Quand la vie bascule.

il y a 2 minutes, Maitika34 a dit :

Je ne parlais même pas de toi déjà donc je ne vois pas pourquoi tu t'énerves.

Et contrairement à ce que tu penses, j'ai fait des recherches sur le sujet depuis donc je pense en connaître un peu plus que certains.

 

Je ne suis pas énervée

Je n'aime pas les généralités dans ce domaine, les psys non plus. D'ailleurs ils t'amènent à te poser les questions qui te permettent de casser tes certitudes, et donc tes schémas. C'est le meilleur moyen d'apprendre à se défendre et faire preuve de discernement. 

Moi non plus je n'aime pas les généralités.

Mais il existe des faits que l'on ne peut pas ignorer.

Un psy aide à la réflexion sur soi même rien de plus. Si l'on ne veut pas changer on ne change pas. Rien ne nous y oblige.

Il aide parfois à accepter l'inacceptable. Et à vivre mieux. Tout simplement.

Personnellement heureusement que j'ai consulté un thérapeute car sinon je pense que je ne serais pas là pour en parler.

il y a une heure, Maitika34 a dit :

Encore une fois je te souhaite de ne jamais te retrouver dans une situation délicate, difficile qui pourrait te valloir aux yeux des autres l'étiquette de "victime", mot que tu sembles execrer.

Mais peut-être que ça ne t'arrivera pas parce que tu es de l'autre côté de la barrière : celui qui fait du tort aux autres.

 

Je me suis retrouvé dans des situations de victime, comme tout le monde. Mais je n'ai jamais reporté tout le poids de la faute à mes bourreaux: j'étais aussi largement responsable de la situation.

Voilà ta seule façon de te défendre? Sous-entendre que je suis un manipulateur pervers et égocentré? Bon ben je crois que je ne peux plus rien faire. La seule chose qui guide tes propos, c'est la souffrance engendrée par la relation avec ton ex, et non pas ton objectivité qui a été jeté aux oubliettes depuis longtemps. Je respecte la souffrance. Mais je ne respecte la mauvaise foi qui consiste à faire porter tout le poids de celle-ci sur les actes d'autrui, voilà tout.

Tu ne connais rien à ma vie.

De quel droit tu te permets de juger de mon comportement ?

Je ne me suis jamais positionnée en victime.

Je n'ai pas dit que tous les torts étaient pour lui. J'ai aussi ma part de responsabilité.

Mais le fait est que depuis que j'ai émis le souhait de ne plus vouloir vivre avec lui il me pourri la vie. Et il a jugé ma perte, ce sont ces propres mots.