Un policier du Raid ramène à la raison un Kurde suicidaire

Il y a 4 heures, MarcThor a dit :

Oui et dans chacun de ces cas, sa vie va basculer ( ne plus revoir son enfant , quitter le pays...), et s'il est fragile et ne connait rien à la parerasse comme tu dis, le suicide lui est apparu comme étant la solution...

Bsr Marc Thor, 

Si je puis me permettre alors, le suicide, c'est surtout une solution pour sa compagne, voire son épouse. 

a+

à l’instant, Abu nuwas a dit :

Bsr Marc Thor, 

 

Si je puis me permettre alors, le suicide, c'est surtout une solution pour sa compagne, voire son épouse. 

 

a+

Bonsoir Abu nuwas.

"Si je puis me permettre alors, le suicide, c'est surtout une solution pour sa compagne, voire son épouse." 

Méfie-toi , d'autres ont essayé le deuxième degré ( l'auteur semble-t-il ,ici-même)  et ont prêté le flanc à des accusations...

Si tu avais dit ici (pour une dame ayant tenté de se suicider) même au 10ème degré :

"Si je puis me permettre alors, le suicide, c'est surtout une solution pour son compagnon, voire son époux".

... Tu aurais vu le déferlement !

Bonne soirée!

Il y a 5 heures, hanss a dit :

Il s’agit d’un Kurde de 44 ans, ex-conjoint d’une Française et père d’un enfant français, désespéré car en situation irrégulière sur le territoire national. Ce dernier aurait eu des papiers en 2010 mais, depuis, n’a pas régularisé sa situation. Il est d’ailleurs en attente d’un rendez-vous pour voir son dossier examiné par les services de la préfecture.

 

Quelque chose ne va pas dans les éléments. 
Si il est père d’un enfant né en France, il a du avoir sa carte de résident de 10 ans et elle se renouvelle très facilement. 

Il ne peut pas être en situation irrégulière avec un enfant né en France. 

Bsr hanss, 

Ne pas être en situation irrégulière avec un enfant né en France, malheureusement si. Enfin, il fût un temps, mais pas aujourd'hui apparemment. Les lois changent en fonctions des gouvernement en place. 

a+

il y a 18 minutes, riad** a dit :

Non je plaisante pas, je suis sérieux, j'arrive pas à comprendre comment vous réfléchissez, et ça m'énerve parce que non seulement ce que vous dites est inadmissible, mais en plus vous en parler normalement, comme si c'était une vertu de souhaiter la mort à des gens qu'on connaisse pas simplement parce que ce sont des étrangers.

", comme si c'était une vertu de souhaiter la mort à des gens qu'on connaisse pas simplement parce que ce sont des étrangers."

J'ai écrit cela, moi ????????????????????????????????????????????????????????????????????????Tu me connais mal...M'as-tu lu écrire un propos raciste?????

Relis-moi: j'ai parlé de 3 choses pour l'essentiel ( nous avons certes fait un passage par l'honnêteté intellectuelle):

1) Du suicide dont ce monsieur a été heureusement sauvé et des causes qui l'avaient poussé à cette extremité ( enfant enlevé? Ne plus pouvoir le voir?).

2)De la question du racisme et du message ambigu( une seule fois,au conditionnel à propos de l'auteur, laissant à l'auteur le soin d'éclaircir sa pensée), je cite:

"Oui, l'amalgame n'est pas admissible . On aurait pu critiquer cela. Il aurait pu (à raison?) invoquer la fréquence des violences commises par des personnes élevées dans une autre culture que républicaine. Nous aurions pu rétorquer que , même si ces données statistiques étaient réelles, elles ne sauraient servir de base à la critique d'un individu ( non responsable des actes des autres), quelle que soit sa "race" (concept non scientifique foireux en passant), sa religion (ou absence de religion) , son sexe ( et là, il y en aurait à dire !!!) , son orientation sexuelle etc ou toute appartenance à un quelconque groupe correspondant à une particularité..."

3) Essentiellement, le reste du temps, du fait de dialoguer avec l'auteur , de lever les ambiguïtés sur le racisme, plutôt que de le dénigrer sans dialogue et sans le laisser s'expliquer  etc notamment ,je cite:

"Cependant, le dénigrer n'est pas une chose tolérable; argumenter, donner un autre point de vue, l'étayer, est à la fois plus efficace et plus correct.

