Aller au contenu

Quel est votre poème préféré ?


Guillaume_des_CS

Messages recommandés

Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
Il y a 17 heures, Guillaume_des_CS a dit :

@sera-angel @azad2B, et toute autre bonne volonté...

Aidez-moi, si vous pouvez Je cherche à me souvenir dans quel roman (oui, je dis bien roman), Hugo a exprimé un truc du genre: "...la domesticité est...(un facteur premier, une qualité première...) de l'être humain ; c'est pourquoi il y a toujours tant de monde sur le passage de cortèges royaux..."; mais bien sûr, ce n'est pas si simple: il mettait le "cortège royal" en perspective de l'idée même de domesticité. Je suis sûr, je réponds de mon interprétation. Seulement, ayant oublié où j'ai lu le texte, d'où je la tiens pour certaine... Je suis, depuis plusieurs années (!), un peu dans la m... car je ne peux pas le citer. Et je ne lis plus Hugo (je le hais maintenant...). Il me semble que c'était dans "L'homme qui rit", mais... Pouvez-vous m'aider? Me donner ses propres mots, que je puisse en abuser sans les trahir? 

 

Bon ! si tu le hais, ne compte pas sur @sera-angel ! Il faut pas pousser quand même !

Moi, pour rester dans ses petits papiers, même si je trouve un truc qui me plaît pas chez Hugo, je le dis pas !

:smile2:

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
  • Réponses 82
  • Créé
  • Dernière réponse
Invité sera-angel
Invités, Posté(e)
Invité sera-angel
Invité sera-angel Invités 0 message
Posté(e)
à l’instant, Blaquière a dit :

Bon ! si tu le hais, ne compte pas sur @sera-angel ! Il faut pas pousser quand même !

Moi, pour rester dans ses petits papiers, même si je trouve un truc qui me plaît pas chez Hugo, je le dis pas !

:smile2:

 

Et comment tu n as pas intérêt à le dire. !

Non, toi,  tu peux le dire, j excécre les hypocrites .. pas de ça chez moi ( c est comme les deux fêlés chez Lustucru il n y avaient pas leur place) :D

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)

Tenez un de mes poèmes préférés que j'ai longtemps cru être de Victor Hugo !

Il est de Sully Prud'Homme en fait

Bonne adresse aussi !

 

Le cri perdu

 

Quelqu’un m’est apparu, très loin, dans le passé,
C’était un ouvrier des hautes pyramides
Adolescent perdu dans ces foules timides
qu’écrasait le granit, pour Chéops entassé.

Or ses genoux tremblaient, il pliait harassé
sous la pierre, surcroît au poids des cieux torrides
L’effort gonflait son front et le creusait de rides
Il cria tout à coup comme un arbre cassé,

Ce cri fit frémir l’air, ébranla l’éther sombre
Monta puis atteignit les étoiles sans nombre
Où l’astrologue lit les jeux tristes du sort

Il monte, il va, cherchant les dieux et la justice
Et depuis trois mille ans sous l’énorme bâtisse
Dans sa gloire, Chéops inaltérable dort.

 

 

 

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé, Posté(e)
azad2B Membre 5 932 messages
Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé,
Posté(e)
Il y a 18 heures, Guillaume_des_CS a dit :

Pouvez-vous m'aider? Me donner ses propres mots, que je puisse en abuser sans les trahir? 

.... C'était l'homme qui avait baptisé le loup. Probablement il s'était aussi choisi lui-même son nom ; ayant trouvé Ursus bon pour lui, il avait trouvé Homo bon pour la bête, L'association de cet homme et de ce loup profitait aux foires, aux fêtes de paroisse, aux coins de rues où les passants s'attroupent, et au besoin qu'éprouve partout le peuple d'écouter des sornettes et d'acheter de l'orviétan. Ce loup, docile et gracieusement subalterne, était agréable à la foule. Voir des apprivoisements est une chose qui plaît. Notre suprême contentement est de regarder défiler toutes les variétés de la domestication. C'est ce qui fait qu'il y a tant de gens sur le passage des cortèges royaux...

Extrait de "L' Homme qui rit" V. Hugo

 

Première partie : La mer et la nuit
Chapitre Un : Ursus.
Hauteville-House 1869.
 

