modération (et à relire au cas où ....)

Cadeau
le Parti pris
Black Friday : Où habites-tu, macronie ?
par Erwan Bruckert
Rédacteur en chef adjoint du service politique
@ErwanBruckert
Qui diable faut-il écouter ? Qui diable faut-il croire ? Est-ce Emmanuel Macron, qui trompettait il y a un peu plus d’un an et demi, en plein entre-deux tours de l’élection présidentielle dans son discours de Marseille, que ce "quinquennat sera écologique ou ne sera pas" ? Est-ce Emmanuel Macron qui devant les maires de France a, à plusieurs reprises selon Politico, qualifié la campagne de l’Ademe pour le Black Friday de "connerie" ? Sans doute et l’un, et l’autre. En même temps. C’est en tout cas ce dont doit être persuadé le chef de l’Etat, défenseur dévoué du sens de la nuance, fervent militant de la gradation. Mais à force de s’adapter à ses auditoires, aux contingences, à ses séquences politiques thématiques - la semaine "écologie" succédant à la semaine "industrialisation", succédant elle-même à la semaine "revitalisation de l’économie"… -, la nuance est parfois à deux petits doigts de se transformer en ambivalence. Ce n’est pas la première fois. Seulement, cela fait maintenant six ans…
Récapitulons. L’Elysée, Matignon et les ministres de Bercy - dont les premiers concernés Bruno Le Maire et la ministre chargée des TPE, PME, de l’Artisanat et du Tourisme Olivia Grégoire - ont découvert, les yeux écarquillés, la nouvelle campagne de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) contre la surconsommation, lancée la veille du Black Friday. On peut y voir, notamment, un "dévendeur" conseiller à un client de ne pas acheter de nouveaux polos dans un magasin, puisque le sien est en parfait état… Bref, une ode à la sobriété. Rappelons-nous "la fin de l’abondance", dixit Emmanuel Macron, qui marque notre nouvelle ère en plein bouleversement. Validés en amont par le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu, les quatre spots ont créé une vague de protestation chez les associations de commerçants de proximité, jusqu’à Michel-Edouard Leclerc, dont les enseignes, c’est bien connu, favorisent le textile français, le circuit court et luttent de toutes leurs forces contre la "fast fashion".
Au sein du ministère de l’Economie aussi, on s’étrangle. Sur Franceinfo, Bruno Le Maire a qualifié la campagne de "maladresse", arguant que les mises en scène dans des magasins physiques faisaient le jeu des plateformes numériques ; le téléphone d’Olivia Grégoire, lui, sonne sans discontinuer depuis deux jours. Chacun défend sa clientèle, surtout au moment où le président de la République conclut une semaine consacrée à la vie économique et la compétitivité du pays. Un épisode de plus dans les relations tumultueuses entre le ministère de l’Ecologie et Bercy : il suffit de feuilleter le livre de la journaliste Justine Reix, La Poudre aux yeux (JC Lattès), pour se faire une idée de leurs ambitions divergentes, voire contradictoires. "Il faut prendre conscience que ces sujets angoissent les Français, on doit être responsables, on ne va pas faire l’écologie contre les gens, il faut les embarquer", considère-t-on dans l’entourage de Bruno Le Maire, où les lubies qui s’apparentent à une forme de décroissance n’ont pas tellement bonne presse. Une preuve, aussi, de la qualité de l’huile qui fait fonctionner les rouages des différentes composantes du gouvernement… "Ça pose quand même la question du pilotage général, glisse un ministre de plein exercice qui confirme l’ire de l’Elysée et Matignon. Pourquoi tout ça n’est pas plus interministérialisé ? Ne serait-ce qu’avec Bercy, ils ont des défauts, mais tout de même…"
Puisque gouverner n’est pas seulement prévoir mais aussi établir des priorités, il est judicieux de se poser la question de celles du gouvernement et d’Emmanuel Macron. La croissance et le plein-emploi ? Le virage écologique ? En raillant publiquement les spots validés par Christophe Béchu sans prendre le soin, par la suite, de faire nuancer son propos par ses équipes élyséennes, le chef de l’Etat a choisi son camp. "L’écologie pragmatique", comme on le scande souvent en macronie ? Encore faudrait-il connaître ses contours. Son sens. À l’aune de cette nouvelle péripétie gouvernementale, et des précédentes, on peut se risquer à une définition : qui dit "pragmatique" dit "qui n’embête pas les Français", pour paraphraser élégamment Georges Pompidou. À l’exception de la réforme totémique des retraites, l’exécutif semble avoir comme ligne directrice cette devise, reliquat, notamment, du mouvement des gilets jaunes. Tant pis s’il faut pour cela discréditer un ministre de l’Ecologie qui, une fois n’est pas coutume, avait passé le mur du son (et passé outre les consignes de Matignon de retirer les spots pro-sobriété). Tant pis si leur message principal, et capital pour toute bonne politique écologique qui se respecte, s’en trouve appauvri. Qui disait, déjà, qu'il fallait savoir "prendre son risque"?
(fin de sic)
Bon courage, et bon courage, hein !
La répétition est le burin de la mémoire !
Ca suffira pas, mais bon, espérons

