La précarité tue, le capitalisme tue, le macronisme tue.

il y a 1 minute, Guillaume_des_CS a dit :

 

Donc je précise: sous cet angle d'approche sociologique et politique, le SEUL problème qui fait blocage aujourd'hui et qui nous mène TOUS à la catastrophe est ancré au plus profond de CHACUN d'entre-nous. Et il a un nom: "LÂCHETÉ".

Je suis entrain de lire deux livres du "comité invisible", d'une certaine façon ton constat de lâcheté rejoint le leur, je ne suis pas vraiment d'accord avec ces points de vue, mais je te laisse développer si tu le souhaites, ton intervention est intéressante.

à l’instant, soloandsolo a dit :

Je suis entrain de lire deux livres du "comité invisible", d'une certaine façon ton constat de lâcheté rejoint le leur, je ne suis pas vraiment d'accord avec ces points de vue, mais je te laisse développer si tu le souhaites, ton intervention est intéressante.

Non merci. Je suis déjà très très occupé à le développer t'inquiètes... D'ailleurs je publierai quelque chose d'un peu "spécial" à ce sujet début février (y compris sur ce forum...). Bon, après je ne dis pas que je ne répondrais pas à des questions précises... 

il y a 28 minutes, Guillaume_des_CS a dit :

Non merci. Je suis déjà très très occupé à le développer t'inquiètes... D'ailleurs je publierai quelque chose d'un peu "spécial" à ce sujet début février (y compris sur ce forum...). Bon, après je ne dis pas que je ne répondrais pas à des questions précises... 

Bien noté, à te lire ailleurs ou ici si tu y reviens.

il y a une heure, soloandsolo a dit :

Quelle société ? Le propos n'est sans intérêt.

Remets de l'agencement dans ce fatras de citations, commentaires ajoutés et lien, ça sera peut-être compréhensible à la lecture, si c'est pour dire ce que tu colportes de façon roborative dans tout les sujets ce n'est pas la peine, on connait déjà par coeur vu ton tapissage incessant dans tout le forum.

Le vide me fait conceptuellement chier.

Je cite ton texte de Lordon . Bottage en touche de ta part . Je n’en attendais pas moins

il y a 5 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Je cite ton texte de Lordon . Bottage en touche de ta part . Je n’en attendais pas moins

 

Tu fais un peu ce que tu veux, citer ou pas, avec tes réponses ou non, tu as du mal à comprendre que moi-même ou beaucoup d'autres sur ce forum t'indiquons que tes interventions : nous n'en n'avons rien à foutre.

Donc reste la tête dans ton guidon en pensant que ça botte en touche, ton problème général, comme j'ai pu te le dire ailleurs, ton problème c'est l'autre, ici Lordon en l'occurrence, ailleurs tel ou tel forumeur, ne cherche pas c'est pathologique et non du registre de l'échange.

il y a 14 minutes, soloandsolo a dit :

Tu fais un peu ce que tu veux, citer ou pas, avec tes réponses ou non, tu as du mal à comprendre que moi-même ou beaucoup d'autres sur ce forum t'indiquons que tes interventions : nous n'en n'avons rien à foutre.

Finalement solo a besoin de se référer à d’autres ?

il y a 14 minutes, soloandsolo a dit :

Donc reste la tête dans ton guidon en pensant que ça botte en touche, ton problème général, comme j'ai pu te le dire ailleurs, ton problème c'est l'autre, ici Lordon en l'occurrence, ailleurs tel ou tel forumeur, ne cherche pas c'est pathologique et non du registre de l'échange.

Non mon problème c’est ce que dit Lordon . Cf réponse sur ton texte de Lordon

Mais bon je comprends que tu préfères t’en tenir a du perso

il y a 3 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Finalement solo a besoin de se référer à d’autres ?

Non mon problème c’est ce que dit Lordon . Cf réponse sur ton texte de Lordon

Mais bon je comprends que tu préfères t’en tenir a du perso

 

Le perso t'a permis de rentrer dans le sujet, ces figures d'appoints que tu sers là en perspective de pirouette tu les utilises à tous les coins de tous les débats en permanence : tu ne te sens pas fatigué, usé ? Te rends tu comptes que tu passes des heures dans ces échanges à ne rien dire ? Te rends tu comptes le vide que cela exprime ?

il y a 1 minute, soloandsolo a dit :

Le perso t'a permis de rentrer dans le sujet, ces figures d'appoints que tu sers là en perspective de pirouette tu les utilises à tous les coins de tous les débats en permanence : tu ne te sens pas fatigué, usé ? Te rends tu comptes que tu passes des heures dans ces échanges à ne rien dire ? Te rends tu comptes le vide que cela exprime ?

