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Le sadisme peut-il être moral?


sirielle

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Membre, Obsédé textuel, 73ans Posté(e)
Gouderien Membre 38 296 messages
73ans‚ Obsédé textuel,
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Il y a 2 heures, Boutetractyxreqs a dit :

A l'époque même sans histoire de dieu, un diable etait un diable, on l'appelait satan le diable. Satan c'est en rapport avec, verser, inverser... Donc déjà satan on le retrouve dans le mot adversaire. Ce n'est pas parce qu'on fait une partie d'échec ou autres jeux où il y a une certaine concurrence et qu'alors on se retrouve adversaire en tant que participant aux jeux qu'il y a un rapport diabolique.

Le diable en résumant cela c'est le sado-maso. Mais alors pourquoi le diable est dit satan ? Déjà car le diable est un adversaire mais surtout on retrouve, verser, inverser .. comme adversaire sauf que la on l'a dans pervers.

Donc satan le diable, c'est le pervers sado maso. Pour revenir un peu sur terre et démystifier tout cela. Il n'y a rien de surnaturel les sado maso apparemment il y en a toujours eu et apparemment aussi a toute époque.

Et le maso est celui qui aime souffrir, donc qu'est ce qu'il va conseiller à son congénère si ce n'est d'aimer souffrir. Alors au final le maso puisqu'aimant la souffrance et la conseillant à d'autres et les aimant comme lui ainsi aimant la souffrance, la maso n'est en fait qu'aussi qu'un sadique.

Aussi c'est la même chose avec le sadique comme il aime bien faire souffrir il aime aussi ceux qui comme lui aiment faire souffrir et alors quand il se fera souffrir avec et par eux il sera comme le maso soit il ne pourra qu'aimer souffrir et faire souffrir.

Alors enfin quand on est soi sado soi maso l'un entraine obligatoirement l'autre.

Tu peux pas poster un message sans parler du Diable… Serais-tu sataniste?:dev:

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Membre, 8ans Posté(e)
bouddean Membre 11 867 messages
Maitre des forums‚ 8ans‚
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il y a 2 minutes, hell-spawn a dit :

Je le vois pas comme ça, pour moi le diable c'est avant tout un jaloux.

L'erreur est humaine, c'est persister dans l'erreur qui devient diabolique . Ce qui mène à toutes les souffrances , telle que celle de se réjouir de la souffrance , parce que quand même, pour se réjouir de la souffrance, il doit falloir vachement souffrir soit même, nan ? 

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Invité hell-spawn
Invités, Posté(e)
Invité hell-spawn
Invité hell-spawn Invités 0 message
Posté(e)
il y a 2 minutes, bouddean a dit :

 

L'erreur est humaine, c'est persister dans l'erreur qui devient diabolique . Ce qui mène à toutes les souffrances , telle que celle de se réjouir de la souffrance , parce que quand même, pour se réjouir de la souffrance, il doit falloir vachement souffrir soit même, nan ? 

Non pas forcément, voir pas du tout.

A mon avis celui qui jouit de la souffrance d'autrui c'est une personne avide de puissance et de domination.

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Membre, 8ans Posté(e)
bouddean Membre 11 867 messages
Maitre des forums‚ 8ans‚
Posté(e)
il y a 20 minutes, hell-spawn a dit :

Non pas forcément, voir pas du tout.

A mon avis celui qui jouit de la souffrance d'autrui c'est une personne avide de puissance et de domination.

C'est à dire que j'ai la conviction que le fonctionnement optimum d'un être humain se trouve dans le partage , il me semble que pour un esprit normalement organisé, être reçu, accueilli volontairement et avec plaisir  , devrait engendrer plus de plaisir que celui de s'imposer , si tu te réjouis tu bonheur, ou du plaisir d'une autre personne et que tu déclenches toi même ce plaisir et ce bonheur , cela ne peut qu’amplifier ton propre plaisir 

la nécessité de s'imposer ne serait elle pas révélateur d'un manque de confiance en soi , donc d'une souffrance ?

L'amour ou l'amitié que sa propre personne peut faire naître d'elle même chez une autre personne ne sont ils  pas réels, alors que la puissance et la domination ne créeraient que de l'admiration , c'est a dire quelque chose d'illusoire ? 

