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Invité JOSEPH DELETRE

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Sans vérité, point de vrai possible dès lors qu'il doive y être conforme.

Par conséquent, le nihilisme n'est qu'une quête non assumée du néant absolu travestie en sagesse factice puisqu'aucune réalité ne serait possible en l'absence de vérité.

En particulier, une conséquence ne pourrait être invariablement associée à une cause puisque la causalité n'aurait plus de vérité possible.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a 47 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Sans vérité, point de vrai possible dès lors qu'il doive y être conforme.

Par conséquent, le nihilisme n'est qu'une quête non assumée du néant absolu travestie en sagesse factice puisqu'aucune réalité ne serait possible en l'absence de vérité.

En particulier, une conséquence ne pourrait être invariablement associée à une cause puisque la causalité n'aurait plus de vérité possible.

Sans vérité point de vrai ET...point de faux non plus...

L’interlocuteur est ce miroir qui complète la vérité 

 

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Il nous faut donc partir du vrai pour remonter vers la vérité qui la précède.

Et admettre que nous existons en ayant l'idée du néant.

Or, concevoir le néant par l'esprit, c'est annihiler toute chose présente à soi, jusqu'à soi, de sorte qu'au paroxysme d'un tel processus, quelle que soit la réalité de départ, l'inconscience demeure l'unique reliquat qui soit jamais possible.

Si bien que pour tout réduire à néant jusqu'à l'ignorance d'être soi, il faille enfin toujours créer, paradoxalement, afin d'être conscient.

Il ressort ainsi que l'unique chose qui puisse jamais être par déduction logique soit une entité d'annihilation de toute chose présente à elle-même jusqu'à sa propre inconscience.

L'impression du temps qui passe en serait la manifestation la plus évidente puisqu'une succession d'instants recèle l'idée d'annihilation de ce qui est présent à soi. Tandis que la mort serait la preuve ultime qu'il faille tout annihiler jusqu'à soi.

Et du fait que ce qui est relevât nécessairement de la substance pour n'avoir d'autre cause que soi, alors il ne saurait y avoir d'autre concept plus fondamental qu'être telle que la récursivité de l'essence de ce qui est le démontre. Dans ce contexte, il ne pourrait y avoir d'autre situation avérée que celle du sujet conscient esseulé dans l'infini du fait qu'il n'y ait fondamentalement rien d'autre que lui.

Par conséquent, il est possible d'honorer sa conscience en faisant face à la réalité conforme à notre propre vérité indubitablement.

Ou de devenir lâchement inutile à soi sur fond d'une sagesse factice résumant l'existence au fait que nous ne ferions que passer sans raison pour consacrer notre propre vacuité.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Personnellement, je me limite déjà à pointer ce qui est faux.

Je sais, c’est beaucoup plus modeste et surtout beaucoup plus facile

Si vous voulez, Merleau Ponty donne à la science le statut de pouvoir jouer le rôle de découvertes philosophique négatives.

Cela signifie que sur certains sujets, même si la science on l’à vu ne prétend pas au vrai, il est possible pour elle de jouer le rôle d’acide dissolvant de certaines représentations philosophiques que la science est venue réfuter

Si vous voulez, il lui est plus facile de dire non, que de dire que c’est vrai

Vous vous renseignerez mais cela revient à la philosophie du non de Bachelard 

Un exemple pratique 

Il m’est extrêmement difficile de prétendre au vrai concernant Dieu l’être ou l’existence

Et pourtant il m’est extrêmement facile de voir que vos perceptions sont fausses

 

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Se limiter à pointer ce qui est faux n'est possible qu'après avoir consacré sa propre vanité.

Dans tous les sens du terme: qu'il s'agisse de dire que l'on est vain du fait d'être devenu inutile à soi pour ne faire que passer sans raison, ou hautain du fait de croire qu'il soit possible de juger sans penser par soi en n'étant que le perroquet d'autrui sans même comprendre ce que l'on ne cesse de répéter dès lors que l'on y trouve quelque effet.

 

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zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a une heure, JOSEPH DELETRE a dit :

Se limiter à pointer ce qui est faux n'est possible qu'après avoir consacré sa propre vanité.

Dans tous les sens du terme: qu'il s'agisse de dire que l'on est vain du fait d'être devenu inutile à soi pour ne faire que passer sans raison, ou hautain du fait de croire qu'il soit possible de juger sans penser par soi en n'étant que le perroquet d'autrui sans même comprendre ce que l'on ne cesse de répéter dès lors que l'on y trouve quelque effet.

 

Et si je vous dis que c’était "plus fort que moi"

Ou serait mon être la dedans ?

Si au lieu de prendre conscience de votre "moi” vous preniez conscience de votre émoi ?

Si au lieu de penser la négation comme une agression extérieure sur votre être, vous preniez conscience d’une main tendue pour vous la révéler à vous-même ? 

