Pour Trump, le Covid-19, c'est du passé...

il y a une heure, Condorcet a dit :

N'accable pas Pascou, déjà qu'il n'a pas bien supporté cette injection d'eau de javel. 

 

il y a 39 minutes, Gouderien a dit :

Tu peux expliquer ce rire débile ?

Il y a 7 heures, versys a dit :

Pour lui, il convient de balancer à la trappe, de ne plus parler, d'oublier une fois pour toutes ce qu'il considère comme le "fait divers" coronavirus qu'il considère apparemment comme un "caillou dans sa chaussure", pas plus….

Trump est la parfaite illustration de ce qui se fait de pire en matière de gouvernance car il incarne tout à fait le pur produit du Populisme triomphant.

J'crois bien qu'il n'a jamais pu avaler cette histoire de "virus chinois" ça se voit il refuse de l'intégrer c'est pas possible pour lui

Maintenant attention qu'il n'exploite les tensions au sein du pays car devant la confusion qui s'annonce il a tout à gagner à jouer l'anti-système d'un côté et les formalités de l'autre pour se trouver en victime résistante encore une fois au terme de la débacle ... quitte à foutre le feu au navire

Il ne faut pas sous-estimer Trump parce qu'il a des propos demeurés, c'est un clown au sens du comédien et s'il "transpire" et exagère en tout, c'est une qualité pour garder le pouvoir que de refuser la fatalité. Mais alors ne le surestimons pas non plus ; l'animal blessé n'est-il pas plus dangereux ?

Il y a 8 heures, versys a dit :

Donald Trump n’en pouvait plus, se plaignait d’être claquemuré depuis « des mois » à la Maison Blanche. Alors que Washington restait officiellement confiné, il a passé le week-end dans la villégiature présidentielle de Camp David, dans le Maryland. Il reprendra dans la semaine Air Force One pour la première fois depuis le 28 mars.

Cette échappée le conduira en Arizona, ancien bastion républicain désormais disputé par les démocrates, où il visitera une fabrique de masques. Puis un déplacement dans l’Ohio devrait suivre. Renouer avec cette routine n’est pourtant pas ce qu’il attend avec le plus d’impatience. Qu’on en finisse avec la campagne contre le coronavirus dont il parle déjà au passé. Vivement la campagne tout court, celle de la présidentielle.

 

« J’espère que dans un avenir pas trop lointain, nous aurons des rassemblements massifs où les gens seront assis côte à côte. Je ne peux pas imaginer un meeting où seulement un siège sur quatre, ou un siège sur six est occupé » pour éviter la propagation du virus, a-t-il expliqué mercredi. Un tel spectacle « ne serait pas très beau », a assuré le nostalgique des marées de casquettes rouges frappées de ses slogans.

Sa réélection se jouera dans tout juste six mois

« J’espère que nous serons en mesure de faire de bons meetings à l’ancienne, avec vingt-cinq mille personnes, où tout le monde est déchaîné parce qu’ils aiment notre pays », a ajouté le président. Il affiche un optimisme d’autant plus forcené que sa réélection se jouera dans tout juste six mois.

Le Monde

Pour Trump, c'est clair… le seul souci, la seule préoccupation de son exécutif et de son peuple doivent être désormais…. les élections de novembre….

Pour lui, il convient de balancer à la trappe, de ne plus parler, d'oublier une fois pour toutes ce qu'il considère comme le "fait divers" coronavirus qu'il considère apparemment comme un "caillou dans sa chaussure", pas plus….

Trump est la parfaite illustration de ce qui se fait de pire en matière de gouvernance car il incarne tout à fait le pur produit du Populisme triomphant.

Le pays de la démesure ou tout est permis les américains vivent sans filet de sécurité depuis toujours alors un virus qui tue si peu ce n est pas la mer à boire 

il y a 46 minutes, PASCOU a dit :

Tu peux expliquer ce rire débile ?

Oh, ça ne s'explique pas.

Il y a 9 heures, versys a dit :

Donald Trump n’en pouvait plus, se plaignait d’être claquemuré depuis « des mois » à la Maison Blanche. Alors que Washington restait officiellement confiné, il a passé le week-end dans la villégiature présidentielle de Camp David, dans le Maryland. Il reprendra dans la semaine Air Force One pour la première fois depuis le 28 mars.