Bon rien sur ton sujet

Mon perso concernait Lordon qui sauf erreur de ma part fait partie du sujet , poser son background pour comprendre comment un gars intelligent en arrive à un titre de café du commerce , c’est aussi répondre au sujet . 
Ensuite j’ai répondu point par point à ton copcol de Lordon . Encore un effort : quelques persos HS sur DDR qui n’est pas le sujet et nous pourrons faire mine que je n’ai pas répondu sur ton sujet contrairement à toi

il y a 5 minutes, soloandsolo a dit :

Si tu veux aussi...Pas de problème.

Donc « la précarité tue «  et « l’eau ça mouille «  . C’était le titre de sa dernière publi qui a fait avancer les sciences philosophiques et philologiques ( c’est le sujet de son unité CNRS sur lequel tu faisais reposer son magistère à prouver que la précarité tue ) ?

Il y a 13 heures, Morfou a dit :

Mais oui...si quelqu'un est formaté...c'est vous deux...

C'est vous! Oui! Vous les ronds de cuir!
 

Il y a 15 heures, Crabe_fantome a dit :

Du coup à quoi servent les études de marché ? 

A savoir avec plus de précision à quel niveau ton offre va susciter de la demande.

Il y a 7 heures, Scipion0610 a dit :

Je confirme ce que dit solo. Marre des chiens de gardes!

Ainsi va la (nouvelle) vie des forums pour certains quand ils voient apparaitre un article, un dire, éclairant en contre point quelque chose de critique mais qui a pris l'apparence de la normalité bien assimilée dans une doxa aussi mortifère pour la pensée que peut l'être une lobotomie quasi collective. Alors tu les vois se pointer dans un débat à petit pas bien rodés, contrôlant à la virgule près la nomenclature des CGU afin de ne pas être empêché de faire le travail jusqu'au bout : dénigrer l'auteur sur ses revenus, au moins mettre du doute dans le registre du "tous pourris, lui aussi compromis", peu importe qu'il n'y ait aucune irrégularité, aucun paradoxe particulier là où il n'y a d'autre choix que d'être agissant et parlant in situ. Ca insistera dans le registre du "grassement" en parlant d'argent pour le rendre bien sale comme un "gros porc" qui se goinfrerait son salaire dont l'autre "gros porc", le capitaliste qu'il dénonce, lui servirait dans l'auge où il baffrerait contredisant en cela le moindre de ses mots en réversion contre cette porcherie généralisée.

Ce travail préalable fait il lui faudra insinuer et préciser la catégorie politique dans laquelle on peut parquer ce cochon dévoilé, ici le marxisme, depuis la chute du mur de Berlin, la même doxa n'a toujours pas fait le deuil du stalinisme du temps où le monde était binaire, ramener le débat à cette binarité est simple, bien l'enfoncer entre les posts et laisser faire le travail de sape avec ce coin planté, il en est assuré, à partir de ces deux évidences maintenant établies comme force de loi réflexive le quidam de passage ne pourra plus que douter et s'enfoncer dans ce doute.

Viendront les énoncés du "factuel" : "si ce sont les faits" la vérité est consommée, ces même faits qui peuvent être transformés en interprétations dans d'autres débats quand la géométrie de la manipulation du débat le demande, le vice et la manipulation comme dénominateur à des interventions qui s'étirent noyant dans cet étirement la nature du mensonge qui vrille chaque intervention de ces spécialisés en pourrissement de débats, débats : là où chaque autre est censé venir de son adresse et ou maladresse porter un peu de sa liberté à être pensant dans des échanges siphonnés derechef par ce que tu appelles ces "chiens de garde" qui veillent à maintenir  la sordide crétinerie sociétale généralisée.

Ces gens-là on les verrait bien dans 1984, au ministère de l'amour, extirpant consciencieusement la moindre parcelle de pensée divergente, s'assurant que ce qu'il reste de pouvoir penser soit circonscrit à plus rien : "2+2=5" c'est factuellement prouvé, "ce ne sont pas vers" ce sont les faits et il n'y aura ni mutinerie, ni revers d'une pensée qui n'existe plus, ce sont les faits aussi.