Vous êtes OK ?

Je reviendrai éventuellement sur le propos "sémillant" de madame la maire de Romans, laquelle ne décolère pas devant le bal des faux derches entretenu par les médias !
Elle stigmatise l'omerta et le laxisme des autorités !
Elle prend surtout des risques personnels, c'est ça le courage politique, aux antipodes de la couardise de nos dirigeants, et en particulier du premier d'entre eux !
Elle implore la Justice de confirmer le caractère raciste du meurtre du jeune Thomas
Cette France orange mécanique, suffit de l'appeler par son nom, et que L'ON arrête de prendre nos concitoyens (en un seul mot) pour des béotiens (ou des abrutis), STOP !

belle journée à vous, fait frisquet, mais le soleil est là, un rayon qui fait du bien, avant de passer à l'ombre macronisée ....

bye bye

Un mot perso, à la mémoire de Gérard Collomb, mon ex-maire de Lyon dont ce sont les obséques today, et que j'ai bien connu perso, en diverses occasions, mais c'est du privé, donc, je m'étends pas !

L'hommage à lui rendu today sur place par Macron, a quelque chose d'indécent, puisqu'il l'a trahi, not' président, le bon Gérard, j'y reviens pas, l'Histoire de la macronie retiendra que Collomb fut le premier des fidèles de notre bon Emmanuel !

La suite se passe de commentaires, elle est édifiante, je préfère ne pas développer ......

Triste sire, mais bon, on ne peut être surpris, après une pratique de plus de 7 ans à présent, de manu !

Sept ans de ...... je vous laisse conclure......

Il y a 2 heures, TONY PECRESSE a dit :

hello

et cadeau, un morceau de bravitude à lire sans modération (et à relire au cas où ....)

