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La rationalité et le choix


Invité Quasi-Modo

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zenalpha Membre 22 893 messages
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C'est à dire que la rationalité prend sa source dans la raison, dans certains principes rationnels appliqués par l'homme et donc fondée sur son propre raisonnement.

Or le raisonnement fait évidemment appel à la raison, mais aussi à l'expérience, tout en étant sujet de biais cognitifs et de choix plus ou moins raisonnés, plus ou moins erronés et conditionnee par l'émotionnel ou le relationnel.

Raisonner est donc une fonction de recherche de rationalité qui n'est pas ... synonyme d'avoir raison dans l'absolu.

On peut avoir un raisonnement faux.

Le choix irrationnel n'est pas forcément un mauvais choix...il est irrationnel de tirer une pièce en l'air pour obtenir pile ou face et pourtant ce choix là est parfois rationnellement choisi pour ne pas être confronté aux conséquences de son choix, pour se protéger psychologiquement ou solliciter le hasard, le destin...

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Invité Quasi-Modo
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Il y a 13 heures, Aethra a dit :

 

Pour aller plus loin dans ton sujet, on pourrait s'interroger sur les fondements de la rationalité qui est à l'oeuvre lorsqu'on fait un "choix rationnel". Reprenons l'exemple de la voiture. Si je cherche une voiture à un certain prix, sans autre critère particulier (imaginons que je me fiche qu'elle soit rapide), entre deux voitures au même prix je choisirai quand même la plus rapide. Il y a je pense derrière tous nos choix rationnels, une notion d'optimisation qui motive ces choix et qui serait probablement liée à notre culture de l'efficience et de la performance (c'est en tout cas mon hypothèse).

Un choix rationnel, pour répondre à ta toute première question, serait alors celui qui non seulement présente la meilleure réponse à mes désirs, mais qui offrirait de surcroit - parmi les autres choix équivalents - un bénéfice optimal. Derrière la notion de "choix rationnel" il y aurait donc également celles de l'efficience et du profit.

Dans la théorie économique dite néo-classique je crois qu'on parlera de maximiser sa fonction d'utilité.

Je mets une vidéo simple à comprendre et extraite d'une série de vidéos sur la théorie du consommateur (même si il me semble également simpliste de penser que la consommation seule puisse apporter le bonheur) :

 

Il y a 12 heures, hell-spawn a dit :

Effectivement, s'il y a un choix a faire c'est qu'il n'y a pas de solution unique idéale, rien d'évident.

Bien souvent cela consiste a choisir le moindre mal.

Sartre donne un cas de figure dans " l'existentialiste est un humaniste" : un de ses étudiants lui demandait conseil pour savoir s'il devait rester avec sa mère ou s'engager dans la résistance ( ou la guerre d'espagne, je me souviens plus tres bien ), choix entre son honneur et l'amour pour sa mère.

Le choix rationnel se fait, il me semble, en pesant les conséquences de l'un ou l'autre choix.

Je crois que c'est Alain (le philosophe) qui disait dans les caves du Vatican (oeuvre principale dont j'ai seulement entendu parler) "Choisir c'est renoncer."

La question étant de savoir si on peut vraiment maximiser quelque chose qui ressemble à une fonction d'utilité dans un cas comme celui dont tu parles. La fonction d'utilité maximise "le bonheur" ou "la satisfaction" de l'individu quand l'objectif est la satisfaction. Mais parfois nous plaçons certaines choses au dessus de notre propre bonheur, comme dans les attitudes sacrificielles ou le suicide.

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Invité Quasi-Modo
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Il y a 12 heures, zenalpha a dit :

C'est à dire que la rationalité prend sa source dans la raison, dans certains principes rationnels appliqués par l'homme et donc fondée sur son propre raisonnement.

Or le raisonnement fait évidemment appel à la raison, mais aussi à l'expérience, tout en étant sujet de biais cognitifs et de choix plus ou moins raisonnés, plus ou moins erronés et conditionnee par l'émotionnel ou le relationnel.

Raisonner est donc une fonction de recherche de rationalité qui n'est pas ... synonyme d'avoir raison dans l'absolu.

On peut avoir un raisonnement faux.

Le choix irrationnel n'est pas forcément un mauvais choix...il est irrationnel de tirer une pièce en l'air pour obtenir pile ou face et pourtant ce choix là est parfois rationnellement choisi pour ne pas être confronté aux conséquences de son choix, pour se protéger psychologiquement ou solliciter le hasard, le destin...