"Voilà par quelle sorte de personnages nos existences sont dirigées : des sociopathes. Il aura fallu cinq jours à Macron pour trouver à prononcer un mot d’« empathie ». Il aura surtout fallu un début d’émeute étudiante lui faisant craindre la couche de révolte de trop par-dessus toutes les autres. Frédérique Vidal, elle, dont la fixité de regard ne laisse pas d’étonner, a essentiellement souffert pour sa grille ministérielle. Mais comme à peu près tous les éditorialistes de service. Qui en définitive répondent tous au même type, un type moral, celui de l’époque : une décapitation d’une effigie de Macron, des vitres brisées, des portes de ministère enfoncées les scandalisent ; des suicidés, des éborgnés, des mutilés les indiffèrent. Telle est la tranche d’humanité qui se fait appeler « élite » et revendique le titre à gouverner les autres."

https://blog.mondediplo.net/la-precarite-tue-le-capitalisme-tue-le-macronisme

il y a une heure, soloandsolo a dit :

Ainsi va la (nouvelle) vie des forums pour certains quand ils voient apparaitre un article, un dire, éclairant en contre point quelque chose de critique mais qui a pris l'apparence de la normalité bien assimilée dans une doxa aussi mortifère pour la pensée que peut l'être une lobotomie quasi collective. Alors tu les vois se pointer dans un débat à petit pas bien rodés, contrôlant à la virgule près la nomenclature des CGU afin de ne pas être empêché de faire le travail jusqu'au bout : dénigrer l'auteur sur ses revenus, au moins mettre du doute dans le registre du "tous pourris, lui aussi compromis", peu importe qu'il n'y ait aucune irrégularité, aucun paradoxe particulier là où il n'y a d'autre choix que d'être agissant et parlant in situ. Ca insistera dans le registre du "grassement" en parlant d'argent pour le rendre bien sale comme un "gros porc" qui se goinfrerait son salaire dont l'autre "gros porc", le capitaliste qu'il dénonce, lui servirait dans l'auge où il baffrerait contredisant en cela le moindre de ses mots en réversion contre cette porcherie généralisée.

Ce travail préalable fait il lui faudra insinuer et préciser la catégorie politique dans laquelle on peut parquer ce cochon dévoilé, ici le marxisme, depuis la chute du mur de Berlin, la même doxa n'a toujours pas fait le deuil du stalinisme du temps où le monde était binaire, ramener le débat à cette binarité est simple, bien l'enfoncer entre les posts et laisser faire le travail de sape avec ce coin planté, il en est assuré, à partir de ces deux évidences maintenant établies comme force de loi réflexive le quidam de passage ne pourra plus que douter et s'enfoncer dans ce doute.

Viendront les énoncés du "factuel" : "si ce sont les faits" la vérité est consommée, ces même faits qui peuvent être transformés en interprétations dans d'autres débats quand la géométrie de la manipulation du débat le demande, le vice et la manipulation comme dénominateur à des interventions qui s'étirent noyant dans cet étirement la nature du mensonge qui vrille chaque intervention de ces spécialisés en pourrissement de débats, débats : là où chaque autre est censé venir de son adresse et ou maladresse porter un peu de sa liberté à être pensant dans des échanges siphonnés derechef par ce que tu appelles ces "chiens de garde" qui veillent à maintenir  la sordide crétinerie sociétale généralisée.

Ces gens-là on les verrait bien dans 1984, au ministère de l'amour, extirpant consciencieusement la moindre parcelle de pensée divergente, s'assurant que ce qu'il reste de pouvoir penser soit circonscrit à plus rien : "2+2=5" c'est factuellement prouvé, "ce ne sont pas vers" ce sont les faits et il n'y aura ni mutinerie, ni revers d'une pensée qui n'existe plus, ce sont les faits aussi.

"Voilà par quelle sorte de personnages nos existences sont dirigées : des sociopathes. Il aura fallu cinq jours à Macron pour trouver à prononcer un mot d’« empathie ». Il aura surtout fallu un début d’émeute étudiante lui faisant craindre la couche de révolte de trop par-dessus toutes les autres. Frédérique Vidal, elle, dont la fixité de regard ne laisse pas d’étonner, a essentiellement souffert pour sa grille ministérielle. Mais comme à peu près tous les éditorialistes de service. Qui en définitive répondent tous au même type, un type moral, celui de l’époque : une décapitation d’une effigie de Macron, des vitres brisées, des portes de ministère enfoncées les scandalisent ; des suicidés, des éborgnés, des mutilés les indiffèrent. Telle est la tranche d’humanité qui se fait appeler « élite » et revendique le titre à gouverner les autres."

https://blog.mondediplo.net/la-precarite-tue-le-capitalisme-tue-le-macronisme

La pompe à phynance

De quoi Ubu est-il fondamentalement la figure ? Du despote parasitaire. Quelle est la puissance despotique d’aujourd’hui qui soumet absolument le corps social et le laisse exsangue d’avoir capté la substance de son effort ? Certainement pas l’État – dont on rappellera qu’il restitue en prestations collectives l’ensemble de ses prélèvements… – mais le système bancaire-actionnaire qui, lui, conserve unilatéralement le produit intégral de ses captations.

