vous , ou un de vos enfants , avez-vous été victime d'un enseignant pervers , violent ou injuste ?

Il y a 11 heures, Morfou a dit :

Le cul nu devant tout le monde c'est une "lésion" cérébrale "autre"...

Non . Une blessure d’amour propre n’est pas une lésion cérébrale. 
A ce compte là On peut aussi mettre en parallèle la fessée avec un meurtre , par ce que c’est un meurtre autre  symbolique, psychologique bla-bla-bla ou alors considérer que c’est un viol bla-bla-bla.

Donc non une gifle n’est pas une fessée , et une lésion cérébrale qui parfois entraîne la mort nan rien à voir avec une blessure narcissique 

il y a 20 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Non . Une blessure d’amour propre n’est pas une lésion cérébrale. 
A ce compte là On peut aussi mettre en parallèle la fessée avec un meurtre , par ce que c’est un meurtre autre  symbolique, psychologique bla-bla-bla ou alors considérer que c’est un viol bla-bla-bla.

Donc non une gifle n’est pas une fessée , et une lésion cérébrale qui parfois entraîne la mort nan rien à voir avec une blessure narcissique 

Je crains que vous n'ayez tort...des enfants se suicident après avoir subi des humiliations à l'école...

D'autres sont incapables d'avoir des relations normales avec les gens...

Un enfant est très fragile psychologiquement et très réceptif à ces comportements!

il y a 14 minutes, Morfou a dit :

Je crains que vous n'ayez tort...des enfants se suicident après avoir subi des humiliations à l'école...

Je veux bien une statistique sur les enfants qui se seraient suicidés suite à une fessée .

Par contre ici sont clairement distinguées les différentes mesures pénales notamment quand la gifle a entraîné ITT 

https://www.legavox.fr/blog/maitre-haddad-sabine/gifle-acte-violence-consequences-penales-18459.htm

il y a 14 minutes, Morfou a dit :

D'autres sont incapables d'avoir des relations normales avec les gens...

Un enfant est très fragile psychologiquement et très réceptif à ces comportements!

Un enfant = généralité . 

Mes enfants ne doivent pas être si psychologiquement fragiles . Des blessures narcissiques, ils vont tous bien merci

Il y a 11 heures, DroitDeRéponse a dit :

Je veux bien une statistique sur les enfants qui se seraient suicidés suite à une fessée .

Par contre ici sont clairement distinguées les différentes mesures pénales notamment quand la gifle a entraîné ITT 

https://www.legavox.fr/blog/maitre-haddad-sabine/gifle-acte-violence-consequences-penales-18459.htm

 

Un enfant = généralité . 

Mes enfants ne doivent pas être si psychologiquement fragiles . Des blessures narcissiques, ils vont tous bien merci

 

J'ai bien dit "humiliations"...pas dit fessées!

J'ai souvenir d'un petit de 6ème du collège de mes enfants, en campagne, qui s'est pendu dans le garage de ses parents après moultes humiliations subies au collège!

Le fis aîné de ma belle-fille, en 4ème, a failli étrangler son harceleur...il n'en pouvait plus de plusieurs mois d'humiliations verbales sur son poids! l'autre gamin avait été renvoyé de plusieurs collège pour des faits similaires...c'est passé au tribunal!

Chaque gosse réagit suivant sa "psyché"!

Mes enfants sont très forts psychologiquement aussi...ça n'a pas toujours été une partie de plaisir pour eux...mais l'union fait la force...

Le 20/04/2022 à 20:07, Ximène a dit :

témoignages 

mon fils , en CP avait une instit qui giflait les enfants , mettait du scotch sur la bouche , tirait oreilles et cheveux , mettait les enfants au placard , inscrivait au tableau la liste des ânes de la journée , dessinait un bonnet d'âne au tableau et plaçait la victime du jour en dessous pendant une heure ........mon gamin  en a fait une phobie scolaire qu'on a eu du mal à soigner 

Bonjoir.

J'ai été dans une situation relativement similaire au point où je pense que votre enfant a eu la même maîtresse de CP que moi.

Ma maitresse de CP, Violette, était une femme assez... Mauvaise je pense. Au cours de mon année scolaire, elle m'a fait du mal, surtout psychologique par contre, il y a eu peu de violences physique.