Quelle serait la raison d’une telle altérité relationnelle ?

 

 

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Vous ne pourriez dès lors qu'être excusé en vertu de notre propre nature qui nous unit de manière indivisible.

Mais jusqu'à un certain point: celui de persister en connaissance de cause.

Car à présent, la vérité est énoncée en toute logique.

L'existence, elle-même, en étant la preuve irréfutable.

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a 17 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Vous ne pourriez dès lors qu'être excusé en vertu de notre propre nature qui nous unit de manière indivisible.

Mais jusqu'à un certain point: celui de persister en connaissance de cause.

Car à présent, la vérité est énoncée en toute logique.

L'existence, elle-même, en étant la preuve irréfutable.

 

Peut-être ces signes de l’agresseur extérieur 

Ne sont que manifestation d’un bouillonnement intérieur

Mais que seraient l’un sans l’autre

Est ce que nous rendre hors de soi manifeste notre être ou notre mal être ?

Sommes nous si extérieur quand résonne cette voix intérieure ? 

Tout réside dans le mystère 

 

 

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Le mystère n'est qu'un prétexte à l'ataraxie pour ne faire que passer sans raison et consacrer ainsi sa propre vacuité.

 

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zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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à l’instant, JOSEPH DELETRE a dit :

Le mystère n'est qu'un prétexte à l'ataraxie pour ne faire que passer sans raison et consacrer ainsi sa propre vacuité.

 

Alors si tout vous était connu, à quoi diable vous servait il d’avoir vécu ?

Mieux vaut danser que savoir, si vous saviez comme l’immobilité de ce qui est su immobilise la grande avancée dans l’inconnu.

Nous sommes des explorateurs et des conquérants 

De contrées éloignées qui nous ramènent à la psyché 

La vacuité n’est jamais sienne, contrairement au vide que nous nous construisons

Méditez Joseph, méditez

 

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Juger c'est établir la vérité du sentiment à la raison en passant par la volonté.

S'agissant de soi, cela revient donc à établir la vérité de ce qui est, qui n'est pas acquise dès lors que nous partions du néant: l'inconscience, si bien que la mort nous précède en réalité.

Mais en l'absence de concept plus fondamental qu'être, il n'y aurait, en effet, rien d'autre à juger.

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zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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à l’instant, JOSEPH DELETRE a dit :

Juger c'est établir la vérité du sentiment à la raison en passant par la volonté.

S'agissant de soi, cela revient donc à établir la vérité de ce qui est, qui n'est pas acquise dès lors que nous partions du néant: l'inconscience, si bien que la mort nous précède en réalité.

Mais en l'absence de concept plus fondamental qu'être, il n'y aurait, en effet, rien d'autre à juger.

Juger c’est évidemment ne pas savoir puisque si l’on comprenait, on ne pourrait pas juger

André Malraux

C’est tellement vrai

Bonne nuit Joseph

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En effet, c'est la raison pour laquelle il ne saurait y avoir rien d'autre à juger au-delà de ce qui est.

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zenalpha Membre 22 490 messages
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il y a 7 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

En effet, c'est la raison pour laquelle il ne saurait y avoir rien d'autre à juger au-delà de ce qui est.

Je ne pense pas qu’il le voyait ainsi

Je vous laisse vous endormir à ses côtés 

 

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En l'absence de concept plus fondamental qu'être, telle que la récursivité de l'essence de ce qui est le démontre, alors il ne saurait y avoir autre chose à juger.

Non par choix.

Mais parce qu'il n'y a simplement rien d'autre en vérité.

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zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il s’agissait d’un écureuil, d’un habile écureuil qu’on s’imaginait cramponner au tronc de l’arbre tandis qu’un homme se tenait en face de l’autre côté de l’arbre à tenter de l’apercevoir.

Pour y arriver, notre homme se déplace donc autour de l’arbre mais qu'elle que soit sa vitesse l’écureuil se déplace autour du tronc de manière à laisser ce tronc en opposition entre l’homme et l’écureuil de telle sorte que l’homme ne parvienne jamais à l’apercevoir 

Problème métaphysique Joseph : l’homme tourne autour de l’arbre et en connaît tous les contours, mais peut-on dire si l’homme tourne autour de l’écureuil oui ou non ?

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En l'absence de concept plus fondamental qu'être, nous ne pourrions que tourner autour de nous-mêmes.

C'est d'ailleurs le message du moment intrinsèque en tant qu'art premier de la causalité.

Puisqu'en l'absence de concept plus fondamental qu'être, alors la causalité reviendrait à associer une conséquence à sa propre cause.

Dès lors un tel processus ne saurait s'accomplir qu'en formant un cercle imagé.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 19 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

En l'absence de concept plus fondamental qu'être, nous ne pourrions que tourner autour de nous-mêmes.

