Il y a 150 ans "La Commune"

On parle beaucoup de Louise Michel.

D'autres femmes de la commune de Paris.

André Léo. (De son vrai nom Victoire Léodile Béra.)

Elisabeth Rétiffe.

https://maitron.fr/spip.php?article69566

Paule Mink

https://maitron.fr/spip.php?article24873

Un régal cette  réécoute pour moi ....

il y a une heure, ouest35 a dit :

Au lieu de tout mélanger .... on revois ses connaissances  ou on fait des recherches !

https://www.franceculture.fr/histoire/la-commune-une-revolution-typiquement-parisienne-idee-recue-ndeg5

anarchistes, socialistes etc ... mettre dans le fourre-tout du mot communisme les actions des gens qui étaient sur les barricades ... Les Fédérés voulait la justice sociale ....

 ... et le mot "guerre civile" ne passe toujours pas la glotte des français ! Et pourtant !

Pourquoi êtes vous confuse sur mon post plus haut?

Oseriez vous dire que j'ai tort?

Il y a 1 heure, ouest35 a dit :

Au lieu de tout mélanger .... on revois ses connaissances  ou on fait des recherches !

https://www.franceculture.fr/histoire/la-commune-une-revolution-typiquement-parisienne-idee-recue-ndeg5

anarchistes, socialistes etc ... mettre dans le fourre-tout du mot communisme les actions des gens qui étaient sur les barricades ... Les Fédérés voulait la justice sociale ....

 ... et le mot "guerre civile" ne passe toujours pas la glotte des français ! Et pourtant !

Dans la deuxième moitié du XX ^e siècle, le communalisme libertaire, désigne la mise en œuvre locale de l'écologie sociale élaborée par le théoricien communiste libertaire et écologiste politique américain Murray Bookchin.

Vincent Gerber

Historien de formation, Vincent Gerber vit en Suisse et est le fondateur de la plateforme Internet Écologie sociale.ch, un portail francophone sur l’écologie sociale. Murray Bookchin et l’écologie sociale. Une biographie intellectuelle est son premier livre.

 

---Qu'on m'explique...

Il y a 1 heure, Pensée philo a dit :

On parle beaucoup de Louise Michel.

D'autres femmes de la commune de Paris.

 

André Léo. (De son vrai nom Victoire Léodile Béra.)

 

Elisabeth Rétiffe.

https://maitron.fr/spip.php?article69566

Paule Mink

https://maitron.fr/spip.php?article24873

 

Les tronches des nanas...

Il y a 3 heures, Pensée philo a dit :

Anne Hidalgo a rendu hommage à la commune de Paris alors qu'elle aurait été de l'autre coté, comme beaucoup du pcf et de la France insoumise.

Bah pourquoi elle est pas au PS et le PS n'est pas membre de la 2ème Internationale comme bien des dirigeants de La Commune ?

Il y a 3 heures, Morfou a dit :

C'est ça...allez raconter cela à tous les pays qui ont été sous la coupe communiste et tous les pays qui ont été "décolonisés" pour se retrouver colonisés par les cocos...

Mais ceux que tu appelles communiste n'étaient pas des internationalistes, la 3ème internationale, Staline l'a dissoute en 40, il était un fervent défenseur du socialisme dans un seul pays!

Le "socialisme dans un seul pays" est le mot d'ordre que lance Staline en 1924, qui marque directement le rejet de la perspective communiste de la révolution internationale, et plus profondément le fait que la bureaucratie soviétique prend les rennes de l'URSS.

Il faut t'éduquer ma grande, même à ton age c'est pas trop tard!

Il y a 2 heures, Morfou a dit :

Dans la deuxième moitié du XX ^e siècle, le communalisme libertaire, désigne la mise en œuvre locale de l'écologie sociale élaborée par le théoricien communiste libertaire et écologiste politique américain Murray Bookchin.

Murray Bookchin et l’écologie sociale

Une biographie intellectuelle

Vincent Gerber | Collection Régulière | 180 pages

Préface de Jean-François Filion

Pionnier de l'écologie politique, Murray Bookchin demeure malheureusement encore trop peu connu du grand public. Pourtant, l’homme a anticipé, dans les années 1950-60, des problèmes environnementaux et de santé très concrets. Mais il fut surtout un des premiers penseurs à intégrer la dimension sociale et politique à la question écologique et à envisager l’écologie comme levier d’opposition au capitalisme.