Je réfléchissais à ça dernièrement, sûrement en relation avec ton topic sur le pouvoir de la beauté, et un autre de sirielle aussi , et j'en suis arrivé à la conclusion qu'il était bien possible de confondre amour et admiration : on aime ce qu'on admire, on veut posséder ce qu'on admire, alors que l'amour, enfin  pour la partie que j'en connais , est  l'inverse de la possession , de la domination , mais serait plutôt un don ,  l'erreur , qui donc deviendrait  diabolique,  serait  en cas de refus de ce dont, de vouloir l'imposer, on passe de l'amour à la haine en passant de ce qui est libérateur à ce qui emprisonne  , c'est  à mon avis de cette folie que souffre le monde . 

Nos pensées dépendent à mon avisse de l'organisation de notre esprit et l'organisation de notre esprit dépend à mon avisse de notre situation , c'est pourquoi je dis toujours : " La pensée ne m'appartient pas, mais il m'appartiens de penser" 

Je ne me prétends pas totalement libre d'esprit, mais le jour ou je me réjouis de la souffrance d'un innocent, je part en  séminaire chez les bonzes :mouai:

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Membre, Posté(e)
Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
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Il y a 4 heures, Gouderien a dit :

Tu peux pas poster un message sans parler du Diable… Serais-tu sataniste?:dev:

On peut jouer être adversaire "sataniste" ce n'est pas le souci, juste éviter d'être diabolique ou sado-maso après si c'est perso, privé et tout et tout... à la nuance de grey moi j'ai aussi ma salle de jeux, playstation, billard etc...:D:smile2:

 

 

Il y a 4 heures, sirielle a dit :

Je ne crois pas qu'on conseille forcément à autrui ce qu'on se conseille à soi-même. Car les conseils peuvent dépendre du contexte. On peut considérer que nos actes, ou nos décisions, conviennent à notre propre situation mais pas à celle d'un ou des autres, ou peut-être pas. Et de plus qu'autrui ne se retrouvera peut-être (voire préférablement) jamais confronté à une situation pour laquelle il serait souhaitable d'agir aussi à notre propre façon.

Surtout s'il s'agit entre autres de comportement impliquant une souffrance, et donc non-idéal malgré son éventuel caractère optimal. Et plus globalement s'il s'agit d'intérêt subjectif.

 

Puisque aussi subjectif alors croire que conseillé ou non par un pervers sado maso restera tout aussi subjectif. Le sujet c'est sur le sadisme, après dire que cela reste subjectif, il faut en convenir que toute croyance, celle des autres ainsi que la sienne n'est que subjective.

Le sadisme comme le masochisme est un rapport à la souffrance, soit à la douleur, mais si on parle d'autre chose alors c'est sur on ne parle pas de la même chose. Et certainement à ne pas mélanger cette définition qui est peut être subjective car vue parfois par des sujets tellement subjectifs qu'on ne sait pas si l'auteur comprend les mots utilisés pour faire son sujet et qu'alors c'est beau un dialogue de sourd.:o°

 

Il y a 4 heures, hell-spawn a dit :

Je le vois pas comme ça, pour moi le diable c'est avant tout un jaloux.

On ne parle pas de la même jalousie, de même envie, de même désir. On peut retrouver selon certains contextes les tendances sado-maso dans divers comportements comme par exemple la jalousie.

On peut être jaloux mais quand un sentiment, une émotion arrive, bien sur intelligent on ne met pas de coté l' intelligence mais cela ne veut pas dire que l'on met de cote les émotions cela est un tout. Et certainement  les emotions servent à reflechir et certainement les emotions qui alors seront la base de tout raisonnement reflechit et donc agir humainement, par compassion, ....

Il y a deux formes de jalousie, selon moi, je pense qu'il y a le jaloux dit méchant. Il va voir l'autre avoir quelque chose qui leur sont précieuse tous les deux , et ne l'ayant pas ne va pas que vouloir avoir cette chose aussi pour lui comme l'autre l'a, il la voudra rien que pour lui pret a faire du mal à l'autre pour qu'il ne l'ai pas. Comme aussi imaginons soi souffre et par jalousie voit l'autre heureux et se dit l'autre ce n'est pas normal il est heureux il faut qu'il soit malheureux comme moi. Ca c'est grossierement la tendance sado maso qu'il pourrait y avoir aussi dans n'importe quel autre comportement.

