Du Nihilisme

il y a 6 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Du fait qu'il n'y ait à annihiler que l'ignorance d'être soi de façon paroxystique, le nihilisme ne peut donc être qu'une trahison de soi dénotant une profonde malveillance envers soi puisque l'on ne peut se connaître sans vérité du soi.

Si bien qu'une telle démarche ne puisse mener qu'à être dispensable après être devenu inutile pour soi. 

J’ai ... appris ... à m’aimer avec mes qualités et mes défauts 

Ce fût long

Et c’est important pour apprécier les autres 

Si je passe du temps avec vous ce n’est pas par masochisme 

Je pense que vous êtes capable du meilleur et que vous ne le savez pas encore

Ça viendra Joseph, ça viendra.

Il y a 4 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

 

Et un champ n'est qu'un amas de bosons interagissant avec les particules de matière uniquement. A titre d'exemple, la masse de l'électron résulte de l'interaction de cette particule avec le champ de Higgs. Si bien que la masse ne soit pas une propriété intrinsèque de l'électron mais le résultat d'une interaction secondaire avec un champ. Intrinsèquement, l'électron n'a donc aucune masse.

 

Malgré ma sympathie, je ne pourrais laisser chaque erreur monumentale à propos de la physique sans réagir 

Il y a toutefois un fait assez simple à retenir

Je n’ai lu aucune phrase chez vous qui tenait la route en sciences physique, absolument aucune.

C’est même en réalité un amas d’âneries en très forte concentration rapporté au mot que vous formulez formant un champ de patates localisé 

Le champ est modélisé en physique quantique par la théorie quantique des champs (vidéo page précédente)

Les deux grandes catégories de particules sont les fermions (en gros les particules de matière) et les bosons (en gros les particules dites porteuses de force)

Et bien évidemment les fermions comme particules élémentaires sont également la manifestation sous jacente d’un champ

Non Un champ n’EST PAS un ”amas de bosons”.

Ce sont d’ailleurs des champs vectoriels, le champ de higgs étant un champ scalaire.

La vanité d'être sans raison, qui découle du nihilisme, a donc, pour première conséquence, celle de consacrer l'inanité de sa propre existence.

N'ayant aucune raison d'être, la vanité prend ensuite son sens commun: celui d'un égotisme malsain ravageur pour la pensée.

De sorte que l'on ne puisse finir que par quitter définitivement toute raison après s'être convaincu d'en avoir point.

N'est-ce pas d'ailleurs l'état de ce monde sans vérité qui sombre dans la démence avec orgueil?

Ce monde où la parole est logorrhée, où l'opinion est l'argument, où le faux est le vrai, où une chose n'est point ce qu'elle est mais une autre, où l'émotion s'est totalement substituée à la raison, où la malveillance et le mensonge font rage.

Il est temps de penser pour nous panser.

Mieux vaut ne penser à rien que de rien ne penser du tout.

Mais n'y pensons plus.

@brooder Penser pour nous panser.

La souffrance n'est pas inéluctable.

il y a 41 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

@brooder Penser pour nous panser.

La souffrance n'est pas inéluctable.

Je ne suis pas dans une affliction quelconque. C'est cette affliction particulière qui fait de moi ce que je suis. N'être rien n'est pas le problème mais le remède contre la folie ....