Le photon immobile...

il y a 5 minutes, hybridex a dit :

Merci de revenir à un peu de poésie. Si je pouvais interviewer un électron, je lui demanderais, moi, pourquoi il s'active à toute vitesse sur ses petites papattes et s'il n'en n'a pas marre de voir ce fainéant de temps, autour de lui, s'étirer à loisir sans rien foutre.

Bonjour Hybridex, poigne de mains

Oh tu sais le temps c'est une longue histoire mais une histoire presque interminable, puis en parler aurions nous vraiment le temps de le faire.

Mais je me demande parfois si l’électron n'est pas amoureux par hasard de son noyau, à tourner comme ça tout autour on dirai un jouvenceau avec une pucelle.

Quand la représentation de l'atome quand je pense qu'il s'agit d'un rêve de Niels Bohr. Qui sait peut être @Blaquière va tout simplement nous amener une autre réalité en faisant faire à la physique un bond historique, on peut toujours rêver. A ce photon fainéant à rester immobile qui sait, mais qui sait va savoir qui sait.

il y a 23 minutes, Promethee_Hades a dit :

Bonjour Hybridex, poigne de mains

Oh tu sais le temps c'est une longue histoire mais une histoire presque interminable, puis en parler aurions nous vraiment le temps de le faire.

Mais je me demande parfois si l’électron n'est pas amoureux par hasard de son noyau, à tourner comme ça tout autour on dirai un jouvenceau avec une pucelle.

Quand la représentation de l'atome quand je pense qu'il s'agit d'un rêve de Niels Bohr. Qui sait peut être @Blaquière va tout simplement nous amener une autre réalité en faisant faire à la physique un bond historique, on peut toujours rêver. A ce photon fainéant à rester immobile qui sait, mais qui sait va savoir qui sait.

 

Bonjour Promethee_Hades

Le roi du lapsus du jour te salue bien bas. Je voudrais bien comprendre pourquoi j'écris presque systématiquement électron quand je pense photon.

Je ne voudrais pas donner trop d'espoir au malheureux électron amoureux d'un noyau, ce dernier en tient une sacrée couche et même plusieurs.

En revanche avec le photon, ça peut être carrément fusionnel. Du coup, j'ai la réponse à ma question précédente. Le photon en a rien à foutre du temps qui passe ou ne passe pas, il est juste en quête de l'électron  qu'il pourra séduire du doux chant de sa haute fréquence.

Toute cette poésie m'amène à partager mes meilleures sources scientifique 

J'aimerai t'amener @Hérisson_ de ta ... vieille vieille conception de physique newtonienne corpusculaire et de ta vieille vieille conception de "mécanique ondulatoire" au concept de champ

D'abord grace à ce merveilleux documentaire sur l'effet Compton qui reprend un peu tes acquis mais la technicité pourrait te rebuter

Pour embrayer sur la théorie des champs, une destination intermédiaire où j'aimerai t'amener pour envisager sereinement ensemble les theories de gravitation et de cosmologie quantique, le terme de notre mariage et de notre voyage dans la quantique 

A bientôt 

Il y a 5 heures, hybridex a dit :

 

Rien qui infirme une masse nulle de l'électron. du photon, sacré lapsus!

Pourquoi défendre un concept aussi vain?

Parce qu'on nous rabat les oreilles depuis toujours avec cette notion (qui vient de la relativité je crois) et qui moi, me plaît bien qu'il y a une correspondance entre la masse et l'énergie. Ou si vous préférez qu'à un certain niveau masse et énergie sont une seule et même chose.

 Si le photon a une énergie, ce que tout le monde admet, cette énergie DOIT avoir une équivalence en masse.

Cette fameuse masse hypothétique (ou virtuelle ou non réelle ou non actuelle) du photon.

D'où ma question du départ : si on "arrête" un photon !!! il a perdu son énergie et il se transforme en une certaine masse.

 Si vous ne pouvez pas arrêter un photon, c'est pas que je suis débile, ni loufoque mais juste... QUE VOUS EN ÊTES INCAPABLES !

