La fausseté du sentiment

il y a 11 minutes, hanss a dit :

Oui la faiblesse a bon dos 

Disons qu'elle a une belle chute de rein.

Parlons guère parlons bien : vous êtes sûr que c'est un sentiment, l'amour ? C'est pas une névrose ?

(C'est les trois figurines diaboliques que j'ai trouvées !)

Les émotions sont un produit de l'évolution, une expérience psychophysiologique idiosyncrasique permettant l'activation de réponses comportementales ou motrices très rapides répondant à un stimulus interne ou externe. Elles facilitent l'apprentissage et la communication dans un contexte social et jouent également un rôle majeur dans les processus cognitifs.

Elles ont avant tout un rôle motivationnel chez l'individu. Non seulement elles participent à déterminer l'action mais elles la facilitent en hâtant le processus, court-circuitant parfois la pensée consciente.

Je ne saisis pas bien en quoi elles seraient «fausses» mais j'estime qu'il n'y a guère de sens à déclarer que sans elles le monde serait froid. Etant par définition ce qui nous confère une certaine sensibilité, sans elles nous serions tout bonnement incapables d'apprécier ce qu'elles apportent et donc de ressentir et de jauger le monde.

Il est bon de faire le point. Après avoir laissé passer le temps. 

Le mépris pour le sentiment, affiché ici dans la tribu forum laisse d’abord pantois.

Cela dit quand je me battais à Marseille, à l’hôpital Sainte-Marguerite, pour ramener mon épouse à la vie, à la suite d’un AVC, je pus constater que les Français , dits de souche , en effet crachaient sur le sentiment. Ils étaient là quand même, à veiller sur leurs proches, en réanimation ,  attendant passivement que la personne dite « aimée » crève ou pas.  Ils ne se battaient pas. Cela aurait été honteux qu’ils affichent un sentiment.

La personne qui me montra comment se battre fut une musulmane. Arabe. Je fus sidéré par sa combativité, elle tentait de ramener son fils à la vie.

Moi c’était mon épouse.

Extraordinaire étrangeté culturelle. Le Français  méprise le sentiment et laisse crever les siens quand le pire arrive. 

Mais  ce même Français  va pondre des poèmes larmoyants, qui signifient ceci : aimez-moi. Mon père, Français, c’était ça. Encore qu’il assumait quand même de ne pas être aimé.
 

L’auteur de ce fil n’a même pas ce courage. Il crache sur le sentiment mais il faut l’aimer. 

Le 19/01/2022 à 16:44, Blaquière a dit :

Parlons guère parlons bien : vous êtes sûr que c'est un sentiment, l'amour ? C'est pas une névrose ?

(C'est les trois figurines diaboliques que j'ai trouvées !)

C'est pas faux, mais si on va par là qu'est ce qui n'est pas une névrose ? Vous savez qu'on peut vous mettre dans une chambre en HP pour quasiment tout ?

Ce poser la question comme ça ramène à la phrase d'Asimov. Elle n'est pas fausse non plus, disons que ça pourrait être une voie possible, je dirai que ça cache les sentiments (si on veut) mais ça permet d'abord de les exprimer et in fine de les comprendre en les échangeant mais dans une société non adaptée à cette voie là qu'est ce qu'il se passerait ?

Le 18/01/2022 à 12:35, Annalevine a dit :

Mais vous avez bien sûr le droit de désirer tuer l’enfant. Entre vous et moi c’est la guerre. Et c’est inévitable . La guerre mène le monde. Vous entrez dans le crépuscule de la mort et vous tentez de tuer l’aurore. C’est une guerre à mort. 

Quel cinéma !

Ça te fatigue pas parfois de jouer les écorchés vifs pseudo nietzschéens seul contre tous  ?

il y a 7 minutes, Blaquière a dit :

Quel cinéma !

Il mate à mort, sans doute ? 

Il y a 9 heures, .iO a dit :

C'est pas faux, mais si on va par là qu'est ce qui n'est pas une névrose ? Vous savez qu'on peut vous mettre dans une chambre en HP pour quasiment tout ?

