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Le photon immobile...

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Blaquière

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Membre, 77ans Posté(e)
Hérisson_ Membre 691 messages
Forumeur forcené ‚ 77ans‚
Posté(e)

À propos d'un bref exposé concernant les ondes hertziennes

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cette demande d'explication:

Le 20/11/2020 à 20:45, zenalpha a dit :

C'est bien @Hérisson_ mais je n'ai pas bien compris ce point

Le spectre d'émission est une signature de chaque élément chimique rayonnant puisque les sauts d'orbitales des électrons libèrent un photon dont l'énergie est caractéristique de ces sauts.

Le spectre d'absorption correspond à l'inverse au passage d'une onde électromagnétique dans un milieu semi transparent ou transparent comme un gaz qui élimine certaines longueurs d'onde 

Mais je ne vois pas bien comment, puisque l'énergie du photon est quantifiée comment cette énergie peut passer au dessous du seuil d'une transition quantique ...

assortie de commentaires saisissants

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Diffracter par des fentes d'Young un faisceau de radiations dont la longueur d'onde peut atteindre 100000 km ? As-tu bien conscience de ce qu'est un montage de diffraction, et des dimensions qu'il doit présenter ?

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Confondre la constante de Planck, grandeur fondamentale de la Physique quantique,  avec un nombre quantique ... là tu parviens au sublime image.png.51da5dac42ab951bdf12845249c3b885.png

Et ces gaffes pitoyables ne te découragent nullement d'exiger des comptes en Électrodynamique quantique ...

La psychiatrie n'est pas mon rayon. Nul ne peut rien pour toi.

 

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 063 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a 1 minute, Hérisson_ a dit :

 

Et ces gaffes pitoyables ne te découragent nullement d'exiger des comptes en Électrodynamique quantique ...

La psychiatrie n'est pas mon rayon. Nul ne peut rien pour toi.

 

Bin c'est a dire que si tu etais physicien... tu connaitrais le principe fondamental de la physique des particules dont les vérifications expérimentales sont référentes.

Et il est très difficile de postuler une masse au photon sans briser le postulat fondamental d'invariance de jauge

Mais t'es un touriste...

Principe clef : l'invariance de jauge

De plus, à chaque type de transformation de jauge est associé un «boson de jauge», qui est la particule médiatrice de l'interaction associée à ces transformations. Ce concept est à l'origine du modèle standard, où les symétries agissent dans des espaces plus abstraits que le simple espace-temps. L'idée d'invariance de jauge a été exploitée en plusieurs étapes. La première date de 1954. Chen Ning Yang et Robert Laurence Mills construisirent la théorie caractérisée par une invariance de jauge plus générale que celle de l'électrodynamique. Leur travail passa longtemps inaperçu, car l'application directe du principe de l'invariance de jauge semblait ne pouvoir décrire que des interactions de longue portée (cas de l'interaction électromagnétique). Sur le plan mathématique, cette caractéristique est liée au fait que la particule intermédiaire décrivant les échanges dans ces interactions avait une masse nulle dans la formulation de Yang-Mills (le rayon d'action d'une interaction est inversement proportionnel à la masse de la particule échangée). Or les forces électromagnétiques et gravitationnelles sont à longue portée, tandis que les interactions faible et forte sont à courte portée.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 063 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a 7 minutes, Hérisson_ a dit :

Confondre la constante de Planck, grandeur fondamentale de la Physique quantique,  avec un nombre quantique ... là tu parviens au sublime image.png.51da5dac42ab951bdf12845249c3b885.png

Et ces gaffes pitoyables ne te découragent nullement d'exiger des comptes en Électrodynamique quantique ...

La psychiatrie n'est pas mon rayon. Nul ne peut rien pour toi.

 

Un nombre quantique :smile2:

1,2,3,4...