Cadeau
le Parti pris
Black Friday : Où habites-tu, macronie ?
par Erwan Bruckert
Rédacteur en chef adjoint du service politique
@ErwanBruckert
Qui diable faut-il écouter ? Qui diable faut-il croire ? Est-ce Emmanuel Macron, qui trompettait il y a un peu plus d’un an et demi, en plein entre-deux tours de l’élection présidentielle dans son discours de Marseille, que ce "quinquennat sera écologique ou ne sera pas" ? Est-ce Emmanuel Macron qui devant les maires de France a, à plusieurs reprises selon Politico, qualifié la campagne de l’Ademe pour le Black Friday de "connerie" ? Sans doute et l’un, et l’autre. En même temps. C’est en tout cas ce dont doit être persuadé le chef de l’Etat, défenseur dévoué du sens de la nuance, fervent militant de la gradation. Mais à force de s’adapter à ses auditoires, aux contingences, à ses séquences politiques thématiques - la semaine "écologie" succédant à la semaine "industrialisation", succédant elle-même à la semaine "revitalisation de l’économie"… -, la nuance est parfois à deux petits doigts de se transformer en ambivalence. Ce n’est pas la première fois. Seulement, cela fait maintenant six ans…
Récapitulons. L’Elysée, Matignon et les ministres de Bercy - dont les premiers concernés Bruno Le Maire et la ministre chargée des TPE, PME, de l’Artisanat et du Tourisme Olivia Grégoire - ont découvert, les yeux écarquillés, la nouvelle campagne de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) contre la surconsommation, lancée la veille du Black Friday. On peut y voir, notamment, un "dévendeur" conseiller à un client de ne pas acheter de nouveaux polos dans un magasin, puisque le sien est en parfait état… Bref, une ode à la sobriété. Rappelons-nous "la fin de l’abondance", dixit Emmanuel Macron, qui marque notre nouvelle ère en plein bouleversement. Validés en amont par le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu, les quatre spots ont créé une vague de protestation chez les associations de commerçants de proximité, jusqu’à Michel-Edouard Leclerc, dont les enseignes, c’est bien connu, favorisent le textile français, le circuit court et luttent de toutes leurs forces contre la "fast fashion".
Au sein du ministère de l’Economie aussi, on s’étrangle. Sur Franceinfo, Bruno Le Maire a qualifié la campagne de "maladresse", arguant que les mises en scène dans des magasins physiques faisaient le jeu des plateformes numériques ; le téléphone d’Olivia Grégoire, lui, sonne sans discontinuer depuis deux jours. Chacun défend sa clientèle, surtout au moment où le président de la République conclut une semaine consacrée à la vie économique et la compétitivité du pays. Un épisode de plus dans les relations tumultueuses entre le ministère de l’Ecologie et Bercy : il suffit de feuilleter le livre de la journaliste Justine Reix, La Poudre aux yeux (JC Lattès), pour se faire une idée de leurs ambitions divergentes, voire contradictoires. "Il faut prendre conscience que ces sujets angoissent les Français, on doit être responsables, on ne va pas faire l’écologie contre les gens, il faut les embarquer", considère-t-on dans l’entourage de Bruno Le Maire, où les lubies qui s’apparentent à une forme de décroissance n’ont pas tellement bonne presse. Une preuve, aussi, de la qualité de l’huile qui fait fonctionner les rouages des différentes composantes du gouvernement… "Ça pose quand même la question du pilotage général, glisse un ministre de plein exercice qui confirme l’ire de l’Elysée et Matignon. Pourquoi tout ça n’est pas plus interministérialisé ? Ne serait-ce qu’avec Bercy, ils ont des défauts, mais tout de même…"
Puisque gouverner n’est pas seulement prévoir mais aussi établir des priorités, il est judicieux de se poser la question de celles du gouvernement et d’Emmanuel Macron. La croissance et le plein-emploi ? Le virage écologique ? En raillant publiquement les spots validés par Christophe Béchu sans prendre le soin, par la suite, de faire nuancer son propos par ses équipes élyséennes, le chef de l’Etat a choisi son camp. "L’écologie pragmatique", comme on le scande souvent en macronie ? Encore faudrait-il connaître ses contours. Son sens. À l’aune de cette nouvelle péripétie gouvernementale, et des précédentes, on peut se risquer à une définition : qui dit "pragmatique" dit "qui n’embête pas les Français", pour paraphraser élégamment Georges Pompidou. À l’exception de la réforme totémique des retraites, l’exécutif semble avoir comme ligne directrice cette devise, reliquat, notamment, du mouvement des gilets jaunes. Tant pis s’il faut pour cela discréditer un ministre de l’Ecologie qui, une fois n’est pas coutume, avait passé le mur du son (et passé outre les consignes de Matignon de retirer les spots pro-sobriété). Tant pis si leur message principal, et capital pour toute bonne politique écologique qui se respecte, s’en trouve appauvri. Qui disait, déjà, qu'il fallait savoir "prendre son risque"?
(fin de sic)
Bon courage, et bon courage, hein !
La répétition est le burin de la mémoire !
Ca suffira pas, mais bon, espérons

Vous êtes OK ?

Je reviendrai éventuellement sur le propos "sémillant" de madame la maire de Romans, laquelle ne décolère pas devant le bal des faux derches entretenu par les médias !
Elle stigmatise l'omerta et le laxisme des autorités !
Elle prend surtout des risques personnels, c'est ça le courage politique, aux antipodes de la couardise de nos dirigeants, et en particulier du premier d'entre eux !
Elle implore la Justice de confirmer le caractère raciste du meurtre du jeune Thomas
Cette France orange mécanique, suffit de l'appeler par son nom, et que L'ON arrête de prendre nos concitoyens (en un seul mot) pour des béotiens (ou des abrutis), STOP !

belle journée à vous, fait frisquet, mais le soleil est là, un rayon qui fait du bien, avant de passer à l'ombre macronisée ....

bye bye

Soyez indulgent Tony ...

