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SONDAGE. Congrès LR : Xavier Bertrand fait toujours la course en tête


Kyoshiro02

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Animateur, Le gras c'est la vie, 36ans Posté(e)
Kyoshiro02 Animateur 22 865 messages
36ans‚ Le gras c'est la vie,
Posté(e)

  A un mois du congrès des Républicains, un tiers des Français et 45% des sympathisants LR souhaitent que Xavier Bertrand soit le candidat de la droite en 2022, selon une enquête Ifop pour le JDD.

https://www.lejdd.fr/Politique/sondage-congres-lr-xavier-bertrand-fait-toujours-la-course-en-tete-4074400

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  • 10 mois après...
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Membre, 128ans Posté(e)
menon Membre 11 453 messages
Maitre des forums‚ 128ans‚
Posté(e)

Présidence LR : à La Ciotat, premier grand oral pour les candidats

Éric Ciotti, Bruno Retailleau et Aurélien Pradié ont passé samedi leur premier grand oral devant les adhérents des Bouches-du-Rhône, à La Ciotat.

les candidats à la présidence des Républicains Éric Ciotti, Bruno Retailleau et Aurélien Pradié ont passé samedi leur premier grand oral devant les adhérents des Bouches-du-Rhône, à La Ciotat. À l'applaudimètre, les trois candidats font jeu égal, dans le parc balayé par un fort mistral où la fédération départementale a réuni 400 personnes pour sa rentrée. Ordre alphabétique oblige, Éric Ciotti est le premier sur scène, et il déroule sans surprise un discours de la méthode très à droite, fondé sur les valeurs d'« identité, autorité, liberté ». Car LR a perdu tous ses députés dans les Bouches-du-Rhône aux dernières législatives, alors que son propre département des Alpes-Maritimes a permis de sauver cinq sièges : « Ce n'est pas le fruit du hasard », rappelle-t-il.

Fustigeant le « déclassement qui menace la grandeur de notre nation » et l'immigration « qui a gangrené nos cités », le député des Alpes-Maritimes répète d'entrée de jeu son soutien à Laurent Wauquiez pour la présidentielle de 2027. Il promet aussi une « opposition claire, sans ambiguïté, sans compromission » à la macronie, qui aura pourtant besoin de l'apport de voix de LR pour faire voter des textes cruciaux (notamment le budget) à l'automne.

 

« La droite doit porter un projet de civilisation »

Sa candidature en effraie certains, il le sait, et il met en garde contre la recherche d'une alternative : « le rassemblement de l'immobilisme a triomphé » en 2021, avec le choix de Valérie Pécresse comme candidate à la présidentielle. « Je suis sûr que vous ne laisserez pas ce scenario se rejouer », ajoute le candidat, qui peut se prévaloir d'un fort soutien chez les adhérents du Sud-Est. Candidat plus consensuel en vue de l'élection du 3 décembre, Bruno Retailleau délivre lui aussi un discours musclé pendant ses vingt minutes sur scène. « La droite doit porter un projet de civilisation » car « la droite, c'est l'identité, une vraie droite quitte à froisser la bien-pensance », lance le patron des sénateurs LR, qui veut « répondre à l'angoisse du déclassement, de la dépossession culturelle ».

Cela passe par le régalien : « Oui aux doubles peines, oui aux peines minimales », assure-t-il, estimant en matière d'immigration qu'il faut « moins de pompes aspirantes, moins d'accueil, et surtout un référendum ». Sur l'économie où « l'État n'est pas mère Teresa », le sénateur de Vendée plaide pour que « l'ensemble des minima sociaux puisse être mis dans une même allocation capée ». 

