Question de grammaire

il y a 10 minutes, Lucsa a dit :

Est ce une subordonne circonstancielle de conséquence,

Oui, proposition subordonnée corrélative (rattachée à un mot qui est dans une autre proposition)

de conséquence , introduite par "si...que" adverbe de conséquence (un augmentatif, en fait)

C'est apposé à "monstre" et ça fait partie du groupe nominal.

C'est assez super de se poser des questions de grammaire en ce moment !

il y a 17 minutes, 120lola120 a dit :

C'est assez super de se poser des questions de grammaire en ce moment !

Je suis en 1ère êtes vous sur que cela n’est pas trop poussé comme réponse 

à l’instant, Lucsa a dit :

Je suis en 1ère êtes vous sur que cela n’est pas trop poussé comme réponse 

Ben non... Tu dis que t'as cherché et trouvé sur le net...

Je me demandais dans quelle classe tu étais. Merci de le préciser.

Qu'est-ce que tu trouves si "poussé" ?

il y a 1 minute, 120lola120 a dit :

Ben non... Tu dis que t'as cherché et trouvé sur le net...

Je me demandais dans quelle classe tu étais. Merci de le préciser.

Qu'est-ce que tu trouves si "poussé" ?

Je me demande juste si proposition corrélative et conjonctive signifie la même chose

C’est un proposition subordonné conjonctive ou corrélative introduite par la conjonction de subordination “si..que’ enchâssée ....d’après ce que j ‘ai compris je m’y perd avec les réponses différentes 

il y a 23 minutes, Lucsa a dit :

Je vous remercie, en clair dans tout cela qu’elle est la réponse qui tient le mieux la route ?

L'affaire me semble complexe.

J'ai l'intuition que nous avons affaire à une phrase de base ("Le monstre... grossit alors") qui comporte deux propositions subordonnées enchâssées !!

Je tente de m'expliquer. Je pense qu'il faut lire attentivement ce qu'écrit le poète :

"“Le monstre, si petit qu’il semblait un point noir, / Grossit alors, et fut soudain énorme à voir”

Il me semble que "si petit" signifie "si petit à ce moment-là", donc nous aurions affaire à une subordonnée de temps déguisée ----> 1ère proposition subordonnée de temps.

Mais nous savons que "si petit qu'il semblait un point noir" est une subordonnée corrélative de conséquence ----> Cette 2e proposition corrélative est enchâssée dans notre 1ère proposition subordonnée de temps.

il y a 2 minutes, tison2feu a dit :

L'affaire me semble complexe.

J'ai l'intuition que nous avons affaire à une phrase de base ("Le monstre... grossit alors") qui comporte deux propositions subordonnées enchâssées !!

Je tente de m'expliquer. Je pense qu'il faut lire attentivement ce qu'écrit le poète :

"“Le monstre, si petit qu’il semblait un point noir, / Grossit alors, et fut soudain énorme à voir”

Il me semble que "si petit" signifie "si petit à ce moment-là", donc nous aurions affaire à une subordonnée de temps déguisée ----> 1ère proposition subordonnée de temps.

Mais nous savons que "si petit qu'il semblait un point noir" est une subordonnée corrélative de conséquence ----> Cette 2e proposition corrélative est enchâssée dans notre 1ère proposition subordonnée de temps.

Je ne vous suis plus, c’est un sujet de niveau 1ère, un professeur nous demanderais jamais cela

il y a 52 minutes, 120lola120 a dit :

Oui, proposition subordonnée corrélative (rattachée à un mot qui est dans une autre proposition)

de conséquence , introduite par "si...que" adverbe de conséquence (un augmentatif, en fait)

C'est apposé à "monstre" et ça fait partie du groupe nominal.

 

Je pense être d’accord avec vous mais la proposition subordonné corrélative exprime une comparaison et non pas une conséquence. Et je voulais aussi savoir de quel groupe nominal parler vous ?

La subordonnée corrélative exprimant la conséquence

La subordonnée corrélative exprimant la conséquence énonce un fait qui est la conséquence d'un autre fait marqué d'un haut degré d'intensité dans la phrase principale.

En observant les exemples suivants, tu connaîtras mieux les caractéristiques de la subordonnée corrélative qui exprime une conséquence. Remarque plus spécifiquement le terme corrélatif qui la précède et le subordonnant qui l'introduit.

1. Il y avait tant de gens qu'elle avait du mal à respirer.
2. Les indications sont assez claires pour qu'on les comprenne.
3. Les enfants étaient si fatigués qu'ils s'endormirent immédiatement.
4. J'ai tellement dansé que j'en ai mal aux pieds.

il y a 2 minutes, 120lola120 a dit :

La subordonnée corrélative exprimant la conséquence

La subordonnée corrélative exprimant la conséquence énonce un fait qui est la conséquence d'un autre fait marqué d'un haut degré d'intensité dans la phrase principale.