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, azad2B a dit :

.... C'était l'homme qui avait baptisé le loup. Probablement il s'était aussi choisi lui-même son nom ; ayant trouvé Ursus bon pour lui, il avait trouvé Homo bon pour la bête, L'association de cet homme et de ce loup profitait aux foires, aux fêtes de paroisse, aux coins de rues où les passants s'attroupent, et au besoin qu'éprouve partout le peuple d'écouter des sornettes et d'acheter de l'orviétan. Ce loup, docile et gracieusement subalterne, était agréable à la foule. Voir des apprivoisements est une chose qui plaît. Notre suprême contentement est de regarder défiler toutes les variétés de la domestication. C'est ce qui fait qu'il y a tant de gens sur le passage des cortèges royaux...

Extrait de "L' Homme qui rit" V. Hugo

 

Première partie : La mer et la nuit
Chapitre Un : Ursus.
Hauteville-House 1869.
 

 

Je n'ai qu'un mot : Bravo !

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, azad2B a dit :

.... C'était l'homme qui avait baptisé le loup. Probablement il s'était aussi choisi lui-même son nom ; ayant trouvé Ursus bon pour lui, il avait trouvé Homo bon pour la bête, L'association de cet homme et de ce loup profitait aux foires, aux fêtes de paroisse, aux coins de rues où les passants s'attroupent, et au besoin qu'éprouve partout le peuple d'écouter des sornettes et d'acheter de l'orviétan. Ce loup, docile et gracieusement subalterne, était agréable à la foule. Voir des apprivoisements est une chose qui plaît. Notre suprême contentement est de regarder défiler toutes les variétés de la domestication. C'est ce qui fait qu'il y a tant de gens sur le passage des cortèges royaux...

Extrait de "L' Homme qui rit" V. Hugo

 

Première partie : La mer et la nuit
Chapitre Un : Ursus.
Hauteville-House 1869.
 

 

Il y a quand même deux et même trois interprétations possibles...

--Les spectateurs des cortèges royaux aiment voir les valets domestiques des cortège royaux, ne se pensant pas eux mêmes domstiques

--Ils sont eux-mêmes domestiques (à admirer les rois) sans se l'avouer

-- Ils se savent eux-mêmes domestiques et jouissent de voir plus domestiques qu'eux....

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité sera-angel
Invités, Posté(e)
Invité sera-angel
Invité sera-angel Invités 0 message
Posté(e)

 

Quel visionnaire ... mais quel visionnaire ce Hugo ! Cest aussi ce que j'aime chez lui .. ses textes parlent encore aujourd'hui !

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité sera-angel
Invités, Posté(e)
Invité sera-angel
Invité sera-angel Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 3 heures, Blaquière a dit :

 

Oups erreur tel.. décidément Blaquiere mon tél te réclame :D

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
il y a 10 minutes, sera-angel a dit :

 

Quel visionnaire ... mais quel visionnaire ce Hugo ! Cest aussi ce que j'aime chez lui .. ses textes parlent encore aujourd'hui !

 

Magnifique !

Je sais que certains vont me trouver con, mais payer avec des pièces où l'on peut voir la tête du roi d'Espagne (par exemple), ça me plaît pas ! J'aime pas ça !

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé, Posté(e)
azad2B Membre 5 932 messages
Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé,
Posté(e)
il y a 18 minutes, sera-angel a dit :

Quel visionnaire ... mais quel visionnaire ce Hugo ! Cest aussi ce que j'aime chez lui .. ses textes parlent encore aujourd'hui !

Et à lire la modeste préface, une seule phrase, qu'il a choisie pour présenter le plus grand livre jamais écrit on en arrive à comprendre pourquoi certains le haïssent encore aujourd'hui.

"Tant qu’il existera, par le fait des lois et des mœurs, une damnation sociale créant artificiellement, en pleine civilisation, des enfers, et compliquant d’une fatalité humaine la destinée qui est divine ; tant que les trois problèmes du siècle, la dégradation de l’homme par le prolétariat, la déchéance de la femme par la faim, l’atrophie de l’enfant par la nuit, ne seront pas résolus ; tant que, dans de certaines régions, l’asphyxie sociale sera possible ; en d’autres termes, et à un point de vue plus étendu encore, tant qu’il y aura sur la terre ignorance et misère, des livres de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles."

