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Le masculinisme, ou comment faire reculer les femmes

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Membre, 50ans Posté(e)
MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 50ans‚
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il y a 32 minutes, Mórrígan a dit :

Vos commentaires habituels quant aux femmes fabulatrices -par défaut- dans le cadre du harcèlement, d'agressions sexuelles et de viols, suffisent. Ici, vous réaffirmez encore votre priorité : les hommes. 

En effet, l'idéologie d'extrême-droite considère les hommes d'abord (bien avant les enfants et les femmes). Toujours. Vous êtes simplement une suiviste, parmi d'autres (pas de panique). Peut-être vous extirperez-vous un jour de cette idéologue foncièrement misogyne. 

Sortons du cadre du bon vouloir, de l'arbitraire et des théories fumeuses : les demandes de résidence alternée ont doublé en l'espace de dix ans et sont majoritairement acceptées.

Les pédocriminels et autres pères violents sont destitués de l'autorité parentale (bien sûr qu'ils sont jugés). Par le biais de cette association notamment, des hommes font ce que l'on appelle communément un déni de justice (et vous avec alors que vous leur prêtez oreille attentive et compatissante). 

Frédérik Limol, qui a exécuté trois gendarmes en début de semaine et blessé grièvement un quatrième, après avoir violenté sa compagne et mis le feu au logement, était aussi connu de la Justice et des forces de l'Ordre, alors qu'il multipliait les procédures judiciaires à l'encontre de son ex-femme, qu'il violentait également, refusait de régler la pension alimentaire pour sa fille et exerçait son droit de visite de façon aléatoire. 

C'est ce que l'on appelle le terme adéquat (plaignez-vous auprès du journal et de l'Académie française).

Et pourtant, des PUA ont bien été condamnés (cf pages précédentes) à des peines de prison et une interdiction de territoire notamment, dans plusieurs pays. D'autres, le seront, inévitablement. 

De façon générale, il y un souci avec l'usage que certains font d'Internet, s'octroyant des droits qui n'ont jamais existé, sous couvert de liberté d'expression (celui de menacer de viol, de mort, celui de faire l'apologie de crimes...) mais aussi avec la modération démissionnaire/inexistante de certaines plateformes (Twitter, Youtube etc...). Les réseaux sociaux sont des amplificateurs et des vecteurs de haine, sans aucun doute. 

Pour rappel :

Seront punis de cinq ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende ceux qui, par l'un des moyens énoncés à l'article précédent, auront directement provoqué, dans le cas où cette provocation n'aurait pas été suivie d'effet, à commettre l'une des infractions suivantes :

1° Les atteintes volontaires à la vie, les atteintes volontaires à l'intégrité de la personne et les agressions sexuelles, définies par le livre II du code pénal ;

2° Les vols, les extorsions et les destructions, dégradations et détériorations volontaires dangereuses pour les personnes, définis par le livre III du code pénal.

Ceux qui, par les mêmes moyens, auront directement provoqué à l'un des crimes et délits portant atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation prévus par le titre Ier du livre IV du code pénal, seront punis des mêmes peines.

Seront punis de la même peine ceux qui, par l'un des moyens énoncés en l'article 23, auront fait l'apologie des crimes visés au premier alinéa, des crimes de guerre, des crimes contre l'humanité ou des crimes et délits de collaboration avec l'ennemi.

Seront punis des peines prévues à l'alinéa précédent ceux qui, par ces mêmes moyens, auront provoqué à la haine ou à la violence à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle ou de leur handicap ou auront provoqué, à l'égard des mêmes personnes, aux discriminations prévues par les articles 225-2 et 432-7 du code pénal.

https://www.legifrance.gouv.fr/loda/article_lc/LEGIARTI000006419715/2012-06-28/

Le droit permet à des individus fondamentalement différents de pouvoir vivre, en société. C'est un temporisateur. Ces PUA ne le respectent clairement pas. Ils sont donc selon votre terme -des plus charmants- "ennemis" de la société. Personnellement, je les considère davantage comme les délinquants, qu'ils sont. 

Vos droits et libertés n'ont pas à surpasser les miens (et inversement), au motif que vous êtes un homme et moi une femme. Nous avançons peu à peu vers une société plus équilibrée et harmonieuse. Des hommes (et quelques femmes) populistes, réac, n'ont plus ce qu'ils veulent (une société archaïque) ce qui génère chez eux inconfort et palpitations.

Et si finalement il ne s'agissait pas d'une crise de la masculinité, davantage celle du machisme ? 

Ces réactions profondément anti-féministes n'ont rien de nouveau. Ses premières manifestations les plus radicales, dateraient de la fin du Moyen-Âge, pour s'épanouir surtout lors de la Renaissance. Le masculiniste n'est ni plus ni moins qu'un anti-féminisme, quel que soit le terme que l'on y appose (masculisme, hominisme, mennisme, anti-choix, etc...), c'est toujours quand même bien de l'anti-féminisme. Féminisme et anti-féminisme sont plutôt intéressants à étudier. Ils nous renseignent sur l'évolution de nos sociétés.

Encore un "amoureux" des femmes :

"Détenteur d'un master en psychologie à l'université Paris Descartes, Léo revendique une approche scientifique de la séduction, basée sur la biologie et la psychologie évolutionniste. Mais son «art» est aussi fortement irrigué par les leçons d'idéologues, Éric Zemmour et Alain Soral en tête. Ces références, le psychologue les ingère dès ses 17 ans. Il rejoint à cette époque le très select Cercle des Players Parisiens, un légendaire réseau de dragueurs de rue de Paris, dont les quarante membres, élus sur cooptation, compulsent les livres de Soral, de Sociologie du dragueur  Confessions d'un dragueur. Dans ces bibles du genre, on peut lire ce type de conseils: «Plus vous entrerez sèchement, plus votre sentiment de la pénétrer sera fort. Quant à elle, son plaisir étant parent de la douleur, croyez qu'elle appréciera ce surcroît de virilité.»