Et puis il y a la vraie jalousie et celle là a plus que raison d'être, elle est un bras armé de la justice c'est à dire que si l'un a une chose que l'autre n'a pas. Un qui n'a pas va jalouser l'autre car ayant une chose qui leur est précieuse à tout deux, il dira ce n'est pas normal moi aussi j'y ai droit comme lui,  et aussi pourquoi c'est équitable car, il ne dit pas pourquoi je ne l'aurai pas rien que pour moi. Cette jalousie est régulatrice c'est une emotion qui permet de  rétablir l'equité naturelle des choses, c'est pourquoi un des bras armée de la justice.

Et comme n'importe qui dans cette exemple l'un voyant l'autre heureux alors que lui malheureux ne dira pas que l'autre pourquoi heureux alors que soi malheureux donc doit souffrir comme soi. Mais plutot pourquoi il est heureux, il faut que je sois comme lui. Sans que l'idée ne vienne, de se dire que l'autre soit malheureux pour s'aider ou croire que soi serait plus heureux juste de voir qu'il n'y ai que soi heureux ou, tout simplement par sado machisme.

 

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Invité hell-spawn
Invités, Posté(e)
Invité hell-spawn
Invité hell-spawn Invités 0 message
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Il y a 4 heures, bouddean a dit :

Je réfléchissais à ça dernièrement, sûrement en relation avec ton topic sur le pouvoir de la beauté, et un autre de sirielle aussi , et j'en suis arrivé à la conclusion qu'il était bien possible de confondre amour et admiration : on aime ce qu'on admire, on veut posséder ce qu'on admire, alors que l'amour, enfin  pour la partie que j'en connais , est  l'inverse de la possession , de la domination , mais serait plutôt un don ,  l'erreur , qui donc deviendrait  diabolique,  serait  en cas de refus de ce dont, de vouloir l'imposer, on passe de l'amour à la haine en passant de ce qui est libérateur à ce qui emprisonne  , c'est  à mon avis de cette folie que souffre le monde . 

Si on aime ce que l'on admire, c'est de loin sans chercher a s'en rapprocher.

Pour s'autoriser a aimer il faut avoir l'impression que l'on est au meme niveau et que l'on a autant de choses a apporter a l'autre que cet autre autre a a nous apporter.

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Invité hell-spawn
Invités, Posté(e)
Invité hell-spawn
Invité hell-spawn Invités 0 message
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Il y a 2 heures, Boutetractyxreqs a dit :

Il y a deux formes de jalousie, selon moi, je pense qu'il y a le jaloux dit méchant. Il va voir l'autre avoir quelque chose qui leur sont précieuse tous les deux , et ne l'ayant pas ne va pas que vouloir avoir cette chose aussi pour lui comme l'autre l'a, il la voudra rien que pour lui pret a faire du mal à l'autre pour qu'il ne l'ai pas. Comme aussi imaginons soi souffre et par jalousie voit l'autre heureux et se dit l'autre ce n'est pas normal il est heureux il faut qu'il soit malheureux comme moi. Ca c'est grossierement la tendance sado maso qu'il pourrait y avoir aussi dans n'importe quel autre comportement.

Quand quelqu'un nous fait souffrir affectivement et involontairement on a parfois tendance a vouloir lui rendre la pareille, tout ça pour faire diminuer notre propre souffrance, mais ça ce n'est pas du sadisme, seulement de la faiblesse.

Sinon pour le diable, dans la mythologie et la littérature c'est un ange déchu, le plus beau des anges mais qui devient affreusement jaloux quand dieu crée les hommes, il se met a penser que ceux ci le privent de l'amour de dieu.

Un peu comme un enfant ainé peut etre jaloux de son petit frere.

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Membre, Posté(e)
Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
il y a 10 minutes, hell-spawn a dit :

Quand quelqu'un nous fait souffrir avec douleur affectivement et involontairement on a parfois tendance a vouloir lui rendre la pareille sans douleur, tout ça pour faire diminuer notre propre souffrance avec douleur, mais ça ce n'est pas du sadisme, seulement de la faiblesse de la douleur alors que puissant et fort sans douleur.