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé, Posté(e)
azad2B Membre 5 932 messages
Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé,
Posté(e)
Il y a 3 heures, azad2B a dit :

qu'il a choisie

hein ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
Il y a 14 heures, azad2B a dit :

Et à lire la modeste préface, une seule phrase, qu'il a choisie pour présenter le plus grand livre jamais écrit on en arrive à comprendre pourquoi certains le haïssent encore aujourd'hui.

"Tant qu’il existera, par le fait des lois et des mœurs, une damnation sociale créant artificiellement, en pleine civilisation, des enfers, et compliquant d’une fatalité humaine la destinée qui est divine ; tant que les trois problèmes du siècle, la dégradation de l’homme par le prolétariat, la déchéance de la femme par la faim, l’atrophie de l’enfant par la nuit, ne seront pas résolus ; tant que, dans de certaines régions, l’asphyxie sociale sera possible ; en d’autres termes, et à un point de vue plus étendu encore, tant qu’il y aura sur la terre ignorance et misère, des livres de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles."

Je relève ; "la dégradation de l'homme par le prolétariat".

Ça fait réfléchir....

Le fait d'être prolétaire est-il une dégradation ? C'est considérer en qq sorte que le prolétaire esr un esclave . est-ce si faux ? C'est sûr que par mon travail, je vis un peu à part.... Mais en ce moment, quand je vois les gens qui se plaignent de ne pas pouvoir aller travailler à cause des grèves, il m'arrive de penser qu'ils sont mécontents qu'on les force à sortir de leur condition d'esclaves.

Je me souviens d'avoir lu que la grande erreur de Marx était de penser que la "Révolution" viendrait du prolétariat industriel. Et de fait, la Révolution n'a jamais "gagné" (temporairement du moins) que dans des pays d'économie majoritairement agricole  : La Russie, la Chine, Cuba....: Ou même le Vietnam...

Je me souviens de mon grand père. Paysan. Certes il n'était pas ouvrir agricole mais au départ petit propriétaire : il était comme un roi sur ses terres : indépendant ! Pas une mentalité d'esclave.  de servitude qu'il aurait voulu conserver. Et bien sûr, la disparition de la petite paysannerie, et l'asservissement de la  moyenne et de la grande par les subvention européennes a permis en partie d'éliminer les risques de révolution de ce côté là. Je crois.

S'il était vrai que tout être tende à persévérer dans son être, le prolétariat '(ndustriel) VOUDRAIT donc en quelque sorte rester... le prolétariat... rester esclave...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
Le 17/12/2019 à 21:18, Tequila Moor a dit :

Je m'offre à chacun comme sa récompense ;
Je vous la donne même avant que vous l'ayez méritée.

Il y a quelque chose en moi,
Au fond de moi, au centre de moi,
Quelque chose d'infiniment aride
Comme le sommet des plus hautes montagnes ;

Quelque chose de comparable au point mort de la rétine, 
Et sans écho,
Et qui pourtant voit et entend ; 

Un être ayant une vie propre, et qui, cependant, 
Vit toute ma vie, et écoute, impassible, 
Tous les bavardages de ma conscience ;

Un être fait de néant, si c'est possible,
Insensible à mes souffrances physiques,
Qui ne pleure pas quand je pleure,
Qui ne rit pas quand je ris,
Qui ne rougit pas quand je commets une action honteuse, 
Et qui ne gémit pas quand mon cœur est blessé ;

Qui se tient immobile et ne donne pas de conseils, 
Mais semble dire éternellement :

« Je suis là, indifférent à tout. »

C'est peut-être du vide comme est le vide,
Mais si grand que le Bien et le Mal ensemble
Ne le remplissent pas.

La haine y meurt d'asphyxie,
Et le plus grand amour n'y pénètre jamais.

Prenez donc tout de moi : le sens de ces poèmes, 
Non ce qu'on lit, mais ce qui paraît au travers malgré moi.
Prenez, prenez, vous n'avez rien.