Je cite une phrase connue ( de Voltaire ou de l'un de ses avocats)recopiée sur autre sujet auquel nous avons tous deux participé( ouais, j'men souviens!):

Voltaire: "  Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire »"

il y a 10 minutes, MarcThor a dit :

Bonsoir Abu nuwas.

"Si je puis me permettre alors, le suicide, c'est surtout une solution pour sa compagne, voire son épouse." 

Méfie-toi , d'autres ont essayé le deuxième degré ( l'auteur semble-t-il ,ici-même)  et ont prêté le flanc à des accusations...

Si tu avais dit ici (pour une dame ayant tenté de se suicider) même au 10ème degré :

"Si je puis me permettre alors, le suicide, c'est surtout une solution pour son compagnon, voire son époux".

... Tu aurais vu le déferlement !

Bonne soirée!

Bsr Marc Thor, 

Maintenant je vous livre mon véritable point de vue, le suicide, c'est juste une fuite en avant pour fuir ses responsabilité. 

Dans le passé j'ai connu une personne qui voulait aussi ce suicider, parce qu'il n'avait pas la garde de son fils. Il est monté au sommet d'un échafaudage e' menaçant de se balancer. Les flics sont arrivé et lui on demandé de descendre. Il a répondu oui, tout de suite. Bref il avait envie d'évoquer son cas particulier sans avoir l'envie de mettre fin à ses jours. Toujours est-il que depuis l'eau à coulé sous les ponts, le père profite de son fils. Mais il aurait préféré en profiter un peu plus quand il était plus jeune. 

a+

il y a 11 minutes, Abu nuwas a dit :

Bsr hanss, 

 

Ne pas être en situation irrégulière avec un enfant né en France, malheureusement si. Enfin, il fût un temps, mais pas aujourd'hui apparemment. Les lois changent en fonctions des gouvernement en place. 

 

a+

La femme enceinte qui accouche sur le sol français aura plus facilement accès aux droits de toute façon,  pour les hommes il y a plusieurs autres facteurs et cela peut en effet se corser quand ils ne sont plus avec la conjointe française ou qu’il n’y a pas de mariage civil.

Il y a 1 heure, riad** a dit :

Comprendre quoi? il y a combien de cinglé sur ce forum? tu veux qu'on tue les gens par peur qu'ils commettent des crimes?

Il n'y a rien à comprendre à part que vous êtes complétement stupides.

On ne les tue pas, on les laisse se suicider si tel est leur désir, nuance!

il y a 41 minutes, MarcThor a dit :

"Cependant, le dénigrer n'est pas une chose tolérable; argumenter, donner un autre point de vue, l'étayer, est à la fois plus efficace et plus correct.
 

Non je n'ai pas lu tes réponses, j'ai participé au début du sujet, nous étions trois personnes : deux êtres humains et une animatrice, à s'indigner devant l'incohérence du titre et l'auteur du sujet n'a montré aucune souplesse d'esprit, si t'avais lu l'ancien titre tu comprendrais

il y a 22 minutes, puceau a dit :

On ne les tue pas, on les laisse se suicider si tel est leur désir, nuance!

Faut quand même leur donner un coup de main s'ils n'arrivent pas ou s'ils  ne veulent pas se suicider, non?

il y a 6 minutes, Abu nuwas a dit :

Bsr Marc Thor, 

 

Maintenant je vous livre mon véritable point de vue, le suicide, c'est juste une fuite en avant pour fuir ses responsabilité. 

Dans le passé j'ai connu une personne qui voulait aussi ce suicider, parce qu'il n'avait pas la garde de son fils. Il est monté au sommet d'un échafaudage e' menaçant de se balancer. Les flics sont arrivé et lui on demandé de descendre. Il a répondu oui, tout de suite. Bref il avait envie d'évoquer son cas particulier sans avoir l'envie de mettre fin à ses jours. Toujours est-il que depuis l'eau à coulé sous les ponts, le père profite de son fils. Mais il aurait préféré en profiter un peu plus quand il était plus jeune. 

 

a+

 

 

Bonsoir Abu nuwas.