Pradié plaide pour « tout changer »

Entre les deux, le challenger Aurélien Pradié joue la carte de la « promesse républicaine » et du renouvellement, en assurant avoir tourné la page de Nicolas Sarkozy. « La droite doit redevenir populaire en parlant à la jeunesse et à toutes les catégories sociales », assure le député du Lot. Alors que « tous les partis sont en train de changer » et « de conquérir des électorats qui étaient le nôtre », le numéro 3 de LR plaide pour « tout changer », et pas seulement le nom du parti. Il n'hésite pas à prendre son parti à rebrousse-poil, fustigeant « le modèle économique de l'hyper-consommation qui est devenu fou » ou refusant de « dire à un ouvrier ayant commencé à 18 ans qu'il devra travailler quelques années de plus » – ce qui suscite quelques applaudissements.

 

https://www.lepoint.fr/politique/presidence-lr-a-la-ciotat-premier-grand-oral-pour-les-candidats-17-09-2022-2490348_20.php

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Membre, 77ans Posté(e)
Ximène Membre 11 040 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)

le parti va désormais s'appeler Renaissance ( moi , j'aurais dit Moyen âge , mais bon !) c'est Wauquiez qui va s'y sentir à l'aise ! il avait déjà prévu le coup ?

wauquiez guignol.jpg

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Membre, 128ans Posté(e)
menon Membre 11 453 messages
Maitre des forums‚ 128ans‚
Posté(e)
il y a 20 minutes, Ximène a dit :

le parti va désormais s'appeler Renaissance

Renaissance (abrégée en RE) — autrefois appelé par sa première dénomination En marche (EM) ou par sa deuxième dénomination La République en marche (LREM) — est un parti politique français lancé en avril 2016 par Emmanuel Macron.

 

ICI nous parlons des républicains !

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, menon a dit :

Présidence LR : à La Ciotat, premier grand oral pour les candidats

Éric Ciotti, Bruno Retailleau et Aurélien Pradié ont passé samedi leur premier grand oral devant les adhérents des Bouches-du-Rhône, à La Ciotat.

les candidats à la présidence des Républicains Éric Ciotti, Bruno Retailleau et Aurélien Pradié ont passé samedi leur premier grand oral devant les adhérents des Bouches-du-Rhône, à La Ciotat. À l'applaudimètre, les trois candidats font jeu égal, dans le parc balayé par un fort mistral où la fédération départementale a réuni 400 personnes pour sa rentrée. Ordre alphabétique oblige, Éric Ciotti est le premier sur scène, et il déroule sans surprise un discours de la méthode très à droite, fondé sur les valeurs d'« identité, autorité, liberté ». Car LR a perdu tous ses députés dans les Bouches-du-Rhône aux dernières législatives, alors que son propre département des Alpes-Maritimes a permis de sauver cinq sièges : « Ce n'est pas le fruit du hasard », rappelle-t-il.

Fustigeant le « déclassement qui menace la grandeur de notre nation » et l'immigration « qui a gangrené nos cités », le député des Alpes-Maritimes répète d'entrée de jeu son soutien à Laurent Wauquiez pour la présidentielle de 2027. Il promet aussi une « opposition claire, sans ambiguïté, sans compromission » à la macronie, qui aura pourtant besoin de l'apport de voix de LR pour faire voter des textes cruciaux (notamment le budget) à l'automne.

 

« La droite doit porter un projet de civilisation »

Sa candidature en effraie certains, il le sait, et il met en garde contre la recherche d'une alternative : « le rassemblement de l'immobilisme a triomphé » en 2021, avec le choix de Valérie Pécresse comme candidate à la présidentielle. « Je suis sûr que vous ne laisserez pas ce scenario se rejouer », ajoute le candidat, qui peut se prévaloir d'un fort soutien chez les adhérents du Sud-Est. Candidat plus consensuel en vue de l'élection du 3 décembre, Bruno Retailleau délivre lui aussi un discours musclé pendant ses vingt minutes sur scène. « La droite doit porter un projet de civilisation » car « la droite, c'est l'identité, une vraie droite quitte à froisser la bien-pensance », lance le patron des sénateurs LR, qui veut « répondre à l'angoisse du déclassement, de la dépossession culturelle ».