Cela me fait penser à une histoire dont j'ai entendu parler, d'une entreprise qui voulait automatiser le recrutement de ses employés à l'aide d'un algorithme d'intelligence artificielle. Donc l'algorithme a appris à sélectionner les candidats automatiquement depuis leur CV, de façon à décider si ils devaient être embauchés ou pas. Et il se trouve que l'algorithme (qui est innocent dans l'affaire) a reproduit certains schémas discriminatoires, notamment il avait appris (à l'image du recruteur dont il avait étudié les décisions) à discriminer les femmes.

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Invité hell-spawn
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il y a 19 minutes, Quasi-Modo a dit :

Dans la théorie économique dite néo-classique je crois qu'on parlera de maximiser sa fonction d'utilité.

Je mets une vidéo simple à comprendre et extraite d'une série de vidéos sur la théorie du consommateur (même si il me semble également simpliste de penser que la consommation seule puisse apporter le bonheur) :

 

Je crois que c'est Alain (le philosophe) qui disait dans les caves du Vatican (oeuvre principale dont j'ai seulement entendu parler) "Choisir c'est renoncer."

La question étant de savoir si on peut vraiment maximiser quelque chose qui ressemble à une fonction d'utilité dans un cas comme celui dont tu parles. La fonction d'utilité maximise "le bonheur" ou "la satisfaction" de l'individu quand l'objectif est la satisfaction. Mais parfois nous plaçons certaines choses au dessus de notre propre bonheur, comme dans les attitudes sacrificielles ou le suicide.

Les caves du Vatican c'est Gide

Il y a surtout la notion de devoir qui peut passer au dessus du bonheur égoïste.

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Invité Quasi-Modo
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il y a 3 minutes, hell-spawn a dit :

Les caves du Vatican c'est Gide

Il y a surtout la notion de devoir qui peut passer au dessus du bonheur égoïste.

Merci pour la précision, j'ai confondu les deux auteurs.

D'ailleurs "bonheur égoïste" pourrait même être considéré comme un autre oxymore, car je ne pense pas qu'il existe une chose pareille. C'est une constante que les gens heureux sont ouverts sur les autres, et bien plus bienveillants en règle générale : cela devrait nous inviter à repenser la théorie néoclassique ainsi que le points de vue Hobbesien selon lequel "l'Homme est un loup pour l'Homme". Je ressens intuitivement et depuis longtemps qu'il y a un truc qui ne tourne pas rond dans cette phrase de Hobbes, mais j'ai toujours eu du mal à déterminer quoi.

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Invité Aethra
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il y a 58 minutes, Quasi-Modo a dit :

Dans la théorie économique dite néo-classique je crois qu'on parlera de maximiser sa fonction d'utilité.

Je mets une vidéo simple à comprendre et extraite d'une série de vidéos sur la théorie du consommateur (même si il me semble également simpliste de penser que la consommation seule puisse apporter le bonheur) :

 

Merci, Je ne connaissais pas du tout. Ma remarque correspond au 3e axiome de la théorie du consommateur: la non-saturation.  J'aurais fait une bonne commerciale ! :p

Cela dit j'ai repris l'exemple de la voiture car il s'agit d'un exemple concret que l'on peut tous se représenter et qu'on peut appliquer à toutes nos situations d'achat de bien de consommation.  Mais je me demande si on ne peut  étendre cet axiome à l'ensemble de nos choix rationnels. J'entends par choix rationnels ceux qui a priori sont "calculables" et dépourvus de toute émotion. Et à mon avis il y en a beaucoup plus qu'on ne le croit, dans toutes nos actions du quotidiens nous faisons des choix rationnels mais nous n'en sommes pas toujours conscients.  

Un exemple : j'ai sur mon bureau une pile de courrier (dont j'ignore le nombre) à envoyer par la poste, il me faut aller chercher des enveloppes dans l'armoire de la pièce voisine. Le choix qui se présente à moi est dans la quantité d'enveloppes que je vais sortir de l'armoire. Un choix rationnel consistera à prendre une grosse liasse d'enveloppes, c'est à dire plus d'enveloppes que de courriers à envoyer, de sorte à m'éviter des allers-retours inutiles. Je maximise donc mon action.

Le choix rationnel est celui qui maximise nos actes, celui dont le rapport bénéfice/action est le plus élevé. On retrouve ce principe dans l'achat de la voiture mais aussi dans toutes les situations où nous agissons. Car agir c'est choisir.

