Vipulan Puvaneswaran, le jeune militant écologiste des Yvelines dans les pas de Greta Thunberg.

Vipulan Puvaneswaran, qui a grandi à Marly (Yvelines), s’est engagé pour le climat depuis près de trois ans, avant que le réalisateur Cyril Dion ne le repère pour en faire l’un des deux héros de son film, «Animal», ce mercredi en salles.

Vipulan Puvaneswaran parle vite. Dans son discours ciselé, rien n’est abandonné à la facilité du verbiage érudit dont l’étudiant à l’Université Paris Sciences & Lettres pourrait se satisfaire. Ce serait faire offense à sa maturité déroutante. Devant nous, comme à l’écran dans le nouveau documentaire de Cyril Dion, « Animal », dont il est l’un des deux protagonistes, Vipulan semble fraîchement sorti de l’enfance. Son adolescence lucide, convaincue de l’urgence à agir pour sauver non pas seulement le climat mais le vivant, lui confère une sagesse accessible.

À 18 ans, il est l’un des visages de l’écologie portée par la jeune génération, à l’instar de la Suédoise Greta Thunberg, ou sa comparse dans « Animal », l’Anglaise Bella Lack. Formé lors des marches pour le climat depuis ses quinze ans, Vipulan s’engage pour dépasser l’écoanxiété dans laquelle il aurait pu s’enliser. De sit-in nocturnes aux portes du Parlement Européen, à Bruxelles, aux mines de charbon allemandes, le jeune homme ne cède pas au fatalisme des coups d’épée dans l’eau des mobilisations écologistes emmenée par cette jeunesse consciente.

Au « no future », il préfère l’action. Celle qui sensibilise et participe, il l’espère, au changement culturel nécessaire. Celle aussi qui, « créant des espaces écologiques » à l’instar de fermes en permaculture ou de réseaux de solidarité en ville montre « son efficacité directe ».

VIDÉO En 2019, Vipulan, «ambassadeur de la génération consciente»

Source et suite de l'article.

Sur la forme tout cela est parfaitement "marketé" et "scénarisé", jusqu'à la gestuelle et l'origine de cet adorable gamin (s'il s'était appelé Jérôme Dupuy, ça aurait - évidemment - beaucoup perdu de sa force...)

La manipulation des masses devient pathétique.

De quelle caste est-il ?

Le 03/12/2021 à 16:07, Talon 1 a dit :

De quelle caste est-il ?

Caste le moral...

(Ou caste l'ambiance...)

Le 03/12/2021 à 16:07, Talon 1 a dit :

De quelle caste est-il ?

Certainement pas de ceux qui vivent dans les bidons villes.

Le 03/12/2021 à 17:23, Cochise 90 a dit :

Certainement pas de ceux qui vivent dans les bidons villes.

Donc pas un paria.

Le 04/12/2021 à 11:34, Talon 1 a dit :

Donc pas un paria.

Un fils de bobos plutôt, mais de quelle caste ?

Le 04/12/2021 à 18:18, Cochise 90 a dit :

Un fils de bobos plutôt, mais de quelle caste ?

Brahmane ou kshatryia.

Le 05/12/2021 à 10:45, Talon 1 a dit :

Brahmane ou kshatryia.

Merci

Le 03/12/2021 à 12:02, goods a dit :

Vipulan Puvaneswaran, le jeune militant écologiste des Yvelines dans les pas de Greta Thunberg.

Vipulan Puvaneswaran, qui a grandi à Marly (Yvelines), s’est engagé pour le climat depuis près de trois ans, avant que le réalisateur Cyril Dion ne le repère pour en faire l’un des deux héros de son film, «Animal», ce mercredi en salles.

Vipulan Puvaneswaran parle vite. Dans son discours ciselé, rien n’est abandonné à la facilité du verbiage érudit dont l’étudiant à l’Université Paris Sciences & Lettres pourrait se satisfaire. Ce serait faire offense à sa maturité déroutante. Devant nous, comme à l’écran dans le nouveau documentaire de Cyril Dion, « Animal », dont il est l’un des deux protagonistes, Vipulan semble fraîchement sorti de l’enfance. Son adolescence lucide, convaincue de l’urgence à agir pour sauver non pas seulement le climat mais le vivant, lui confère une sagesse accessible.

À 18 ans, il est l’un des visages de l’écologie portée par la jeune génération, à l’instar de la Suédoise Greta Thunberg, ou sa comparse dans « Animal », l’Anglaise Bella Lack. Formé lors des marches pour le climat depuis ses quinze ans, Vipulan s’engage pour dépasser l’écoanxiété dans laquelle il aurait pu s’enliser. De sit-in nocturnes aux portes du Parlement Européen, à Bruxelles, aux mines de charbon allemandes, le jeune homme ne cède pas au fatalisme des coups d’épée dans l’eau des mobilisations écologistes emmenée par cette jeunesse consciente.

Au « no future », il préfère l’action. Celle qui sensibilise et participe, il l’espère, au changement culturel nécessaire. Celle aussi qui, « créant des espaces écologiques » à l’instar de fermes en permaculture ou de réseaux de solidarité en ville montre « son efficacité directe ».

VIDÉO En 2019, Vipulan, «ambassadeur de la génération consciente»

 

Source et suite de l'article.

 

Courage les mômes.

Non seulement on vous laisse un monde que nous avons bien salopé mais en plus on se fout de votre gueule quand vous le dîtes.

il y a 2000  ans il y a eu un prophéte  , charpentier ,  quand on sait comment ça a finit pour lui  , c'est inquiétant !!

pourtant le prophéte en question était vachement plus écologiste que celui ci  qui lui utilise des appareils électroniques , et ne marche pas toute la journée à pieds !!

Un documentaire à voir, moins moralisateur que je le craignais.

Pour ceux qui ne veulent plus détourner le regard.

La décroissance est probablement la seule solution.

Ce résistant climatique se prononcera-t-il en faveur de la prolongation du nucléaire ?

https://www.sfen.org/rgn/greta-thunberg-en-faveur-de-la-prolongation-du-nucleaire-en-allemagne-le-chancelier-lui-emboite-le-pas/
 

Greta Thunberg en faveur de la prolongation du nucléaire en Allemagne, le chancelier lui emboîte le pas

Interview entière de Greta :

https://www.liberation.fr/checknews/greta-thunberg-est-elle-desormais-favorable-au-nucleaire-20221013_RHHAU373EFEVZK27ABBXRFO5WM/