Et où que j'aille, dans l'univers entier. 
Je rencontre toujours, 
Hors de moi comme en moi, 

L'irremplissable Vide,

L'inconquérable Rien.
 

"Le don de soi-même", Valéry Larbaud

 

Parce qu'il exprime, mieux que de nombreux philosophes, l'idée que ce qui est nous-même n'est pas nôtre, que ce que nous croyons être notre identité ou notre conscience n'est qu'un leurre, qu'il se cache quelque chose derrière.

Mais ce quelque chose, malheureusement, est un inconnaissable, il ne nous sera jamais permis de le connaître. Et ce quelque chose, heureusement, est un vide, bien moins encombrant qu'une âme, nous pouvons nous permettre de le voir comme un rien. Puis ce quelque chose, enfin, est nôtre mais tout autant vôtre : il ne peut que se donner s'il ne nous appartient pas...

Larbaud laisse même de la place au lecteur pour se faire son interprétation, ce qui le paradoxe le plus approprié quand on veut parler de ce qui est propre à chacun tout en étant à tous commun.

Je pourrais presque dire

Que c'est le temps,

Le temps qui est en moi

C'est ce temps qui n'est rien

Et qui se rit de tout...

Qui retient

Et qui oublie tout....

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Les chansons les plus courtes. 
 

L’oiseau qui chante dans ma tête

Et me répète que je t’aime

Et me répète que tu m’aimes

L’oiseau au fastidieux refrain

Je le tuerai demain matin. 
 

J. Prévert. 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

@Blaquière celui-là devrait te plaire. 

Le lézard

 

Le lézard de l’amour

S’est enfui encore une fois

Et ma laissé sa queue entre les doigts

C’est bien fait

J’avais voulu le garder pour moi. 
 

J. Prévert

:eva:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
Guillaume_des_CS Membre 1 420 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
à l’instant, Ines Presso a dit :

@Blaquière celui-là devrait te plaire. 

Le lézard

 

Le lézard de l’amour

S’est enfui encore une fois

Et ma laissé sa queue entre les doigts

C’est bien fait

J’avais voulu le garder pour moi. 

:eva:

Brava Madam! (?) C'est de la poésie grecque antique là!... Génial!

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
il y a 1 minute, Guillaume_des_CS a dit :

Brava Madam! (?) C'est de la poésie grecque antique là!... Génial!

Oups, j’avais oublié de mettre le nom de l’auteur, c’est réparé. 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
Guillaume_des_CS Membre 1 420 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
à l’instant, Ines Presso a dit :

Oups, j’avais oublié de mettre le nom de l’auteur, c’est réparé. 

Ouarf! Alors je comprends, je l'aime beaucoup, mais le connais si peu... 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
il y a 9 minutes, Ines Presso a dit :

@Blaquière celui-là devrait te plaire. 

Le lézard

 

Le lézard de l’amour

S’est enfui encore une fois

Et ma laissé sa queue entre les doigts

C’est bien fait

J’avais voulu le garder pour moi. 
 

J. Prévert

:eva:

Merci !

Oui ! ce matin, j'ai vu un de ces gros lézards verts... Dans les trente centimètres de long ! On appelle ça un "li'mbert", ici. Mais de loin : Je l'ai plus deviné que vu.  Il avait pris sa couleurs  d’hiver et il était plus gris-marron que vert d'ailleurs !

C'est presque un animal légendaire en, Provence !

Malgré ces couillons de chats qui leur font un chasse effroyable,  il en reste encore : ça m'a fait plaisir !

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
il y a 2 minutes, Blaquière a dit :

Merci !

Oui ! ce matin, j'ai vu un de ces gros lézards verts... Dans les trente centimètres de long ! On appelle ça un "li'mbert", ici. Mais de loin : Je l'ai plus deviné que vu.  Il avait pris sa couleurs  d’hiver et il était plus gris-marron que vert d'ailleurs !

C'est presque un animal légendaire en, Provence !

Malgré ces couillons de chats qui leur font un chasse effroyable,  il en reste encore : ça m'a fait plaisir !

T’es pas réveillé ? Relis donc le poème avec attention. :p

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.


×