Père de l’écologie sociale, Bookchin partait du postulat que nos rapports de domination se transposent dans notre relation avec la nature. L’établissement d’une société écologique passe donc nécessairement par la résolution de nos problèmes sociaux. Reconnu comme l’un des derniers théoriciens de l’anarchisme, il a ainsi proposé de nouveaux modèles d’organisation sociale, que ce soit le municipalisme libertaire ou le communalisme.

Depuis sa mort, en 2006, aucun ouvrage couvrant l’ensemble de sa pensée ne lui avait été consacré dans l’espace francophone. Murray Bookchin et l’écologie sociale vient combler ce vide. Choisissant le mode de la biographie intellectuelle, Vincent Gerber croise les événements biographiques de Bookchin avec l’évolution de sa pensée au fil du temps. Il offre ainsi une vue d’ensemble claire, synthétique mais aussi critique de l’écologie sociale, tout en analysant les thèmes qui traversent ce mouvement d’écologie radicale : décentralisation, démocratie directe, technologies et villes à échelle humaine, etc.
Car comme le dit l’auteur, « réactualiser Bookchin, c’est apporter des pistes de réflexion et des arguments aux débats et questionnements qui vont occuper nos sociétés durant les prochaines décennies ».

Écologie Écologie sociale Savoir rêver

Vincent Gerber

Historien de formation, Vincent Gerber vit en Suisse et est le fondateur de la plateforme Internet Écologie sociale.ch, un portail francophone sur l’écologie sociale. Murray Bookchin et l’écologie sociale. Une biographie intellectuelle est son premier livre.

 

---Qu'on m'explique...

Les tronches des nanas...

"Murray Bookchin et l’écologie sociale

"Pionnier de l'écologie politique, Murray Bookchin demeure malheureusement encore trop peu connu du grand public. Pourtant, l’homme a anticipé, dans les années 1950-60, des problèmes environnementaux et de santé très concrets. Mais il fut surtout un des premiers penseurs à intégrer la dimension sociale et politique à la question écologique et à envisager l’écologie comme levier d’opposition au capitalisme...."

 Morfou là vous me mettez un lien concernant une personne ayant vécu au 20ème siècle (années 1950/1960)... Il est mort en 2006.

Sans vous offenser je vous signale que la Commune c'était au 19ème siècle (les années 1870) ... je n'ai pas souvenir d'avoir lu qu'on s'intéressait a l'écologie sociale ... c'était purement social les revendications et ces ouvriers (majoritaires) voulaient "une République" ... et non plus ni Monarchie ni Empire .... Certes beaucoup d'utopie quand on voit ce que les générations suivantes ont fait de leur idéal républicain ... depuis combien de guerres (déjà 2 mondiales ...) et les inégalités et la pauvreté sont toujours au rendez-vous ! Vous voudriez revenir a la Monarchie de droit divin ou au despotisme des deux Napo ?

Pour les nanas ... c'est grâce a elles que vous et moi avons une vie de femmes libres ... elles ont débroussaillé les chemins pour celles qui ont pris la suite !

Bonne soirée

Il y a 1 heure, Morfou a dit :

 

 

---Qu'on m'explique...

Les tronches des nanas...

             Maintenant c'est Corinne Masièro l'héritière de la commune:! 

il y a 7 minutes, new caravage a dit :

             Maintenant c'est Corinne Masièro l'héritière de la commune:! 

Elle pourrait, La Commune était laïque 35 ans avant son instauration !

https://www.fnlp.fr/2021/03/20/hier-comme-aujourdhui-la-libre-pensee-defend-corinne-masiero/

il y a 13 minutes, new caravage a dit :

             Maintenant c'est Corinne Masièro l'héritière de la commune:! 

Rien a voir ... c'est faire injure a ces nanas pionnières !

il y a 3 minutes, dede 2b a dit :

Elle pourrait, La Commune était laïque 35 ans avant son instauration !

https://www.fnlp.fr/2021/03/20/hier-comme-aujourdhui-la-libre-pensee-defend-corinne-masiero/

Massiéro c'est de la provoc et de la vulgarité en prime ... elle ne défend que son domaine "le cinéma" ...

On n'en fera pas une héroïne  !!!

il y a 19 minutes, ouest35 a dit :

Rien a voir ... c'est faire injure a ces nanas pionnières !

