Le 31/10/2021 à 08:17, Garlaban a dit :

La milice est de retour. Elle aide à penser, débattre, échanger, enlève le doute, remet sur le droit chemin...

Au choix :

1 - en version barre de fer comme à Nantes cette semaine. Un meeting a été perturbé par 600 antifas  réunis aux cris de " Zemmour à mort, à mort les fachos"... "stoppons le film d'horreur", dessin avec mire sur le  visage et inscription "wanted" ... 

2 - en version censure avec l'appel de 160 journalistes adoubés par Médiapart appelant à invisibiliser un supposé "fascisme". Le tout au nom "du respect des valeurs démocratiques" qui n'est rien d'autre en fait qu'un appel au monopole de l'information. 

Feu de paille pré-électoral ou nouvel art de vivre chez les humanistes ?

 

https://www.leparisien.fr/politique/meeting-de-zemmour-a-nantes-des-tensions-autour-du-zenith-avant-larrivee-du-polemiste-30-10-2021-T3NIAAMBNNC55IVC2Y3QF4PYZQ.php

 

ce qu'il y a de biens c'est que cela dévoile le jeu des signataires journalistes : au noms des valeurs démocratiques. Si vous n'êtes pas d'accord avec la politique migratoire menant aux boulversement démographiques, vous êtes hors démocratie.

C'est très signifiant sur le degré de basculement du champ lexical car pour moi la démocratie signifie le respect de la vox populi et des libertés individuelles.

On rentre quasiment en théocratie ou contrevenir au dogme du vivre ensemble est devenu anti démocratique.

Le 01/12/2021 à 17:20, VladB a dit :

J'allais dire rarement entendu pareilles inepties.

En fait non, c'est devenu à la mode, l'indigence de la pensée, les mots qui n'ont plus aucun sens, voir qui sont retournés à 180°. 

Les seuls néonaze qu'on voit en action ce sont les antifas. L'autre communiste qui veut faire interdire Zemmour de se présenter, c'est bien ça l'anti démocratie.

Oui, c'est ça : les mots n'ont plus aucun sens. La violence contre les opinions est démocratique. Les mots sans violences sont anti démocratiques. 

Le 01/12/2021 à 11:48, bibifricotin a dit :

Vous dénoncez les pratiques de l'extrême droite:

1- en version skinheads dans les actions contre les antifas.

2- en version intox permanente de Cnews.

C'est sans doute eux les nouveaux esprits des lumières.

Que pourrait-on attribuer comme mention à cette réponse,

Le comble de la mauvaise foi ou le comble du ridicule ?

Université de Grenoble: comment l’extrême gauche traque les étudiants de droite sur le campus

Devant la pression des manifestants, l’université a demandé à l’UNI d’écourter sa réunion. Crédits photo: Yvenn Le Coz

 

À l’Université Grenoble Alpes (UGA), des groupuscules d’extrême gauche ont empêché une conférence organisée par le syndicat étudiant l’UNI et ont intimidé les militants de droite.

 

Julien Polat est révolté. «On est dans une société, où sur un campus d’université, des groupuscules d’extrême gauche décident de qui a le droit de parler et de qui ne l’a pas», s’insurge le maire de Voiron (Isère). Jeudi 9 mars, l’élu divers droite, devait donner une conférence sur: «les fonctions d’un élu local», à l’université de Grenoble. Mais à seulement 2 h 30, du début de cet événement organisé par le syndicat de droite l’UNI, il apprend que des dizaines de manifestants se mobilisent pour perturber l’événement.

C’est un message du président de l’université, puis un coup de téléphone du cabinet du préfet de l’Isère qui viennent déconseiller à Julien Polat de tenir sa conférence. Sur Instagram, «l’Action antifasciste Grenoble», le syndicat lycéen «MNL 38» et «l’Agenda queer MTPG lbgtia+ Grenoble» appellent à un contre-rassemblement. Les mots d’ordre sont clairs «pas de place pour l’extrême droite, ni sur le campus, ni ailleurs!» Dans sa story, le syndicat étudiant l’Unef reprend les posts de l’Action antifasciste.

 

Sur Instagram, l’Unef, reprend les postes des antifascistes.

 

«La préfecture m’a assuré garantir ma sécurité si je m’y rendais, mais ils m’ont tout de même expliqué qu’il était raisonnable de renoncer au vu de la mobilisation annoncée» confie Julien Polat. D’un commun accord, avec le président de l’UNI Grenoble, le maire de Voiron décide alors de reporter la conférence.