Cette échappée le conduira en Arizona, ancien bastion républicain désormais disputé par les démocrates, où il visitera une fabrique de masques. Puis un déplacement dans l’Ohio devrait suivre. Renouer avec cette routine n’est pourtant pas ce qu’il attend avec le plus d’impatience. Qu’on en finisse avec la campagne contre le coronavirus dont il parle déjà au passé. Vivement la campagne tout court, celle de la présidentielle.

 

« J’espère que dans un avenir pas trop lointain, nous aurons des rassemblements massifs où les gens seront assis côte à côte. Je ne peux pas imaginer un meeting où seulement un siège sur quatre, ou un siège sur six est occupé » pour éviter la propagation du virus, a-t-il expliqué mercredi. Un tel spectacle « ne serait pas très beau », a assuré le nostalgique des marées de casquettes rouges frappées de ses slogans.

Sa réélection se jouera dans tout juste six mois

« J’espère que nous serons en mesure de faire de bons meetings à l’ancienne, avec vingt-cinq mille personnes, où tout le monde est déchaîné parce qu’ils aiment notre pays », a ajouté le président. Il affiche un optimisme d’autant plus forcené que sa réélection se jouera dans tout juste six mois.

Le Monde

Pour Trump, c'est clair… le seul souci, la seule préoccupation de son exécutif et de son peuple doivent être désormais…. les élections de novembre….

Pour lui, il convient de balancer à la trappe, de ne plus parler, d'oublier une fois pour toutes ce qu'il considère comme le "fait divers" coronavirus qu'il considère apparemment comme un "caillou dans sa chaussure", pas plus….

Trump est la parfaite illustration de ce qui se fait de pire en matière de gouvernance car il incarne tout à fait le pur produit du Populisme triomphant.

Serait il possible d'avoir le lien qui permette de lire l'article en entier , ce serait bien pour avoir une idée?

ce texte est forcément sortie de son contexte et sélectionné.

J'espère que dans un avenir pas trop lointain, nous aurons des rassemblements massifs où les gens seront assis côte à côte. Je ne peux pas imaginer un meeting où seulement un siège sur quatre, ou un siège sur six est occupé » pour éviter la propagation du virus, a-t-il expliqué mercredi. Un tel spectacle « ne serait pas très beau »,

puis

« J’espère que nous serons en mesure de faire de bons meetings à l’ancienne, avec vingt-cinq mille personnes, où tout le monde est déchaîné parce qu’ils aiment notre pays »,

Pure intox d'un journal militant.

Car si on lit les phrases sans toute la fioriture qui les enrobe de son mauvais cholestérol, elle n'ont  rien d'extraordinaire, certains ici dans sujet foot , spectacle pourraient exactement dire la même chose, vivement que l'on puisse en fin se retrouver dans un stade pour applaudir nos champions, nos stars.

C'est vraiment un article pour démolir, peut être le mérite t  il, mais dans l'état c'est juste du dénigrement.

De plus, ta phrase, je cite

"Trump est la parfaite illustration de ce qui se fait de pire en matière de gouvernance car il incarne tout à fait le pur produit du Populisme triomphant."

Présume que tu as mis cet article par militantisme et propagande

il y a 31 minutes, Gouderien a dit :

Oh, ça ne s'explique pas.

Du suivisme de bas étage?

Il y a 8 heures, PASCOU a dit :

Tu te vois deux ans confiné ?

Je peux me confiner même éternellement s'il le faut, et puis cette distance de 1m me va très bien, enfin ma sphère perso est libérée, qu'est ce qui te manque à l'extérieur @PICSOU?

il y a 2 minutes, riad** a dit :

Je peux me confiner même éternellement s'il le faut, et puis cette distance de 1m me va très bien, enfin ma sphère perso est libérée, qu'est ce qui te manque à l'extérieur @PICSOU?

Mais tout uncle donald, la mer, de pouvoir me mettre à une terrasse, etc...je ne sais pas d'aller chez ma voisine réparer sa chasse d'eau, des petits plaisirs simples, aller au Maroc...

Et embrasser ceux que j'aime et sont confinés aussi..