Dans un café Starbucks du Nord de la capitale, Léo se remémore l'âge d'or du Cercle des Players, à base d'orgies et de clubs BDSM: «C'étaient des gros queutards, ils filmaient des trucs, c'était chaud.» […]

Comme un fils spirituel, Léo recommande chaudement la lecture des livres antiféministes de Soral à ses ouailles, à l'instar d'autres titres de Kontre-Kulture, la maison d'édition de l'essayiste. Féroce détracteur de la féminisation, le psychologue propose même à ses membres un guide d'autodéfense contre le féminisme, qu'il associait tout net, en 2017, à un «régime totalitaire, au même titre que le communisme et le nazisme». […]

En privé, sur le forum des Philogynes, où chacun tient son journal de bord à jour et où quelques-uns postent même des enregistrements de leurs interactions avec des filles, le chef commente les progrès des uns et des autres. Et le ton change. «Devenez un sale pervers», écrit-il à l'impératif, déplorant que les hommes aient perdu cette aptitude naturelle «à force de rabâchements féministes». De l'abordage dans la rue aux coups de reins sous les draps, Léo a des philtres d'amour adaptés à chaque situation: «D'expérience, au lit, j'ai remarqué que les filles étaient les plus excitées (à la limite de l'hystérie) quand elles se sentaient dominées, écrasées, souillées durant l'acte sexuel.» Au bas de chacun de ses messages, sa devise: «Volez la chatte des vierges et le cœur des salopes.» […]

http://www.slate.fr/story/194840/bonnes-feuilles-grands-remplaces-enquete-paul-conge-immersion-coachs-seduction-hommes-menaces-femmes-misogynes-antifeministe-viol

Restée dans les annales, votre entrée en matière sur forumfr :

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https://www.forumfr.com/sujet774985-il-ny-aucun-mouvement-masculin-contre-le-féminisme.html?page=8

Le reste de vos interventions ne relèvent guère le niveau. Vous cochez toutes les cases de l'anti-féminisme, sans le moindre doute. 

Ce n'est pas la première fois que vous faites la promotion de ce documentaire, le perroquet masculiniste, documentaire qualifié de propagande misogyne, annulé dans plusieurs États, dont le financement et on ne peut plus trouble, et l'actrice plutôt mauvaise :

"Parmi les les figures de proue des MRA interrogées par Cassie Jaye dans le documentaire, il y a Paul Elam, fondateur de "A voice for men", un site militant qui propose "une contre-théorie humaniste à l'âge de la misandrie".

On peut trouver sur sa chaîne Youtube des vidéos intitulées "Facebook whores" ("les putes de Facebook"), ou encore "Teach a woman to be accountable in 5 steps" ("Apprendre à une femme à être responsable en 5 étapes").

On peut aussi y entendre Harry Couch, président de l'association National Coalition for Men, qui milite entre autres contre les "fausses victimes de viols" sur les campus américains.

 

Par ailleurs, l’organisme qui a organisé la diffusion du documentaire est la "Canadian association for Equality", une organisation qui milite pour la cause des hommes.

L'association a par exemple fait la promotion de Warren Farell, activiste et conférencier, considéré comme le "père des mouvements des hommes" auteur de "The Myth of male power" ("Le mythe de la domination masculine") et "Why men earn more" ("Pourquoi les hommes gagnent plus") qui relativise les inégalités salariales : deux best-sellers considérés comme fondateurs de la pensée masculiniste.

Suite à la controverse, les organismes qui subventionnaient le film ont coupé les fonds, obligeant Cassie Jaye à appeler au financement participatif, qui a été très largement couvert par les militants et relayé par des sites pro-MRA comme Breitbart. Milo Yiannopoulos, journaliste de celui-ci, banni de Twitter pour ses propos haineux (envers des féministes notamment), fait l'éloge du documentaire et relaie le crowdfunding. Déprogrammé un peu partout aux États-Unis, le film se rabat depuis ce mercredi, sur le streaming. (Environ quatre dollars la location. Si vous n'avez jamais vu un masculiniste, ce qui est peu probable, ça peut valoir le coup.)"

https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-nos-vies-connectees/20170207.OBS4984/the-red-pill-le-docu-masculiniste-qui-s-accroche.html

 

Merci pour le fou rire. Si on parlait du financement des néoféministes?

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Membre, 50ans Posté(e)
MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 50ans‚
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Un autre phénomène important à prendre en compte dans les inégalités en justice familiale: les fausses allégations de maltraitance sont devenues, en occident, Une "arme absolue" (le plus souvent utilisée, et ce impunément pour exclure un père, dans quelques cas, une mère).

Comme dit l'article qui suit: il n'est même pas besoin que le stratagème fonctionne dans la durée; il suffit qu'il permette assez longtemps d'éloigner un parent ( dans l'immense majorité des cas: un père) de ses enfants puis pratiquer la politique du "fait accompli".

Ce que ne dit pas l'article, c'est que, souvent, une simple menace d'utilisation de cette arme suffit; je connais personnellement 3 tels cas dont un collègue. " J'ai tout préparé avec mon avocat(e), si tu n'acceptes pas mes conditions, je dirai au juge que tu es un père maltraitant/ un mari violent..." suffit parfois à obtenir un divorce avec droit de garde en "consentement" mutuel...

L'article particulièrement  intéressant sur le sujet( traduit par Peggy SASTRE):

https://www.lepoint.fr/debats/fausses-accusations-de-maltraitances-conjugales-et-infantiles-l-arme-fatale-des-divorces-16-11-2019-2347785_2.php

Quelques extraits...

...: au début du divorce, l'un des parents va accuser à tort l'autre de violences sur sa personne et/ou celle de leurs enfants, et déclarer craindre de nouveaux abus. En fonction des pays et des juridictions, une simple déposition est parfois suffisante. Oubliez les droits de la défense, le témoignage d'un tiers ou des éléments de preuve ne sont pas nécessaires. À partir de là, la police va venir au domicile familial et demander au parent incriminé de quitter les lieux, parfois avec des mesures d'éloignement le privant de tout recours immédiat. Qu'importe ce qu'il ou elle a à dire pour sa défense, on lui enlèvera ses enfants pour des jours, des semaines, des mois. Parfois des années.

