Le suicide

il y a une heure, Cali jack a dit :

T'as une source pour prouver tes dires ? 

Y a des gens qui y croient.

Et quand je me coupe ça saigne et je fais aïe. C'est un peu une preuve.

Le 03/04/2021 à 18:41, sirielle a dit :

A quel point, pour quelles raisons, le suicide vous paraît-il coupable et/ou bien innocent?

je pense qu'il est purement inconscient . Descartes penser que ce qui est en nous fait déjà parti du monde qui nous entourent j’en pense qu’il a était ammenée a penser que sans l’univers nous ne somme pas donc cest l'univers qui nous a crées donc ce qui fait parti de l’univers fait parti de nous et lunivers est en perpétuelle expention donc ce que l’homme a besoin si on se réfère au cycle de l’univers qui on ne peut le nier cette affirmation est appuyers sur des fait c’est tout simplement de s'expandre ce processus commence donc par ce poser la question quesqui ma le plus aider et que j’ai apprécier et qui ma permis de m’expandre . Si on ne sexpende on regresse et mourir c'est régresser et régresser est inconscient . 

Il est courant de considérer le suicide comme une liberté de choisir de continuer ou non de vivre sa propre vie, voire d'en affronter, ou pas, les affres parfois terribles, ne serait-ce que subjectivement. Or c'est une façon potentiellement édulcorée de voir les choses, ou en tout cas superficielle, très incomplète. D'ailleurs le thème du suicide c'est aussi nombre de tentatives, parfois encouragées par une sacralisation ou banalisation fataliste sociales de la mort, aux séquelles plus ou moins durables. Or la manière de communiquer à propos du suicide, ou bien le choix d'en faire un tabou, peuvent impliquer la responsabilité individuelle.

Citation

Matériel et méthode : A partir des dossiers médicaux de tous les suicidants vus par l’équipe de psychiatrie de liaison du CHU de Lille, au cours de l’année 2016, nous avons étudié les complications physiques des patients, détaillé les complications psychiatriques, recherché les complications neurologiques, et abordé les troubles de la communication.

Résultats : 57% des patients présentent des atteintes physiques graves voire très graves au décours du passage à l’acte suicidaire. Celles-ci sont sources de contraintes pour la psychiatrie de liaison. Les troubles neurologiques, qui sont les complications physiques les plus retrouvées, modifient et biaisent l’examen psychiatrique. Les autres complications les plus fréquentes sont les atteintes viscérales, suivies par les impotences fonctionnelles. Du fait de séquelles physiques importantes, plusieurs patients sont transférés vers un service de SSR malgré un risque suicidaire élevé. Néanmoins, peu de passage à l'acte ont lieu en intra-hospitalier, en effet une seule récidive suicidaire a eu lieu dans un service de MCO. De même, les autres complications psychiatriques observées sont rares.

https://www.santementale.fr/2018/06/impact-des-sequelles-physiques-et-psychiques-des-tentatives-de-suicide-sur-la-prise-en-charge-des-suicidants/