Alors, compte tenu de son énergie quelle serait la masse hypothétique d'un photon à l'arrêt ?

si

E = m.C2

m = E/C2

Je subodore que ça doit pas être très lourd...

MAIS PAS NUL !

Si je vais plus loin, et puisqu'au dessus il a été dit qu'un photo pouvait perdre de l'énergie (pas en diminuant sa vitesse qui reste C2 mais par sa longueur d'onde qui s'allonge, il doit y avoir une "fourchette" ou plutôt une limite basse ( la limite haute étant le photon en pleine santé !) en deçà de laquelle, pour ce pauvre photon, je ne réponds plus de rien !

C'est donc les longueurs d'onde qu'il convient d'étudier. L'Être du photon, c'est sa longueur d'onde !

il y a 17 minutes, Blaquière a dit :

Parce qu'on nous rabat les oreilles depuis toujours avec cette notion (qui vient de la relativité je crois) et qui moi, me plaît bien qu'il y a une correspondance entre la masse et l'énergie. Ou si vous préférez qu'à un certain niveau masse et énergie sont une seule et même chose.

 Si le photon a une énergie, ce que tout le monde admet, cette énergie DOIT avoir une équivalence en masse.

Cette fameuse masse hypothétique (ou virtuelle ou non réelle ou non actuelle) du photon.

D'où ma question du départ : si on "arrête" un photon !!! il a perdu son énergie et il se transforme en une certaine masse.

 Si vous ne pouvez pas arrêter un photon, c'est pas que je suis débile, ni loufoque mais juste... QUE VOUS EN ÊTES INCAPABLES !

Alors, compte tenu de son énergie quelle serait la masse hypothétique d'un photon à l'arrêt ?

si

E = m.C2

m = E/C2

Je subodore que ça doit pas être très lourd...

MAIS PAS NUL !

Cette fois je fais appel a un ami

ça m'évite des phrases et c'est des belles images

Très bien pour l'éducation de @Hérisson_ aussi.

il y a 15 minutes, zenalpha a dit :

Cette fois je fais appel a un ami

ça m'évite des phrases et c'est des belles images

Très bien pour l'éducation de @Hérisson_ aussi.

 

Je comprends bien ça : la masse est un cas particulier de l'énergie.

il y a 40 minutes, Blaquière a dit :

Je comprends bien ça : la masse est un cas particulier de l'énergie.

Oui et en relativité il y a l'energie du corps considéré au repos (masse inertielle) et l'énergie cinétique lié a son déplacement 

On parle de masse pour un corps "au repos" a vitesse nulle et dans ce cas l'impulsion est négligée et l'équation devient e=mc2

Et le photon est il parfois immobile ?

Non donc pas d'énergie liée a la masse au repos...pas de masse pour le photon 

La boucle....est bouclée...

En revanche tu as bien l'énergie liée a son impulsion conformément à l'article linké ... et certainement pas a calculer avec l'équation d' @Hérisson_... qui prédit de manière louffoque une masse au photon...mais en considerant le e = h nu qui fait ce lien Relativité / Electromagnetisme & MQ..(photon = quantum du champ électromagnétique)

L'energie d'un photon est quantifiée et son énergie est proportionnelle a sa frequence (nu) la constante de proportionnalité etant la constante de Planck...

Va trouver ça chez Newton

Il y a 15 heures, zenalpha a dit :

Oui et en relativité il y a l'energie du corps considéré au repos (masse inertielle) et l'énergie cinétique lié a son déplacement 

On parle de masse pour un corps "au repos" a vitesse nulle et dans ce cas l'impulsion est négligée et l'équation devient e=mc2

Et le photon est il parfois immobile ?

Non donc pas d'énergie liée a la masse au repos...pas de masse pour le photon 

La boucle....est bouclée...

En revanche tu as bien l'énergie liée a son impulsion conformément à l'article linké ... et certainement pas a calculer avec l'équation d' @Hérisson_... qui prédit de manière louffoque une masse au photon...mais en considerant le e = h nu qui fait ce lien Relativité / Electromagnetisme & MQ..(photon = quantum du champ électromagnétique)

L'energie d'un photon est quantifiée et son énergie est proportionnelle a sa frequence (nu) la constante de proportionnalité etant la constante de Planck...