 

Englué au carrefour du droit de la famille et du droit pénal comme dans une fosse à bitume, le parent incriminé va vouloir se débattre et générer par la même occasion une hémorragie de frais juridiques sur deux fronts simultanés. Quand vous n'êtes pas millionnaire, cela signifie dormir sur le canapé d'amis et craindre la banqueroute. Risquer non seulement de perdre votre liberté, mais aussi votre foyer et vos enfants. Et se retrouver avec un casier judiciaire qui vous suivra jusqu'à la fin de votre vie. Rideau.

Pourquoi ces mensonges sont-ils une solution miracle ? Parce qu'ils marchent même lorsqu'ils échouent. Qu'importe que les accusations s'effondrent dans les semaines ou les mois qui suivent – il faut simplement qu'elles tiennent assez longtemps pour asséner un coup suffisamment fort et vous offrir ainsi la victoire dans la Blitzkrieg du divorce.

Dans la salle des machines du divorce, cette arme fatale est un secret de Polichinelle. Certains avocats peu scrupuleux la recommandent même à leurs clients. Les fausses accusations peuvent être brandies par l'un ou l'autre des parents, mais vu la direction des vents culturels actuels, l'arme se retrouve le plus souvent dans les mains d'une femme. Si une telle affirmation peut sembler controversée, elle ne l'est pas aux yeux de bien des avocats spécialistes de ces questions.

...

Une symétrie genrée qui dérange

Les violences domestiques sont un fléau social aux conséquences souvent terribles. Les hommes sont indéniablement plus violents que les femmes et représentent 80 % de la totalité des criminels violents condamnés aux États-Unis. L'horreur des violences conjugales et des maltraitances infantiles est désormais, et c'est heureux, au cœur de la moralité occidentale, avec l'élaboration de mécanismes juridiques solides offrant notamment à la police une latitude nécessaire pour protéger les femmes et les enfants des hommes dangereux. Par conséquent, les taux des violences familiales ne cessent de diminuer depuis des décennies. Aux États-Unis, les violences conjugales graves contre des femmes ont chuté de 72 % entre 1994 et 2011.

Cependant, les dynamiques des violences conjugales et familiales sont aussi surprenantes qu'elles sont sensibles. Les données indiquent que les femmes sont aussi, voire plus, susceptibles que les hommes d'introduire de la violence dans une relation. Par exemple, des enquêtes récentes révèlent qu'un pourcentage équivalent d'hommes et de femmes déclare avoir été victime de violences conjugales au cours de l'année précédente. La violence unidirectionnelle vise des hommes dans 70 % des cas. Des enfants sont tués par leur mère ou par leur père à peu près à la même fréquence.

Dans le climat social actuel, bien des lecteurs verront dans cette relative symétrie un fait aussi contre-intuitif qu'incroyable. De nombreux facteurs contribuent à rendre ces chiffres difficiles à appréhender et il faudrait un article supplémentaire pour les analyser avec le soin qu'ils requièrent. Je ne m'attarderai que sur un phénomène susceptible d'apaiser notre dissonance cognitive : si les hommes sont beaucoup plus violents (et ont tendance à causer des blessures plus graves en cas de rencontre violente à cause, entre autres facteurs, de leur force et de leur taille), la grande majorité de la violence masculine cible d'autres hommes et vise souvent à protéger des femmes et des enfants. Voilà à quoi incite la nature biologique du mâle lambda. Selon les chiffres, en Occident, le mode de vie le plus sûr pour une mère et ses enfants est un foyer partagé avec leur père biologique. Plus les chercheurs en sciences sociales étudient la violence entre partenaires intimes, plus il devient manifeste qu'il s'agit d'un problème humain, pas d'un problème de genre.

Voici une histoire statistique plus heureuse : les femmes occidentales ont atteint la parité d'une manière beaucoup plus positive. Aux États-Unis, par exemple, 57 % des femmes font maintenant partie de la population active, contre 69 % des hommes. Beaucoup plus de femmes obtiennent l'équivalent du bac et poursuivent avec succès des études supérieures. Soixante pour cent des diplômes universitaires de premier cycle et 52 % des doctorats sont obtenus par des femmes. Aujourd'hui, notre plus grand défi professionnel est de permettre l'égalité pour les mères qui travaillent et qui, pour des raisons que ne peuvent surmonter ni l'ingénierie sociale ni la force de la volonté, sont mieux équipées pour les tout premiers mois de la vie d'un enfant. Compte tenu de ces nouvelles réalités, on pourrait raisonnablement s'attendre à une relative parité sexuelle en matière de garde des enfants en cas de divorce. Mais non. Aux États-Unis, ce sont les mères qui initient le divorce dans 69 % des cas (90 % pour les femmes ayant fait des études) et elles obtiennent la garde des enfants dans au minimum 82,5 % des cas.

On assiste aussi à une symétrie croissante entre les sexes en matière financière. Aujourd'hui, plus de 66 % des familles américaines ont un double revenu, et dans 37 % des foyers, la femme gagne davantage que son conjoint. De plus, un examen attentif de l'écart salarial montre qu'il s'est tellement réduit qu'il en est presque devenu négligeable. Pourtant, malgré cette parité financière, les pères continuent de payer plus de 85 % des pensions alimentaires et lorsque les mères sont condamnées à en payer, elles sont plus nombreuses que les hommes à ne pas respecter leurs obligations.

L'avalanche de lois sur le divorce sans faute qui s'est déversée sur la majeure partie de la société occidentale dans les années 1970 et 1980 a rendu le divorce beaucoup plus facile et équitable pour les femmes. Sauf que ces lois ont eu un autre effet. Aujourd'hui, on estime qu'un enfant américain sur trois vit sans son père biologique à la maison. En 1960, 8 % des enfants vivaient dans un foyer où seule leur mère biologique était présente, contre plus de 23 % aujourd'hui.

Ces chiffres soulèvent une question intéressante : faut-il se soucier que tant d'enfants grandissent en l'absence de leur père ? Incontestablement, la réponse est oui. Selon des dizaines de sources officielles, ces enfants courent un plus grand risque de difficultés existentielles selon à peu près tous les critères mesurables possibles, que ce soit par exemple l'abus de substances, les violences ou la détention pénitentiaire. Ils ont deux fois plus de risque d'arrêter leurs études avant la terminale et de vivre dans la pauvreté. Chez les filles, le risque de grossesse adolescente est sept fois plus élevé. Et ce ne sont là que quelques exemples.

