Ô-dieu

il y a 12 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Une définition est ce qu'il est conforme d'écrire à propos de la vérité d'une chose.

Et l'essence demeure la racine première de toute définition.

Si bien que sans être, rien ne saurait être défini à commencer par l'être humain.

Non... si une définition est conforme à la réalité alors c'est une vérité 

Et malheureusement il existe des définitions non conformes (mal formulées ou fausse)

Votre définition de l'être est mal formulée et l'auto référentialité comme les raisonnements circulaires (essence être => être essence) ne sont pas logique 

Nous n'avons donc que des définitions ni fausses ni vraies mais simplement des définitions invalides (sans signification) tant que vous utilisez ces techniques

https://fr.wikipedia.org/wiki/Raisonnement_circulaire

https://fr.wikipedia.org/wiki/Autoréférence

Il ne faut pas s'imaginer que nous serions constitués de petites billes à l'intérieur desquelles il y aurait d'autres petites billes dans une récursion sans fin. Et que ces petites billes parviendraient à constituer le sentiment qui ne saurait être spatialisé.

La réalité n'est qu'un paquet d'ondes.

Et une onde est jamais qu'un message conforme à une vérité: celle de l'être en l'absence de concept plus fondamental.

à l’instant, JOSEPH DELETRE a dit :

Il ne faut pas s'imaginer que nous serions constitués de petites billes à l'intérieur desquelles il y aurait d'autres petites billes dans une récursion sans fin. Et que ces petites billes parviendraient à constituer le sentiment qui ne saurait être spatialisé.

La réalité n'est qu'un paquet d'ondes.

Et une onde est jamais qu'un message conforme à une vérité: celle de l'être en l'absence de concept plus fondamental.

On change la presentation ici et, sur la forme je la prefère.

Néanmoins...vous noterez que ces ondes pour vous, représentent "le message de l'être" et ne définissent toujours pas l'être lui-même 

Vous utilisez un mot "totem" et on voit bien que sa caractérisation vous échappe

D'ailleurs je sens poindre ici la représentation de la réalité vue par la mécanique quantique et c'est un peu étonnant que vous projetiez des idées comme ça sans en préciser les contours

Votre manière de vous exprimer est similaire aux injonctions des livres saints quelque part

On ne comprend pas tout, ce n'est pas vraiment logique ni explicité, c'est une forme de récit saint

C'est ce que j'explique: l'être c'est nous-mêmes qui prenons conscience de notre propre condition in fine.

La nature et l'homme n'étant que les deux faces, l'une inconsciente, l'autre consciente, d'une même entité.

il y a 7 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

C'est ce que j'explique: l'être c'est nous-mêmes qui prenons conscience de notre propre condition in fine.

La nature et l'homme n'étant que les deux faces, l'une inconsciente, l'autre consciente, d'une même entité.

Oui, de ce point de vue, je pense que ta formulation ne choque globalement personne  concernant la nature de l'être...humain

Le nihilisme est donc compréhensible.

Mais jusqu'à un certain point: celui où la vérité est établie.

Car nous comprenons alors qu'en vertu de notre propre nature, nous n'avons qu'une chose à annihiler: l'ignorance d'être soi : l'unique reliquat qui soit jamais possible au paroxysme d'un processus d'annihilation de toute chose présente à soi, jusqu'à soi.

Et cela n'est possible que par la raison pour établir la vérité de ce qui est.

Des regrets?

Il y a 3 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Des regrets?

Nous avons contre les femmes laides qui nous font des avances le regret de toutes ces jolies femmes que nous n'avons jamais eu.

C'est humain.

Il y a 2 heures, zenalpha a dit :

Nous avons contre les femmes laides qui nous font des avances le regret de toutes ces jolies femmes que nous n'avons jamais eu.

C'est humain.

C'est être humain.

il y a 1 minute, JOSEPH DELETRE a dit :

 

C'est être humain.

C’est même être un être humain Joseph

Et quelle est l’essence de l’être humain ? 

Précisément.

L'essence de ce qui est ne peut être que récursive en l'absence de concept plus fondamental qu'être.

il y a 15 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Précisément.

L'essence de ce qui est ne peut être que récursive en l'absence de concept plus fondamental qu'être.

 

C’est tout le problème, une fonction récursive, c’est une classe de fonction calculable.

En d’autres termes, toutes les valeurs peuvent être calculées à partir de leurs paramètres par un processus mécanique fini.

Si l’essence de l’être était récursive, vous devriez pouvoir partir d’éléments fondamentaux que sont les axiomes présenter les règles de logique qui mécaniquement vous permettent de la définir 

Ce serait d’autant plus intéressant que tout ce qu’on peut apprendre des théorèmes de Godel concerne ce qu’on appelle les ensembles récursivement énumerables

Les théorèmes d’incomplétude

Malheureusement vous confondez récursif et auto référentiel, propositions bien formées et raisonnement circulaire 

Excepté que sans être, point de fonction possible.

il y a 2 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Excepté que sans être, point de fonction possible.

Dans le sens du verbe ou de l’entité ontologique ?

Dans tous les sens admis.

Ou alors, serions nous une fonction en premier lieu?

Si oui, mettons le bonheur en équation!

il y a 1 minute, JOSEPH DELETRE a dit :

Dans tous les sens admis.

Ou alors, serions nous une fonction en premier lieu?

Si oui, mettons le bonheur en équation!

Fort justement si être est récursif, il peut être mis en équation, il est calculable par un algorithme fini.

Mais je pense que l’être humain serait un peu comme vous, plutôt cela 

A bientôt Joseph 

La récursivité de l'essence de ce qui est ne dit qu'une chose: il est impossible de définir l'être par autre chose que lui-même en l'absence de concept plus fondamental.

A un certain moment, nous sommes donc forcés de nous arrêter en dépit de toute notre "bonne volonté" nihiliste pour n'être plus.

Car même à imaginer autre chose sans fin, tout serait encore sujet du verbe substantif, être, sans lequel rien ne saurait être défini.

Cqfd

Par conséquent, il ne saurait y avoir d'autre jugement au-delà de ce qui est du fait qu'il n'y ait rien d'autre à juger.

Il y a 7 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

C'est ce que j'explique: l'être c'est nous-mêmes qui prenons conscience de notre propre condition in fine.

La nature et l'homme n'étant que les deux faces, l'une inconsciente, l'autre consciente, d'une même entité.

 

il y a 19 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Par conséquent, il ne saurait y avoir d'autre jugement au-delà de ce qui est du fait qu'il n'y ait rien d'autre à juger.

Ok J’ai jugé

Double je conscience / inconscience double jeu rationalité / déraison