En observant les exemples suivants, tu connaîtras mieux les caractéristiques de la subordonnée corrélative qui exprime une conséquence. Remarque plus spécifiquement le terme corrélatif qui la précède et le subordonnant qui l'introduit.

1. Il y avait tant de gens qu'elle avait du mal à respirer.
2. Les indications sont assez claires pour qu'on les comprenne.
3. Les enfants étaient si fatigués qu'ils s'endormirent immédiatement.
4. J'ai tellement dansé que j'en ai mal aux pieds.

 

Les principaux termes corrélatifs marquant la conséquence

Adverbe corrélatif + Adjectif ou Adverbe + que Si Tellement - Ces termes corrélatifs doivent être employés avec l'indicatif ou le subjonctif. Je t'ai trouvé ça qui me semble clair. Ça te va ? @tison2feu  Mais où vois tu une subordonnée de temps ? Il y a la proposition principale ,puis cette subordonnée correlative de conséquence, et après, une autre proposition coordonnée à la principale, coordonnée par "et".........

Je suis satisfait et je voulais savoir aussi quelles sont les fonctions de la subordonnée relative et de la coordonnée 

il y a 13 minutes, 120lola120 a dit :

La subordonnée corrélative exprimant la conséquence

La subordonnée corrélative exprimant la conséquence énonce un fait qui est la conséquence d'un autre fait marqué d'un haut degré d'intensité dans la phrase principale.

En observant les exemples suivants, tu connaîtras mieux les caractéristiques de la subordonnée corrélative qui exprime une conséquence. Remarque plus spécifiquement le terme corrélatif qui la précède et le subordonnant qui l'introduit.

1. Il y avait tant de gens qu'elle avait du mal à respirer.
2. Les indications sont assez claires pour qu'on les comprenne.
3. Les enfants étaient si fatigués qu'ils s'endormirent immédiatement.
4. J'ai tellement dansé que j'en ai mal aux pieds.

 

Les principaux termes corrélatifs marquant la conséquence

Adverbe corrélatif + Adjectif ou Adverbe + que Si Tellement - Ces termes corrélatifs doivent être employés avec l'indicatif ou le subjonctif. Je t'ai trouvé ça qui me semble clair. Ça te va ? @tison2feu  Mais où vois tu une subordonnée de temps ? Il y a la proposition principale ,puis cette subordonnée correlative de conséquence, et après, une autre proposition coordonnée à la principale, coordonnée par "et".........

J'avais expliqué plus haut pour quelle raison nous avons affaire, en effet, à une subordonnée corrélative de conséquence. 

Mon histoire de subordonnée de temps n'est qu'une hypothèse. Lucsa peut donc s'en tenir à la subordonnée corrélative de conséquence. Mais j'ai l'impression qu'il faut creuser encore...

Bonne soirée.

Il y a 6 heures, Lucsa a dit :

“Le monstre, si petit qu’il semblait un point noir, / Grossit alors, et fut soudain énorme à voir”

Le groupe nominal est "le monstre, si petit qu'il  semblait un point noir"

Il est composé d'un article défini accordé avec le nom monstre

d'une proposition corrélative de conséquence qui complète l'adjectif apposé "petit"

Le verbe est "grossit" (passé simple etc)

3ème proposition "et fut soudain énorme à voir"

il y a 6 minutes, tison2feu a dit :

Bonne soirée.

Te barre pas !!! t'es sûr de  "à voir" ? Qu'on se retrouve pas avec un truc en plus...

Fait quoi, là, cet infinitif...

il y a 22 minutes, tison2feu a dit :

L'affaire me semble complexe.

J'ai l'intuition que nous avons affaire à une phrase de base ("Le monstre... grossit alors") qui comporte deux propositions subordonnées enchâssées !!

Je tente de m'expliquer. Je pense qu'il faut lire attentivement ce qu'écrit le poète :

"“Le monstre, si petit qu’il semblait un point noir, / Grossit alors, et fut soudain énorme à voir”

Il me semble que "si petit" signifie "si petit à ce moment-là", donc nous aurions affaire à une subordonnée de temps déguisée ----> 1ère proposition subordonnée de temps.