Des recherches parmi les plus récentes montrent qu'un temps égal passé avec les deux parents est, sauf cas extrêmes, le meilleur scénario pour les enfants, même ceux que l'on a longtemps estimés trop petits pour être éloignés de leur mère. En 2000, Ruth Bader Ginsberg, célèbre juge de la Cour suprême des États-Unis, avait déclaré : « Les femmes n'obtiendront vraiment l'égalité que lorsque les hommes partageront avec elles la responsabilité d'élever la prochaine génération. » Aujourd'hui, bien des pères occidentaux et leurs soutiens estiment que les professionnels des affaires familiales n'ont pas eu ce mémo.

Fait-on passer les enfants en dernier ?

Dans tout le monde occidental, des familles souffrent d'un coup de gouvernail trop fort infligé à la législation du divorce. À partir des années 1960, à juste titre, nous avons entrepris de diminuer les inégalités et les risques dont pouvaient pâtir les femmes, mais les excès sont aujourd'hui inverses. Bien des détracteurs du système actuel avancent qu'il serait entièrement biaisé en faveur des mères, ce qui permettrait à certaines d'en profiter d'autant plus grâce à des manœuvres odieuses, comme les fausses accusations de violences. Ces critiques en appellent à une réforme en profondeur du droit des affaires familiales. Le but serait de réduire la nature accusatoire de la procédure et n'inciterait plus à une opposition frontale entre les parents, sur un champ de bataille où les dés sont pipés. Si de plus en plus de gens en prennent conscience, le changement est douloureusement lent.

« En matière d'affaires familiales, les problèmes de partialité sont endémiques dans tous les pays occidentaux et les solutions sont encore à des années-lumière de voir le jour, car ces biais sont les rouages d'une industrie, avec tout l'argent et les emplois que cela implique », explique Dean Tong, expert en fausses accusations de maltraitances infantiles aux États-Unis. « Pour les médias, c'est une patate chaude, car les changements nécessaires sont si radicaux qu'ils pourraient déclencher une révolution. »

À une époque où les pères sont bombardés de messages sur les effets profondément délétères de la « masculinité toxique », ils doivent aussi faire face, en matière d'affaires familiales, à un système truffé de préjugés tout aussi sexistes et caducs que ceux que subissaient et subissent encore les femmes dans d'autres domaines – un système qui semble parfois vouloir carrément saper leurs efforts pour être des pères présents et efficients. Bien des pères séparés de leurs enfants contemplent les excès du mouvement #MeToo sur les campus universitaires et les entreprises et se demandent pourquoi personne ne les a écoutés lorsqu'ils mettaient en garde contre d'autres campagnes demandant à croire automatiquement les mères lors des divorces et des séparations.

Comment redresser la barre d'une manière qui soit aussi bénéfique pour les mères, les pères et les enfants ? Une solution législative s'appelle la « présomption de partage égal des responsabilités parentales ». Dans un tel système, une procédure de divorce part du principe qu'un tel partage est ce qu'il y a de mieux dans l'intérêt supérieur de l'enfant. Tout écart par rapport à ce point de référence exige des justifications plus développées de la part du juge, ce qui dans les faits limite la latitude de l'État à statuer arbitrairement qu'un parent serait « meilleur » que l'autre et rend plus difficiles des décisions autres que la garde alternée. Si cette idée fait souche comme le divorce sans faute, c'est à mon avis une bonne chose pour l'ensemble des familles – et pas uniquement les nucléaires. Lorsque nous privons des enfants d'un parent, nous les privons par la même occasion de tout un village aimant – ses grands-parents, tantes, oncles, cousins et cousines.

Ce n'est que le début du changement nécessaire. Aujourd'hui, les outils conçus pour protéger les femmes se transforment trop facilement en armes littéralement mortelles pour les hommes. Les statistiques sur le suicide doivent être analysées avec le plus grand soin, mais aucun chiffre n'en dit plus long. Toutes choses égales par ailleurs, les hommes américains se tuent presque quatre fois plus que les femmes. Les pères englués dans des divorces conflictuels sont huit fois plus nombreux. Ce chiffre effroyable mérite d'être explicité : pour chaque enfant qui perd sa mère suicidée pendant ou après le divorce, huit enfants perdent leur père en de pareilles circonstances. Il nous faut regarder en face les différentes causes d'un tel désespoir. Et nous poser cette question en tant que société : si la proportion était inversée, avec huit fois plus de femmes suicidées, ne faudrait-il pas en appeler d'urgence à l'attention des politiques ?...

 

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 13 911 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
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Il y a 4 heures, MarcThor a dit :

Merci pour le fou rire. Si on parlait du financement des néoféministes?

La formule exacte est "Merci pour le fou rire, du lourdingue atomique". Quand j'écrivais que vous étiez un perroquet... 

Pourquoi ne pas ouvrir un énième sujet à propos des "néoféministes" et de leur financement ? (Hum, surprenez-moi). 

Modifié par Mórrígan
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Membre, 50ans Posté(e)
MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 50ans‚
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il y a 25 minutes, Mórrígan a dit :

Hop hop hop, un commentaire, peut-être ? :

Outre le contexte dans lequel Gardner a créé  le SAP, outre ses affirmations péremptoires, ce sont aussi ses conceptions de la sexualité qui ont suscité des indignations et généré des suspicions à son égard. Ainsi, il  minimisait la pédophilie et écrivait en 1993 que  les activités sexuelles entre adultes et enfants et autres paraphilies servent des buts procréatifs qui favorisent l’amélioration de  la survie de l’espèce, et font partie pour cette raison du répertoire naturel de l’humanité (Caplan, 2004 ; Hoult, 2006). Il considérait que « la société a une attitude excessivement punitive et moralisatrice envers les pédophiles,» et affirmait  que des enfants peuvent séduire et initier eux-mêmes des relations sexuelles avec un adulte (Dallam, 1999).
Et en 1995 il demandait que soit aboli  le signalement  obligatoire et supprimée l’immunité des personnes qui signalent des abus sur enfant (ib Dallam)

http://www.lenfantdabord.org/lenfant-dabord/1202-2/

Je ne sais pas quelle drogue tu prends... Un rapport entre les explications à propos du sexisme anti-père en justice familiale, l'engagement de la France (toujours non suivi d'effet) pour la coparentalité et laisser les pères jouer leur rôle sans discrimination et ton "papier"???