L’élu est outré: «Ces menaces sont l’expression d’une toute petite minorité, de jeunes très radicaux, qui décident que toute formation politique, au-delà du centre gauche est d’extrême droite et qu’on peut la faire taire par la violence». Il s’exaspère d’ailleurs d’autant plus, que sa conférence ne portait pas directement de message politique. «Nous étions là simplement pour parler du quotidien d’un élu local» déplore-t-il.

L’UNI maintient une réunion

Malgré les menaces et l’annulation de son invité, l’UNI décide de maintenir un rassemblement. «Nous avions réservé les locaux et environ 50 militants et sympathisants étaient présents, donc nous avons tenu une réunion de présentation de nos actions et de notre histoire» explique Yvenn Le Coz, président de l’UNI Grenoble.

Sur place, 150 manifestants, dont une trentaine d’antifas cagoulés et habillés en noir, sont arrivés. Ils scandent «pas de quartiers pour les fachos, pas de fachos dans nos quartiers» . Une cinquantaine de CRS, s’est déployée sur le campus pour leur barrer l’accès des locaux où se tient la conférence. Devant la pression des manifestants, l’université demande à l’UNI d’écourter la réunion. À 18H20, soit 30 minutes après le début de leur rassemblement, les militants obéissent et évacuent le bâtiment.

Les antifas bloquent les tramways

Pendant que la police continue de faire face aux manifestants, la quasi-totalité du public parvient à prendre le tramway pour quitter la faculté. Mais quelques minutes plus tard, les antifas contournent le dispositif et partent à la traque des derniers étudiants de droite. Ils bloquent les tramways suivants et commencent à les fouiller pour tenter d’identifier des sympathisants de l’UNI. Noémie*, 18 ans a tardé un peu avant de quitter la conférence. «Je suis restée pour discuter avec une copine avant de monter dans le tram» explique l’étudiante. Quand la jeune fille voit les antifas monter à bord, elle descend et décide de rentrer en trottinette. «Dès qu’ils m’ont aperçue, ils m’ont suivie, d’un pas assuré sur une centaine de mètres en me traitant de «sale raciste», et de «facho», se souvient l’étudiante encore angoissée. Heureusement pour Noémie, un camion de police situé à proximité des trottinettes dissuade les antifas et elle parvient à rentrer sans encombre.

 

Hier soir, à la fin de notre réunion à l'@UGrenobleAlpes , des pseudo-antifas bloquaient les trams sur le campus afin de les fouiller pour tenter d'agresser nos militants.

Alors que sonnons l'alarme depuis longtemps, est-ce que cela poussera enfin le Président de l'UGA à agir ? pic.twitter.com/OVuJ9YvjTT

— UNI Grenoble (@unigrenoble) March 10, 2023

 

Les militants de l’UNI sont régulièrement agressés

Selon l’UNI Grenoble, ces tentatives d’intimidation ne constituent pas un fait isolé. «On a toujours eu des problèmes avec les antifas, mais depuis les mobilisations contre la réforme des retraites c’est du systématique» déplore Yvenn Le Coz. «Dès que le syndicat mène une action, il y a une agression. Lundi dernier, par exemple, ils sont venus nous bousculer, arracher nos tracts et ils nous ont forcés à partir.» L’étudiant en 3e année à Sciences Po Grenoble dénonce l’inaction de l’université: «Aucune mesure n’est jamais prise contre les militants d’extrême gauche» s’indigne-t-il. «Ils ont bloqué la fac de lundi à jeudi, mais le président n’a pas voulu intervenir pour “éviter de leur donner trop d’importance”».

 

https://etudiant.lefigaro.fr/article/universite-de-grenoble-comment-l-extreme-gauche-traque-les-etudiants-de-droite-sur-le-campus_a2879636-bf37-11ed-a2b4-9d376152afa5/

Impossible de penser juste avec "les extrêmes" Déjà qu'avec les autres (partis) nous ne savons plus trop où nous en sommes. 

La liberté de penser par soi même est une des conditions pour produire une pensée juste. Une pensée libre n'est pas forcement une pense juste. Se préoccuper de savoir si notre pensée est juste invite à questionner les qualités de cette pensée ainsi que les qualités du processus qui a permis d'élaborer cette pensée.

Le 31/10/2021 à 08:17, Garlaban a dit :

La milice est de retour. Elle aide à penser, débattre, échanger, enlève le doute, remet sur le droit chemin...

Au choix :

1 - en version barre de fer comme à Nantes cette semaine. Un meeting a été perturbé par 600 antifas  réunis aux cris de " Zemmour à mort, à mort les fachos"... "stoppons le film d'horreur", dessin avec mire sur le  visage et inscription "wanted" ... 