Ce poser la question comme ça ramène à la phrase d'Asimov. Elle n'est pas fausse non plus, disons que ça pourrait être une voie possible, je dirai que ça cache les sentiments (si on veut) mais ça permet d'abord de les exprimer et in fine de les comprendre en les échangeant mais dans une société non adaptée à cette voie là qu'est ce qu'il se passerait ?

Oui !

Toute notre psychologie semble en effet se construire sur des névroses de rencontre !

Mais le plus étonnant, c'est la société, et même toute civilisation qui est construite sur ces névroses. En tout cas formellement, symboliquement. Et ce que l'on considère comme nos libertés me paraît le plus souvent n'être que des exutoires formels... Des transferts des déplacements d'intérêts.

Et ta question est remarquable :

S'il n'en était pas ainsi, "qu'est ce qu'il se passerait". peut-être qu'il ne peut pas en être autrement. Et que c'est en étant toujours "à côté de la mise" seulement qu'on peut s'en sortir. Et l'on remplace le réel du monde par le réel de nos désirs factices.

On est capable de se mobiliser et de se battre pour la liberté dérisoire de ne pas se faire vacciner, mais quand il s'agit de ne pas vivre en esclave, là, personne ne moufte ! On veut vivre en esclave mais se dire, "se la jouer"  libres.

il y a une heure, Blaquière a dit :

Oui !

Toute notre psychologie semble en effet se construire sur des névroses de rencontre !

Mais le plus étonnant, c'est la société, et même toute civilisation qui est construite sur ces névroses. En tout cas formellement, symboliquement. Et ce que l'on considère comme nos libertés me paraît le plus souvent n'être que des exutoires formels... Des transferts des déplacements d'intérêts.

Et ta question est remarquable :

S'il n'en était pas ainsi, "qu'est ce qu'il se passerait". peut-être qu'il ne peut pas en être autrement. Et que c'est en étant toujours "à côté de la mise" seulement qu'on peut s'en sortir. Et l'on remplace le réel du monde par le réel de nos désirs factices.

On est capable de se mobiliser et de se battre pour la liberté dérisoire de ne pas se faire vacciner, mais quand il s'agit de ne pas vivre en esclave, là, personne ne moufte ! On veut vivre en esclave mais se dire, "se la jouer"  libres.

Peut-être qu'il vaudrait mieux que ça continu comme ça, jusque là il a toujours fallu une carotte réelle ou fictive pour avancer, quand on ne fait rien on s'ennuie et quand on s'ennuie on dérive, quand on ne croit pas en Dieu on réinvesti spirituellement des grigris etc et c'est ce processus tout bête qui fait notre génie finalement. C'est ce génie qui produit et que produit Asimov bien je n'arrive pas à m'expliquer comment il aurait pu produire une phrase comme cella là, Damasio je pense en aurait dit tout le contraire au moins y compris par rapport à vous sur le vaccin, mais admettez que vous soyez tout simplement de l'autre école.

En fait si la névrose fait parti de nous mais que tout ce ne serait qu'une question d'exutoires....ça voudrait dire que la réponse n'est pas là où on la chercherait ?
 

il y a 8 minutes, .iO a dit :

Citation

Peut-être qu'il vaudrait mieux que ça continu comme ça, jusque là il a toujours fallu une carotte réelle ou fictive pour avancer, quand on ne fait rien on s'ennuie et quand on s'ennuie on dérive, quand on ne croit pas en Dieu on réinvesti spirituellement des grigris etc et c'est ce processus tout bête qui fait notre génie finalement.

Oui c'est sans doute ce processus qui fait notre génie ! L'accessoire qui devient l'essentiel.

Mais Dieu est déjà un grigri !

Citation

C'est ce génie qui produit et que produit Asimov bien je n'arrive pas à m'expliquer comment il aurait pu produire une phrase comme cella là, Damasio je pense en aurait dit tout le contraire au moins y compris par rapport à vous sur le vaccin, mais admettez que vous soyez tout simplement de l'autre école.