Mais nous savons que "si petit qu'il semblait un point noir" est une subordonnée corrélative de conséquence ----> Cette 2e proposition corrélative est enchâssée dans notre 1ère proposition subordonnée de temps.

il y a 6 minutes, 120lola120 a dit :

Le groupe nominal est "le monstre, si petit qu'il  semblait un point noir"

Il est composé d'un article défini accordé avec le nom monstre

d'une proposition corrélative de conséquence qui complète l'adjectif apposé "petit"

Le verbe est "grossit" (passé simple etc)

3ème proposition "et fut soudain énorme à voir"

 

Je me demande quel est la fonction de la subordonné corrélative et de la coordonnée 

il y a 14 minutes, Lucsa a dit :

Je suis satisfait et je voulais savoir aussi quelles sont les fonctions de la subordonnée relative et de la coordonnée 

mais quelle relative ???????

il y a 5 minutes, Lucsa a dit :

Je me demande quel est la fonction de la subordonné corrélative et de la coordonnée 

perso, pour la corrélative (si... noir), je mettrais >>apposée au nom monstre...

et pour la coordonnée >> proposition indépendante introduite par la conjonction de coordination "et"

sinon, "à voir", c'est complément de l'adjectif "énorme"...

Bonne nuit !

Il y a 10 heures, 120lola120 a dit :

Le groupe nominal est "le monstre, si petit qu'il  semblait un point noir"

Il est composé d'un article défini accordé avec le nom monstre

d'une proposition corrélative de conséquence qui complète l'adjectif apposé "petit"

Le verbe est "grossit" (passé simple etc)

3ème proposition "et fut soudain énorme à voir"

 

Te barre pas !!! t'es sûr de  "à voir" ? Qu'on se retrouve pas avec un truc en plus...

Fait quoi, là, cet infinitif...

J'ai poursuivi les recherches en vain durant plusieurs heures au sujet de "si petit qu'il semblait un point noir".

Il peut s'agir tout au plus d'une apposition détachée, ou apposition dite "explicative", qui se rattache à "monstre". Mais je ne parviens à en décrire de façon sûre ni sa nature ni sa fonction. (Par surcroît, l'apposition constitue depuis fort longtemps l'un des lieux où s'affrontent les grammairiens).

En résumé, je n'ai aucune certitude, et il ne faut surtout pas tenir compte de tout ce que j'ai pu écrire précédemment.

Salut à tous, après cette excitante soirée de chasse grammaticale.

La grammaire, c'est chouette, c'est logique...

En fait, quand on comprend la phrase, on a déjà établi tous les liens entre les mots.

Reste plus qu'à leur mettre leur étiquette grammaticale, cad la nature, et la fonction.

Il y a 2 heures, tison2feu a dit :

J'ai poursuivi les recherches en vain durant plusieurs heures au sujet de "si petit qu'il semblait un point noir".

T'inquiète...j'ai fouillé aussi pour les natures des mots (variables selon leur emploi)

crapahuté dans les propositions etc .

Pour le coup de l'apposition, j'ai simplifié:

Le monstre petit >épithète

Le monstre  semble (est, parait..) petit >>>attribut

le monstre, petit, >>> apposé cad séparé par une virgule...

là, petit est enrichi d'une proposition subordonnée.

C'est un casse tête à éplucher une phrase comme ça.

Mais ça sert en français, et dans l'apprentissage des langues étrangères.

Il y a 4 heures, 120lola120 a dit :

T'inquiète...j'ai fouillé aussi pour les natures des mots (variables selon leur emploi)

crapahuté dans les propositions etc .

Pour le coup de l'apposition, j'ai simplifié:

Le monstre petit >épithète

Le monstre  semble (est, parait..) petit >>>attribut

le monstre, petit, >>> apposé cad séparé par une virgule...

là, petit est enrichi d'une proposition subordonnée.

C'est un casse tête à éplucher une phrase comme ça.

Mais ça sert en français, et dans l'apprentissage des langues étrangères.

 

 

Je vous remercie, je tiens compte que c’est une proposition subordonne correlative de conséquence introduite par “si que” et dans le groupe nominal. C’est une proposition apposée au nom “monstre”... c’est tres sympathique de votre part de m’avoir aider. J’ai compris les fonctions également.

Il y a 7 heures, tison2feu a dit :

 

J'ai poursuivi les recherches en vain durant plusieurs heures au sujet de "si petit qu'il semblait un point noir".

Il peut s'agir tout au plus d'une apposition détachée, ou apposition dite "explicative", qui se rattache à "monstre". Mais je ne parviens à en décrire de façon sûre ni sa nature ni sa fonction. (Par surcroît, l'apposition constitue depuis fort longtemps l'un des lieux où s'affrontent les grammairiens).

En résumé, je n'ai aucune certitude, et il ne faut surtout pas tenir compte de tout ce que j'ai pu écrire précédemment.

 

je suis partis pour cause de sommeil hier soir oups, et je ne pensais pas que l’infinitif “à voir” posais problème.