 

Massiéro c'est de la provoc et de la vulgarité en prime ... elle ne défend que son domaine "le cinéma" ...

On n'en fera pas une héroïne  !!!

Relisez le post de notre révolutionnaire plus haut!

                    Pauvre gauche:

il y a 3 minutes, new caravage a dit :

Relisez le post de notre révolutionnaire plus haut!

                    Pauvre gauche:

Là je viens de faire 5kms200 ... c'est le marathon que vous me proposez

il y a 47 minutes, dede 2b a dit :

Bah pourquoi elle est pas au PS et le PS n'est pas membre de la 2ème Internationale comme bien des dirigeants de La Commune ?

Elle est pour la soumission de la France à l'union européenne.

Les communards étaient pour la France.

il y a 8 minutes, Pensée philo a dit :

Les communards étaient pour la France.

Non pour l'Internationalisme prolétarien via la République Sociale !

"Il est deux catégories de Français qui ne comprendront jamais l'histoire de France : ceux qui refusent de vibrer au souvenir du sacre de Reims ; ceux qui lisent sans émotion le récit de la fête de la Fédération. " (Marc Bloch)

Il y a 6 heures, new caravage a dit :

             Maintenant c'est Corinne Masièro l'héritière de la commune:! 

Le nom ne me disait rien...j'aurais mieux de continuer à l'ignorer!

Il y a 6 heures, ouest35 a dit :

Murray Bookchin et l’écologie sociale

Une biographie intellectuelle

Vincent Gerber | Collection Régulière | 180 pages

Préface de Jean-François Filion

Pionnier de l'écologie politique, Murray Bookchin demeure malheureusement encore trop peu connu du grand public. Pourtant, l’homme a anticipé, dans les années 1950-60, des problèmes environnementaux et de santé très concrets. Mais il fut surtout un des premiers penseurs à intégrer la dimension sociale et politique à la question écologique et à envisager l’écologie comme levier d’opposition au capitalisme.

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"Murray Bookchin et l’écologie sociale

"Pionnier de l'écologie politique, Murray Bookchin demeure malheureusement encore trop peu connu du grand public. Pourtant, l’homme a anticipé, dans les années 1950-60, des problèmes environnementaux et de santé très concrets. Mais il fut surtout un des premiers penseurs à intégrer la dimension sociale et politique à la question écologique et à envisager l’écologie comme levier d’opposition au capitalisme...."

 Morfou là vous me mettez un lien concernant une personne ayant vécu au 20ème siècle (années 1950/1960)... Il est mort en 2006.

Sans vous offenser je vous signale que la Commune c'était au 19ème siècle (les années 1870) ... je n'ai pas souvenir d'avoir lu qu'on s'intéressait a l'écologie sociale ... c'était purement social les revendications et ces ouvriers (majoritaires) voulaient "une République" ... et non plus ni Monarchie ni Empire .... Certes beaucoup d'utopie quand on voit ce que les générations suivantes ont fait de leur idéal républicain ... depuis combien de guerres (déjà 2 mondiales ...) et les inégalités et la pauvreté sont toujours au rendez-vous ! Vous voudriez revenir a la Monarchie de droit divin ou au despotisme des deux Napo ?

Pour les nanas ... c'est grâce a elles que vous et moi avons une vie de femmes libres ... elles ont débroussaillé les chemins pour celles qui ont pris la suite !

Bonne soirée

 

C'est au sujet du mot "communalisme"...

Quant à ces nanas, vu la vie qu'elles ont vécu, j'ai du mal à croire que nous leur devions quoi que ce soit...

      Jean Ferrat il y a 50 ans a fait une très belle chanson sur la commune :

                      Jean Ferrat - La commune - YouTube

           C'ètait il y a 50 ans pour le centenaire ,une autre époque ou les communistes et leurs "compagnons de route" soutenaient un réel mouvement culturel de qualité .

Il y a 13 heures, dede 2b a dit :

Non pour l'Internationalisme prolétarien via la République Sociale !

ça c'est un slogan !

mais dans les faits, les communards étaient patriotes, refusaient la défaite et la perte de l'Alsace-Lorraine. Le soulèvement démarre d'ailleurs lorsque Thiers envisage de confisquer les canons de la Garde nationale le 18 mars 1871. Non seulement ils n'étaient pas internationalistes, mais ils constituaient même le dernier carré de patriotes à la posture confinant au nationalisme revanchard. Prêts à se substituer à un pouvoir d'incompétents qui avait conduit le pays à la reddition.

