L'égalité : un concept pervers qui légitime les inégalités et les injustices?

il y a une heure, ÈléonoreK a dit :

@Guillaume_des_CSEh Maurice ! Tout le monde contre toi ?

Ça me donne envie de t'aider, de venir à ton secours, mon grand père me disait souvent quand j'étais petite fille : "si tout le monde te donne tort, c'est que tu as sans doute raison !".

Eh Maurice, tu sens la vie qui remue en toi ?

Ne réveille pas les gens qui dorment.

Bon ton sujet est peu pourri, mais je ne vais pas t'enfoncer, les histoires d'égalité, ça occupe les gens, ils aiment ça, c'est romantique en plus, légalité des droits tu te rend compte ? Quel rêve ! Ils n'y on fait qu'y rêver, ceux qui leur chantent cette chanson les pillent depuis des siècles pendant qu'ils dorment.

Non, ton sujet est pourri, c'est difficile de le porter à bout de bras, mais pourquoi veux-tu parler de quelque chose qui n'existe pas, qui n'a aucune chance d'exister, même pas dans les petites boules de verre avec de la neige dedans.

Bon, voyons, l'ipséité ? Ce truc qui fait qu'on est tous unique et pas indispensable ? C'est ça ?

Ben oui, c'est une évidence, on est tous "ipséitalement" ( j'emmerde ceux qui n'acceptent pas l'invention de néologismes) conçu, bon si c'est une évidence, pourquoi tant de bruits Maurice ?

Bravo ! Je n’aurais pas réussi à mieux dire. 
C’est vrai Guillaume tu  t’enfermes dans des sujets vaseux et voici qu’il est tentant de l’enfoncer dans la lise.

Haut les cœurs Guillaume, quand je vois le boulot que tu as abattu pour écrire ton manifeste j’en reste baba.

Si tu veux publier fais gaffe aux mots que tu emploies ou mets un glossaire à la fin de ton œuvre afin que l’on se familiarise avec le vocabulaire kovanien.

Au point où tu en es de ton travail il faut maintenant terminer ton œuvre en tout cas.

Il y a 1 heure, ÈléonoreK a dit :

@Guillaume_des_CSEh Maurice ! Tout le monde contre toi ?

Ça me donne envie de t'aider, de venir à ton secours, mon grand père me disait souvent quand j'étais petite fille : "si tout le monde te donne tort, c'est que tu as sans doute raison !".

Eh Maurice, tu sens la vie qui remue en toi ?

Ne réveille pas les gens qui dorment.

Bon ton sujet est peu pourri, mais je ne vais pas t'enfoncer, les histoires d'égalité, ça occupe les gens, ils aiment ça, c'est romantique en plus, légalité des droits tu te rend compte ? Quel rêve ! Ils n'y on fait qu'y rêver, ceux qui leur chantent cette chanson les pillent depuis des siècles pendant qu'ils dorment.

Non, ton sujet est pourri, c'est difficile de le porter à bout de bras, mais pourquoi veux-tu parler de quelque chose qui n'existe pas, qui n'a aucune chance d'exister, même pas dans les petites boules de verre avec de la neige dedans.

Bon, voyons, l'ipséité ? Ce truc qui fait qu'on est tous unique et pas indispensable ? C'est ça ?

Ben oui, c'est une évidence, on est tous "ipséitalement" ( j'emmerde ceux qui n'acceptent pas l'invention de néologismes) conçu, bon si c'est une évidence, pourquoi tant de bruits Maurice ?

Eh... ?? Ben oui, moi je suis délibérément transparent... Il suffit n'est-ce pas de googleliser "kovanien" pour accéder à mon CV complet. Une fois là, sur le CV, il est aisé de comprendre que cette transparence est bien délibérée, n'est-ce pas? Alors je comprends mal ce que tu as, illustre anonyme, à brandir ainsi mon prénom comme si c'était un chiffon rouge?

"Tout le monde est contre toi?": je trouve que tu vas vite en besogne. Quelques enragés ne font pas le monde... En tout cas tant qu'il restera quelques hommes de bonne volonté qui sauront se dresser devant les chars...

"...pourquoi tant de bruit Maurice?": pour couvrir celui des bottes? Plus sérieusement, parce que ce n'est pas mon sujet qui est pourri... 

En tout cas, j'accepte ton aide. Et je t'en remercie. 

il y a 36 minutes, Annalevine a dit :

Guillaume tu  t’enfermes dans des sujets vaseux et voici qu’il est tentant de l’enfoncer dans la lise

Non, mon sujet n'est pas vaseux Annalevine. Par contre, il est clair comme de l'eau de roche que certains sont plus habitués à s'ébattre dans le lisier que dans l'eau de roche. D'où, immanquablement, quelques éclaboussures...

Mais penses-tu sérieusement que je ne les aie pas anticipées?

il y a 1 minute, Guillaume_des_CS a dit :

Non, mon sujet n'est pas vaseux Annalevine. Par contre, il est clair comme de l'eau de roche que certains sont plus habitués à s'ébattre dans le lisier que dans l'eau de roche. D'où, immanquablement, quelques éclaboussures...

Mais penses-tu sérieusement que je ne les aies pas anticipées?

En fait je crains un peu pour toi. Tu t’exposes vachement ici, et cela attire les attaques. Fais attention à toi tout de même. Les attaques répétées ont un effet toxique que tu ne dois pas négliger.

