Quand je vous vois

 

Je ne sais plus très bien

à quel saint

me vouer !

Si lorsque je vous vois

C'est sûr : je vous vouvoie

Mais quand je vois vos seins

Vraiment je les tutoie !

Et si je te tue, toi

(Mon abeille en essaim)

Je verrai plus cinq seins

(Car tu n'en a que deux)

En être l'assassin

Est bien mon plus cher vœu

Est-ce donc si malsain

Vouer un culte aux seins ?

Sont-ce des saints de glace

Que je vois dans la glace ?

Que nenni

je le nie !

Vos seins doux sont si doux

Plus doux que... le saindoux !

Plus doux que le Boursin !...

Ca vous reste en travers ?

Je dirai : traversin !

Et sans être pervers,

Précise : quel coussin !

Au crayon, au fusain,

J'en ferai le dessin !

C'est là mon grand dessein.

Ô mes petits poussins !

il y a 15 minutes, Blaquière a dit :

Si lorsque je vous vois

C'est sûr : je vous vouvoie

Je tente l’exercice à mon tour.

Quand je vous vis, vous m’épatâtes sur le champ…

Puis un blocage plus rien ne m’inspire…ma source imaginaire est déjà tarie !

C’est là que je me rends compte que la poésie et moi cela fait deux ?

Je n’arriverais jamais à la cheville de notre ami Blaquière pour écrire un poème, c’est foutu pour moi ! 

En effet droite ou gauche, il ne sait à quel sein se vouer...

Il y a 2 heures, querida13 a dit :

En effet droite ou gauche, il ne sait à quel sein se vouer...

"Quand on est ni à droite ni à gauche c'est qu'on est à droite !"

Alain (le philosophe)

Il y a 2 heures, Enchantant a dit :

Je tente l’exercice à mon tour.

Quand je vous vis, vous m’épatâtes sur le champ…

Puis un blocage plus rien ne m’inspire…ma source imaginaire est déjà tarie !

C’est là que je me rends compte que la poésie et moi cela fait deux ?

Je n’arriverais jamais à la cheville de notre ami Blaquière pour écrire un poème, c’est foutu pour moi ! 

Attends, je " t'aide" !

reprenons :

 

Quand je vous vis

Vous m'épatâtes !
 

 

Quand je vous vois beauté divine, je me débine 

Votre bobine, de bécassine me donne la scarlatine....

@Blaquière tu crois que mes débuts son prometteur 

Vos dents immenses touchent le parquet

Relevez la tête, car vous allez le rayer!

Sacré Blaquière,

Qui n'était rien hier

Qui aujourd'hui, vole haut

En jonglant avec les mots.

 

Suffit plus d'être potier

Le v'là maintenant inspiré

Mais où va-t-il s'arrêter ?

Quand il aura tout cassé !

 

Il y a 9 heures, Plouj a dit :

Sacré Blaquière,

Qui n'était rien hier

Qui aujourd'hui, vole haut

En jonglant avec les mots.

 

Suffit plus d'être potier

Le v'là maintenant inspiré

Mais où va-t-il s'arrêter ?

Quand il aura tout cassé !

 

Des pots

Je fus le pote :

J'en faisais ma popote !

Mais voilà ça capote :

Je suis dans la compote !

Et j'y clapote !

Alors mes mots 

je les rabote

Les sors "à la débotte"

Dans la joie j'y barbote

On dit que je radote

Mais ça me ravigote !

Alors continue

Habillé ou tout nu.

Le plaisir

De te lire

Est toujours là

C'est sympa, voilà !

il y a 31 minutes, Plouj a dit :

Alors continue

Habillé ou tout nu.

Le plaisir

De te lire

Est toujours là

C'est sympa, voilà !

My name is Nu : Ma Nu ! 

Il y a 17 heures, Enchantant a dit :

Quand je vous vis, vous m’épatâtes sur le champ…

Quand je vous vis,                                                
Vous m’épatâtes sur le champ                         
Et là me suis dit,                                                
Et si je faisais un tian…

il y a une heure, Blaquière a dit :

My name is Nu : Ma Nu ! 

Enchanté Manu !

il y a 30 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Quand je vous vis,                                                
Vous m’épatâtes sur le champ                         
Et là me suis dit,                                                
Et si je faisais un tian…

Pour cuire les patates !

Le 05/05/2022 à 23:36, Plouj a dit :

Sacré Blaquière,

Qui n'était rien hier

Qui aujourd'hui, vole haut

En jonglant avec les mots.

 

Suffit plus d'être potier

Le v'là maintenant inspiré

Mais où va-t-il s'arrêter ?

Quand il aura tout cassé !

 

Sacré Blaquière,

Qui n'était rien hier...

 

Ai-je été jamais rien ?

Sans doute sous Louis Quatorze ?

Ou Dioclétien ?

Mais même mes ancêtres

Aux jambes torses

N'étaient pas rien !

C'est une question d'être...

De poil pubien !

Je fus il y a longtemps

Certes, un amibien !

Qui peut en dire autant ?

Et je n'étais qu'un œil

Avec des cils partout !

Les deux pieds sur  le seuil

J'étais l'œil de Moscou !

Depuis je me débine :

je suis l'œil, de Poutine !

Je suis à contre sens,

Nage à contre courant

Et rentre même en transe

Pour un joli mollet !

Me voilà vétéran

J'ai volté Guy Mollet 

J'ai voté Mitterrand 

Et je m'en mords les doigts

Que vouliez-vous qu'il fît ?

Ou bien plutôt fissent ?

Ben : qu'ils filassent droit !

 

Il y a 3 heures, Blaquière a dit :

Ben : qu'ils filassent droit !

Qu'ils filassent droit disait la corde

Sinon je lâche la horde.

Gare à toi, ils filent vite

Cours et surtout évite

Les arrêts intempestifs

Et les rendez-vous festifs.

 

J'avais un peu bâclé, j'ai tout repris !

 

Ai-je été jamais rien ?

Quand j'étais mes ancêtres

(Tous au Kremlin-Bicêtre)

Et jusqu'à Dioclétien ?

Du temps de Louis XIV ?

Mes devanciers aux jambes torses

Couverts de poils pubiens ?

Je fus il y a longtemps

Certes un amibien !

Qui peut en dire autant ?!

Et je n'étais qu'un œil

Avec des cils partout !

J'étais l’œil de Moscou !

Les deux pieds sur le seuil

Préparant mon entrée

(En poète accoutré !)

Ce jour je me débine

Comme un œil de Poutine

Je cours à contre sens

Loin de fumées d'encens

Nage à contre courant

Même si Vétéran

(Rance)

Parfois je tombe en transe

Pour un joli Mollet...

J'ai voté Guy Mollet !

J'ai voté Mitterrand !

M'en mordrai-je les doigts ?

Que vouliez-vous qu'il fît ?

(Je)

Ou bien plutôt qu'ils fissent ?

(Eux)

Ben... Qu'ils filassent droit !

Ai-je été jamais rien ?

Ils l'ont été pour moi !

J'ai été batracien !

Mais le serai-je un jour ?

Sans espoir de retour ?

(Quel effroi !)