Dernière danse

cadeau : une gavotte de Laven, rendue mythique par le film " le grand bal "

Il y a 3 heures, Aruna a dit :

Une danse du désespoir ?

Cela me fait penser à la danse des esprits, sur les réserves indiennes dans les années 1890...et au massacre qui s'en suivit.

Il est revenu ! 

WovokAruna.

Il y a 15 heures, sera-angel a dit :

C'est dommage ! Tu vas te fatiguer pour rien !

Et si tu te posais d'autres questions ? ou que tu les formulais mieux , c'est important la bonne formulation pour avoir la bonne réponse ! 

Loin de moi l'intention de t'ennuyer (même si je le ressens) juste un truc à te dire , tu ne devrais compter que sur toi même pour trouver des solutions résolutives .. apparemment les solutions que tu essayes de trouver sont trop prudentes (réalistes) Tu cherches peut être trop à ce que rien ne t'échappe et à avoir des garanties (mais bon moi je ne fais que rapporter)

@sera-angel, merci pour tes écrits, mais il n'y a rien qui puisse être qualifié de dommage.

Contrairement aux apparences, le questionnement ne sert pas à obtenir une nouvelle réponse. 

Il sert à se dépouiller des réponses et des définitions  qui se superposent au "je".

Je pense qu'il est possible de trouver sa joie dans le mystère de la non-réponse.

Il y a 7 heures, Aruna a dit :

@sera-angel, merci pour tes écrits, mais il n'y a rien qui puisse être qualifié de dommage.

Contrairement aux apparences, le questionnement ne sert pas à obtenir une nouvelle réponse. 

Il sert à se dépouiller des réponses et des définitions  qui se superposent au "je".

Je pense qu'il est possible de trouver sa joie dans le mystère de la non-réponse.

 

C est ta manière de voir la chose...

je n' ai pas la même...

Je trouve cela dommage de ne pas trouver les réponses à ses questions. 

Mais chacun son fonctionnement personnel..du moment qu on avance..parce que qui n avance pas...recule !

Quand à l intérieur on est prêt..c est l extérieur qui vient nous l annoncer.

Le 28/01/2020 à 15:33, Don Juan a dit :

Pour chanter le Dewa oui ! Le Dewa à 17 tons.

Ouais on va mettre le dawa! (P'tain je suis pas un cool. !) Moi ce sera harmo et guitare, ampli à donf! 

Et gamme à 5 notes plus les bleus ! 

Le 29/01/2020 à 08:37, Aruna a dit :

Contrairement aux apparences, le questionnement ne sert pas à obtenir une nouvelle réponse. 

Ouais comme le blues

 Une question une réponse un conclusion et tu reviens inlassablement au début et tu recommence . Mais attention aux nuances!

Il y a 2 heures, landbourg a dit :

Ouais comme le blues

 Une question une réponse un conclusion et tu reviens inlassablement au début et tu recommence . Mais attention aux nuances!

Le blues est une complainte qui tourne en boucle. Avec des nuances, c'est vrai, mais ça reste une complainte. 

On y sent la quête d'une réponse définitive et la désespérance de ne pouvoir  la trouver. C'est de ce déchirement que surgit le blues, je pense.

Il y a 21 heures, Aruna a dit :

On y sent la quête d'une réponse définitive et la désespérance de ne pouvoir  la trouver.

Oh je pense que si, on l'a trouve cette réponse, c dans la mort, réponse définitive qui délivre de tout.  

Ben il y a pas que le blues qui fait ça!

Mais là c plus la fête.  Où alors la fin , quand tu es en morceaux! 

Mais tout cela est joliment humain!

il y a 45 minutes, landbourg a dit :

Oh je pense que si, on l'a trouve cette réponse, c dans la mort, réponse définitive qui délivre de tout.  

Ben il y a pas que le blues qui fait ça!

 

Mais là c plus la fête.  Où alors la fin , quand tu es en morceaux! 

Mais tout cela est joliment humain!

 

La dernière danse symbolise précisément cette compréhension.

Sans pitié, sans complaisance et sans morbidité ; comme un hymne au caractère éphémère de l'existence.

Je vis dans la nostalgie d'un temps que je ne connais pas.

La nostalgie d'une famille éparpillée.