Frédéric Lordon est économiste et philosophe. Les vues qu’il exprime ici sont de sa seule responsabilité et n’engagent personne d’autre. Il est notamment l’auteur de Jusqu’à quand ? Pour en finir avec les crises financières, Raisons d’agir, 2008 ; Capitalisme, désir et servitude. Marx et Spinoza, La Fabrique, 2010 ; D’un retournement l’autre, Seuil, 2011 ; La société des affects, Seuil, 2013 ; et Imperium. Structures et affects des corps politiques, La Fabrique, 2015.

Je remets la vidéo de la conférence Lordon HEC au cas, induit par le sapeur de service, où les lecteurs seraient amenés à penser que Lordon ne s'exprime que devant des assemblées acquises.

il y a une heure, soloandsolo a dit :

Ainsi va la (nouvelle) vie des forums pour certains quand ils voient apparaitre un article, un dire, éclairant en contre point quelque chose de critique mais qui a pris l'apparence de la normalité bien assimilée dans une doxa aussi mortifère pour la pensée que peut l'être une lobotomie quasi collective. Alors tu les vois se pointer dans un débat à petit pas bien rodés, contrôlant à la virgule près la nomenclature des CGU afin de ne pas être empêché de faire le travail jusqu'au bout : dénigrer l'auteur sur ses revenus, au moins mettre du doute dans le registre du "tous pourris, lui aussi compromis", peu importe qu'il n'y ait aucune irrégularité, aucun paradoxe particulier là où il n'y a d'autre choix que d'être agissant et parlant in situ. Ca insistera dans le registre du "grassement" en parlant d'argent pour le rendre bien sale comme un "gros porc" qui se goinfrerait son salaire dont l'autre "gros porc", le capitaliste qu'il dénonce, lui servirait dans l'auge où il baffrerait contredisant en cela le moindre de ses mots en réversion contre cette porcherie généralisée.

Ce travail préalable fait il lui faudra insinuer et préciser la catégorie politique dans laquelle on peut parquer ce cochon dévoilé, ici le marxisme, depuis la chute du mur de Berlin, la même doxa n'a toujours pas fait le deuil du stalinisme du temps où le monde était binaire, ramener le débat à cette binarité est simple, bien l'enfoncer entre les posts et laisser faire le travail de sape avec ce coin planté, il en est assuré, à partir de ces deux évidences maintenant établies comme force de loi réflexive le quidam de passage ne pourra plus que douter et s'enfoncer dans ce doute.

Viendront les énoncés du "factuel" : "si ce sont les faits" la vérité est consommée, ces même faits qui peuvent être transformés en interprétations dans d'autres débats quand la géométrie de la manipulation du débat le demande, le vice et la manipulation comme dénominateur à des interventions qui s'étirent noyant dans cet étirement la nature du mensonge qui vrille chaque intervention de ces spécialisés en pourrissement de débats, débats : là où chaque autre est censé venir de son adresse et ou maladresse porter un peu de sa liberté à être pensant dans des échanges siphonnés derechef par ce que tu appelles ces "chiens de garde" qui veillent à maintenir  la sordide crétinerie sociétale généralisée.

Ces gens-là on les verrait bien dans 1984, au ministère de l'amour, extirpant consciencieusement la moindre parcelle de pensée divergente, s'assurant que ce qu'il reste de pouvoir penser soit circonscrit à plus rien : "2+2=5" c'est factuellement prouvé, "ce ne sont pas vers" ce sont les faits et il n'y aura ni mutinerie, ni revers d'une pensée qui n'existe plus, ce sont les faits aussi.

"Voilà par quelle sorte de personnages nos existences sont dirigées : des sociopathes. Il aura fallu cinq jours à Macron pour trouver à prononcer un mot d’« empathie ». Il aura surtout fallu un début d’émeute étudiante lui faisant craindre la couche de révolte de trop par-dessus toutes les autres. Frédérique Vidal, elle, dont la fixité de regard ne laisse pas d’étonner, a essentiellement souffert pour sa grille ministérielle. Mais comme à peu près tous les éditorialistes de service. Qui en définitive répondent tous au même type, un type moral, celui de l’époque : une décapitation d’une effigie de Macron, des vitres brisées, des portes de ministère enfoncées les scandalisent ; des suicidés, des éborgnés, des mutilés les indiffèrent. Telle est la tranche d’humanité qui se fait appeler « élite » et revendique le titre à gouverner les autres."

https://blog.mondediplo.net/la-precarite-tue-le-capitalisme-tue-le-macronisme

Finalement après une page complète tu récites ton sujet : enfin !