J’admire ton travail, car il y a un grand travail.

Je trouve que parfois tu t’enlises quand tu opposes par exemple égalité et ipséité. 

Ce que je pense c’est que tu te méfies de l’affirmation de l’égalité comme valeur et que tu penses que cette affirmation sombre parfois voire souvent dans l’inégalité. 

Je trouve que tu devrais étudier cette question autrement qu’en passant par l’ipseite. Garde ton développement sur l’ipséité dans ton œuvre bien sûr ! Mais je ne crois pas que ce soit un argument pour dénoncer les errements du principe d’égalité.

Bon courage.

Il y a 15 heures, Guillaume_des_CS a dit :

L'égalité : un concept pervers qui légitime les inégalités et les injustices? C'est ce que je pense. Je lui oppose le concept "d'ipséité".

2+3 = 4, ceci est une égalité. Il y a une équivalence posée par la pensée. Est-elle vraie ou pas ? Dans le langage courant, on parle d'égalité de l'humeur. Dans une culture, il y a des règles implicites. Elles permettent aux hommes d’anticiper, de se projeter, de se relier au monde, aux autres. Elles instituent un ordre qui est en général inégalitaire : certains hommes sont tenus pour supérieurs. Cela a un sens. En politique, on parle d'une égalité de droits. C'est le propre de la loi : elle est la même pour tous. Elle apparaît, dit-on, chez les juifs, peuple réduit en esclavage, acculturé et qui se donne sa propre loi, que depuis il interprète et comprend sans cesse. La loi, par définition, est une fabrication humaine : il n'y a pas de limite à ce que les hommes peuvent inventer. Aussi obtient-on des lois scélérates. La philosophie, chez les grecs, tentent de "ré"introduire du transcendant pour guider la fabrication des lois : le juste. Depuis l'époque moderne, l'idée d'égalité tente de jouer ce rôle directeur et il s'oppose à l'idée de liberté. C'est une dialectique. Pourquoi ? parce que la liberté postulée fait sauter tous les verrous et en particulier l'égalité comme finalité de la loi. L'égalité comme but ultime de la loi conduit à barrer la route à tous ceux qui tentent de s'approprier le monde. La liberté se nie elle-même puisque elle conduit au pur "je veux" d'un moi, forteresse vide et délirante, sans autre. L'égalité se nie elle-même car elle conduit à nier l'avenir en bloquant toutes les initiatives, à détruire les différences entre les hommes qui tentent de se distinguer les uns des autres. C'est donc un combat qui crée le dynamisme de notre "civilisation". 

Ah "les gars..litez" c est une joie que de vous lire..

mais c est sacrément pervers aussi !

Le sujet n'est pas clairement posé, il n'y a aucune véritable problématique à mon goût.

L'égalité s'oppose surtout à ... l'inégalité.

Donc prétendre lui opposer l'ipséité comme un remède à l'inégalité reste très mystérieux sinon contradictoire.

il y a 18 minutes, Quasi-Modo a dit :

Le sujet n'est pas clairement posé, il n'y a aucune véritable problématique à mon goût.

L'égalité s'oppose surtout à ... l'inégalité.

Donc prétendre lui opposer l'ipséité comme un remède à l'inégalité reste très mystérieux sinon contradictoire.

Permettez-moi de corriger un malentendu: je n'ai jamais opposé l'égalité à l'ipséité. Cette opposition (qu'on m'a prêtée dans d'autres commentaires) ne m'appartient pas. Je propose l'ipséité en lieu et place de l'égalité (politique), justement du fait de leur quasi promiscuité (à mes yeux, sur ce seul plan politique). Je suis donc totalement d'accord avec vous, les opposer serait contradictoire.

Je pense par ailleurs, que, toujours sur ce plan, l'égalité s'oppose davantage au privilège qu'à l'inégalité. Tant qu'elle est clairement mesurable, je vous suis. Mais sur le plan politique justement, l'est-elle (mesurable)? L'est-elle clairement?...

il y a 11 minutes, Guillaume_des_CS a dit :

Permettez-moi de corriger un malentendu: je n'ai jamais opposé l'égalité à l'ipséité. Cette opposition (qu'on m'a prêtée dans d'autres commentaires) ne m'appartient pas. Je propose l'ipséité en lieu et place de l'égalité (politique), justement du fait de leur quasi promiscuité (à mes yeux, sur ce seul plan politique). Je suis donc totalement d'accord avec vous, les opposer serait contradictoire.

Je pense par ailleurs, que, toujours sur ce plan, l'égalité s'oppose davantage au privilège qu'à l'inégalité. Tant qu'elle est clairement mesurable, je vous suis. Mais sur le plan politique justement, l'est-elle (mesurable)? L'est-elle clairement?...

Je me rends compte que ma réponse peut être ambiguë: en quoi l'égalité et l'ipséité peuvent être "proches" au point de parler de promiscuité (dans ce cas précis)?

La promiscuité réside (selon moi) dans le fait qu'elles décrivent toutes deux ce qui est notre ressemblance, notre point commun essentiel: à savoir... nos différences!

La première (l'égalité), les aplanit (les occulte, les normalise en les dissimulant...); la seconde (l'ipséité), les souligne au contraire. 

Raisonner l'égalité en passant par l'ipséité (prioritairement) me semble pouvoir réhabiliter l'égalité. (...)