Pas toi?

il y a 21 minutes, PASCOU a dit :

Mais tout uncle donald, la mer, de pouvoir me mettre à une terrasse, etc...je ne sais pas d'aller chez ma voisine réparer sa chasse d'eau, des petits plaisirs simples, aller au Maroc...

Et embrasser ceux que j'aime et sont confinés aussi..

Pas toi?

C'est que les personnes que j'aime sont confinés avec moi, j'en ai personne d'autre, et puis j'ai une sphère imaginaire d'un mètre de rayon que j'espère garder vide autour de moi, c'était comme ça depuis mon enfance, alors ça me convient.

il y a 5 minutes, riad** a dit :

C'est que les personnes que j'aime sont confinés avec moi, j'en ai personne d'autre, et puis j'ai une sphère imaginaire d'un mètre de rayon que j'espère garder vide autour de moi, c'était comme ça depuis mon enfance, alors ça me convient.

 

C'est pratique, tu roules bien avec ta sphère?

il y a 6 minutes, PASCOU a dit :

C'est pratique, tu roules bien avec ta sphère?

Oui, elle est imaginaire, donc beaucoup plus souple qu'une sphère réelle, pas d'atome pas de masse pas de frottement.

il y a 13 minutes, riad** a dit :

Oui, elle est imaginaire, donc beaucoup plus souple qu'une sphère réelle, pas d'atome pas de masse pas de frottement.

Tu pourrais breveter..

Seconde vague ? Probable !

Télégramme de Brest - en ligne - 3 mai 2020.

À l’heure où de nombreux pays commencent à assouplir les mesures de confinement décidées pour lutter contre le coronavirus, la crainte dans tous les esprits est que les contaminations repartent de plus belle, provoquant une « seconde vague » épidémique.

À l’instar de la France, plusieurs pays européens, une dizaine d’États des États-Unis, l’Australie et la Nouvelle-Zélande ont amorcé une sortie du confinement, encouragés par un ralentissement des contaminations et des décès.

Mais c’est une « ligne de crête délicate », selon les mots du Premier ministre français, Édouard Philippe : soulager les populations cloîtrées et faire redémarrer l’économie sans relancer une pandémie qui a déjà tué plus de 240 000 personnes.

Car, effet pervers paradoxal du confinement : s’il a évité une explosion du nombre de personnes infectées, prévenant la saturation des hôpitaux, seule une faible partie de la population a été en contact avec le virus et est donc potentiellement immunisée. L’Institut Pasteur évalue ainsi à moins de 6 % la proportion de Français qui auront été infectés le 11 mai.

Même dans les endroits les plus touchés, ce taux plafonne autour de 25 %, selon les premières enquêtes sur la présence d’anticorps dans la population menées à New York (21,2 %) ou autour d’un lycée de Crépy-en-Valois, dans l’Oise, un des premiers foyers de l’épidémie en France (26 %).

« Récidive » à l’automne ?

En l’absence de traitement et de vaccin, la reprise des activités et des déplacements se traduira donc inévitablement par une réaugmentation du nombre d’infections. Mais avec quelle ampleur et à quelle échéance ?

« Pour revoir le virus circuler dans la population française, il va falloir attendre plusieurs semaines, voire plusieurs mois », a assuré la virologue Anne Goffard, sur France Inter.

Plusieurs études de modélisation dans différents pays concluent à une seconde vague épidémique « très probable » et « au plus tôt fin août », mais ce pourrait être aussi « plus tard dans l’automne, en octobre ou en novembre », ajoute-t-elle.

Parmi les pessimistes, aux États-Unis, un haut responsable de la santé publique, Robert Redfield, dit redouter, pour l’hiver prochain, un épisode « encore plus difficile que celui que nous venons de vivre », en raison d’une coïncidence avec la grippe saisonnière.

La sortie du confinement en France sans politique forte de gestes barrières pourrait se traduire par un bilan total de 200 000 morts.

C’est aussi l’avis du virologue Christian Drosten, conseiller du gouvernement allemand, qui a mis en garde contre une seconde vague plus puissante que la première.

Parmi les optimistes, Pierachille Santus, professeur de pneumologie à Milan, en Italie, pronostique une seconde vague « probablement moins grande que la première », grâce au maintien de mesures de contrôle, « avec environ 30 % de patients en moins et des malades dans un état moins grave.