Malgré la peau qui me recouvre,

Des fragments de paysages me parviennent

Des cris et des rires assourdis,

Et quelquefois,  tombe à mes pieds, une météore, faite d'un métal inconnu.

Il y a 21 heures, Aruna a dit :

Je vis dans la nostalgie d'un temps que je ne connais pas.

La nostalgie d'une famille éparpillée.

Malgré la peau qui me recouvre,

Des fragments de paysages me parviennent

Des cris et des rires assourdis,

Et quelquefois,  tombe à mes pieds, une météore, faite d'un métal inconnu.

La continuité du temps n'existe pas. Cette nostalgie est notre impuissance à faire le pas dans l'infini. Toute notre vie à rester sur le pas de la porte à jauger de la difficulté, à se cramponner tout en étant attiré par le souffle inconnu.

Un lieu sans le temps est un pas immobile dans l'inconnu de l'infini.

La mémoire ne connait pas le temps et ses méandres, la mémoire est l'écho de l'infini, la carte qui nous est donnée pour vivre en être libre.

Le monde est la famille dont tu parles...

Il y a 2 heures, Tamar Hanna a dit :

La continuité du temps n'existe pas. Cette nostalgie est notre impuissance à faire le pas dans l'infini. Toute notre vie à rester sur le pas de la porte à jauger de la difficulté, à se cramponner tout en étant attiré par le souffle inconnu.

Un lieu sans le temps est un pas immobile dans l'inconnu de l'infini.

La mémoire ne connait pas le temps et ses méandres, la mémoire est l'écho de l'infini, la carte qui nous est donnée pour vivre en être libre.

Le monde est la famille dont tu parles...

 

 

 

 

L'infini frappe à ma porte depuis avant le temps de ma naissance. Et chaque fois que je l'ai entrebâillée, j'ai senti son souffle emplir ma poitrine et me chuchoter des mots dans une langue de silence, plus ancienne que toutes les langues maternelles du monde.

Tamar, je vois que cette langue tu la connais aussi. 

Maintenant qu'il y a un appel d'air, j'attends une bourrasque qui fera s'envoler ma porte.

La carte-support de la mémoire, c'est le corps.

Les lieux de mémoire sont situés, matérialisés sur le corps, qui est donc aussi une porte d'accès.

Le monde est la famille dont je parle; il se révèle à travers sa lumière.
La lumière du monde traversant un cristal se diffracte en un spectre à plusieurs tonalités.
C'est la famille éparpillée.
Chaque tonalité vit la nostalgie de la lumière réunifiée.

Oh que oui,  embarqué dans le même bateau!

 

La carte-support de la mémoire, c'est le corps.

Les lieux de mémoire sont situés, matérialisés sur le corps, qui est donc aussi une porte d'accès.

La carte support de la mémoire, c est le coeur.

"Ce qui touche le cœur se grave dans la mémoire".Voltaire

On passe toujours du coeur à la mémoire.

 

La carte support de la mémoire, c est le coeur.

"Ce qui touche le cœur se grave dans la mémoire".Voltaire

On passe toujours du coeur à la mémoire.

En effet, ce qu'on appelle le cœur est sans doute une porte symbolique. Bien que je suppose qu'il en existe d'autres. Mais je ne suis pas expert en la matière et je ne m'aventurerai pas sur ce terrain plus avant pour le moment.

On fait un constant va et vient entre ce que nous Impose notre esprit et ce que ressent notre coeur.

Lorsqu il existe un conflit entre les deux(esprit et coeur)...c est à se moment là que les émotions s impriment dans notre corps.

On ne peut pas séparer la tête du corps, ni l émotion de la raison. Mais la raison profonde est toujours celle qui a touché le coeur d abord.

Le coeur sait toujours avant la raison.

Si je peux te conseiller un excellent livre c est "le corps point par point" de Gérard Athias..

J ai eu l énorme chance de côtoyer un peu Gérard Athias...  Ce monsieur et ce livre en particulier sont une mine d or.. 

Il y a 2 heures, sera-angel a dit :

Si je peux te conseiller un excellent livre c est "le corps point par point" de Gérard Athias..

J ai eu l énorme chance de côtoyer un peu Gérard Athias...  Ce monsieur et ce livre en particulier sont une mine d or.. 

 

Je te remercie pour cette intention.