Concernant la maltraitance sur les enfants en France, je rappelle toutefois qu'elle est pour 50,2 pour cent du fait des mères (30, 6 pour cent des pères)  58 pour cent du fait de femmes...Donc rien qui justifierait d'exclure de la vie de leurs enfants des dizaines voire centaines de milliers de pères annuellement en France. SOURCE: enfance en danger (lien et capture d'écran à la suite) :

 

http://enfanceendanger.unblog.fr/2015/01/27/les-chiffres-et-statistiques-de-la-maltraitance-infantile/

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enfance en danger.PNG

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 13 911 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
Posté(e)
il y a 4 minutes, MarcThor a dit :

Je ne sais pas quelle drogue tu prends... Un rapport entre les explications à propos du sexisme anti-père en justice familiale, l'engagement de la France (toujours non suivi d'effet) pour la coparentalité et laisser les pères jouer leur rôle sans discrimination et ton "papier"???

Concernant la maltraitance sur les enfants en France, je rappelle toutefois qu'elle est pour 50,2 pour cent du fait des mères (30, 6 pour cent des pères)  58 pour cent du fait de femmes...Donc rien qui justifierait d'exclure de la vie de leurs enfants des dizaines voire centaines de milliers de pères annuellement en France. SOURCE: enfance en danger (lien et capture d'écran à la suite) :

 

http://enfanceendanger.unblog.fr/2015/01/27/les-chiffres-et-statistiques-de-la-maltraitance-infantile/

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Vous n'avez pas répondu au sujet du syndrome d'aliénation parentale (ou de l'AP et autres appellations) que vous mentionnez plutôt spontanément pourtant (savez-vous au moins ce que vous défendez ?).

Très visuels, ces diagrammes : je me méfie (à juste titre) de tous les chiffres que vous nous brandissez comme des vérités absolues. Le plus clair du temps, ils sont issus de blogs propagandistes masculinistes. Manipulés, erronés, tronqués parfois encore. 

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Invité Jane Doe.
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Invité Jane Doe.
Invité Jane Doe. Invités 0 message
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il y a 7 minutes, Mórrígan a dit :

 

Très visuels, ces diagrammes : je me méfie (à juste titre) de tous les chiffres que vous nous brandissez comme des vérités absolues. Le plus clair du temps, ils sont issus de blogs propagandistes masculinistes. Manipulés, erronés, tronqués parfois encore. 

J'ai effectivement trouvé ces graphiques étranges, alors je recherche moi aussi des données statistiques sur le sujet

https://www.onpe.gouv.fr/system/files/publication/note_chiffres_cles_janvier_2018.pdf

https://pro.guidesocial.be/articles/actualites/article/la-maltraitance-infantile-en-chiffres

 

https://www.pediatre-online.fr/psycho-social/la-maltraitance-en-france-les-chiffres-en-2015/  dont celui ci qui évoque des chiffres un poil différent....

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Membre, 50ans Posté(e)
MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 50ans‚
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il y a 6 minutes, Jane Doe. a dit :

J'ai effectivement trouvé ces graphiques étranges, alors je recherche moi aussi des données statistiques sur le sujet

https://www.onpe.gouv.fr/system/files/publication/note_chiffres_cles_janvier_2018.pdf

https://pro.guidesocial.be/articles/actualites/article/la-maltraitance-infantile-en-chiffres

 

https://www.pediatre-online.fr/psycho-social/la-maltraitance-en-france-les-chiffres-en-2015/  dont celui ci qui évoque des chiffres un poil différent....

Il y a aussi celui-ci concernant les abominations que sont les meurtres d'enfants:

"Auteurs: 50% les mères, 42% les pères, 8% le conjoint.

(Dans la plupart des cas l'auteur agit seul)

http://www.justice.gouv.fr/art_pix/2018-044 Rapport_Morts_violentes_enfants.pdf

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il y a 13 minutes, MarcThor a dit :

Il y a aussi celui-ci concernant les abominations que sont les meurtres d'enfants:

"Auteurs: 50% les mères, 42% les pères, 8% le conjoint.

(Dans la plupart des cas l'auteur agit seul)

http://www.justice.gouv.fr/art_pix/2018-044 Rapport_Morts_violentes_enfants.pdf

les 8 % c'est qui ? un beau-père ou une belle-mère ?  et c'est combien la plupart des cas ? 

edit : je crois avoir la réponse : "Ce sont très majoritairement les mères et les pères qui sont à l’origine des faits, les conjoints de ces derniers, presque toujours de sexe masculin45, représentant 8 % des cas. "

il y a 13 minutes, MarcThor a dit :

Je suis en train de lire votre document. Expliquez moi cette phrase : "C’est un phénomène
constant avec 72 morts d’enfants en moyenne par an. Comparé aux 123 femmes tuées par leur
compagnon en 2016, ce nombre correspond à plus de la moitié de ces décès. Ces données
corroborent les études réalisées précédemment et les avis des experts en médecine légale : c’est
dans les premiers âges de la vie que les enfants sont le plus exposés aux violences intrafamiliales. "

Toujours dans votre document : "Se retrouvent les caractéristiques globales des décès présentées par l’enquête. Les personnes
impliquées sont très majoritairement les parents biologiques, les pères et mères en cause étant à
égalité. Ce sont toutefois principalement les pères qui sont responsables de la mort des nourrissons
victimes du SBS"

Modifié par Jane Doe.
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Membre, 50ans Posté(e)
MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 50ans‚
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il y a 1 minute, Jane Doe. a dit :

les 8 % c'est qui ? un beau-père ou une belle-mère ?  et c'est combien la plupart des cas ? 

