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Ce qu'il reste du temps


brooder

Messages recommandés

Membre, Doctor feel good, 59ans Posté(e)
brooder Membre 5 285 messages
59ans‚ Doctor feel good,
Posté(e)

Le temps est affaire de générations. C'est le travail fait en commun avec celui fait par les générations postérieures. Une fois le travail fini il reste pour les générations d'après pour le poursuivre ou s'en servir mais comme nous le montre les problèmes d'environnement actuels, il n'est pas sans conséquence !

 

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Membre, Posté(e)
system3 Membre 625 messages
Forumeur expérimenté‚
Posté(e)

En même temps il faut qu'on vive un temps ! Si on ne voulait que s'occuper des générations antérieurs ou postérieurs je ne vois alors pas pourquoi on serait venu au monde. :)

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Membre, Doctor feel good, 59ans Posté(e)
brooder Membre 5 285 messages
59ans‚ Doctor feel good,
Posté(e)

Le problème c'est que la pomme est plus ou moins véreuse :D

 

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Membre, 68ans Posté(e)
pic et repic Membre 17 337 messages
Maitre des forums‚ 68ans‚
Posté(e)
Le 03/11/2021 à 21:50, brooder a dit :

C'est le travail fait en commun avec celui fait par les générations postérieures.

bonjour,

ne serait ce pas plutôt : les générations antérieures ?

le temps ? ....l'avenir si je comprends bien le sens du sujet .

qu'est ce que l'avenir sans le passé ?......une page blanche où toutes les erreurs peuvent de nouveaux être commises .

les générations postérieures doivent elles toujours poursuivre "l’œuvre" des précédentes ?

un peu trop complexe pour ce jeudi matin......

bonne journée.

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Membre, Talon 1, 79ans Posté(e)
Talon 1 Membre 24 109 messages
79ans‚ Talon 1,
Posté(e)

Ce temps est la transmission du savoir. Sans cela, nous serions encore dans les grottes.

LES MOEURS DE DEMAIN

La prospective sociale est l'application de l'analyse sociologique à l'étude des transformations sociales.

L'abbé de Condillac fut un des premiers à tenter de donner des dimensions historiques et prospectives à l'évolution des mœurs.

La surconsommation entraîne la destruction qui est la manifestation vivante de la pulsion de mort, de la mort anticipée. La conjuration de la peur de mourir par abolition de tout droit à l'existence dénié aux objets, êtres et relations détruites.

Donc la conjuration de la peur de vivre, c'est à dire la terreur d'aimer. Détruire son prochain est plus facile que d'aimer. Se détruire soi-même est plus facile que s'aimer, et pour commencer, se respecter en tant qu'être vivant. Détruire un animal ou une plante est plus facile que lui reconnaître existence, ou même droit à être inutile.

La société tolère la destruction et la favorise parce qu'elle aussi a peur : la peur de manquer.

En dehors de la passion de posséder s'inscrit l'angoisse. Angoisse d'être dépassé dans la course, angoisse de manquer d'argent, angoisse de se tromper dans une décision ou de ne pas être à la hauteur d'une situation épuisante. D'où la tentation incoercible d'accumuler les objets et, à la limite, de s'assimiler à l'objet exemplaire de la société marchande.

Cette société d'abondance n'est qu'abondance de destructions.

Tout menace grave et de longue durée sur la consommation appelle, à défaut d'un changement dans les mœurs, le fascisme.

 

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Membre, Doctor feel good, 59ans Posté(e)
brooder Membre 5 285 messages
59ans‚ Doctor feel good,
Posté(e)

C'est bien le trop d'accumulation de biens qui nous conduit dans le mur. Cela est relativement nouveau chez une espèce vivante. C'est en même temps signe de vitalité et un signe de maladie comme un cancer qui nous rongerait...

 

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