C'est d'ailleurs le message du moment intrinsèque en tant qu'art premier de la causalité.

Puisqu'en l'absence de concept plus fondamental qu'être, alors la causalité reviendrait à associer une conséquence à sa propre cause.

Dès lors un tel processus ne saurait s'accomplir qu'en formant un cercle imagé.

Pensez vous qu’on puisse se mentir à soi-même ? 

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Étant présents à nous-mêmes du fait que nous soyons conscients, nous ne pouvons nous empêcher de nous annihiler nous-mêmes en détruisant le naturel et ce que nous sommes pour être toujours autre chose.

Sans insincérité (se mentir à soi-même), la pilule serait difficile à avaler.

Mais lorsque nous comprenons qu'en vérité nous n'avons qu'à annihiler l'inconscience, dont l'état correspondant est la mort, alors peut-être pouvons-nous cesser de nous mentir à nous-mêmes pour simplement préserver la vie et penser ce que nous sommes pour nous panser.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
Il y a 2 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Étant présents à nous-mêmes du fait que nous soyons conscients, nous ne pouvons nous empêcher de nous annihiler nous-mêmes en détruisant le naturel et ce que nous sommes pour être toujours autre chose.

Sans insincérité (se mentir à soi-même), la pilule serait difficile à avaler.

Mais lorsque nous comprenons qu'en vérité nous n'avons qu'à annihiler l'inconscience, dont l'état correspondant est la mort, alors peut-être pouvons-nous cesser de nous mentir à nous-mêmes pour simplement préserver la vie et penser ce que nous sommes pour nous panser.

A priori, mentir semble vouloir dire qu’une personne connaisse la vérité et la travestit de manière intentionnelle, consciemment.

L’implication en est la dualité du trompeur et du trompé 

En effet, se mentir à soi-même reviendrait à la fois à connaître la vérité et intentionnellement de la trafiquer pour ... ne plus la connaître, un même sujet scindé en deux, le trompeur et le trompé

Une définition logique ou classique de la conscience semble exclure cet état de fait

Pour Descartes par exemple, dans ”les principes de la philosophie”, la pensée et la conscience sont reliées : on ne peut penser une chose sans en prendre conscience, on ne peut donc à la fois prendre conscience de la vérité et agir simultanément pour l’ignorer.

Kant reprend ce concept en expliquant que...ce qu’on EST...change dans le temps, notre corps se modifie de la naissance à la mort, nos pensées changent, nos croyances changent...le seul fil rouge de cette dynamique, notre identité, c’est notre conscience, toute perception de changement impliquant de facto l’identification de ce qui n’a pas changé : la conscience 

La conscience comme synthèse de la pluralité de nos représentations dans le temps et de leur diversité comme une unité, l’identité, le statut de la personne 

Avec cette conséquence qu’on ne peut-être cette dualité du trompeur et du trompé au même instant pour notre conscience mais que nous sommes une unicité de conscience 

Cette unicité est un pré requis pour la justice sinon nous ne pourrions être condamné pour des faits commis de longue date si cette unicité de conscience, malgré ses changements dans le temps n’était pas établie 

La question qui nous intéresse dès lors Joseph n’est plus tant de savoir s’il est possible de se mentir à soi-même mais comment nous parvenons à nous voiler la face ?

Puisqu’il apparaît impossible rationnellement de se mentir à soi-même de par la nature même de la conscience...y aurait-il des insuffisances ?

Nous refusons parfois des vérités dont nous avons conscience...

Prenez cette fable du renard et des raisins, des raisins qu’il convoite mais qu’il ne peut atteindre 

Un renard qui s’auto persuade que ces raisins sont trop mûrs et qu’ils sont des fruits pour gougeat 

Vous êtes vous demandé pourquoi la vérité ou le vrai comme adéquation d’un jugement avec la réalité est une définition que vous connaissez, assez couramment utilisée, mais totalement en dehors de vos propres définitions malgré votre intellection poussée sur le sujet ?

Allons plus avant

Sigmund Freud nous invite à dépasser cette unicité de la pensée à la conscience 

Il existe un inconscient psychique qui fait que vous n’avez pas conscience de tout ce qui se passe en vous...

Souvenons nous quand même que cet inconscient pour Freud représente l’ensemble des désirs refoulés, désirs incompatibles avec les exigences morales et sociales inconsciemment repoussés

Scindé en deux, vous voici armé pour pouvoir vous mentir à vous même, conscience versus inconscience même si certaines pensées refoulées remontent insidieusement 

La thérapie psychanalytique est cet outil qui permet de se débarrasser de ce mensonge à soi-même qui vous fait souffrir

Notez que votre dernier panser avec un à est un acte manqué, l’expression manifestée des plaies à soigner

Sartre pourrait vous y aider mais mon chapitre est désormais trop long

Vous faudrait un ange pour soulever vos désirs refoulés de ses ailes

 

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