Donc très factuellement reprenons le propos de Lordon point par point :

Du coup nous avons des propos déconnectés des faits , une prédiction à la É. Tessier dont il pourra dire ou pas j’avais raison , ou tort comme ses Paris d’envergure sur Tsipras ou Melenchon , bien vite abandonnés ....

Il y a 2 heures, truebypass a dit :

A savoir avec plus de précision à quel niveau ton offre va susciter de la demande.

Ça me chiffonne quand même ce point de vue où tant qu'il n'y a pas d'offre il n'y a pas de demande. Au parce que biologiquement nous sommes des être en demandes. Que ces demandes peuvent être soulagées d'abord par nous même, comme l'envie de dormir où on peut dormir n'importe où... Et puis on rempli une chemise de pailles et on invente l'oreiller... Et on affine l'invention pour le rendre plus confortable... Tu vas me dire qu'il n'y a pas de demande pour rendre son sommeil plus confortable jusqu'à l'offre de l'oreiller ? 

il y a 18 minutes, Crabe_fantome a dit :

Ça me chiffonne quand même ce point de vue où tant qu'il n'y a pas d'offre il n'y a pas de demande. Au parce que biologiquement nous sommes des être en demandes. Que ces demandes peuvent être soulagées d'abord par nous même, comme l'envie de dormir où on peut dormir n'importe où... Et puis on rempli une chemise de pailles et on invente l'oreiller... Et on affine l'invention pour le rendre plus confortable... Tu vas me dire qu'il n'y a pas de demande pour rendre son sommeil plus confortable jusqu'à l'offre de l'oreiller ? 

Offre et demande sont les deux faces de la même pièce celle du désir concordant dans sa faculté à être en demande et ou à offrir, il n'y a pas vraiment de différence dynamique entre ces deux aspects, le marché vient simplement réguler l'aspect quantitatif et non qualitatif de ce qui opère.

il y a 3 minutes, soloandsolo a dit :

Offre et demande sont les deux faces de la même pièce celle du désir concordant dans sa faculté à être en demande et ou à offrir, il n'y a pas vraiment de différence dynamique entre ces deux aspects, le marché vient simplement réguler l'aspect quantitatif et non qualitatif de ce qui opère.

Il y a pourtant une clientèle en demande de qualitatif. Le marché n'est pas réservé aux précaires... 

il y a 1 minute, Crabe_fantome a dit :

Il y a pourtant une clientèle en demande de qualitatif. Le marché n'est pas réservé aux précaires... 

Je parlais du qualitatif du désir et non du qualitatif du produit qui lui est aussi un des aspects de l'offre et de la demande dans le marché.

il y a 19 minutes, Crabe_fantome a dit :

Ça me chiffonne quand même ce point de vue où tant qu'il n'y a pas d'offre il n'y a pas de demande. Au parce que biologiquement nous sommes des être en demandes.

Tu ne peux définitivement pas mettre sur le même plan les besoins primaires et tout le reste de ce qui est marchandable sur Terre.
La stratégie marketing n'a que faire du biologique (sauf quand il s'agit de vendre du produit "bio"), elle voit un consommateur avant un humain.

Tu as déjà entendu parler de l'AIDA, par exemple?

Citation

Que ces demandes peuvent être soulagées d'abord par nous même, comme l'envie de dormir où on peut dormir n'importe où... Et puis on rempli une chemise de pailles et on invente l'oreiller... Et on affine l'invention pour le rendre plus confortable... Tu vas me dire qu'il n'y a pas de demande pour rendre son sommeil plus confortable jusqu'à l'offre de l'oreiller ? 

Si mais on va vouloir te vendre des housses d'oreillers avec une parure e draps dont les coloris et motifs auront été sélectionnés pour l'année par des tendanceurs.

il y a une heure, DroitDeRéponse a dit :

Nous sommes en République tu feras avec , d’autant que pour ma part j’en ai marre des menteurs comme toi qui font accroire des mensonges sur mon appartenance à quelques officines 

Tu ne défends en rien la république. Tu prépares la dictature.