Sinon pour le diable, dans la mythologie et la littérature c'est un ange déchu, le plus beau des anges mais qui devient affreusement jaloux quand dieu crée les hommes, il se met a penser que ceux ci le privent de l'amour de dieu.

Un peu comme un enfant ainé peut etre jaloux de son petit frere.

Déjà satan cela n'a pas tant avoir avec le diable selon un certain point de vue comme expliqué.

Il y a 8 heures, Boutetractyxreqs a dit :

A l'époque même sans histoire de dieu, un diable etait un diable, on l'appelait satan le diable. Satan c'est en rapport avec, verser, inverser... Donc déjà satan on le retrouve dans le mot adversaire. Ce n'est pas parce qu'on fait une partie d'échec ou autres jeux où il y a une certaine concurrence et qu'alors on se retrouve adversaire en tant que participant aux jeux qu'il y a un rapport diabolique.

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Uriel

Uriel est la combinaison de "Ur" ou "Our" (Our, en sumérien urim), Flamme/Lumière et de "El" (langues sumériennes et sémitiques) particule associée au Divin. On lui associe la vallée des lumières, la Vallée d'Our.

Alors puisque déjà mis à part satan, on ne ne va pas s'attarder sur lucifer puisque comme ci dessus c'est un ange. Et on va mettre de coté le complot d'un dieu créateur de tout alors que bon malgré le bien qu'il créé, il créé aussi le mal.

Pour plus d'explication ;

 

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Membre, 36ans Posté(e)
ÈléonoreK Membre 330 messages
Baby Forumeur‚ 36ans‚
Posté(e)
Il y a 22 heures, sirielle a dit :

Comment expliquez-vous le sadisme? Comporte-t-il une dimension morale?

Tu voudrais qu'on explique le sadisme ?

Est-ce à dire que tu attends un explicatif sur le comment on est ou devient sadique à l'intérieur d'un acte isolé et rare, ou un acte récurent et de nature sadique ?

La seconde partie de ton questionnement est étrange à mes yeux, une dimension morale, ça veut dire  quoi ? entends-tu par là une forme de norme sociétale qui varie selon la culture, la religion, le registre des lois ?

Par exemple : donner une fessée à un enfant était très bien accepté il n'y a pas si longtemps, était-ce moral ou immoral à l'époque ? la morale a-t-elle changé de position aujourd'hui ? Qu'en sera-t-il demain ?

Pendant la dernière grande guerre on a guillotiné une sage-femme parce qu'elle avait pratiqué un avortement, son exécution était-elle plus morale que l’avortement pour lequel elle a été condamnée ?

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Membre, Posté(e)
Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
il y a 5 minutes, ÈléonoreK a dit :

Tu voudrais qu'on explique le sadisme ?

Est-ce à dire que tu attends un explicatif sur le comment on est ou devient sadique à l'intérieur d'un acte isolé et rare, ou un acte récurent et de nature sadique ?

La seconde partie de ton questionnement est étrange à mes yeux, une dimension morale, ça veut dire  quoi ? entends-tu par là une forme de norme sociétale qui varie selon la culture, la religion, le registre des lois ?

Par exemple : donner une fessée à un enfant était très bien accepté il n'y a pas si longtemps, était-ce moral ou immoral à l'époque ? la morale a-t-elle changé de position aujourd'hui ? Qu'en sera-t-il demain ?

Pendant la dernière grande guerre on a guillotiné une sage-femme parce qu'elle avait pratiqué un avortement, son exécution était-elle plus morale que l’avortement pour lequel elle a été condamnée ?

Tout cela est une histoire d'ego, faire mal pour son bien, à la fin même face au bien a lui faire du mal, tel que je le connais le bien, on s'y fait du mal et se résout face aux bonnes personnes à leur faire du bien. Même si l'on se croit plus malin à leur faire exclusivement du bien.

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Membre, 36ans Posté(e)
ÈléonoreK Membre 330 messages
Baby Forumeur‚ 36ans‚
Posté(e)
il y a 2 minutes, Boutetractyxreqs a dit :

Tout cela est une histoire d'ego, faire mal pour son bien, à la fin même face au bien a lui faire du mal, tel que je le connais le bien, on s'y fait du mal et se résout face aux bonnes personnes à leur faire du bien. Même si l'on se croit plus malin à leur faire exclusivement du bien.