:smile2:

T'es vraiment une vedette toi

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 063 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 10 heures, Hérisson_ a dit :

 

Confondre la constante de Planck, grandeur fondamentale de la Physique quantique,  avec un nombre quantique ... là tu parviens au sublime image.png.51da5dac42ab951bdf12845249c3b885.png

 

Je t'explique quand même avant mon banania

Le seul modèle ou ta quantité de mouvement p=mv a ete associe a une énergie en électromagnétisme dans les modèles quantique est lié au ... vieux vieux vieux modèle de Bohr, la quantification de Bohr

et les différentes orbites électroniques telles qu'elles étaient definies étaient des multiples entiers de h, un saut d'une orbite plus énergétique a moins énergétique liberant un photon d'énergie correspondante...

Il ne s'agit pas "d'un nombre quantique" mais du nombre quantique principal, le seul connu à l'époque 

J'essaye encore de piger comment de p=mv un ahuri prédit une masse au photon...

Se mettre dans ta tête ... c'est le bordel...

Modifié par zenalpha
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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 063 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Le 20/11/2020 à 19:39, Hérisson_ a dit :

L'énergie propre du photon (W = hN), proportionnelle à sa fréquence, diminue elle aussi de sorte qu'elle finit par devenir inférieure au seuil de toute transition quantique actuellement connue, à l'échelle atomique ou moléculaire; on n'observe plus, au-delà d'une certaine limite, de bande d'émission ou d'absorption caractéristique, mais seulement des spectres continus.

Les transitions actuellement identifiées, et caractérisées par les plus faibles sauts énergétiques sont celles qui interviennent:

a) entre des états rotationnels de petites molécules (OH, CH), présentes en abondance dans l'espace interstellaire: N ~ 1.61 GHz , λ ~ 18.6 cm , ∆Ε ~ 6.7 µeV (pour le radical OH);

b) entre les deux sous-niveaux de l'atome d'hydrogène, résultant du couplage de spin entre le proton et l'électron: N = 1420.4 MHz , λ = 21.105 cm , ∆Ε = 5.88 µeV ;

 

 

Il y a 11 heures, Hérisson_ a dit :

Diffracter par des fentes d'Young un faisceau de radiations dont la longueur d'onde peut atteindre 100000 km ? As-tu bien conscience de ce qu'est un montage de diffraction, et des dimensions qu'il doit présenter ?

Et ces gaffes pitoyables ne te découragent nullement d'exiger des comptes en Électrodynamique quantique ...

La psychiatrie n'est pas mon rayon. Nul ne peut rien pour toi.

Disons que si on s'intéresse à la physique, je n'ai jamais écrit le commentaire bleu...

Je t'ai indiqué qu'une transition quantique de faible énergie qui passerait en deça d'un "seuil connu" n'était guère possible puisque l'énergie du photon est ... quantifiée...

Maintenant n'oublie pas que ton incompréhension du contexte te conduit à qualifier Haroche d'apotheose du crétin 

Et que tes connaissances en physique t'amène a qualifier la RG de "physique des corpuscules"

Ma thèse est double :

1- sans doute devrais je user un psychiatre et on peut en discuter en mp

2- tu n'es pas physicien

une des deux thèses est une certitude.

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Membre, 77ans Posté(e)
Hérisson_ Membre 691 messages
Forumeur forcené ‚ 77ans‚
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il y a 19 minutes, zenalpha a dit :

Disons que si on s'intéresse à la physique, je n'ai jamais écrit le commentaire bleu...

Le mensonge, stratégie classique du troll pour éluder les remarques gênantes ... Faut-il te replonger le nez dans ta bêtise ? Et bien, bouffe-la:

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image.png.5e18bdc188065b9f45fe47596058a883.png

Pauvre type.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 063 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a 1 minute, Hérisson_ a dit :

Le mensonge, stratégie classique du troll pour éluder les remarques gênantes ... Faut-il te replonger le nez dans ta bêtise ? Et bien, bouffe-la:

 

Pauvre type.