2 - en version censure avec l'appel de 160 journalistes adoubés par Médiapart appelant à invisibiliser un supposé "fascisme". Le tout au nom "du respect des valeurs démocratiques" qui n'est rien d'autre en fait qu'un appel au monopole de l'information. 

Feu de paille pré-électoral ou nouvel art de vivre chez les humanistes ?

 

https://www.leparisien.fr/politique/meeting-de-zemmour-a-nantes-des-tensions-autour-du-zenith-avant-larrivee-du-polemiste-30-10-2021-T3NIAAMBNNC55IVC2Y3QF4PYZQ.php

 

Bravo et merci de dénoncer ce fascisme intellectuel, car les vrais fascistes se sont eux et leurs actes le prouvent !

Le 31/10/2021 à 08:17, Garlaban a dit :

La milice est de retour.

c'est pas d'extrême droite une milice ???

Le 01/12/2021 à 18:44, VladB a dit :

Cogner une femme journaliste, c'est ton kif ? 

 

Voilà un interview qui me confirme ce que je pensais déjà... Les vrais fachos sont ceux qui se prétendent antifas.

il y a 13 minutes, BELUGA a dit :

c'est pas d'extrême droite une milice ???

Dans ce cas précis, non.

il y a 3 minutes, Patriot34 a dit :

Dans ce cas précis, non.

Appelons les autrement car pour moi milice=extrême droite, quoi qu'on en pense.

il y a 1 minute, BELUGA a dit :

Appelons les autrement car pour moi milice=extrême droite, quoi qu'on en pense.

Et bien, vous pensez mal, les antifas vous le prouvent en actes.

De la même manière que l'on ne reconnaît pas un salaud à sa couleur, mais à ses actes, on ne reconnaît pas un fasciste à sa couleur politique,... mais à ses actes !

il y a 3 minutes, Patriot34 a dit :

Et bien, vous pensez mal, les antifas vous le prouvent en actes.

Non, je ne pense pas mal : je pense différemment de vous. Nuance ...

il y a 1 minute, BELUGA a dit :

Non, je ne pense pas mal : je pense différemment de vous. Nuance ...

Pardon.

Disons que, dans ce cas précis, vous vous trompez. Car comme je l'ai dit plus haut :

il y a 6 minutes, Patriot34 a dit :

De la même manière que l'on ne reconnaît pas un salaud à sa couleur, mais à ses actes, on ne reconnaît pas un fasciste à sa couleur politique,... mais à ses actes !

Et ça, c'est un constat que nous pouvons tous faire.

Le 31/10/2021 à 08:17, Garlaban a dit :

1 - en version barre de fer comme à Nantes cette semaine. Un meeting a été perturbé par 600 antifas  réunis aux cris de " Zemmour à mort, à mort les fachos"... "stoppons le film d'horreur", dessin avec mire sur le  visage et inscription "wanted" ... 

2 - en version censure avec l'appel de 160 journalistes adoubés par Médiapart appelant à invisibiliser un supposé "fascisme". Le tout au nom "du respect des valeurs démocratiques" qui n'est rien d'autre en fait qu'un appel au monopole de l'information.

Tiens, c'est bizarre : quand c'est la gauche qui s'exprime, c'est forcément de la propagande malsaine et une monopolisation de la parole, mais quand c'est la droite qui appelle au mépris contre les femmes, les immigrés, les chômeurs, les salariés mécontents, les homos, etc. il faut respecter sa liberté d'expression, outre que la droite occupe largement le devant de la scène dans des médias qui sont le jouet de nantis capitalistes.

Le 31/10/2021 à 08:47, Kyoshiro02 a dit :

Il n'y a pas de raison qu'Éric Zemmour ait plus le droit à la parole que Nathalie Arthaud.

Ce criminel sexuel ne devrait même pas avoir été autorisé à fonder son propre parti politique.

Le 15/03/2023 à 13:20, Doïna a dit :

Ce criminel sexuel

Il a été jugé ? il a été condamné ? 

Tu es pire que le zemmour ... tu es comme ta clique de fistes qui accusent à tort et à travers juste sur des rumeurs mais surtout sur des mensonges !

il y a 1 minute, menon a dit :

Il a été jugé ? il a été condamné ? 

Tu es pire que le zemmour ... tu es comme ta clique de fistes qui accusent à tort et à travers juste sur des rumeurs mais surtout sur des mensonges !

