L'amour au temps du coronavirus

La pandémie bouscule les habitudes de rencontres. Je viens de trouver cet article assez éloquent dont je vous livre un extrait (traduction Google)

https://www.philstar.com/opinion/2020/10/07/2047690/dating-sex-breakup-all-virtual-isolated

Partout dans le monde ces jours-ci, la technologie et le coronavirus ont modifié la romance. Créditez les smartphones et distanciation sécurisée. Les rencontres, même le sexe et la rupture, deviennent virtuels. Emergent est un nouveau langage de l'amour, compilé par 1843 Magazine.

Dans le jumelage pré-pandémique au Japon, amiai était déjà une entreprise dynamique. Dans les bars ou les soirées, des marieurs professionnels ont persuadé des rendez-vous aveugles par ordinateur pour flirter puis s'embrasser. Mais alors que COVID-19 atténue les rendez-vous face à face, les tenues de rendez-vous ont changé de tactique, rapporte 1843. Présentation de matchmaking au volant ou doraibusur? o miai. Les célibataires, mis en quarantaine, se dirigent vers les parkings vacants des chapelles de mariage pour se lorgner du siège du conducteur. Ils font de l'alcool sur-nomi en ligne. Si les choses ne fonctionnent pas, il est facile d'accélérer.

«Pandating» - dates en ligne au moment de la pandémie - est une tendance mondiale. Les célibataires distants regardent des films en même temps via l'application Netflix Party. Ou, au nombre de 3, ils appuient simultanément pour démarrer le spectacle. (Corona-chill. Un copain en Amérique recommande vivement aux romantiques isolés de baisser la lumière de leur pièce respective au vin et de dîner à un concert vidéo-discothèque du pianiste Brian Culbertson.)

Un «sexting» suggestif s'ensuit via le clavier. Les couples lubriques progressent vers le «coronalingus», que 1843 décrit comme «l'échange de chefs-d'œuvre de plusieurs mégapixels de leurs organes génitaux». Les pudibondes se tortillent à la mention d '«airgasm», cette douce aspiration d'oxygène après des heures à porter un masque facial. En plus d'être confondu avec la compagnie aérienne irlandaise, «coronalingus» est trompeur. Un terme plus savoureux pourrait être «farplay» (préliminaires de loin). Quoi qu'il en soit, certains couples peuvent hésiter à laisser des traces de riens doux et de photos torrides. 1843 conseille l'utilisation de Snapchat, une application d'échange d'images et de textes qui se supprime automatiquement après avoir été visionnés.

«Zumping» est cette manière cruelle de larguer son partenaire via Zoom. Un message invite la victime à rejoindre la visioconférence. Et lorsque vous cliquez sur ce carré bleu sur l'écran tactile, le message apparaît: "La fin". De quoi induire la «coronanoïa» de l'utilisation de cette plate-forme de visioconférence.

1843 ramasse d'autres monnaies du cœur. «Cuomosexual» est un fidèle du beau gouverneur de New York, Andrew Cuomo. Les animateurs de talk-shows américains Trevor Noah et Ellen Degeneres se sont avoués à l'antenne de l'être. Le comédien Randy Rainbow a écrit une chanson et lancé une ligne de gilets, de pulls et de t-shirts proclamant: «À partir de maintenant, je m'identifie comme cuomosexuel.»

«Quarantinderen» est le néerlandais pour l'utilisation de l'application de rencontres Tinder pendant une pandémie. Les responsables de la santé avaient prescrit en mai que les célibataires en quarantaine organisent un seksbuddy (copain sexuel) régulier pour réduire les contacts sociaux multiples. Pour ceux qui n'ont pas de partenaire de garde, Tinder, populaire aux Pays-Bas, a sauvé la mise, dit 1843

Les prescriptions de l'Eglise sont claires : il ne faut pas rechercher le plaisir sans l'acte sexuel. A cette fin, le corps de la femme sera entièrement recouvert d'un drap, percé au bon endroit. Ainsi soit-il.

Il y a 2 heures, L'ornithorynque a dit :

La pandémie bouscule les habitudes de rencontres.

Quand on ferme la porte d’un marché, il s’empresse de passer par la fenêtre par tous les moyens.

C’est surtout cette observation basique des écoles de commerce, qui vaut dans le cas présent et qui me vient à l’esprit. Quand on observe toutes les stratégies et tentatives de contournement.

Quant à la soi-disant non recherche du plaisir, moraline de l’absurde, si ce dernier était totalement absent de nos démarches élémentaires, on n’évoquerait même pas le sujet par manque d’intérêt.