Pour le contexte, on était en début 2000, j'avais 5 ou 6 ans je croit, j'étais à l'école du chêne Maillard à Saran où elle enseigne peut être toujours. Violette m'avais choisi comme bouc émissaire (je reviendrais sur ça plus tard) et m'a humilié à de nombreuses reprises. Que ça soit à cause de ma mauvaise écriture (je suis dyspraxique, je n'y pouvais rien et encore aujourd'hui j'écris comme un cul, mais plus à ce propos plus tard aussi), des "écarts de comportement" de ma part ou des fois c'était juste une connasse qui grondais sans raison. Ses faits? Voici une liste non exhaustive car je ne me rappelle pas de tout.

• Dans les premiers jours en CP, elle me demanda d'écrire mon nom au tableau. à la vue de mon écriture très brouillon, Violette décida de me railler devant toute la classe en m'interdisant de retourner à ma table tant qu'elle n'avais pas fini.
• Me tirer les oreilles pour chaque moindre petite erreur que je faisais. Il est important de noter que tous les élèves ne subissaient pas ce supplice, seul moi et G. (une camarade de classe) y avaient droit.
• Un jour où j'avais envie d'aller au petit coin pendant les cours, elle me refusa d'y aller (chose courante, je vous le concède). Cependant, au bout d'un certain temps, je me fit pipi dessus. Sa réaction fut de me punir dans le couloir dans mon pantalon sali. Je n'ai pas pu changer de pantalon avant de rentrer chez moi.

Comme j'en ai parlé un peu plus haut, il y avais une autre fille qui subissais un traitement de défaveur, c'est G. (que je respecte assez pour pas partager son nom complet, même si je suis probablement plus capable de m'en souvenir). G. était un peu ronde comme fille, et avais un nom de famille typiquement flamand je croit. Ainsi, Violette prenait un malin plaisir à lui faire des remarques sur son poids et sur le fait qu'elle mangeais "trop de frites".

Après l'épisode du pipi dans le pantalon, mes parents décidèrent de me faire prendre des rendez vous chez le psy et de porter plainte contre Violette. En faisant un appel aux témoins, ils se rendirent compte que de nombreux anciens élèves auraient subi un traitement de défaveur. On tombais généralement sur le même schéma: chaque année, un ou deux élèves étaient choisis pour être harcelés. Certains ont eu plus de chance, comme moi, et ont seulement eu les oreilles tirées et leurs confiance en soi sapées, d'autres ont été attaché à leurs chaises avec du scotch voire battus.

Quant aux conséquences pour moi, il n'y a pas eu de phobie scolaire, heureusement, mais ça a amplifié ma tendance à être très timide en classe. Mes parents et le psychologue ont pensé pendant des années que si j'écrivais mal, c'était à cause d'un traumatisme lié à l'écriture causé par mon CP, ce qui a retardé le diagnostique de ma dyspraxie (soupçonnée en CM1, diagnostiqué en fin CM2 là où ça peut se diagnostiquer dès la grande section).

Donc voilà, si violette lis ça de son hospice pour vieille folle où elle devrait être aujourd'hui, j'espère très sincèrement que tu t'es pris le retour du bâton et qu'aucun enfant n'a plus eu à subir ta présence. Si G. lis ça, je pense encore à toi de temps en temps et j'espère que tu va mieux.

B

bonjour 

en réalité , les enfants ont une personnalité qui est en construction .certains sont rude , ce qui entre par une oreille ressort aussitôt par l'autre ?

d'autres trés sensible , sont marqués aux fer rouge ( expression ) par leurs professeurs et les élèves de leurs classe ?

la vie est un long fleuve tranquille pour certaints , pour d'autres , ce n'est que problèmes et difficultées dans des rapides  sans pitiée humaine  ?

si nous cherchons une justification à tout cela , nous pouvons en trouver des centaines et plus ?

mais le secret de la vie n'existe pas , ou plutôt , il serait un équilibre trés fragile entre le pour et le contre sans états d'âme ?

bonne journée

il y a 20 minutes, Charboff a dit :

Bonjoir.

J'ai été dans une situation relativement similaire au point où je pense que votre enfant a eu la même maîtresse de CP que moi.

Ma maitresse de CP, Violette, était une femme assez... Mauvaise je pense. Au cours de mon année scolaire, elle m'a fait du mal, surtout psychologique par contre, il y a eu peu de violences physique.

Pour le contexte, on était en début 2000, j'avais 5 ou 6 ans je croit, j'étais à l'école du chêne Maillard à Saran où elle enseigne peut être toujours. Violette m'avais choisi comme bouc émissaire (je reviendrais sur ça plus tard) et m'a humilié à de nombreuses reprises. Que ça soit à cause de ma mauvaise écriture (je suis dyspraxique, je n'y pouvais rien et encore aujourd'hui j'écris comme un cul, mais plus à ce propos plus tard aussi), des "écarts de comportement" de ma part ou des fois c'était juste une connasse qui grondais sans raison. Ses faits? Voici une liste non exhaustive car je ne me rappelle pas de tout.

