« On ne croit plus en vous » : échange tendu entre Emmanuel Macron et deux soignantes à la Pitié-Salpêtrière

ça va pas faire plaisir au fachos  

« On est désespérés, on ne croit plus en vous. »

« Moi je n’ai jamais fait de promesse, donc vous avez raison de ne pas avoir cru en moi là-dessus car quand je fais des promesses, je les tiens », réplique Emmanuel Macron.

Ben vàlà 

Oui, mais quid des couleurs ?

En tout cas le gouvernement en aura sorti des trilliards en quelques mois. Open bar  ! 

De toute ma vie je ne me souviens pas d'une période où l hopital ne réclamait pas des moyens supplémentaires et des augmentations de salaire. Ils continueront encore même quand Macron aura ouvert les Vannes de la pompe a fric magique. Même à 25 % de chômage et 80 % de dépenses publique rapport au pib le problème sera un manque de moyen.

Tant que ce pays n explosera pas économiquement, rien ne sera jamais remis en question.

Et pendant ce temps les zouaves parlent de "politiques néo liberales".

Des trilliards pris aux fumeurs, qui, désormais, sont presque obligés d'arrêter à cause du port du masque !

Et, déconfinés (mot nouveau dans la langue, je crois), alors même, que les commerçants du coin, (tout le monde en connaît), ont continué de travailler pendant la période et n'ont toujours pas passé le test. Et ce, alors même que les masques, arrivés, presque à la fin du confinement, nous protègent surtout de ceux qui, dans leur petit paradis confiné, à l'époque, commencent tout juste à sortir.

Sans même tenir compte des gestes barrière devenus quasi réflexe, à force de les pratiquer pendant... qu'on était confinés.

Sous prétexte qu'on n'est plus confinés.

Citation

 

En tout cas le gouvernement en aura sorti des trilliards en quelques mois.

 

Citation

 

 

En tout cas le gouvernement en aura sorti des trilliards en quelques mois.

Il ne fallait, pas, c'est la conclusion à laquelle je suis arrivé, faire les courses et sortir les animaux domestiques des voisins à l'époque, en tout cas pour des prunes.

Ce, à moins qu'à force de pas avoir réfléchi, on s'y mette maintenant, et du coup, on se mette à fumer, plutôt que gueuler, et seulement à condition que le gouvernement cesse de surtaxer les clopes.

Après tout, pas encore aussi chères que le caviar, elles le deviendront bientôt à ce train-là, une société masquée, ultime conclusion à laquelle on arrive, étant une société idéale du moment qu'on est des vaches à lait. 

Bon, je veux pas faire non plus l'apologie de la maladie, donc je m'arrête là. 

Il y a 5 heures, narcejo a dit :

 

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Sans compter tous les regroupements de personnes auxquels on a assisté, dans la période, uniquement parce que la situation était extraordinaire, alors qu'en temps "normal" elles se disaient même pas merde. 

 

dans la semaine,j'ai vu un petit reportage dans le jounal de carole gaessler sur la  3

des voisins qui se disaient pas bonjour,se regarder en chien de faience même, se parler a tout va,via les balcons,rigolaient et touti quenti!

je suis prêt a parier que si la situation redevenait "normale" ce que je doutes,il s'ignoreraient a nouveaux