La culture est-elle indispensable à la pensée ?

il y a 57 minutes, riad** a dit :

Nous sommes dans la rubrique philosophie, pas vrai? j'ai même pas besoins de vérifier c'est la seule rubrique ou on invente des mots pour montrer qu'on est fort en philo.

Ma démarche réfléchitielle diffère large-distanciellement de ta démarche penséelle.

(c'est bon? j'ai philosophé correctement?)
 

Un idiot qui ignore que tous les mots ont été inventés, qu'il s'en invente tous les jours.

il y a 1 minute, Annalevine a dit :

Alors le seul fait que vous restiez en France confirme ce que je pense : vous n'avez aucune dignité. Tirez vous d'ici sinon je vois mal comment vous pouvez vous regarder dans une glace sans gerber. Vous tirez la chasse d'eau sur un pays dans lequel vous vivez. Vous ne vous rendez pas compte que vous tirez ainsi les chiottes sur vous ? C'est fou le nombre d'imbéciles qui peuplent nos villes.

Tu es outrancière donc insignifiante j ai arrêté de faire mon français c est à dire attendre tout des des autres le jour ou j ai compris que ce dont j ai besoin c est à moi et à moi seul que je devais le demander 

Sur la culture française, j'ai ça : Pourquoi râlent les Français, ou de la Francheté originelle.

Sur cette question de la culture, je propose avant tout de découvrir la notion de philistinisme.

Maintenant, je demande : que serions-nous sans la culture ? ... La question des enfants sauvages a été réglée : de 0 à 3 ans, livrés à la nature, même recueillis par des bêtes soigneuses, le petit humain meurt. A partir de 3 ans, une survie est envisageable. Mais quelle survie ... Le fait est que chaque spécimen se développe harmonieusement parmi les siens. En l'absence de milieu humain, les carences intellectuelles, affectives et sociales sont irréversibles. Pour le dire avec un exemple : le personnage fictif de Tarzan n'aurait jamais pu réintégrer quelque société que se soit, ses carences humaines développementales l'ayant atrophié, sans parler du mimétisme animal intégré dans la petite enfance déterminante, au plan développemental. Au mieux, nous dirions que c'est une sacrée bête humaine, au pire, un crétin dangereux.

Mais qu'est-ce qu'un milieu humain ? ... Un milieu humain, c'est un milieu qui non seulement est composé de spécimens humains, avec mimo-gestuelle afférente (expressions du visage, communication émotionnelle, inter-identifications psychologiques sources d'empathie, etc.) mais aussi un milieu qui parle, qui raisonne et qui fabrique et manipule des artefacts, transforme et imprime sa marque sur son environnement - serait-ce en cuisinant des aliments. Autant de techniques verbales, logiques, pratiques, ustensiles, etc. qui chacune sont issues d'une constellation culturelle territorialisée, avec ses échanges et influences voisines récupéré(e)s en propre.

Bien sûr, que cela conditionne. Mais conditionner, c'est aussi se mettre en condition pour vivre. Nous ne naissons pas dans un non-lieu intemporel purifié : aucun d'entre nous n'est un prétendu dieu absolu, "petit flocon de neige merveilleux et unique" - ce qui ne signifie pas à l'inverse, que nous serions "les merdes de ce monde prêtes à servir à tout" non plus. La culture nous trame, toute une tradition ingénieuse dont nous héritons plus ou moins, selon formation parentale, sociale, professionnelle, médiatique et institutionnelle. Comprenez-moi bien : même la plus minoritaire et reculée des nations, met en place de telles mises en condition, et peut-être elle plus que nous. En effet, avec ses rites initiatiques de passages à tel ou tel âge, elle initie, justement, ce dont nous semblons manquer, bien qu'il faille nuancer en disant que nous sommes démenés par des influences démultipliées (encore que se limitant souvent entre Cyril Hanouna, Google, YouTube, Facebook et Instagram, selon). Toute une culture !