Va trouver ça chez Newton

Et puisque la fréquence peut varier, que se passe-t-il quand elle tend vers zéro ?

 Le photon "s'évapore" ? Disparaît ?

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Cette nuit j'ai rêvé que pour grimper à un mur j'avais besoin de m'accrocher à un bouquin de math...

Je disais à son propriétaire :

--Quand j'ai fini, je vous le rends !

Mais j'ai remarqué que quand je lui disais que j'étais "philosophe" et pas "matheux", il n'était pas content du tout !

Comme si, n'étant pas un fidèle, je n'avais pas le droit d'utiliser son livre saint (!)

Enfin, je me suis accroché à son bouquin quand même et j'ai pu finir mon escalade...

Après je lui ai rendu son livre. (Je ne sais pas s'il l'a par la suite passé au gel hydroalcoolique pour le désinfecter de mon "virus philosophique" !) ...

Peu après vu que mon téléphone (avec lequel je voulais demander de l'aide) était trop bruyant (je n'arrivais pas à débrancher le haut parleur), un gendarme voulait m'arrêter pour tapage... Mais ça c'est une autre histoire...

il y a une heure, Blaquière a dit :

Et puisque la fréquence peut varier, que se passe-t-il quand elle tend vers zéro ?

 Le photon "s'évapore" ? Disparaît ?

Cette nuit j'ai rêvé que pour grimper à un mur j'avais besoin de m'accrocher à un bouquin de math...

Je disais à son propriétaire :

--Quand j'ai fini, je vous le rends !

Mais j'ai remarqué que quand je lui disais que j'étais philosophe et pas matheux, il n'était pas content du tout !

Comme si je n'avais pas le droit d'utiliser son livre saint, n'étant pas un fidèle (!)

Enfin, je me suis accroché à son bouquin et j'ai pu finir mon escalade...

Après je lui ai rendu son livre. (Je ne sais pas s'il l'a par la suite passé au gel hydroalcoolique) ...

Peu après vu que mon téléphone (avec lequel je voulais demander de l'aide) était trop bruyant (je n'arrivais pas à arrêter le haut parleur), un gendarme voulait m'arrêter pour tapage... Mais ça c'est une autre histoire...

Si la fréquence diminue, la longueur d'onde augmente à célérité identique et l'énergie est inversement proportionnelle à la longueur d'onde or...tu te souviens que l'énergie est quantifiée...on ne la reduit pas linéairement mais selon une proportion qui dépend de la constante de Planck.

S'il n'y a plus d'onde électromagnétique plus de photon..

Les interferometres les plus sensibles capables de mesurer les variations infinitésimales pour de grandes longueurs d'onde sont certainement LIGO et VIRGO pour la mesure... des ondes ... gravitationnelles et j'ai parlé dans le topic d'eLISA

Mais dans le spectre électromagnétique, je ne connais pas la plus grande longueur d'onde détectable

Concernant ton rêve, tu es tombé sur un mauvais mathématicien.

Les bons travaillent leurs mathématiques ou s'en servent pour attiser les intérêts et vocations

Quand un grand prêtre entend être le seul à maîtriser son texte saint, c'est un intégriste 

Et les intégristes ne comprennent pas leurs textes...

@Blaquière puisque tu aimes les expériences de pensée.

Je sais que tu as compris qu'un seul photon qui va de l'émetteur (le canon à photon) à un écran en traversant une barrière intermédiaire pourvu de deux fentes dont les dimensions sont de l'ordre de la longueur d'onde du photon (approximativement...) interfère lors du passage entre les deux fentes avec lui même.

Mais que se passe t'il si tu mets sur cette barrière intercalée 3 fentes, 5 fentes, 30 fentes, une infinité de fentes.

Et que se passe t'il si derrière cet écran intercalé tu en rajoutes un autre lui même avec une infinité de fentes

Et que se passe t'il si tu places...une infinité d'ecrans intercalés muni d'une infinité de fentes entre émission et réception ?