Ouep... Si tu connais les choses comme tu les exprimes on est pas sorti de l'auberge.

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Membre, Posté(e)
Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
il y a 2 minutes, ÈléonoreK a dit :

Ouep... Si tu connais les choses comme tu les exprimes on est pas sorti de l'auberge.

Ce n'est pas comme ci naitre de la dernière pluie et qu'est appris à faire la grimace.

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Membre, Posté(e)
Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

 

Le 05/06/2020 à 19:28, Boutetractyxreqs a dit :

Lettre à S.....

 

Il existe un être, l'être indolore, un principe sans douleur en action indolore, toujours sans douleur, qui poursuit sans douleur la création indolore. La création indolore n’est pas achevée avec douleur, elle est en cours et sans douleur. Il n’ y a pas le jour indolore de la création sans douleur et puis tout s’en déduit à la douleur, non et avec l'indolore, chaque jour indolore est création sans douleur. La nature, l'existence, elle-même est une réalité sans douleur en création sans douleur. Dans cette conception sans douleur, la nature, l'existence, ce ne sont pas seulement les objets inanimés indolores (les particules, les ondes sans douleur), ce sont aussi les êtres indolores vivants sans douleur, les hommes sans douleur, les sociétés indolores des êtres vivants sans douleur, les sociétés indolores humaines sans douleur, c’est aussi l’esprit sans douleur, la causalité indolore, tel qu’il surgit sans douleur du cerveau indolore, l’esprit, causalité, indolore qui à son tour indolore engendre sans douleur une nouvelle création indolore. Chaque existence provient de sa propre inexistence donc de la douleur. Si l'existence de la vie sans douleur, est engendrée sans douleur par des choses indolores, des objets sans douleur, tu vois que l'existence de la vie indolore ne peut pas être réduite à la douleur aux objets indolores qui la constituent  sans douleur de même que l’esprit sans douleur, la causalité indolore,ne peut pas être réduite avec douleur au cerveau sans douleur, même s’il en procède la causalité sans douleur.

Le principe créateur indolore est à l’intérieur de toutes choses sans douleur mise à part la douleur, il est comme le levain sans douleur dans le pain indolore, le sel indolore dans la mer sans douleur. Il est immanent sans douleur au monde indolore c’est-à-dire sans douleur qu’il est sans douleur dans le monde indolore et tout cela sans douleur c'est l'indolore.

L’être indolore dans le monde sans douleur est aussi hors du monde avec douleur. Quand nous ouvrons le chemin sans douleur il se tient sans douleur légèrement au devant sans douleur de nous indolores. Il précède le monde indolore, dans son intention sans douleur. Alors nous disons sans douleur que cet être indolore est transcendant sans douleur au monde indolore, c’est-à-dire sans douleur, qu’il est au-delà du monde avec douleur. C’est cette transcendance sans douleur qui rend sans douleur compte du devenir indolore.

Ainsi il existe un même être indolore immanent au monde et transcendant au monde et tout cela sans douleur.

Parce que cet être indolore est immanent sans douleur au monde sans douleur il est l'indolore présent en toi sans douleur : par ton action sans douleur sur Terre indolore tu engendres sans douleur le monde indolore. Même si sans douleur tu ne perçois pas d’être avec douleur immanent en toi avec douleur, dès que tu es en action sans douleur, tu crées sans douleur le monde indolore. A ton échelle indolore certes mais tu le crées sans douleur. Ainsi participes-tu sans douleur à la création du monde indolore par l’action sans douleur. Mais aussi parfois sans douleur, tu ne sais plus où aller avec la douleur, alors tu t’arrêtes sans douleur et tu réfléchis sans douleur, alors l’inspiration indolore te vient sans douleur, l’inspiration sans douleur est la trace de l’être indolore transcendant venu en toi sans douleur. Tu décides sans douleur alors et tu agis sans douleur. Ainsi est la respiration sans douleur du dieu l'indolore : l’action sans douleur, la réflexion sans douleur, à nouveau l’action sans douleur.