...à toi de lire, d'y répondre... et cela a-t-il une importance? Ce qui est triste , c'est que cela existe. Un enfant maltraité est un enfant maltraité de trop, peu importe son sexe et celui de son agresseur(euse). S'il en restait un , ce serait un de trop.

Pourquoi ai-je rappelé ces données?

Ta "camarade" sous-entendais un lien entre les inégalités en justice familiale dans laquelle les pères sont discriminés , dans laquelle certaines pères profitent d'un réflexe pro-mère, faute de temps, de moyens pour bien s'occuper d'un divorce et de ses conséquences sur les enfants, et la maltraitance ...

Ces données montrent à minima qu' en terme de maltraitance d'enfants, les deux sexes d'une part, pères et mères d'autre part, sont impliqués, qu'aucun des deux genres n'a une culpabilité symbolique et l'autre énorme.

C'était le sens de mon intervention : en aucun cas, n'en déplaise au néoféminisme, la maltraitance des enfants ( qui sera toujours trop importante)ne saurait être un prétexte pour le statu quo: continuer avec une justice familiale sans moyens, expéditive, avec des réflexes pro-mères, permettant aux mères qui le souhaitent (et en toute impunité)-quelques pères parfois- d'exclure des pères, aimants et gentils dans leur immense majorité, de la vie de leurs enfants; cela concerne des dizaines de milliers de cas supplémentaires chaque année... C'est un drame MAJEUR de notre société ( pour ces enfants et ces pères concernés), extrêmement sous-médiatisé et toujours non traité en France malgré les engagements de l' état Français.

Rappel :

La France est  signataire de la résolution 2079 votée par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, le 2 octobre 2015 et intitulée « Égalité et coresponsabilité : le rôle des pères » ; elle énonce un certain nombre d’objectifs tels que l’égalité parentale, l’égale implication des parents dans l’éducation de leur enfant, la reconnaissance et la valorisation du rôle des pères auprès de leurs enfants. D’ailleurs, la réflexion de ce texte repose sur la recommandation 5.5 dans laquelle l’Assemblée appelle les États « à introduire dans leur législation le principe de résidence alternée des enfants après une séparation, tout en limitant les exceptions aux cas d’abus ou de négligence d’un enfant, ou de violence domestique, et en aménageant le temps de résidence en fonction des besoins et de l’intérêt des enfants »

 

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 13 911 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
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il y a 17 minutes, Jane Doe. a dit :

J'ai effectivement trouvé ces graphiques étranges, alors je recherche moi aussi des données statistiques sur le sujet

https://www.onpe.gouv.fr/system/files/publication/note_chiffres_cles_janvier_2018.pdf

https://pro.guidesocial.be/articles/actualites/article/la-maltraitance-infantile-en-chiffres

 

https://www.pediatre-online.fr/psycho-social/la-maltraitance-en-france-les-chiffres-en-2015/  dont celui ci qui évoque des chiffres un poil différent....

Un graphique sans développement ni conclusion ne veut absolument rien dire. 

Par exemple dans le lien fourni fraîchement par @MarcThor, un diagramme implique 88% de femmes ayant commis un néonaticide -qui définit le meurtre de nouveau-né dans ses premières 24h- parfois après un déni de grossesse (c'est bien évidemment terrible), ce qui fait grimper les chiffres, dont les masculinistes se servent bien entendu dans le cadre d'une procédure de garde d'enfants. 

il y a 8 minutes, Jane Doe. a dit :

les 8 % c'est qui ? un beau-père ou une belle-mère ?  et c'est combien la plupart des cas ? 

"Presque toujours de sexe masculin". Ce serait fifty-fifty si l'on veut genrer. 

Les violences sexuelles envers les enfants sont commises majoritairement par des hommes (de la famille, ou proches) :

"Selon cette enquête, dans 96% des cas, l'agresseur est un homme. Dans 94% des situations, c'est un proche qui commet l'agression sexuelle. Ainsi, un enfant victime sur deux est agressé par un membre de sa famille. Dans un cas sur 4, l'agresseur lui-même est mineur".

https://www.huffingtonpost.fr/2015/03/01/violences-sexuelles-victimes-mineurs-agresseurs-proches-enquete-unicef_n_6751902.html

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Membre, 50ans Posté(e)
MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 50ans‚
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il y a 42 minutes, Mórrígan a dit :

Vous n'avez pas répondu au sujet du syndrome d'aliénation parentale (ou de l'AP et autres appellations) que vous mentionnez plutôt spontanément pourtant (savez-vous au moins ce que vous défendez ?).

Très visuels, ces diagrammes : je me méfie (à juste titre) de tous les chiffres que vous nous brandissez comme des vérités absolues. Le plus clair du temps, ils sont issus de blogs propagandistes masculinistes. Manipulés, erronés, tronqués parfois encore. 

Concernant l'aliénation parentale, je te revoie, par exemple, sur le livre de Jean-Pierre Cambefort...

 

SOURCE:

https://www.parents.fr/etre-parent/droits-et-administratif/divorce-et-separation/divorce-quand-un-enfant-est-manipule-par-lun-des-parents-60956

Un extrait:

J.-P. C. : De 75 à 80 % des parents aliénants sont des mères(...)...ou à des professionnels, la réponse c’est “Ça va passer ! ». Il affronte aussi des soupçons : « Mais êtes-vous vraiment sûr que vous n’êtes pas maltraitant ? ». Comble de malchance pour les pères, ils doivent lutter contre une forte “surdité institutionnelle”, car ils ont affaire à des services sociaux assez féminisés, qui victimisent parfois les enfants et les mères. 

Le psychologue Jean-Pierre Cambefort, auteur de “Famille éclatée, enfants manipulés”:

 

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Invité Barbara lebol
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Invité Barbara lebol
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Il y a 2 heures, Mórrígan a dit :

Vos commentaires habituels quant aux femmes fabulatrices -par défaut- dans le cadre du harcèlement, d'agressions sexuelles et de viols, suffisent. Ici, vous réaffirmez encore votre priorité : les hommes.

C'est une pirouette ! Citez SVP mes commentaires qui feraient apparaitre une haine des femmes.

Ma priorité ce sont les enfants et non les hommes comme vous l'affirmez ! Je l'ai dit précédemment. Les enfants sont très souvent frustrés de la présence du père quand une séparation survient entre les parents !