La question de la météo

D’autres suggèrent aussi que le nouveau coronavirus, comme d’autres virus respiratoires, pourrait être sensible aux facteurs météorologiques. « Il y a probablement un lien avec la chaleur et l’humidité. On s’attend à avoir une période assez sereine pour l’été », espérait ainsi, lundi, le président du Conseil scientifique français, Jean-François Delfraissy, tout en craignant une « récidive » à l’automne.

Si plusieurs expériences en laboratoire « indiquent une réduction de la survie de Sars-Cov-2 à des températures élevées », rien ne garantit que cet effet se retrouve dans le monde réel, a toutefois averti un groupe d’experts consultés par les Académies américaines des sciences.

« Succession de vaguelettes »

Mais d’autres leviers peuvent être actionnés pour garder le virus sous contrôle, principalement la poursuite des « gestes barrières » (distance physique, lavage des mains), complétés par le port d’un masque.

La sortie du confinement en France sans politique forte de gestes barrières pourrait se traduire par un bilan total de 200 000 morts, contre environ 165 000 décès avec la distanciation physique et 85 000 en y ajoutant le port du masque, selon une modélisation réalisée par la société Public Health Expertise.

Même dans ce cas, les services hospitaliers seraient saturés, à moins de prolonger l’isolement de 75 % des populations fragiles, une mesure écartée en France à ce stade, souligne l’étude, en attente de publication.

Les autorités disposent d’un thermomètre : le taux de reproduction du virus, qui mesure le nombre de nouvelles personnes contaminées par chaque personne infectée.

Autre levier essentiel : casser les chaînes de transmission en contrôlant au plus près les foyers qui émergent.

D’où l’importance d’« avoir des capacités de dépistage maximales », d’isoler les personnes positives et de pouvoir « faire une enquête d’entourage » chez ces personnes, souligne Didier Pittet, chef du service de prévention et contrôle de l’infection des Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG). À ces conditions, « nous aurions une succession de petites vaguelettes », a-t-il expliqué.

Pour atteindre cet objectif, les autorités disposent d’un thermomètre : le taux de reproduction du virus, qui mesure le nombre de nouvelles personnes contaminées par chaque personne infectée. Estimé à 3,3 sans mesures de contrôle, ce « R0 » a chuté à 0,5 en France avec le confinement, selon les estimations. L’enjeu est de le maintenir en dessous de 1 pour que le nombre de nouveaux cas continue de diminuer.

En Allemagne, c’est le rebond de ce taux à 1, pour la première fois depuis la mi-avril, après être descendu à 0,7, qui a incité les autorités à appeler à la prudence.

Car la marge de manœuvre est étroite : avec un taux d’infection « à 1,1, nous pourrions atteindre les limites de notre système de santé en termes de lits en réanimation, d’ici à octobre », a récemment mis en garde la chancelière Angela Merkel.

Il y a 3 heures, Loufiat a dit :

J'crois bien qu'il n'a jamais pu avaler cette histoire de "virus chinois" ça se voit il refuse de l'intégrer c'est pas possible pour lui

Maintenant attention qu'il n'exploite les tensions au sein du pays car devant la confusion qui s'annonce il a tout à gagner à jouer l'anti-système d'un côté et les formalités de l'autre pour se trouver en victime résistante encore une fois au terme de la débacle ... quitte à foutre le feu au navire

Il ne faut pas sous-estimer Trump parce qu'il a des propos demeurés, c'est un clown au sens du comédien et s'il "transpire" et exagère en tout, c'est une qualité pour garder le pouvoir que de refuser la fatalité. Mais alors ne le surestimons pas non plus ; l'animal blessé n'est-il pas plus dangereux ?

Ben oui…. et les populistes sont très doués pour retourner des situations catastrophiques à leur avantage….

Mais si Trump se trouve acculé dans une impasse, il y aura danger, car le bougre parait difficilement contrôlable…. souhaitons que ses proches collaborateurs parviennent, une fois de plus, à limiter la casse…   

Il y a 3 heures, Niti a dit :

Le pays de la démesure ou tout est permis les américains vivent sans filet de sécurité depuis toujours alors un virus qui tue si peu ce n est pas la mer à boire 

 

On peut dire ça….. mais le sujet porte sur LE VRAI PROBLEME des américains, qui n'est peut-être pas le virus, mais assurément Trump...  