Dis donc...as tu compris que le délit de sale gueule, bien que touchant au physique, n'entrait pas dans les arguments traditionnels des sciences physique ?

Tu as appris les sciences physique dans le bronx ?

Feynman aussi...mais mesure l'écart !

Tu es ni le roi des mesures ni le roi de la mesure et pourtant il y a un domaine ou je te donne cette couronne.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 063 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Le 12/11/2018 à 23:53, Hérisson_ a dit :

La masse (m) d'une particule lancée à la vitesse (v) est liée à sa masse au repos (m°) par la relation:

m°= m.(1 - v²/c²)^(½)    

(présentation volontairement inversée par rapport à la forme habituelle).

Le photon correspond au cas limite (v = c), qui implique (m° = 0).

Autre aspect des choses: l'énergie totale d'une particule (E = mc²) de quantité de mouvement (p = mv) admet pour expression: E² = p²c² + (m°c²)² ;

on obtient dans le cas du photon (p = mc): (mc²)² = m²c².c² + (m°c²)² ,

d'où: m° = 0 .

Allez, soyons magnanime...j'essaye juste de comprendre pourquoi ici p = mc implique une masse au repos nulle ci dessus

Alors que ci dessous...à propos du même photon p = mc implique une masse propre non nulle

Le 17/11/2020 à 11:39, Hérisson_ a dit :

Effectivement, mais il n'en possède pas moins une quantité de mouvement p = mc , donc implicitement une masse propre non nulle m = p/c , qui joue un rôle décisif dans la diffusion Compton, par exemple.

Ma question a @Hérisson_ est quelle est la différence entre une masse au repos nulle pour le photon et une masse propre non nulle ?

Masse au repos...masse inertielle...masse propre...masse invariante...chez moi c'est kif kif la riflette mais pas chez @Hérisson_ 

Je veux juste comprendre 

Suis pas physicien et bon...ça a beau être l'invariance de jauge l'argument massif actuellement pour une masse presumée nulle au photon, je veux comprendre la différence entre masse au repos et masse propre pour un physicien de notre forum en relativité 

La situation haut / bas d'un paragraphe ? La relativité du propos ?

Je veux comprendre !

Modifié par zenalpha
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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 063 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
Le 20/11/2020 à 19:39, Hérisson_ a dit :

L'énergie propre du photon (W = hN), proportionnelle à sa fréquence, diminue elle aussi de sorte qu'elle finit par devenir inférieure au seuil de toute transition quantique actuellement connue, à l'échelle atomique ou moléculaire; on n'observe plus, au-delà d'une certaine limite, de bande d'émission ou d'absorption caractéristique, mais seulement des spectres continus.

Ne sachant pas comment @Hérisson_ gère le fait que p = mc débouche sur un photon de masse au repos nulle dans son premier écrit et implicitement non nul dans son second...

Une gestion du quantique admirable dans sa superposition d'états...

J'ai décidé de m'attaquer a ce sommet d'idiotie qui est... liké et ça me fait ... d'autant plus pleurer...que c'est l'illustration d' une incompréhension... totale de la quantification de l'énergie au niveau quantique...un peu comme si, cette énergie étant liée à la fréquence, elle pouvait de manière continue devenir inférieure a un seuil de transition quantique...qui correspond précisément a ses quantas d'énergie ...

Popularité n'est pas exactitude à l'heure du réseau social.

Il existe en fait dans la nature une limite inférieure à une interaction, en dessous de laquelle il est impossible de la réduire.

Cette limite naturelle de précision est si petite dans la vie courante qu'elle peut-être négligée dans les processus familiers.

Néanmoins, elle prend une grande importance quand les interactions ont lieu dans des systèmes mécaniques aussi petits que des atomes ou des molécules 

En...1900...le physicien allemand Max Planck réfléchissait aux conditions d'équilibre entre la matière et le rayonnement, et il parvint à une surprenante conclusion.