Il y a 2 heures, Mórrígan a dit :

En effet, l'idéologie d'extrême-droite considère les hommes d'abord (bien avant les enfants et les femmes). Toujours. Vous êtes simplement une suiviste, parmi d'autres (pas de panique). Peut-être vous extirperez-vous un jour de cette idéologue foncièrement misogyne.

C'est de l'attaque personnelle de basse facture !

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Membre, 50ans Posté(e)
MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 50ans‚
Posté(e)
à l’instant, Mórrígan a dit :

Un graphique sans développement ni conclusion ne veut absolument rien dire. 

Par exemple dans le lien fourni fraîchement par @MarcThor, un diagramme implique 88% de femmes ayant commis un néonaticide -qui définit le meurtre de nouveau-né dans ses premières 24h- parfois après un déni de grossesse (c'est bien évidemment terrible), ce qui fait grimper les chiffres, dont les masculinistes se servent bien entendu dans le cadre d'une procédure de garde d'enfants. 

"Presque toujours de sexe masculin". Ce serait fifty-fifty si l'on veut genrer. 

Les violences sexuelles envers les enfants sont commises majoritairement par des hommes (de la famille, ou proches) :

"Selon cette enquête, dans 96% des cas, l'agresseur est un homme. Dans 94% des situations, c'est un proche qui commet l'agression sexuelle. Ainsi, un enfant victime sur deux est agressé par un membre de sa famille. Dans un cas sur 4, l'agresseur lui-même est mineur".

https://www.huffingtonpost.fr/2015/03/01/violences-sexuelles-victimes-mineurs-agresseurs-proches-enquete-unicef_n_6751902.html

Là , tu ne parles que d'un cas particulier, particulièrement ignoble certes: celui de la maltraitance sexuelle...Espèrons une forte diminution de celle-ci. Les autres maltraitances sont elles-aussi très domageables pour les enfants. Globalement , les deux genres sont bien représentés, malheureusement.

J'en reviens donc: 

EN QUOI CELA JUSTIFIE UNE JUSTICE FAMILIALE ( malheureusement dénuée de moyens...donc  de contraintes aussi) QUI DISCRIMINE LES PERES (et les ENFANTS en victimes collatérales)???

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Invité Jane Doe.
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Invité Jane Doe.
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il y a 12 minutes, MarcThor a dit :

Là , tu ne parles que d'un cas particulier, particulièrement ignoble certes: celui de la maltraitance sexuelle...Espèrons une forte diminution de celle-ci. Les autres maltraitances sont elles-aussi très domageables pour les enfants. Globalement , les deux genres sont bien représentés, malheureusement.

J'en reviens donc: 

EN QUOI CELA JUSTIFIE UNE JUSTICE FAMILIALE ( malheureusement dénuée de moyens...donc  de contraintes aussi) QUI DISCRIMINE LES PERES (et les ENFANTS en victimes collatérales)???

Preuve que la justice discrimine les pères ? pour l'instant je n'ai pas vu le début d'une preuve

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Membre, 50ans Posté(e)
MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 50ans‚
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il y a 10 minutes, Barbara lebol a dit :

C'est une pirouette ! Citez SVP mes commentaires qui feraient apparaitre une haine des femmes.

Ma priorité ce sont les enfants et non les hommes comme vous l'affirmez ! Je l'ai dit précédemment. Les enfants sont très souvent frustrés de la présence du père quand une séparation survient entre les parents !

C'est de l'attaque personnelle de basse facture !

Oui, Barbara, c'est malheureusement un réflexe classique des néoféministes. Si vous n'approuvez pas les inégalités subies par les hommes ( celles qui seraient  subies par les femmes doivent être combattues également), si vous n'adhérez pas à leurs justifications délirantes et infondées, c'est que:  vous êtes misogyne, dans la haine des femmes (que vous soyez homme ou femme d'ailleurs). Quand la haine et la bêtise parlent de concert...

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il y a 1 minute, MarcThor a dit :

Oui, Barbara, c'est malheureusement un réflexe classique des néoféministes. Si vous n'approuvez pas les inégalités subies par les hommes ( celles qui seraient  subies par les femmes doivent être combattues également), si vous n'adhérez pas à leurs justifications délirantes et infondées, c'est que:  vous êtes misogyne, dans la haine des femmes (que vous soyez homme ou femme d'ailleurs). Quand la haine et la bêtise parlent de concert...

Vous ne haissez pas les femmes ? vraiment ? avec le nombre réponse anti-femme que vous écrivez ? jamais je n'ai lu de votre part un seul message bienveillant à l'égard des femmes. vous les accusez de tout y compris sur ce topic où vous les accusez sans preuve d'être majoritairemnt les auteurs d'infanticide. Vous haissez les femmes et si vous n'en n'êtes pas conscient, c'est encore plus grave

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Invité Barbara lebol
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Invité Barbara lebol
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il y a 1 minute, MarcThor a dit :

Oui, Barbara, c'est malheureusement un réflexe classique des néoféministes. Si vous n'approuvez pas les inégalités subies par les hommes ( celles qui seraient  subies par les femmes doivent être combattues également), si vous n'adhérez pas à leurs justifications délirantes et infondées, c'est que:  vous êtes misogyne, dans la haine des femmes (que vous soyez homme ou femme d'ailleurs). Quand la haine et la bêtise parlent de concert...

Il existe de plus en plus une radicalisation, un intégrisme féministe qui tourneraient presque à la haine de l'homme. 

C'est très malsain et il est urgent de ne pas tomber dans le piège !

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 13 911 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
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il y a 8 minutes, MarcThor a dit :

Concernant l'aliénation parentale, je te revoie, par exemple, sur le livre de Jean-Pierre Cambefort...

 

SOURCE:

https://www.parents.fr/etre-parent/droits-et-administratif/divorce-et-separation/divorce-quand-un-enfant-est-manipule-par-lun-des-parents-60956

Un extrait:

J.-P. C. : De 75 à 80 % des parents aliénants sont des mères(...)...ou à des professionnels, la réponse c’est “Ça va passer ! ». Il affronte aussi des soupçons : « Mais êtes-vous vraiment sûr que vous n’êtes pas maltraitant ? ». Comble de malchance pour les pères, ils doivent lutter contre une forte “surdité institutionnelle”, car ils ont affaire à des services sociaux assez féminisés, qui victimisent parfois les enfants et les mères. 