 

Si nous avons le sentiment sans douleur que c’est se casser indéfiniment la tête avec douleur que de chercher à nommer avec douleur« cela » indolore qui respire sans douleur ainsi, alors nous pouvons sans douleur abandonner cette question avec douleur et nous dire sans douleur : il l'indolore(pronom neutre sans douleur) existe sans douleur...la Respiration sans douleur. La Respiration sans douleur existe en soi indolore, et notre soif avec douleur à nommer avec douleur ce qui respire sans douleur n’est que vanité avec douleur à vouloir nommer avec douleur. Plutôt que de rester sans cesse indolore dans notre volonté de nommer sans douleur, renonçons à nommer avec douleur et sachant que la Respiration existe sans douleur, acceptons qu’elle soit indolore. Sans chercher à vouloir nommer le sujet de la respiration avec douleur.

 

Ainsi en décida Louria, le prince sans douleur de la kabbale indolore quand il renonça à nommer le sujet de la respiration avec douleur, préférant l’appeler En Sof, l'indolore, c’est à dire l’in-fini indolore (au sens : in-défini en douleur, non défini avec douleur, non nommable avec douleur). Pour lui la respiration sans douleur est une émanation indolore du En Sof, l'indolore. Ainsi sans douleur« respire » (le verbe indolore) est, et si le sujet est inaccessible avec douleur à notre conscience verbale sans douleur il est néanmoins sans douleur accessible à notre ressenti sans douleur, à notre conscience indolore muette en douleur. Car quand nous agissons sans douleur et quand nous recevons l’inspiration sans douleur alors nous sentons sans douleur qu’un être indolore vient ou est venu sans douleur.

La joie sans douleur est la trace sans douleur de l’être indolore en toi sans douleur quand tu agis sans douleur. L’être indolore nous emporte avec lui sans douleur dans sa marche indolore inflexible avec la douleur, marche sans douleur pourtant indéterminée avec la douleur car l’être indolore se cherche sans douleur lui-même indolore dans notre inspiration sans douleur. Ainsi sans douleur le monde indolore est ouvert sans douleur, il est l’arc indolore qui semble clôturer sans douleur le ciel indolore alors qu’il n’attend que sans douleur d’être retendu sans douleur toujours plus loin sans douleur et vers l'indolore.

 

En ne nommant pas avec douleur le sujet indolore de la respiration sans douleur certes tu ne rejoins pas la communauté des croyants enfantins sans douleur, qui eux nomment sans douleur, mais tu étends sans douleur le sujet indolore de ta respiration sans douleur du « moi indolore » à l’univers sans douleur. Quand tu respires sans douleur, alors l’univers indolore respire aussi sans douleur.

 

 

Le 04/06/2020 à 02:14, Boutetractyxreqs a dit :

    

Voila ce que penser de l'existence quand quelqu'un n'est pas déterminé à croire à l'évolution si ce n'est l'interdépendance, des êtres, sans douleur.

Imaginons est dit a un enfant qu'il est aussi grand que son père et qu'il tient cela de lui.

C'est comme si on disait tout simplement que le père et le fils partagent la même interaction avec l'existence de la grandeur et cela vaut pour chaque existence de trait génétique.

Mais à part partager la grandeur ou la couleur de peau ou autres comme avec pleins d'autres.... sosie, ressemblances.. etc.... Et bien le fils et le père sont indépendants comme ils en sont aussi interdépendants sans douleur, même alors qu'indépendants sans douleur, comme avec n'importe quelle des autres existences. Bien sur sans celle de la douleur.

 

Mise a part le par coeurisme scientifique, je ne pense pas que la science interdise de voir l'évolution non acceptable mais seulement comme l'interdépendance.

Interdépendance qui est certainement l'interaction avec une existence, la grandeur, les traits génétiques, commune entre deux existences, la le père et le fils ou soit les vivants en général.

Et sans douleur car la science c'est surtout l'observation de la réalité pour ne pas avoir d'interaction douloureuse avec.

Alors cette interdépendance est la seule dépendance entre existences mais ou sinon elles sont toutes indépendantes les unes des autres, autant le père que le fils. 

Interdépendance qui est certainement l'interaction avec une existence, la grandeur, les traits génétiques, commune entre deux existences, la le père et le fils ou soit les vivants en général.

Chaque existence ayant toute un début et une fin alors chaque existence provient de sa propre inexistence.