J'en ai profité pour voir ce que disait Damasio que je ne connaissais pas. Mais je crois que les pouvoirs se contentent de surfer sur tout ce qui se présente, et en tirer le plus profitable pour eux. Comme un complot, mais a postériori !

Citation

En fait si la névrose fait parti de nous mais que tout ce ne serait qu'une question d'exutoires....ça voudrait dire que la réponse n'est pas là où on la chercherait ?

Je relie ça au début de ce que vous dites : "quand on ne fait rien on s'ennuie et quand on s'ennuie on dérive". Et je dirai : on dérive pour ne pas s'ennuyer. Il n'y a aucune réponse à trouver. Mise à part une "énergie" présente qu'il nous faut dépenser sous peine d'infarctus ! Et l'on invente, l'on fabrique un problème factice pour lui trouver une réponse...

Il y a 23 heures, Annalevine a dit :

Il est bon de faire le point. Après avoir laissé passer le temps. 

Le mépris pour le sentiment, affiché ici dans la tribu forum laisse d’abord pantois.

Cela dit quand je me battais à Marseille, à l’hôpital Sainte-Marguerite, pour ramener mon épouse à la vie, à la suite d’un AVC, je pus constater que les Français , dits de souche , en effet crachaient sur le sentiment. Ils étaient là quand même, à veiller sur leurs proches, en réanimation ,  attendant passivement que la personne dite « aimée » crève ou pas.  Ils ne se battaient pas. Cela aurait été honteux qu’ils affichent un sentiment.

La personne qui me montra comment se battre fut une musulmane. Arabe. Je fus sidéré par sa combativité, elle tentait de ramener son fils à la vie.

Moi c’était mon épouse.

Extraordinaire étrangeté culturelle. Le Français  méprise le sentiment et laisse crever les siens quand le pire arrive. 

Mais  ce même Français  va pondre des poèmes larmoyants, qui signifient ceci : aimez-moi. Mon père, Français, c’était ça. Encore qu’il assumait quand même de ne pas être aimé.
 

L’auteur de ce fil n’a même pas ce courage. Il crache sur le sentiment mais il faut l’aimer. 

 

C'est extraordinaire ! Mais comment tu fais ?

Tu dis exactement le contraire de ce que je suis !

Je crois que c'est tout bêtement du racisme. Du racisme anti-français. C'est juste stupide.

J'en reste pantois !

Mais c'est à la mode ! Pour l'originalité, tu repasseras !

Non je ne te dirai pas pour mon père, ma mère...

Qui sont morts bien jeunes... Et que j'ai soutenus à bout de bras tant que j'ai pu...  quand j'ai bataillé pour les faire opérer et leur faire gagner quelques mois de vie...

Les allés retours pendant des mois à l'hôpital pour les rayons... etc.

Et mon beau père, et ma belle mère qui est morte à presque 100 ans et qu'on gardait chez nous... Parce qu'on l'a gardée chez nous...

 Non je ne te dirai pas.

Tiens, le dernier dessin de mon père...

Si tu le mérites...

Mince ! "Mon père Français c'était ça !"

J'ai pigé !  Ton père français tu ne l'aimais pas, (et t'avais peut-être raison de ne pas l'aimer?) du coup tous les français tu ne les aimes pas ?

je comprends que la psychanalyse te donnes des frissons...

C'est dérisoire.

Moi, ça va !

il y a une heure, Blaquière a dit :

Oui c'est sans doute ce processus qui fait notre génie ! L'accessoire qui devient l'essentiel.

Mais Dieu est déjà un grigri !

J'en ai profité pour voir ce que disait Damasio que je ne connaissais pas. Mais je crois que les pouvoirs se contentent de surfer sur tout ce qui se présente, et en tirer le plus profitable pour eux. Comme un complot, mais a postériori !

 

Je relie ça au début de ce que vous dites : "quand on ne fait rien on s'ennuie et quand on s'ennuie on dérive". Et je dirai : on dérive pour ne pas s'ennuyer. Il n'y a aucune réponse à trouver. Mise à part une "énergie" présente qu'il nous faut dépenser sous peine d'infarctus ! Et l'on invente, l'on fabrique un problème factice pour lui trouver une réponse...