Il était impossible qu'un tel équilibre s'etablisse si l'interaction entre matière et rayonnement se faisait de manière continue comme on l'avait toujours supposé, comme @Hérisson_ le suppose encore...sous les houras de la "foule" en délire (c'est le juste mot).

Il suggéra, qu'au contraire l'énergie etait echangée entre matière et rayonnement sous la forme d'une succession de "chocs" séparés.

Une quantité précise d'énergie était échangée au cours de chacun de ces actes élémentaires.

Pour parvenir a l'équilibre souhaité et être en accord avec les faits experimentaux, il était indispensable d'introduire une relation mathématique simple qui etablissait que la quantité d'énergie transférée lors de chacun de ces "chocs" était proportionnelle à la fréquence du rayonnement responsable de ce transfert d'énergie.

EN NOTANT h LA CONSTANTE DE PROPORTIONNALITE, PLANCK ETAIT CONDUIT A ACCEPTER QUE LA QUANTITÉ MINIMALE D'ENERGIE TRANSFEREE, LE QUANTUM, soit donne par la relation :

E = h nu

ou nu désigne la fréquence du rayonnement et la constante h de Planck la constante de proportionnalité de 6.67.10-34 joules.

Einstein...developpa l'idée de Planck

Il conclut que non seulement le rayonnement était émis par "paquets" d'énergie, mais aussi que ces paquets transferaient ensuite localement l'energie à la matière, à la façon des particules.

En d'autres termes, chaque paquet conserve son intégrité, il ne disperse pas son énergie sur une grande région de l'espace comme on le supposait jusqu'alors.

Ces paquets d'énergie sont des quanta de lumière ou photons

Comme ces photons se déplacent, ils doivent posséder une certaine impulsion, en plus de leur énergie h nu.

Selon la mécanique relativiste, cette impulsion doit être égale a leur énergie divisée par la vitesse c de la lumière 

Comme la fréquence nu de la lumière est reliée à sa longueur d'onde lambda par la relation nu = lamba / c, nous pouvons écrire que l'impulsion p du photon est donnée par :

p = h nu / c = h / lambda

Par conséquent, l'impulsion d'un photon diminue quand sa longueur d'onde augmente.

On en a parlé...

L'une des meilleures preuves expérimentales de la justesse de l'idée des quanta de lumière et de leur impulsion p = h nu / c quantifiée et non p = mv du clown math moyen physicien nul de ce forum....c'est justement cette expérience d'Arthur Compton qu'il a pas pigé...

En étudiant l'interaction de la lumière avec les électrons, il parvint au resultat suivant que je vais un peu expliquer :

les électrons mis en mouvement par l'action d'un rayon lumineux se comportaient exactement comme s'ils avaient été frappé par une particule (pour un...corpuscule newtonien p = mv monsieur @Hérisson_...) sauf qu'il s'agit d'un QUANTUM d'impulsion p = h nu/c...on ne peut pas lui prédire de masse nulle !!!

après cette collision avec les électrons, les photons eux mêmes voyaient leur fréquence changer en parfait accord avec les prédictions de la théorie et donc...sans predire de masse nulle au photon !!!

Nous pouvons dire...a ce stade préhistorique ou se perd deja @Hérisson_ que les propriétés quantique du rayonnement électromagnétique (paquet d'onde discret quantifié) sont un fait expérimental etabli...tout au moins....concernant l'interaction a la matière 

et ça ne permet pas NI de predire une masse nulle au photon (sic !!!) ni de prédire une variation possible de l'énergie de manière continue...alors que c'est un quantum !!!

notation zenalpha : 0/20

D'un non physicien a un ... a un ... completez les ...

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 063 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Ce qui est spectaculaire je trouve, sur un forum, c'est de pouvoir "apprendre" de "physiciens" auto-affirmés des principes fondamentaux... autant qu'absurdes tels que :

- le photon est non massif puis massif selon les enseignements tirés de l'effet Compton en tirant conséquence de p = mc issu de la quantité de mouvement definie par la physique newtonienne...