Il y a 2 heures, PASCOU a dit :

Serait il possible d'avoir le lien qui permette de lire l'article en entier , ce serait bien pour avoir une idée?

ce texte est forcément sortie de son contexte et sélectionné.

J'espère que dans un avenir pas trop lointain, nous aurons des rassemblements massifs où les gens seront assis côte à côte. Je ne peux pas imaginer un meeting où seulement un siège sur quatre, ou un siège sur six est occupé » pour éviter la propagation du virus, a-t-il expliqué mercredi. Un tel spectacle « ne serait pas très beau »,

puis

« J’espère que nous serons en mesure de faire de bons meetings à l’ancienne, avec vingt-cinq mille personnes, où tout le monde est déchaîné parce qu’ils aiment notre pays »,

Pure intox d'un journal militant.

Car si on lit les phrases sans toute la fioriture qui les enrobe de son mauvais cholestérol, elle n'ont  rien d'extraordinaire, certains ici dans sujet foot , spectacle pourraient exactement dire la même chose, vivement que l'on puisse en fin se retrouver dans un stade pour applaudir nos champions, nos stars.

C'est vraiment un article pour démolir, peut être le mérite t  il, mais dans l'état c'est juste du dénigrement.

De plus, ta phrase, je cite

"Trump est la parfaite illustration de ce qui se fait de pire en matière de gouvernance car il incarne tout à fait le pur produit du Populisme triomphant."

Présume que tu as mis cet article par militantisme et propagande

 

Du suivisme de bas étage?

Il t'es permis de considérer Le Monde comme un journal militant….

C'est sûr que ce n'est pas dans les chroniques frontistes que tu sélectionnes que tu pourras bénéficier de ce genre d'infos...

…. mais pas d'angoisse, Pascounet, (je te sens un rien nerveux…), si les américains sont aussi gobe-mouches et nationalocompatibles que toi, Trump sera réélu dans un fauteuil… 

PS: pour les liens que tu me réclames, tu dois bien avoir un peu de raphia dans ta remise ??

à l’instant, versys a dit :

Il t'es permis de considérer Le Monde comme un journal militant….

C'est sûr que ce n'est pas dans les chroniques frontistes que tu sélectionnes que tu pourras bénéficier de ce genre d'infos...

…. mais pas d'angoisse, Pascounet, (je te sens un rien nerveux…), si les américains sont aussi gobe-mouches et nationalocompatibles que toi, Trump sera réélu dans un fauteuil… 

PS: pour les liens que tu me réclames, tu dois bien avoir un peu de raphia dans ta remise ??

Tu ne réponds absolument pas à  ce que je dis, tu viens juste égrener tes poncifs idiots Versy.

Dommage.

il y a 13 minutes, PASCOU a dit :

Tu ne réponds absolument pas à  ce que je dis, tu viens juste égrener tes poncifs idiots Versy.

Dommage.

On "égrene" ce qu'on peut…. moi des "poncifs idiots", et toi ton chapelet doctrinien...

… mais je te promets de faire un effort et de ne plus te décevoir lors de mes prochaines réponses… 

il y a 1 minute, versys a dit :

On "égrene" ce qu'on peut…. moi des "poncifs idiots", et toi ton chapelet doctrinien...

… mais je te promets de faire un effort et de ne plus te décevoir lors de mes prochaines réponses… 

Et tu continues...

...mais,sans moi!

il y a 6 minutes, PASCOU a dit :

Et tu continues...

...mais,sans moi!

Il y a 1 heure, versys a dit :

Ben oui…. et les populistes sont très doués pour retourner des situations catastrophiques à leur avantage….

Mais si Trump se trouve acculé dans une impasse, il y aura danger, car le bougre parait difficilement contrôlable…. souhaitons que ses proches collaborateurs parviennent, une fois de plus, à limiter la casse…   

On peut dire ça….. mais le sujet porte sur LE VRAI PROBLEME des américains, qui n'est peut-être pas le virus, mais assurément Trump...  

Trump est un président fantasque qui fait le spectacle et les ricains adorent les showmen