Les trémolos du Président sont quand même éblouissants : "“Je sais, Gérard, tout ce que je vous dois”, a confié, très ému, Emmanuel Macron. "Vous avez changé ma vie."

Peut-on penser que si Gérard n'avait pas été là ... choupinet aurait navigué encore plus à vue ?

Il y a 2 heures, ouest35 a dit :

Soyez indulgent Tony ...

Les trémolos du Président sont quand même éblouissants : "“Je sais, Gérard, tout ce que je vous dois”, a confié, très ému, Emmanuel Macron. "Vous avez changé ma vie."

Peut-on penser que si Gérard n'avait pas été là ... choupinet aurait navigué encore plus à vue ?

 

ben je ne vais pas développer céans sur l'histoire, enfin, plutôt la romance parfois exacerbée qui rapprocha les deux hommes, ce serait du temps perdu, et surtout ce serait donner l'occasion à quelques cogne-fétus, un vocable typiquement lyonnais au demeurant, de balancer incongruités et blagounettes à deux balles, très peu pour moi !

fin de parcours donc

Il y a 1 heure, TONY PECRESSE a dit :

ben je ne vais pas développer céans sur l'histoire, enfin, plutôt la romance parfois exacerbée qui rapprocha les deux hommes, ce serait du temps perdu, et surtout ce serait donner l'occasion à quelques cogne-fétus, un vocable typiquement lyonnais au demeurant, de balancer incongruités et blagounettes à deux balles, très peu pour moi !

fin de parcours donc

 

    Je vous ai comme disait Charles le Grand !

relaxe pour Dupont

normal, pas de prise illégale d'intérêts, donc

LFI dénonce un scandale, logique, en fait c'est une guerre entre l'exécutif et le judiciaire, mais le mal est fait, dans un contexte délétère, j'insiste pas !

la prise illégale d'intérêts, c'est une notion extrêmement vague, c'est du subjectif, les preuves, itou, c'est juste de l'enfumage, la confusion totale !

résultat : ben Dupont blanchi et relaxé, foutage de tronche et vogue la galère !

santé bonheur, et un coup de chapeau à Dupont, les juges et les syndicats de la justice sont ridiculisés, today, mais au final, ça change rien !

les juges ont tué la République, mais pas Dupont, conclusion, ils se sont pris un camouflet today

mais personne n'est gagnant, au final, car plus personne (la même) ne croit en la Justice

triste constat de notre réalité macroniquée !

allez les intellos, une chanson, please !

Quel beau tour de magie....

On rappelle qu'elle est composée de 12 parlementaires (6 sénateurs et 6 députés) et 3 juges de la Cour de la Cassation.

Comme si on ne savait pas au début ce qui se passe à la fin... 

Rien que pour le fun, pour être "tendance", ils auraient pu lui imposer un stage de poney... 

Ce soir on a un Dupont la Joie qui repart au combat 

il y a 20 minutes, MASSOT a dit :

On rappelle qu'elle est composée de 12 parlementaires (6 sénateurs et 6 députés) et 3 juges de la Cour de la Cassation.

Comme si on ne savait pas au début ce qui se passe à la fin...

Si la Cour de Justice de la République avait pris une décision contraire, vous l'auriez encensée. Mais comme Votre Justice n'a pas été rendu vous crachez dessus. Vous qui réclament que LEUR Justice soit rendu, mais pas LA Justice.

Cela dit, la Justice peut se tromper.

retour pointé au café du commerce, avant celui de la marine, de café, sur le vieux porc, oups, halouf, oups, port, pas encore rebloqué par une sardine, en fait, une "sartine", style radeau de la méduse !

et donc ok, mais depuis le début de cette procédure (pour la galerie-lol) sa relaxe était annoncée et sa façon de parader comme un paon, de faire la roue au parlement ne laissait aucun doute, sauf pour, bref, passons ....
et pour dussopt, au fait, pareil .....
même pas condamné à des heures à tondre les pelouses dans les "besoins" de chien, puisque c'est dans le besoin (l'autre) qu'on reconnait ses "aminches" !
et après tout ce cinoche, certaines bonnes âmes pleurnicheront que des "gens" votent RN ou Zemmour ...

réflexions ésotériques d'un lendemain qui chante pour un immense garde des sceaux, sauts, sots, so !

c'était la minute de silence, enfin, du bruit du silence, un oxymore (on peut aussi parler d'oxymoron pour les linguistes présents céans) !

en écoutant l'immense Dupont, hier soir, la voix cassée, le visage pathétique, j'étais au bord des larmes ...

santé bonheur

Il y a 16 heures, MASSOT a dit :

Quel beau tour de magie....