PEUT-ÊTRE que s'en est un, mais même dans un processus de névrose je crois qu'Il est encore un concept qui demande a en souffrir le moi, notamment sur le plan de l'Amour, déjà il ne peut pas y avoir de jalousie. Pour moi la question est simple, à quoi les gens emploient ils leurs émotions et sentiments, autant à fuir qu'à combattre. Tant qu'on ne tue pas le processus créatif (même par la douleur) on se coupe pas de ce qui nous fait et du coup se qui va nous relier.

Je ne suis pas d'accord sur le complot, le pouvoir C'EST le complot, celui qui le met en place et l'organise.

Mais sur le reste en réalité vous avez démontrer dès votre premier commentaire qu'Asimov a tort de dire ça par les exemples que vous avez donnez non ?

Il y a 2 heures, .iO a dit :

PEUT-ÊTRE que s'en est un, mais même dans un processus de névrose je crois qu'Il est encore un concept qui demande a en souffrir le moi, notamment sur le plan de l'Amour, déjà il ne peut pas y avoir de jalousie. Pour moi la question est simple, à quoi les gens emploient ils leurs émotions et sentiments, autant à fuir qu'à combattre. Tant qu'on ne tue pas le processus créatif (même par la douleur) on se coupe pas de ce qui nous fait et du coup se qui va nous relier.

Je ne suis pas d'accord sur le complot, le pouvoir C'EST le complot, celui qui le met en place et l'organise.

Mais sur le reste en réalité vous avez démontrer dès votre premier commentaire qu'Asimov a tort de dire ça par les exemples que vous avez donnez non ?

 

On est quand même assez d'accord ! L'intelligence, la créativité se développent sur fond ... d'erreurs, de sentiments... ou de névrose ! Il n'est pas question de s'en passer ! Simplement en garder conscience dans un coin de l'esprit...

Complot ou pas il ne s'agit peut-être que de la définition du mot.  J'ai l'habitude de dire et de penser que tout pouvoir est un abus de pouvoir !...

Le 18/01/2022 à 12:00, Blaquière a dit :

Je sais qu'il est de bon ton de faire du sentiment (ou des sentiments, des émotions) l'alpha et l'oméga de tous nos comportements. De nos individualités. Et du réel en général.

J'ai lu récemment chez Asimov cette idée que le langage avait été "inventé" pour cacher, pour camoufler les sentiments !

C'est amusant, intéressant, même, ça prête à réfléchir ce qui est une bonne chose...

Mais je n'y crois pas !

Je vois plutôt le ou les sentiments comme une coloration, une décoration du réel.

Sans les sentiments, certainement, la vie serait terriblement ennuyeuse... Et l'on serait très peu motivé en général... Mais pas plus !

Les animaux en général se contentent de leur réflexes. Nous, il nous faut plus... Il nous faut en rajouter !

Bien sûr il y a lieu de distinguer entre le principe actif, les mécanismes psychologiques bien réels (proche des réflexes) qui font de nos sentiments un moteur efficient pour nos actions, pour notre façon d'être et les considérer à part de  la nature même de ces sentiments, de leur contenu dérisoire...  décoratif !

Ce contenu est toujours une comédie surjouée. Dont la fonction serait de se donner de l'importance et pour feindre d'échapper au réel, et au rationnel, et surtout à leurs contraintes. Et enfin pour se donner une illusion de liberté.

Je pense aux arts. A la musique et à la peinture...

La fonction (encore !) des artistes me semble être de fabriquer, voire d'inventer du sentiment. D'imaginer des décorations...

Les sentiments, les émotions, c'est "en plus" : ce n'est pas l'essentiel.

Peut-être... A mon avis...

Sans sentiment il n'y a pas de conscience.

Et on pourrait meme dire que la conscience naît d'une tension entre les contraires, tension causée par les sentiments.

Il y a 4 heures, Blaquière a dit :

On est quand même assez d'accord ! L'intelligence, la créativité se développent sur fond ... d'erreurs, de sentiments... ou de névrose ! Il n'est pas question de s'en passer ! Simplement en garder conscience dans un coin de l'esprit...