- la relativité traite de la physique des corpuscules, l'autre mécanique dont elle ne traite pas correspondant au reste du domaine de la physique à savoir la "mécanique ondulatoire" (vision de la physique de ...1900 en ... 2020 !!!)...

- le principe d'exclusion de Pauli tel qu'il est enseigné partout ne concerne "en réalité" que le spin des électrons ...

- l'atome de Rydberg est "en réalité" un atome d'hydrogène ...

- Serge Haroche au travers de ses écrits in extenso est l'apothéose du crétin : il ne peut parler ni d'atome excité ni d'orbite pour un atome de Rydberg preparé depuis un atome de rubidium quand il présente ses expériences d'electrodynamique quantique en cavité effectuées entre la couche électronique n=50 et n=51 dans l'analyse de l'nteraction douce entre une succession d'atomes de rubidium portés dans l'état de rydberg sur un photon unique ou un groupe de photons en comparant dans ses écrits les orbites du modèle de Bohr aux orbites des planètes...

Remarque...j'avais appris par ... un autre physicien travaillant dans un laboratoire spécialisé (donc un experimentateur cette fois) dans les lasers (donc la lumière) sur le photon que :

- il est impossible de tirer un photon ou une particule une par une dans les expériences de physique 

(en confondant dans cette vision le principe même particulier du laser qui est par définition une émission stimulée où l'assurance de l'émission d'un photon unique est evidemment impossible puisque l'incertitude sur le nombre de photons emis suit une loi de poisson donc de la racine carrée de la moyenne de l'espérance des photons émis et racine de 1 = ???)

Du principe général où on isole un atome qu'on désexcite pour émettre des photons sequencés en cascade radiative dans un montage experimental lourd dit de "boite quantique" (petit objet spécifique mais lui aussi semi conducteur)

- un photon passe "physiquement" ou à gauche ou à droite lors de l'expérience des fentes de young dans son etat fondamental puisque ... il s'y trouve lorsqu'on le mesure (elle est bien celle-là)

Tout celà étant "formellement" étayé par des équations sans compréhension du phénomène physique modelisé juxtaposées (elle est ici la superposition quantique) ou une expérience professionnelle hypothétique ou encore a sa formation à ...75 balais...

Conclusion ?

Méfiez vous des physiciens auto proclamés dans un forum...d'échanges 

Lisez des livres, des revues....de physiciens... récompensés ...puis ... échangez...vous ne ferez pas pire...

Ici je donne en non physicien autoproclamé et c'est plus simple le prix chantal Nobel sur une chanson de Brel aux heureux recipiendaires qui se reconnaitront dans ce topic dédié aux lumières immobiles.

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 063 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
Le 21/11/2020 à 09:32, Blaquière a dit :

Toi tu montes sur tes grands chevaux quand moi je cherche encore le mien !

J'en suis resté à Shakespeare :

"My kingdom for a horse !"

Hello

ça m'a rappelé ce matin cette superbe conférence d'Alain Connes concernant les topos de Grothendieck

"Un topo sur les topos"

ça peut paraitre long mais Connes le fait exprès pour nous habituer à cette patience qui a disparu de nos jours, mais écoute les 7 minutes qui suivent le démarrage de cette vidéo sinon ne même pas démarrer si tu n'as pas ce temps sinon il n'y aurait rien à comprendre.

C'est jusqu'au démarrage de la slide sur les topos "colloque à l'IHES" et il faut bien écouter la chanson et bien lire le texte de Grothendieck

Elle entrouve le monde des topos de Grothendieck qui est le concept qui a généralisé le concept d'espace

Puisque que je parlais du temps, cette généralisation de l'espace est fondamentale dans la théorie non commutative de Connes mais c'est dit de manière si poétique et si profonde

Place aux chevaux de la pensée

 

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