Oui, le suicide (ou la tentative de suicide ) n'est malheureusement pas rare pour ces pères privés de leur enfant, parfois de manière inhumaine et sordide; il y en a quelque 1300 chaque année selon une estimation faite après une enquête auprès des tribunaux s'occupant d'affaires familiales, du sociologue Eric VERDIER (spécialiste des suicides).C'est pour cela que j'ai de suite pensé à cette raison lorsque j'ai lu qu'il était père d'un enfant de 10 ans. Heureusement , cela a bien évolué pour la personne que tu évoques, même s'il a été beaucoup privé auparavant de son fils...

Nous sommes encore loin de l'égalité hommes-femmes sur les questions familiales ;une nouvelle loi est prévue: la loi 3163-j'avais ouvert un sujet, mais certains lobbys vont, comme par le passé, sans doute  tenter de la faire rester aux oubliettes...

J' ai connu des cas très difficiles parmi mes connaissances, notamment un collègue (et 2 cas "très similaires"); il est rentré un soir (il pensait vivre l'amour parfait avec son épouse et son fils) et sa femme lui a dit : "Je vais partir à ...avec ...(rencontré dans le cadre des activités du fils); tu pourras venir le voir 2 jours toutes les deux semaines, ce sera comme ça (plus quelques conditions financières, raisonnables)...sinon ,je t'accuserai de maltraitance à mon égard -nous en avons parlé avec mon avocat, ce sera ta parole contre la mienne, je gagnerai et tu ne le verras plus..."...Il a accepté le diktat...J'ai craint qu'il en vienne au suicide ( finalement , il se déplace un WE sur deux à l'autre bout de la France...a "refait sa vie" quelques années ensuite...a déménagé...) mais je sentais qu'à cette époque, il était "au bord" ...

Oui, certaines personnes tentent de se suicider sans oser aller "jusqu'au bout"; les hommes représentent 75 pour cent des suicides.

Heureusement pour ce monsieur évoqué ici, que ce soit grâce au policier ou parce qu'il ne serait pas allé jusqu'au bout, que le pire n'est pas arrivé...Avec de la chance, il pourra rester ici et retrouver son enfant; on peut l'espérer.

Bonne soirée.

il y a une heure, Misery a dit :

Qu'est-ce que tu ne comprends pas ? Depuis le début, je ne parlais que de ce qui s'est passé dernièrement : le directeur tué et le kurde qui voulait se suicider et qui a été sauvé par un policier. 

Parce que le titre d'origine qui disait qu'il ne fallait pas le sauver parce qu'il risquait de tuer une autre personne alors que ce sont 2 affaires différentes, ça voulait bien dire ce que ça voulait dire 

N'en parlons plus...

Notre différence vient du fait que , même si un propos ( au 1er ou au 2ème degré, clair ou ambigu) va à l'encontre de mes idées, je préfère laisser, dialoguer et argumenter , tenter de convaincre.

Qui sait, un jour, à froid ( sans rancune de ma part), sur un sujet connexe ( comme celui du meurtre du jeune Kevin CHAVATTE,17ans,  assassiné de 37 coups de couteaux par son ex éconduite et un complice qu'elle a manipulé pour l'aider dans son" entreprise" -j'avais ouvert un sujet quand j'avais vu que le procès s'était déroulé) tu me diras peut-être comment tu trouves, à poster Iori, ta participation au sujet "Lyon etc"...

Sur ce sujet-ci, espérons une issue heureuse pour ce monsieur sauvé du suicide: retrouver son enfant, obtenir ses papiers pour rester chez lui, pouvoir continuer de voir son enfant...que cette tentative heureusement avortée ne soit plus qu'un mauvais souvenir.

il y a une heure, Misery a dit :

 

Parce que le titre d'origine qui disait qu'il ne fallait pas le sauver parce qu'il risquait de tuer une autre personne alors que ce sont 2 affaires différentes, ça voulait bien dire ce que ça voulait dire 

Un détail qui peut avoir son importance. Au-delà de falsifier un titre officiel d'un journal connu, le journaliste est en droit de se plaindre. Dans le jargon, cela s'appelle, faux et usage de faux.