Cela passe par le régalien : « Oui aux doubles peines, oui aux peines minimales », assure-t-il, estimant en matière d'immigration qu'il faut « moins de pompes aspirantes, moins d'accueil, et surtout un référendum ». Sur l'économie où « l'État n'est pas mère Teresa », le sénateur de Vendée plaide pour que « l'ensemble des minima sociaux puisse être mis dans une même allocation capée ». 

Pradié plaide pour « tout changer »

Entre les deux, le challenger Aurélien Pradié joue la carte de la « promesse républicaine » et du renouvellement, en assurant avoir tourné la page de Nicolas Sarkozy. « La droite doit redevenir populaire en parlant à la jeunesse et à toutes les catégories sociales », assure le député du Lot. Alors que « tous les partis sont en train de changer » et « de conquérir des électorats qui étaient le nôtre », le numéro 3 de LR plaide pour « tout changer », et pas seulement le nom du parti. Il n'hésite pas à prendre son parti à rebrousse-poil, fustigeant « le modèle économique de l'hyper-consommation qui est devenu fou » ou refusant de « dire à un ouvrier ayant commencé à 18 ans qu'il devra travailler quelques années de plus » – ce qui suscite quelques applaudissements.

 

https://www.lepoint.fr/politique/presidence-lr-a-la-ciotat-premier-grand-oral-pour-les-candidats-17-09-2022-2490348_20.php

Ciotti.

Il s' est quand même rangé  derrière  la Pécresse  menon, difficile de le croire, non?

Déjà  si on ne voit plus la tronche de faux cul de bertrand, c'est  déjà  une avancé 

 

Elu dans sa région  par la gauche , la cgt etc...

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Membre, 72ans Posté(e)
new caravage Membre 36 333 messages
Maitre des forums‚ 72ans‚
Posté(e)
il y a 5 minutes, PASCOU a dit :

Ciotti.

Il s' est quand même rangé  derrière  la Pécresse  menon, difficile de le croire, non?

Déjà  si on ne voit plus la tronche de faux cul de bertrand, c'est  déjà  une avancé 

 

Elu dans sa région  par la gauche , la cgt etc...

               C'est de la discipline de parti Pascou rien d'autre !!

                        De toute façon moi c'est Rachida ou rien!!

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 8 minutes, new caravage a dit :

               C'est de la discipline de parti Pascou rien d'autre !!

                        De toute façon moi c'est Rachida ou rien!!

C'est  vrai mais j'ai du mal à  accepter  ça,  bon je le préfère  à  Pécresse. 

Ah! Rachida :)

 

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Membre, 128ans Posté(e)
menon Membre 11 453 messages
Maitre des forums‚ 128ans‚
Posté(e)

Les candidats à la présidence de LR opposés à toute alliance avec l’extrême droite

Les principaux candidats à la présidence du parti Les Républicains, Eric Ciotti et Bruno Retailleau, rejettent l’idée d’une « union des droites », du type de celles qui ont pu être nouées en Italie ou en Suède.

« L’union des droites » : l’expression, à chaque fois qu’elle est évoquée, fait tressaillir au sein du parti Les Républicains (LR). Voulu par nombre de figures d’extrême droite, comme le candidat malheureux à la présidentielle Eric Zemmour, ce projet d’alliance a, pour l’instant, toujours été rejeté par la droite républicaine, du moins au niveau national. La digue érigée en France n’est pas encore tombée, en dépit de l’inexorable perte d’espace politique de LR, d’un côté, et de la montée en puissance du Rassemblement national (RN) de Marine Le Pen, de l’autre.

Ailleurs en Europe, pourtant, la droite classique ne semble pas avoir les mêmes pudeurs. En Suède, à la fin de l’été, et très probablement en Italie, à l’issue du scrutin législatif qui aura lieu le 25 septembre, les formations équivalentes à LR dans ces deux pays ont noué des alliances avec l’extrême droite, afin d’accéder au pouvoir.

https://www.lemonde.fr/politique/article/2022/09/22/les-candidats-a-la-presidence-de-lr-opposes-a-toute-alliance-avec-l-extreme-droite_6142743_823448.html

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