Le psychologue Jean-Pierre Cambefort, auteur de “Famille éclatée, enfants manipulés”:

 

Vous accordez donc effectivement bien une légitimité à ce soi-disant syndrome, sans aucun fondement scientifique, sorti du chapeau d'un pro-pédrocriminalité (d'autres le décrivent comme étant pédocriminel). La place de cet homme était en prison, cependant, il s'est suicidé (lacéré à coups de couteau) :

 

En fait, Gardner (1992, p. 670) considère les activités sexuelles entre adultes et enfants comme un phénomène universel ayant une présence marquée dans l’ensemble des cultures. De la même manière, il écrit : « la pédophilie intra-familiale (c.-à-d. l’inceste) est très courante et ... constitue probablement une tradition de longue date » (Gardner, 1991, p. 119).

Gardner (1991, p. 118) énonce que la société occidentale est « excessivement moralisante et punitive » envers les pédophiles. À son avis, « les punitions draconiennes imposées aux pédophiles... vont bien au- delà de la gravité de ce crime ». L’interdit actuel sur les rapports sexuels entre adultes et enfants serait une « surréaction », dont Gardner attribue l’origine au peuple juif : « Il est à noter que, parmi tous les peuples anciens, les Juifs étaient probablement les seuls à réprimer les pédophiles... Les premières prescriptions chrétiennes contre la pédophilie semblent avoir été inspirées d’enseignements précédents des Juifs, et notre surréaction actuelle à la pédophilie reflète une exagération des principes judéo- chrétiens. C’est un facteur significatif dans l’attitude atypique de la société occidentale envers ces activités. » (Gardner, 1992, pp. 46-7)

Gardner (1992, p. 15) affirme : « Il y a de bonnes raisons de penser que la majorité, sinon la totalité, des enfants ont la capacité d’atteindre l’orgasme dès la naissance. » De plus, Gardner (1991, p. 12) affirme que certains enfants ressentent « de puissants besoins sexuels dès la petite enfance » et « l’enfant normal[en italique dans l’original] présente une large variété de fantasmes et comportements sexuels, dont beaucoup seraient étiquetés de ‘maladifs’ ou ‘pervers’ chez des adultes. » Gardner (1986, p. 93) observe que « l’enfant sexuellement agressé-e est généralement considéré-e comme la victime », même si l’enfant peut initier des rencontres sexuelles en « séduisant » l’adulte. Gardner (1986, p. 93) propose que, si la relation sexuelle est découverte, « il est probable que l’enfant présentera les choses d’une façon qui amènera l’adulte à être blâmé pour l’initiation. »

https://sisyphe.org/IMG/pdf/doc-163.pdf

Ses disciples propagent sa bonne parole également en Europe (Hubert Van Gijseghem, notamment, des associations masculinistes comme SOS papa). 

il y a 4 minutes, Barbara lebol a dit :

C'est une pirouette ! Citez SVP mes commentaires qui feraient apparaitre une haine des femmes.

Ma priorité ce sont les enfants et non les hommes comme vous l'affirmez ! Je l'ai dit précédemment. Les enfants sont très souvent frustrés de la présence du père quand une séparation survient entre les parents !

C'est de l'attaque personnelle de basse facture !

Cacahuète ! Je n'aurais pas assez de mes congés annuels afin de les lister. 

Simple constat : votre priorité est bien entendu les hommes et vous êtes effectivement bien une ouaille d'extrême-droite, osez votre coming-out. 

il y a 2 minutes, MarcThor a dit :

Là , tu ne parles que d'un cas particulier, particulièrement ignoble certes: celui de la maltraitance sexuelle...Espèrons une forte diminution de celle-ci. Les autres maltraitances sont elles-aussi très domageables pour les enfants. Globalement , les deux genres sont bien représentés, malheureusement.

J'en reviens donc: 

EN QUOI CELA JUSTIFIE UNE JUSTICE FAMILIALE ( malheureusement dénuée de moyens...donc  de contraintes aussi) QUI DISCRIMINE LES PERES (et les ENFANTS en victimes collatérales)???

Les violences sexuelles font bien partie des violences infantiles (tout autant que les violences psychologiques) et ne sont en rien un "cas particulier". Ces violences sont indélébiles.

Calmez-vous sur les lettres capitales (merci). Il n'y a pas de discrimination quant aux pères, il y a des dénis de justice. 

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Invité Barbara lebol
Invités, Posté(e)
Invité Barbara lebol
Invité Barbara lebol Invités 0 message
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il y a 1 minute, Mórrígan a dit :

Cacahuète ! Je n'aurais pas assez de mes congés annuels afin de les lister. 

Simple constat : votre priorité est bien entendu les hommes et vous êtes effectivement bien une ouaille d'extrême-droite, osez votre coming-out. 

Vous êtes lamentable !

Vous mélangez politique et masculinisme afin de discréditer mes commentaires !

 

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 13 911 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
Posté(e)
il y a 11 minutes, MarcThor a dit :

Oui, Barbara, c'est malheureusement un réflexe classique des néoféministes. Si vous n'approuvez pas les inégalités subies par les hommes ( celles qui seraient  subies par les femmes doivent être combattues également), si vous n'adhérez pas à leurs justifications délirantes et infondées, c'est que:  vous êtes misogyne, dans la haine des femmes (que vous soyez homme ou femme d'ailleurs). Quand la haine et la bêtise parlent de concert...

 

il y a 5 minutes, Barbara lebol a dit :

Il existe de plus en plus une radicalisation, un intégrisme féministe qui tourneraient presque à la haine de l'homme. 

C'est très malsain et il est urgent de ne pas tomber dans le piège !

 

il y a 5 minutes, Barbara lebol a dit :

Vous êtes lamentable !

Vous mélangez politique et masculinisme afin de discréditer mes commentaires !

 

Vous êtes toujours fan de Zemmour au fait ? 

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