Le Forum risque gros.

il y a 37 minutes, riad** a dit :

Non je n'ai pas lu tes réponses, j'ai participé au début du sujet, nous étions trois personnes : deux êtres humains et une animatrice, à s'indigner devant l'incohérence du titre et l'auteur du sujet n'a montré aucune souplesse d'esprit, si t'avais lu l'ancien titre tu comprendrais

Faut quand même leur donner un coup de main s'ils n'arrivent pas ou s'ils  ne veulent pas se suicider, non?

Quand je disais que vous avez une âme de comique

il y a 46 minutes, MarcThor a dit :

Bonsoir Abu nuwas.

Oui, le suicide (ou la tentative de suicide ) n'est malheureusement pas rare pour ces pères privés de leur enfant, parfois de manière inhumaine et sordide; il y en a quelque 1300 chaque année selon une estimation faite après une enquête auprès des tribunaux s'occupant d'affaires familiales, du sociologue Eric VERDIER (spécialiste des suicides).C'est pour cela que j'ai de suite pensé à cette raison lorsque j'ai lu qu'il était père d'un enfant de 10 ans. Heureusement , cela a bien évolué pour la personne que tu évoques, même s'il a été beaucoup privé auparavant de son fils...

Nous sommes encore loin de l'égalité hommes-femmes sur les questions familiales ;une nouvelle loi est prévue: la loi 3163-j'avais ouvert un sujet, mais certains lobbys vont, comme par le passé, sans doute  tenter de la faire rester aux oubliettes...

J' ai connu des cas très difficiles parmi mes connaissances, notamment un collègue (et 2 cas "très similaires"); il est rentré un soir (il pensait vivre l'amour parfait avec son épouse et son fils) et sa femme lui a dit : "Je vais partir à ...avec ...(rencontré dans le cadre des activités du fils); tu pourras venir le voir 2 jours toutes les deux semaines, ce sera comme ça (plus quelques conditions financières, raisonnables)...sinon ,je t'accuserai de maltraitance à mon égard -nous en avons parlé avec mon avocat, ce sera ta parole contre la mienne, je gagnerai et tu ne le verras plus..."...Il a accepté le diktat...J'ai craint qu'il en vienne au suicide ( finalement , il se déplace un WE sur deux à l'autre bout de la France...a "refait sa vie" quelques années ensuite...a déménagé...) mais je sentais qu'à cette époque, il était "au bord" ...

Oui, certaines personnes tentent de se suicider sans oser aller "jusqu'au bout"; les hommes représentent 75 pour cent des suicides.

Heureusement pour ce monsieur évoqué ici, que ce soit grâce au policier ou parce qu'il ne serait pas allé jusqu'au bout, que le pire n'est pas arrivé...Avec de la chance, il pourra rester ici et retrouver son enfant; on peut l'espérer.

Bonne soirée.

Bsr Marc Thor, 

Ce qui est bien malheureux, un enfant à besoin de son père ret de sa mère pour se construire. Avec mon épouse on s'est toujours promis qu'en cas de séparation, les enfants ne seront pas notre cheval de bataille. Toujours est-il qu'après 30 ans de mariage, la fille est partie vivre sa vie, ils nous reste plus que le garçon qui lui aussi devrait partir d'ici 3 ans quand il aura fini ses études. Et avec mon épouse on se demande, même si l'on s'entend bien si l'on continuera à vivre ensemble après le départ du second. Ce qui serait le comble de l'ironie, se séparer parce que nous n'avons plus d'enfants. 

Maintenant pour en revenir à ce monsieur, le flic, à travers le dialogue a su décanter l'affaire. Ce qui est très bien. 

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Il y a 1 heure, hanss a dit :

La femme enceinte qui accouche sur le sol français aura plus facilement accès aux droits de toute façon,  pour les hommes il y a plusieurs autres facteurs et cela peut en effet se corser quand ils ne sont plus avec la conjointe française ou qu’il n’y a pas de mariage civil.

Bsr hanss, 

J'entends bien, et j'ai juste rappelé que la loi changeait en fonction du gouvernement. Je me rappel d'un couple, etranger, l'épouse accouche sur le sol français, mais quelques temps plus tard ce couplé a du retourner au pays avec sa progéniture, et bien des années plus tard, le fils, puisque né en France est revenu et il y vie, ses parents étant toujours au pays. Je précise l'affaire ce déroulait à l'époque de Giscard d'Estaing. 

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