Et si l'espace etait cette infinité d'ecrans intercalés munis d'une infinité de fentes entre émission et réception, que se passe t'il alors ?

Voila le genre d'expériences de pensées, comme celles d'Einstein...qui ont conduit Feynman étudiant...à l'idée de la notion de champ et d'integrales de chemin pour un photon ... 

Mais reflechis y...

Commentaires oiseux de crétin prétentieux, débitant dans le meilleur des cas des platitudes, bien incapable de reprendre le moindre calcul et d'apporter une remarque pertinente.

Fat d'opérette citant en boucle de grandes théories, mais qui se révèle jusque là incapable (malgré tout ce qui a été donné) de distinguer masse au repos (m°) et masse (m) de la particule en mouvement: cette dernière existe bel et bien pour le photon, capable de communiquer une impulsion à l'électron avec lequel il entre en collision - et de cela il y a bien d'autres exemples.

Bouffon cependant prudent (parce que déjà plusieurs fois surpris en flagrant délit d'idiotie), qui s'est bien abstenu de citer des articles précis - ils abondent pourtant sur le sujet, et une discussion eût été intéressante, avec tout autre participant, bien sûr.

Tartarin tout juste capable de produire, comme argument d'autorité, un texte douteux dont il n'a pas repéré les ambiguïtés, les incohérences et une erreur manifeste.

Ta stupidité ne connaît pas de limite ...

PS: 11 mentions ou citations ont suivi ma mise au point: c'est beaucoup d'honneur de la part de ce troll (car notre connard en est un) ... cela relève d'une frénésie confinant à l'obsession.

Serait-il assailli par le doute ? Je ne le crois pas: il est trop bête, et trop préoccupé de sa propre personne ...

il y a 32 minutes, Hérisson_ a dit :

Serait-il assailli par le doute ? Je ne le crois pas: sa bêtise et son narcissicisme le lui interdisent.

Disons que pour trouver a partir de tes équations une masse au photon, faut forcément un physicien un peu a la masse...

Non, encore une fois, personnellement je ne suis pas physicien...

Mais j'ai souvent dit qu'ici, on aborde des sujets quand même très élémentaires...et que le problème n'est pas tant le niveau du non physicien que celui...du...soi disant physicien

Tu parles de formation de physicien et tu affiches 80 ans, si ces deux informations sont exactes,c'est peut-être là ton problème 

Après la relativité générale relative aux corpuscules, les atomes de Rydberg qui sont de l'hydrogène, ta méconnaissance de l'utilisation de l'electronvolt comme unite normalisée pour ... la masse des particules, je tiens comme une promotion honorifique tes qualifications devant ta perception des écrits d'Haroche qualifié d'apotheose du crétin quand même...

Non...la vérité mon ami n'est pas tant ma non formation de physicien mais ton niveau sur ce sujet dont je t'assure en connaissance de cause qu'il frise le niveau des pâquerettes 

Mais bon...tu m'es utile

Notre ami le photon j'en suis sûr se doutait pas, qu'il ferait autant parler de lui. Qu'il serait décortiqué, que son intimité serait étalée dans les revues scientifiques ( le réseau sociaux des peoples de la science). 

Lui qui voulait passer incognito, c'est raté. 

il y a une heure, Hérisson_ a dit :

Commentaires oiseux de crétin prétentieux, débitant dans le meilleur des cas des platitudes, bien incapable de reprendre le moindre calcul et d'apporter une remarque pertinente.

Fat d'opérette citant en boucle de grandes théories, mais qui se révèle jusque là incapable (malgré tout ce qui a été donné) de distinguer masse au repos (m°) et masse (m) de la particule en mouvement: cette dernière existe bel et bien pour le photon, capable de communiquer une impulsion à l'électron avec lequel il entre en collision - et de cela il y a bien d'autres exemples.

Bouffon cependant prudent (parce que déjà plusieurs fois surpris en flagrant délit d'idiotie), qui s'est bien abstenu de citer des articles précis - ils abondent pourtant sur le sujet, et une discussion eût été intéressante, avec tout autre participant, bien sûr.