Complot ou pas il ne s'agit peut-être que de la définition du mot.  J'ai l'habitude de dire et de penser que tout pouvoir est un abus de pouvoir !...

Non non non, ce n'est pas un simple coin de l'esprit j'en parierai ce que vous voulez et vous avez tort également sur le reste, le pouvoir c'est l'abus de pouvoir car le reste c'est du travail et des responsabilités.

C'était juste pour être un peu chiant, mais je suis sur que nous sommes d'accord sur le fond. Cela dit, au départ de votre tout premier commentaire si vous vouliez reposez une question je dis pas non.

Il y a 13 heures, hell-spawn a dit :

Sans sentiment il n'y a pas de conscience.

Et on pourrait meme dire que la conscience naît d'une tension entre les contraires, tension causée par les sentiments.

 

Sans sentiment, il n'y a pas de vie non plus, donc tout est sentiment !

Le Bleu est sentiment,

la fatigue est sentiment,

l'équilibre est sentiment,

La Faim est sentiment,

dormir est sentiment,

parler est sentiment...

 Ça ne nous avance pas non plus !

Le sentiment roi, c'est refuser de voir plus loin.

Le sentiment c'est point barre !

Le sentiment c'est "je suis le maître du monde !"

Le sentiment c'est "je ne suis que caprice !'

Le sentiment c'est "Ouin ! ouin !  Bébé a soif !"

Le sentiment c'est "Arreuh ! Arreuh !

Le sentiment

Ment !

Quel joli nom

Pour vos pulsions !

De sentiments tout barbouillé

J'écris mes vers, agenouillé.

Des vers rouillés,

Déverrouillés

De pleurs mouillés,

Tout cafouillés

Tout mâchouillés

Et bafouillés

Tout bidouillés :

Je me suis trop tripatouillé !

Tripatouillé mes œufs brouillés

Je m'en vais les écrabouiller !

(Non ! là je me suis embrouillé !)

Désormais ? J'écris dépouillé !

Le 18/01/2022 à 12:00, Blaquière a dit :

 

Les sentiments, les émotions, c'est "en plus" : ce n'est pas l'essentiel.

Salut Blaquière, 

Est-ce que tu n’es pas entrain d’avouer qu’en fait toi-même tu es un grand sentimental ?...

C’est comme tous ces "brutes misogynes" qui n’arrêtent pas de nous parler de la supposée infériorité des femmes, alors qu’en faisant cela ils avouent seulement leurs faiblesse et le fait qu’ils sont complètement démunis en face de ce qu’ils méprisent le plus : la femme !

De la même manière,  les sentiments sont ce qu’ils sont. Ils sont là parfois utiles parfois peut-être même gênants mais on ne peut pas nier qu’ils font partie de l’humain et de notre existence. Il faut peut-être réfléchir un peu plus sur cette citation de Nietzche :

"Ce qui ne me tue pas me rend plus fort..."

Il y a 5 heures, system3 a dit :

Salut Blaquière, 

Est-ce que tu n’es pas entrain d’avouer qu’en fait toi-même tu es un grand sentimental ?...

C’est comme tous ces "brutes misogynes" qui n’arrêtent pas de nous parler de la supposée infériorité des femmes, alors qu’en faisant cela ils avouent seulement leurs faiblesse et le fait qu’ils sont complètement démunis en face de ce qu’ils méprisent le plus : la femme !

De la même manière,  les sentiments sont ce qu’ils sont. Ils sont là parfois utiles parfois peut-être même gênants mais on ne peut pas nier qu’ils font partie de l’humain et de notre existence. Il faut peut-être réfléchir un peu plus sur cette citation de Nietzche :

"Ce qui ne me tue pas me rend plus fort..."

ÉVIDEMMENT !

Et certains ne l'ont même pas compris ! Je ne fonctionne que là dessus ! Et c'est bien pour ça que j'essaie de faire le tri ! Que je sais qu'il faut faire le tri !