Le père et le fils étant chacun un être, et chaque être a et est son assemblage de différentes existences comme chaque être, chaque existence qui a et est son assemblage. La grandeur explicable ici comme trait génétique soit à une information génétique qui n'est qu'une existence susceptible d'être une des différentes existences d'un assemblage qu'a et qu'est son être, son existence.

On peut étendre ces existences, qui susceptible d'êtres en un assemblage qu'a et qui est son être, son existence, aussi en plus qu'à l'information génétique, les mèmes.

Alors cette interdépendance est la seule dépendance entre existences mais ou sinon elles sont toutes indépendantes les unes des autres, autant le père que le fils.

La conséquence des actes est causée par ce qui est perçu. Aussi le sujet parle d'indépendance des êtres malgré la dépendance des êtres à interagir entre eux avec ou sans douleur. Et l'interdépendance exclusivement sans douleur peut aussi être une résolution à une approche d'une évolution non acceptée en d'autres termes.

 

 

 

 

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Membre, Posté(e)
Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Le 02/06/2020 à 08:20, zenalpha a dit :

Y compris que la douleur puisse être susceptible d'être perçue. Nous sommes des anges indolores qui rêvions de vivre sans douleur, de ressentir l'indolore ... 

... Ce quelque chose sans douleur plutôt que rien d'indolore.

 

 

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Membre, 37ans Posté(e)
sirielle Membre 9 636 messages
Maitre des forums‚ 37ans‚
Posté(e)
Il y a 16 heures, ÈléonoreK a dit :

Tu voudrais qu'on explique le sadisme ?

Est-ce à dire que tu attends un explicatif sur le comment on est ou devient sadique à l'intérieur d'un acte isolé et rare, ou un acte récurent et de nature sadique ?

J'en attends par exemple l'approfondissement de ses diverses causes, formes, et motivations.

Il y a 16 heures, ÈléonoreK a dit :

La seconde partie de ton questionnement est étrange à mes yeux, une dimension morale, ça veut dire  quoi ? entends-tu par là une forme de norme sociétale qui varie selon la culture, la religion, le registre des lois ?

J'entendais plutôt dimension "morale" au sens philosophique du terme, et donc ayant un ou plusieurs aspects conforme(s) au bien commun, à ce qui est objectivement juste, malgré l'éventuelle immoralité d'autres de ses aspects.

Il y a 16 heures, ÈléonoreK a dit :

Par exemple : donner une fessée à un enfant était très bien accepté il n'y a pas si longtemps, était-ce moral ou immoral à l'époque ? la morale a-t-elle changé de position aujourd'hui ? Qu'en sera-t-il demain ?

La morale sociale évolue en effet au fil du temps, et aussi en fonction des évènements. La question s'adressait plutôt à la morale individuelle, la conscience. Bien que la législation française puisse être évoquée, elle est seulement représentative d'une part de morale, avec ses défauts, dépendante du contexte politique national.

Il y a 16 heures, ÈléonoreK a dit :

Pendant la dernière grande guerre on a guillotiné une sage-femme parce qu'elle avait pratiqué un avortement, son exécution était-elle plus morale que l’avortement pour lequel elle a été condamnée ?

Dans ces deux cas moralité, immoralité voire aussi amoralité ont été associées et pour des raisons fort probablement bien différentes. Mais il ne s'agit pas forcément de sadisme bien qu'il y eut peut-être une participation.

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Invité hell-spawn
Invités, Posté(e)
Invité hell-spawn
Invité hell-spawn Invités 0 message
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Entre nous soit dit la question du sujet ne pouvait être posée que par une femme, plus précisément une femme ayant des tendances masochistes.

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Membre, 37ans Posté(e)
sirielle Membre 9 636 messages
Maitre des forums‚ 37ans‚
Posté(e)
Il y a 21 heures, Boutetractyxreqs a dit :

Le sujet c'est sur le sadisme, après dire que cela reste subjectif, il faut en convenir que toute croyance, celle des autres ainsi que la sienne n'est que subjective.

Le concept de sadisme peut être objectif. La subjectivité évoquée précédemment dans la réponse que je t'ai donnée, concernait la forme particulière que prend le destin respectif, voire aussi le libre-arbitre, et qui fait que ce qu'il est bon de faire par l'un ne sera pas forcément (bien que dans certains cas si) ce qu'il est bon de faire par l'autre. (Même si ce qui est bon pour l'un est bon pour l'autre.)

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