On rappelle qu'elle est composée de 12 parlementaires (6 sénateurs et 6 députés) et 3 juges de la Cour de la Cassation.

Comme si on ne savait pas au début ce qui se passe à la fin... 

Rien que pour le fun, pour être "tendance", ils auraient pu lui imposer un stage de poney... 

Ce soir on a un Dupont la Joie qui repart au combat 

c'est vrai, on peut en rire, à défaut .....

la magie, ben, l'enfumage, même pour des beubeus (suivez mon regard d'aigle des karapates......) ça va un temps ou un moment...

le réveil est en marche (tiiens marrant)

la renaissance, entre nous, elle est pas dans le giron de notre narcisse ...

à la santé de marianne

on est pas encore en guerre civile, en France, mais libanisation en cours

bon, l'épisode Dupont réglé de la meilleure des façons, je reviens pour rajouter un mot, à propos de la disparition de Gérard Collomb, mon ancien maire, lequel laissera un bon souvenir aux gones, de naissance ou d'adoption (comme moi) !

juste pour lui rendre hommage, pour avoir croisé sa route, professionnellement, mais pas seulement...

juste aussi pour reprendre une petite phrase de notre président, prononcée hier lors de l'hommage rendu au défunt, et qui est significative du rôle joué par Collomb dans le parcours macronesque : “sans vous avoir croisé sur mon chemin, je ne serai pas là où je suis.”  (sic)

un bel hommage posthume, que je crois sincère, mais après tout, peut-être que oui, peut être que non, le chantre du "en même temps" est une énigme ambulante ....

salut Gérard, repose en paix, je salue ta mémoire

il y a 8 minutes, TONY PECRESSE a dit :

bon, l'épisode Dupont réglé de la meilleure des façons, je reviens pour rajouter un mot, à propos de la disparition de Gérard Collomb, mon ancien maire, lequel laissera un bon souvenir aux gones, de naissance ou d'adoption (comme moi) !

juste pour lui rendre hommage, pour avoir croisé sa route, professionnellement, mais pas seulement...

juste aussi pour reprendre une petite phrase de notre président, prononcée hier lors de l'hommage rendu au défunt, et qui est significative du rôle joué par Collomb dans le parcours macronesque : “sans vous avoir croisé sur mon chemin, je ne serai pas là où je suis.”  (sic)

un bel hommage posthume, que je crois sincère, mais après tout, peut-être que oui, peut être que non, le chantre du "en même temps" est une énigme ambulante ....

salut Gérard, repose en paix, je salue ta mémoire

je rigolais, hein, en évoquant la sincérité de notre Manu, évidemment, dont le double langage (le famouze en même temps) est une marque de fabrique indélébile

cela dit, c'est bien qu'il ait reconnu le rôle de Collomb dans son ascension improbable, mais fulgurante

voilà voilou

à vous les amis-amies, si vous le voulez bien

il y a 48 minutes, TONY PECRESSE a dit :

bon, l'épisode Dupont réglé de la meilleure des façons, je reviens pour rajouter un mot, à propos de la disparition de Gérard Collomb, mon ancien maire, lequel laissera un bon souvenir aux gones, de naissance ou d'adoption (comme moi) !

juste pour lui rendre hommage, pour avoir croisé sa route, professionnellement, mais pas seulement...

juste aussi pour reprendre une petite phrase de notre président, prononcée hier lors de l'hommage rendu au défunt, et qui est significative du rôle joué par Collomb dans le parcours macronesque : “sans vous avoir croisé sur mon chemin, je ne serai pas là où je suis.”  (sic)

un bel hommage posthume, que je crois sincère, mais après tout, peut-être que oui, peut être que non, le chantre du "en même temps" est une énigme ambulante ....