• Dans les premiers jours en CP, elle me demanda d'écrire mon nom au tableau. à la vue de mon écriture très brouillon, Violette décida de me railler devant toute la classe en m'interdisant de retourner à ma table tant qu'elle n'avais pas fini.
• Me tirer les oreilles pour chaque moindre petite erreur que je faisais. Il est important de noter que tous les élèves ne subissaient pas ce supplice, seul moi et G. (une camarade de classe) y avaient droit.
• Un jour où j'avais envie d'aller au petit coin pendant les cours, elle me refusa d'y aller (chose courante, je vous le concède). Cependant, au bout d'un certain temps, je me fit pipi dessus. Sa réaction fut de me punir dans le couloir dans mon pantalon sali. Je n'ai pas pu changer de pantalon avant de rentrer chez moi.

Comme j'en ai parlé un peu plus haut, il y avais une autre fille qui subissais un traitement de défaveur, c'est G. (que je respecte assez pour pas partager son nom complet, même si je suis probablement plus capable de m'en souvenir). G. était un peu ronde comme fille, et avais un nom de famille typiquement flamand je croit. Ainsi, Violette prenait un malin plaisir à lui faire des remarques sur son poids et sur le fait qu'elle mangeais "trop de frites".

Après l'épisode du pipi dans le pantalon, mes parents décidèrent de me faire prendre des rendez vous chez le psy et de porter plainte contre Violette. En faisant un appel aux témoins, ils se rendirent compte que de nombreux anciens élèves auraient subi un traitement de défaveur. On tombais généralement sur le même schéma: chaque année, un ou deux élèves étaient choisis pour être harcelés. Certains ont eu plus de chance, comme moi, et ont seulement eu les oreilles tirées et leurs confiance en soi sapées, d'autres ont été attaché à leurs chaises avec du scotch voire battus.

Quant aux conséquences pour moi, il n'y a pas eu de phobie scolaire, heureusement, mais ça a amplifié ma tendance à être très timide en classe. Mes parents et le psychologue ont pensé pendant des années que si j'écrivais mal, c'était à cause d'un traumatisme lié à l'écriture causé par mon CP, ce qui a retardé le diagnostique de ma dyspraxie (soupçonnée en CM1, diagnostiqué en fin CM2 là où ça peut se diagnostiquer dès la grande section).

 

Donc voilà, si violette lis ça de son hospice pour vieille folle où elle devrait être aujourd'hui, j'espère très sincèrement que tu t'es pris le retour du bâton et qu'aucun enfant n'a plus eu à subir ta présence. Si G. lis ça, je pense encore à toi de temps en temps et j'espère que tu va mieux.

ton témoignage est précieux , mon fils a 40 ans et le souvenir est encore douloureux ! il n'était pourtant pas la tête de Turc de l'enseignante mais comme je l'ai dit plus haut , il était révolté par ces traitements et vivait dans la terreur d'en être victime , hypersensible , il ressentait les brimades comme si elles lui avaient été infligées et pleurait quand elle punissait un camarade 

il y a 28 minutes, Ximène a dit :

ton témoignage est précieux , mon fils a 40 ans et le souvenir est encore douloureux ! il n'était pourtant pas la tête de Turc de l'enseignante mais comme je l'ai dit plus haut , il était révolté par ces traitements et vivait dans la terreur d'en être victime , hypersensible , il ressentait les brimades comme si elles lui avaient été infligées et pleurait quand elle punissait un camarade 

Le truc avec les mauvais prof, ceux qui sont violents et méchants, c'est qu'ils cherchent pas forcément le fauteur de trouble, n'importe qui peut faire l'affaire puisqu'ils sont en situation de pouvoir vis à vis de l'enfant.

il y a 45 minutes, Charboff a dit :

Le truc avec les mauvais prof, ceux qui sont violents et méchants, c'est qu'ils cherchent pas forcément le fauteur de trouble, n'importe qui peut faire l'affaire puisqu'ils sont en situation de pouvoir vis à vis de l'enfant.

et ils s'acharnent souvent sur les plus timides , les plus introvertis !

Il y a 12 heures, Morfou a dit :

J'ai bien dit "humiliations"...pas dit fessées!

Nous parlions fessée et gifle . 

Il y a 12 heures, Morfou a dit :

Chaque gosse réagit suivant sa "psyché"!

Les lésions cérébrales ne relèvent pas de la psyché .