Tartarin tout juste capable de produire, comme argument d'autorité, un texte douteux dont il n'a pas repéré les ambiguïtés, les incohérences et une erreur manifeste.

Ta stupidité ne connaît pas de limite ...

PS: 11 mentions ou citations ont suivi ma mise au point: c'est beaucoup d'honneur de la part de ce troll (car notre connard en est un) ... cela relève d'une frénésie confinant à l'obsession.

Serait-il assailli par le doute ? Je ne le crois pas: il est trop bête, et trop préoccupé de sa propre personne ...

Jolie diatribe!

Pourquoi donc, les débats "scientifiques" sur forumfr, conduisent-ils souvent à autant d'agressivité!

Combien de fois ai-je eu envie de liker un propos qui me paraissait pertinent et en ai-je été dissuadé parce qu'il s'accompagnait de propos fort désobligeants pour un participant qui avait un autre avis!

Quels sont les enjeux? La science, que je sache ne se construit  pas sur forumfr!

il y a 46 minutes, zenalpha a dit :

Tu parles de formation de physicien et tu affiches 80 ans, si ces deux informations sont exactes,c'est peut-être là ton problème 

 

Nous appartenons @herissonet moi à une génération où la formation physique de base en lycée était déplorablement en retard sur l'état des connaissances de la physique de l'époque.

Alain Aspect appartient à la même génération, l'âge est loin de tout expliquer.

il y a 1 minute, hybridex a dit :

Nous appartenons @herissonet moi à une génération où la formation physique de base en lycée était déplorablement en retard sur l'état des connaissances de la physique de l'époque.

Alain Aspect appartient à la même génération, l'âge est loin de tout expliquer.

Certainement.

J'ai du mal à concevoir qu'à 80 ballets, "la formation" prenne le pas sur la vie en fait.

@Hérisson_ me donne parfois l'image d'un jeune qui serait a peine sorti de l'ecole et qui cherche sa place 

Pas celle d'un sage qui partage

Je pense qu'Aspect que j'adore, que je vénère, parle davantage du fonds issu d'une expérience palpable que d'ad hominem sur la formation 

Tiens, cette petite histoire extra

Déjà a 52 ballets, ma formation est en fin de CV...et si on parle de passion, on partage sa passion...

Un vieux physicien déjà devrait rayonner de science physique dans le concret et rayonner de transmission 

Bref...

Finalement quand dans mon rêve je parlais du bouquin de maths comme d'un texte sacré, je n'étais pas si loin de la réalité de "l'intégrisme scientifique" !

"Si vis "mathem" para bellum !"

il y a une heure, hybridex a dit :

Nous appartenons @herissonet moi à une génération où la formation physique de base en lycée était déplorablement en retard sur l'état des connaissances de la physique de l'époque.

Non, elle ne l'était pas, et elle ne s'est pas arrêtée au lycée - au moins en ce qui me concerne.

L'enseignement des premières notions de physique corpusculaire (effet photoélectrique, relativité) commençait en Terminale; celui concernant les ensembles, dès la seconde.

La seule chose dont on ne disposait malheureusement pas à l'époque, c'était les calculatrices, qui ne sont apparues que dans les années 70. 

Je pensais à des trucs, mais vu la tournure des événements, je n'ose plus rien dire !

Comme par exemple que la vitesse du photon dans un milieu, dans l'espace en général serait à considérer comme une propriété de ce milieu et non une caractéristique du photon, à considérer alors comme une... pichenette ! Son énergie (sa fréquence) étant proportionnelle à la force de la pichenette ! "Top !" ou "TOP !"...

 Dommage !

Et puis aussi que la multiplication à l'infini du nombre de fentes dans la paroi pourrait ou non correspondre à plus de paroi du tout ? Ou à diviser l'espace en sillons de champs ?

Quand j'avais dix ans, j'ai labouré avec le cheval et la charrue toute une rangée de vignes... autant dire que je m'y connais bien en champs et en sillons...