salut Gérard, repose en paix, je salue ta mémoire

On le regrette d'autant plus, "vu ce qu'on a hérité après lui à la mairie de Lyon" 

il y a une heure, MASSOT a dit :

On le regrette d'autant plus, "vu ce qu'on a hérité après lui à la mairie de Lyon" 

hélas, c'est vrai, mais c'est hors sujet, mon cher

il convient de respecter à la lettre les règles édictées sur cette accorte tribune

ben voyons, revenons donc au (mauvais) sujet, à savoir la découverte du "vrai Macron", et ça, je le concède, c'est pas de la tarte, même renversée à la manière des célèbres soeurs Tatin, les égéries de Lamotte-Beuvron, en Sologne profonde, paradis des chasseurs !

car, en vérité, qui est le "vrai" Macron, ce personnage ambivalent, étonnant, au cursus et au comportement hors du commun, et qui a pour crédo "ambigu" la manifestation de comportements et de goûts contradictoires, voire opposés à l'égard de mêmes personnes ou de faits de sociétés, son fameux "en même temps", l'opportunisme de l'opportunité (ptdr redondant) !

j'y perds mon latin, bien que chaud latin et perclus de certitudes, et après avoir côtoyé de fort près des calibres comme le vidame d'Ussel (chichi alias chirac) ou mon cher raymond la science, alias babarre, le chantre du microcosme (voir littré) !

à vous, les commentateurs (et tateuses-lol)

il y a 1 minute, TONY PECRESSE a dit :

hélas, c'est vrai, mais c'est hors sujet, mon cher

il convient de respecter à la lettre les règles édictées sur cette accorte tribune

ben voyons, revenons donc au (mauvais) sujet, à savoir la découverte du "vrai Macron", et ça, je le concède, c'est pas de la tarte, même renversée à la manière des célèbres soeurs Tatin, les égéries de Lamotte-Beuvron, en Sologne profonde, paradis des chasseurs !

car, en vérité, qui est le "vrai" Macron, ce personnage ambivalent, étonnant, au cursus et au comportement hors du commun, et qui a pour crédo "ambigu" la manifestation de comportements et de goûts contradictoires, voire opposés à l'égard de mêmes personnes ou de faits de sociétés, son fameux "en même temps", l'opportunisme de l'opportunité (ptdr redondant) !

j'y perds mon latin, bien que chaud latin et perclus de certitudes, et après avoir côtoyé de fort près des calibres comme le vidame d'Ussel (chichi alias chirac) ou mon cher raymond la science, alias babarre, le chantre du microcosme (voir littré) !

à vous, les commentateurs (et tateuses-lol)

 

 

 

 C'est ( le scandale caché des autoroutes qui m'intéresse ) car l'augmentation du tarif me semble bien trop importante, hélas !

il y a 6 minutes, MASSOT a dit :

 C'est ( le scandale caché des autoroutes qui m'intéresse ) car l'augmentation du tarif me semble bien trop importante, hélas !

ben, voilà une sortie de route, ou d'autoroute, mais bon, ça fait partie de la phynance, les droits de péage, et donc le rapport au pognon est inhérent à la macronie !

on sait bien que l'offrande faite aux "autoroutiers", comme Vinci était davantage axée sur les bénéfices futurs des "gérants" que sur le bien-être des utilisateurs, pognon, pognon !

ensuite, je puis vous confirmer que les "gestionnaires" actuels réalisent de jolis profits, j'en parle en connaissance de cause, comme proche d'un certain Zacharias, ex-patron de Vinci, l'une des sociétés "exploitante" du pactole autoroutier, et que j'ai côtoyé de près à une autre époque, mais bon, aparté sans plus !

Et on est toujours dans le sujet, car Macron est en première ligne dans cette approche "autoroutière" !

mais bon, ça n'intéresse pas grand monde céans, même si c'est pas prégnant quand il faut payer le prix fort sur l'A6 ou autres  (je fais gaffe, ma valeur ajoutée doit pas se situer hors sujet, la garde veille, et c'est tout à fait normal, au demeurant)

l'augmentation des tarifs, je suis ok, devrait être régulée, sur le papier, du moins !

mais faut il vous l'envelopper, mon cher, qu'y pouvons nous, sauf à emprunter la nationale 7, en chantant du Trenet (ptdr) ?