A mon avis, lorsque la prise de décision nous est difficile, c'est parce que le choix qui se présente à nous implique une part d'irrationnel (émotions, ressentis etc)

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Invité Aethra
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Invité Aethra
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il y a 44 minutes, Quasi-Modo a dit :

 

D'ailleurs "bonheur égoïste" pourrait même être considéré comme un autre oxymore, car je ne pense pas qu'il existe une chose pareille. C'est une constante que les gens heureux sont ouverts sur les autres, et bien plus bienveillants en règle générale : cela devrait nous inviter à repenser la théorie néoclassique ainsi que le points de vue Hobbesien selon lequel "l'Homme est un loup pour l'Homme". Je ressens intuitivement et depuis longtemps qu'il y a un truc qui ne tourne pas rond dans cette phrase de Hobbes, mais j'ai toujours eu du mal à déterminer quoi.

Parce que tu es un agneau^^

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Invité Quasi-Modo
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il y a 24 minutes, Aethra a dit :

Merci, Je ne connaissais pas du tout. Ma remarque correspond au 3e axiome de la théorie du consommateur: la non-saturation.  J'aurais fait une bonne commerciale ! :p

Cela dit j'ai repris l'exemple de la voiture car il s'agit d'un exemple concret que l'on peut tous se représenter et qu'on peut appliquer à toutes nos situations d'achat de bien de consommation.  Mais je me demande si on ne peut  étendre cet axiome à l'ensemble de nos choix rationnels. J'entends par choix rationnels ceux qui a priori sont "calculables" et dépourvus de toute émotion. Et à mon avis il y en a beaucoup plus qu'on ne le croit, dans toutes nos actions du quotidiens nous faisons des choix rationnels mais nous n'en sommes pas toujours conscients.  

Un exemple : j'ai sur mon bureau une pile de courrier (dont j'ignore le nombre) à envoyer par la poste, il me faut aller chercher des enveloppes dans l'armoire de la pièce voisine. Le choix qui se présente à moi est dans la quantité d'enveloppes que je vais sortir de l'armoire. Un choix rationnel consistera à prendre une grosse liasse d'enveloppes, c'est à dire plus d'enveloppes que de courriers à envoyer, de sorte à m'éviter des allers-retours inutiles. Je maximise donc mon action.

Le choix rationnel est celui qui maximise nos actes, celui dont le rapport bénéfice/action est le plus élevé. On retrouve ce principe dans l'achat de la voiture mais aussi dans toutes les situations où nous agissons. Car agir c'est choisir.

A mon avis, lorsque la prise de décision nous est difficile, c'est parce que le choix qui se présente à nous implique une part d'irrationnel (émotions, ressentis etc)

L'économie fourmille de modèles et de calculs de ce genre, et l'une des grandes découvertes des économistes de dernière génération c'est que le consommateur rationnel qui cherche à maximiser sa fonction d'utilité est une hypothèse de travail féconde, mais qu'elle reste une simple hypothèse. De plus en plus les économistes prêtent leur attention aux décisions irrationnelles qui ne sont pas prises en compte par ce modèle et qui semblent irréductibles car appartenant à notre nature profonde. Autrement dit il y aura toujours un consommateur ou un agent économique quelque part pour se positionner de façon irrationnelle selon nos modèles de rationalité.

il y a 14 minutes, Aethra a dit :

Parce que tu es un agneau^^ 

:smile2:

C'est vrai que je suis loin d'être un requin de la finance et que la foire d'empoigne et autres rapports de force ne font pas partie de mes passions.

Mais je pense que c'est plus partagé qu'on ne le croit : lors du passage de l'ouragan Katrina les victimes par millions livrées à elle mêmes durant de longues périodes de chaos n'ont pas pour autant sombré dans la délinquance ou dans une violence criminelle. Nous aurions pu penser qu'en l'absence de présence de l'Etat chacun ferait sa propre loi et égorgerait, violerait, pillerait son voisin ; en réalité il y a eu des scènes extraordinaires de solidarité et d'entraide un peu partout, et au lieu de briser les vitrines de magasins pour les voler les gens attendaient bien patiemment en faisant la queue dans une file d'attente interminable pour obtenir les denrées alimentaires de base leur permettant de survivre ainsi que leur famille.