Cela fait beaucoup de femmes qui l'accusent de s'être mal comporté envers elles. Il n'y en aurait qu'une, cela pourrait laisser de la place au doute, mais quand c'est plusieurs qui ne se connaissent pas entre elles, c'est une autre histoire. Lui sait qu'il ne peut être condamné puisque, comme il le dit lui-même : ce sera leur parole contre la mienne. Autrement dit, il niera jusqu'au bout, ne formulera même pas une excuse, comme un sale mufle qu'il est.

ET BIM , une énorme claque sur le clapet de Manon Aubry ....

“Séquence surréaliste au Parlement européen: Manon Aubry a tenté d’exporter la méthode de la France Insoumise du conflit permanent. Échec cuisant. Et grosse colère de Guy Verhofstadt contre ces méthodes populistes”, peut-on lire sur le compte Twitter d’Europe Ensemble, la délégation des députés européens de la majorité présidentielle au sein du groupe Renew Europe.

https://www.7sur7.be/monde/la-grosse-colere-de-guy-verhofstadt-au-parlement-europeen-contre-une-eurodeputee-lfi~ac6bfaa9b/

Quand on est de droite , de simples banderoles  suffisent pour qu'une association soit dissoute (génération identitaire). Quand on est de gauche on peut agresser des policiers, incendier des commerces et détruire des infrastructures on ne risque rien. Il paraît pourtant que la France est un état de droit dans lequel la justice est la même pour tout le monde ?

il y a une heure, menon a dit :

Quand on est de droite , de simples banderoles  suffisent pour qu'une association soit dissoute (génération identitaire). Quand on est de gauche on peut agresser des policiers, incendier des commerces et détruire des infrastructures on ne risque rien. Il paraît pourtant que la France est un état de droit dans lequel la justice est la même pour tout le monde ?

C'est faux, Darmanin va dissoudre le collectif Les Soulèvements de la Terre* présenté comme de l'ultra-gauche, et qu'il accuse d'être à l'origine des actions violentes à Sainte-Soline.

Pour en revenir à Zemmour, dans ses bouquins il l'écrit, qu'il considère les femmes comme le butin des hommes et qu'il trouve que ce n'est pas condamnable de leur mettre la main aux fesses. Donc un type comme ça n'a rien à faire en politique.

Un peu de bienveillance et de solidarité envers les femmes, bon sang !

N'es-tu pas toi-même attaché à au moins une femme dans ton existence ? Une grand-mère, une mère, une sœur, une fille ? Une compagne peut-être ? Est-ce que tu souhaites pour elle(s) une société où il serait permis de les humilier, de les toucher contre leur gré, comme si c'était des choses, d'abuser de leur position pour leur imposer des gestes déplacés, voire les violer, donc de leur faire de la peine impunément ?

Allemagne : des militants d'extrême gauche condamnés pour des agressions de néonazis

Quatre militants d'extrême gauche ont été condamnés à de la prison ferme ce mercredi 31 mai à Dresde (Allemagne) pour des agressions violentes de néonazis et membres de l'extrême droite allemande.

La principale accusée, Lina E., 28 ans, en détention provisoire depuis 2020, a écopé de cinq ans et trois mois de prison. Les trois autres accusés ont, eux, été condamnés par le tribunal de Dresde (Saxe) à des peines comprises entre deux ans et neuf mois ainsi que trois ans et neuf mois de réclusion.

Un «potentiel de violence élevé»

Ces militants d'extrême gauche ont été reconnus coupables de plusieurs agressions contre des néonazis ou des partisans présumés de l'extrême droite à Wurzen, Leipzig et Eisenach (Thuringe, Allemagne de l'Est), qui ont fait des blessés graves entre 2018 et 2020. Les régions d'ancienne RDA constituent des bastions de l'extrême droite allemande, ainsi que de la mouvance néonazie. Leurs rassemblements donnent régulièrement lieu à des affrontements avec des militants d'extrême gauche.

L'Office fédéral de protection de la Constitution, le service de renseignements intérieurs, a classé les quatre condamnés dans la catégorie des «autonomes violents». «Le cas est exemplaire du potentiel de violence élevé et du niveau de radicalisation qui prévaut dans certaines parties des milieux d'extrême gauche et qui, sous cette forme, représente un nouveau développement dans l'extrémisme de gauche», alerte dans un communiqué le directeur de ce service, Thomas Haldenwang. La violence d'extrême droite a par ailleurs été classée par les autorités au premier rang des menaces pesant sur la sécurité de l'Allemagne, après une série d'attaques, parfois meurtrières, menées ces dernières années, notamment contre des élus.

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/allemagne-des-militants-d-extreme-gauche-condamnes-pour-des-agressions-de-neonazis-20230531