Question profil social, les communards étaient plus représentatifs du monde de l'artisanat et des préoccupations humanistes de la petite bourgeoisie urbaine que d'un prétendu collectivisme ouvrier. Ils étaient productivistes dans l'espoir de redistribuer les gains, ne prônaient pas l'anéantissement du capitalisme et étaient attachés à la propriété privée.

il y a 12 minutes, Garlaban a dit :

dans les faits, les communards étaient patriotes, refusaient la défaite et la perte de l'Alsace-Lorraine. Le soulèvement démarre d'ailleurs lorsque Thiers envisage de confisquer les canons de la Garde nationale le 18 mars 1871. Non seulement ils n'étaient pas internationalistes, mais ils constituaient même le dernier carré de patriotes à la posture confinant au nationalisme revanchard. Prêts à se substituer à un pouvoir d'incompétents qui avait conduit le pays à la reddition.

Hé non!

Le 12 juillet 1870, face aux menaces de guerre, les sections parisiennes de l’Internationale s’adressent à leurs « frères d’Allemagne » en leur disant que «  nos divisions n’amèneraient des deux côtés du Rhin que le triomphe complet du despotisme  ». Elles ne sont pas entendues et la guerre franco-prussienne voulue par Bismarck et Napoléon III éclate.

Les Internationalistes, dont les principaux dirigeants sont sortis de prison ou revenus d’exil, vont s’impliquer, à partir du 4 septembre 1870, dans les luttes pour une République démocratique et sociale, pour la défense de Paris assiégé. Ils s’engagent nombreux dans la Garde nationale et beaucoup de leurs responsables sont élus officiers de leur bataillon. Dès le 5 septembre, ils se méfient du gouvernement dit de Défense nationale qui siège à l’Hôtel-de-Ville, ce qui les incite à mettre en place et animer dans les arrondissements des Comités de vigilance républicaine, lesquels se fédèrent dans le Comité central républicain des vingt arrondissements qui siège à la Corderie dans les locaux de l’Internationale.

il y a 15 minutes, Garlaban a dit :

Question profil social, les communards étaient plus représentatifs du monde de l'artisanat et des préoccupations humanistes de la petite bourgeoisie urbaine que d'un prétendu collectivisme ouvrier.

Sur les quatre-vingt-huit élus de l’assemblée communale, vingt-cinq sont des ouvriers et trente-huit membres de l’Internationale.

En effet, mais le monde ouvrier de l'époque était inculte et préférait élire des gens cultivés soucieux de défendre leurs droit, ce qui est logique!

La petite bourgeoisie de l'époque n'était pas très humaniste, tu veux la description de ce qu'était le quotidien de l'ouvrier à cette époque, quand des gosses de 6 ans tiraient des chariots dans les mines ? (*)

https://www.commune1871.org/la-commune-de-paris/histoire-de-la-commune/evenements/la-commune-de-paris/histoire-de-la-commune/chronologie-au-jour-le-jour/466-la-commune-et-la-premiere-internationale

(*) https://www.monde-diplomatique.fr/publications/manuel_d_histoire_critique/a53150

il y a 51 minutes, dede 2b a dit :

Hé non!

Que des membres de l'Internationale aient siégé en nombre à L'Assemblée communale c'est également un fait. Par contre, comme tu l'as rappelé toi-même un peu plus haut dans ce topic, la 1ère Internationale était loin d'être un front uni. Au sein de la Commune les transfuges du courant centralisateur, autoritaire et collectiviste était très minoritaires par rapport à celui réformiste qui privilégiait les mesures sociales.

D'autre part, à titre comparatif Lénine en 1917 a axé sa stratégie de conquête du pouvoir sue la paix immédiate avec l'Allemagne quelle qu'en soit les conditions (jusqu'à la perte d'1/3 du territoire)... Chez les communards rien de tel. Ils se présentaient même comme les revanchards refusant la capitulation et la perte de l'Alsace-Lorraine. Les quelques appels en faveur de la fraternisation avec l'ennemi allemand et les frères soldats prolétaires sont restés lettre morte.

La Commune de Paris question internationalisme c'est zéro !