Et puis la coopération est omniprésente dans l'évolution des espèces, tandis que la force de l'être humain, qui est un animal très social, réside dans l'effort collectif de notre espèce qui s'étale sur des générations : un humain seul dans la nature meurt très rapidement, nous avons dû apprendre à coopérer pour survivre, à tous les niveaux.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 893 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 7 heures, Aethra a dit :

Merci, Je ne connaissais pas du tout. Ma remarque correspond au 3e axiome de la théorie du consommateur: la non-saturation.  J'aurais fait une bonne commerciale ! :p

Cela dit j'ai repris l'exemple de la voiture car il s'agit d'un exemple concret que l'on peut tous se représenter et qu'on peut appliquer à toutes nos situations d'achat de bien de consommation.  Mais je me demande si on ne peut  étendre cet axiome à l'ensemble de nos choix rationnels. J'entends par choix rationnels ceux qui a priori sont "calculables" et dépourvus de toute émotion. Et à mon avis il y en a beaucoup plus qu'on ne le croit, dans toutes nos actions du quotidiens nous faisons des choix rationnels mais nous n'en sommes pas toujours conscients.  

Un exemple : j'ai sur mon bureau une pile de courrier (dont j'ignore le nombre) à envoyer par la poste, il me faut aller chercher des enveloppes dans l'armoire de la pièce voisine. Le choix qui se présente à moi est dans la quantité d'enveloppes que je vais sortir de l'armoire. Un choix rationnel consistera à prendre une grosse liasse d'enveloppes, c'est à dire plus d'enveloppes que de courriers à envoyer, de sorte à m'éviter des allers-retours inutiles. Je maximise donc mon action.

Le choix rationnel est celui qui maximise nos actes, celui dont le rapport bénéfice/action est le plus élevé. On retrouve ce principe dans l'achat de la voiture mais aussi dans toutes les situations où nous agissons. Car agir c'est choisir.

A mon avis, lorsque la prise de décision nous est difficile, c'est parce que le choix qui se présente à nous implique une part d'irrationnel (émotions, ressentis etc)

John Nash

 

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Membre, 35ans Posté(e)
Ambre Agorn Membre 2 169 messages
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Le 15/02/2020 à 06:49, Quasi-Modo a dit :

Bonjour,

Un choix peut-il être rationnel ? Comment pourrait-on définir un choix rationnel ?

L'idée commune est que pour parler de choix il faudrait au moins deux options, et que nous ayons été pleinement informés des avantages et inconvénients de chaque option avec une information objective, non trompeuse et complète. De plus il faudrait que la personne qui choisit soit rationnelle et en pleine possession de ses moyens.

Mais si tous ces éléments sont réunis, comment parler encore de choix ?

En effet l'objectif paradoxal d'une analyse rationnelle dans le cadre d'une prise de décision est de trouver la façon la plus efficace et la moins coûteuse de répondre à notre besoin de façon parcimonieuse. Une analyse rationnelle n'a donc droit de citer qu'en vertu du fait précisément qu'elle réduit l'ensemble des options possibles jusqu'à idéalement qu'il n'en reste qu'une, à savoir la meilleure option après avoir pesé le pour et le contre.

Il n'y aurait donc jamais de choix rationnel à proprement parler, mais une préférence irrationnelle exprimée à l'instant t en vertu d'informations toujours non complètes ou non objectives, car si l'information était complète et objective il n'y aurait plus qu'une seule option (la meilleure) donc plus de vrai choix qui nécessite diverses options également souhaitables.

Il y a bien des philosophes qui ont développé l'idée de liberté d'indifférence mais en pratique aucune situation de ce type ne se présente jamais et une connaissance ainsi qu'une analyse minutieuse devraient permettre de trouver la meilleure option étant donné les connaissances de l'époque, les besoins réels, et les ressources personnelles à chaque instant.

Il me semble qu'à partir du moment où l'on parle de choix, c'est que justement les choix en options comportent tous une part d'inconnu, d'où la nécessité d'un choix. S'il n'y avait pas d'inconnu, alors il n'y aurait pas de choix.

Pour ce qui est de parler d'un choix rationnel, je suppose que c'est relatif, et qu'un choix rationnel se rapporte à la raison, c'est à dire en prenant compte des éléments fournis, de l'expérience personnel de l'individu devant faire le choix, et de sa capacité à prévoir le plus possible de variable suite aux différents choix, et cela de le façon la plus rapide. Un choix sera dit rationnel, s'il est logique et cohérent. Mais je suppose aussi qu'il y a plusieurs "niveaux de rationnalité", suivant les capacités du décideur.

Après je voulais rajouter que, peu importe les données que l'on a au moment du choix, la seule chose possible et rationnelle à faire c'est de vivre pleinement le choix, comme disait @sera-angel, de l'assumer.

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