La culture nous empowers autant qu'elle nous détermine. C'est dans la dialectique de ses empowerments et de ses déterminations, que nous naviguons de façon plus ou moins (auto)critique : pas le choix. C'est ainsi qu'une grande érudition peut devenir un cache-misère en termes de subtilité de raisonnement, mais que l'absence d'érudition, non seulement limite les sujets de raisonnement, mais en plus celles d'être original en vérité, car on a d'autant plus de chance de réinventer la poudre. Alors, certes, de sniffer toutes les poudres peut parfois nous décourager d'en inventer une nouvelle, voire nous faire faire une overdose castrant notre créativité. Néanmoins, c'est là qu'il faut savoir nous rappeler que nous ne vivons pas "dans l'érudition" mais, justement, dans un milieu précis.

La seule question alors, est de savoir ce que nous pouvons y contribuer singulièrement, en propre. Pas à pas, concrètement, même grâce aux théories abstraites, car les théories ne viennent pas de nulle part et ne vise rien d'autre qu'à retourner quelque part, pour servir. Emblématiquement, les maths.

il y a 1 minute, Marzhin a dit :

Sur la culture française, j'ai ça : Pourquoi râlent les Français, ou de la Francheté originelle.

Sur cette question de la culture, je propose avant tout de découvrir la notion de philistinisme.

Maintenant, je demande : que serions-nous sans la culture ? ... La question des enfants sauvages a été réglée : de 0 à 3 ans, livrés à la nature, même recueillis par des bêtes soigneuses, le petit humain meurt. A partir de 3 ans, une survie est envisageable. Mais quelle survie ... Le fait est que chaque spécimen se développe harmonieusement parmi les siens. En l'absence de milieu humain, les carences intellectuelles, affectives et sociales sont irréversibles. Pour le dire avec un exemple : le personnage fictif de Tarzan n'aurait jamais pu réintégrer quelque société que se soit, ses carences humaines développementales l'ayant atrophié, sans parler du mimétisme animal intégré dans la petite enfance déterminante, au plan développemental. Au mieux, nous dirions que c'est une sacrée bête humaine, au pire, un crétin dangereux.

Mais qu'est-ce qu'un milieu humain ? ... Un milieu humain, c'est un milieu qui non seulement est composé de spécimens humains, avec mimo-gestuelle afférente (expressions du visage, communication émotionnelle, inter-identifications psychologiques sources d'empathie, etc.) mais aussi un milieu qui parle, qui raisonne et qui fabrique et manipule des artefacts, transforme et imprime sa marque sur son environnement - serait-ce en cuisinant des aliments. Autant de techniques verbales, logiques, pratiques, ustensiles, etc. qui chacune sont issues d'une constellation culturelle territorialisée, avec ses échanges et influences voisines récupéré(e)s en propre.

Bien sûr, que cela conditionne. Mais conditionner, c'est aussi se mettre en condition pour vivre. Nous ne naissons pas dans un non-lieu intemporel purifié : aucun d'entre nous n'est un prétendu dieu absolu, "petit flocon de neige merveilleux et unique" - ce qui ne signifie pas à l'inverse, que nous serions "les merdes de ce monde prêtes à servir à tout" non plus. La culture nous trame, toute une tradition ingénieuse dont nous héritons plus ou moins, selon formation parentale, sociale, professionnelle, médiatique et institutionnelle. Comprenez-moi bien : même la plus minoritaire et reculée des nations, met en place de telles mises en condition, et peut-être elle plus que nous. En effet, avec ses rites initiatiques de passages à tel ou tel âge, elle initie, justement, ce dont nous semblons manquer, bien qu'il faille nuancer en disant que nous sommes démenés par des influences démultipliées (encore que se limitant souvent entre Cyril Hanouna, Google, YouTube, Facebook et Instagram, selon). Toute une culture !

La culture nous empowers autant qu'elle nous détermine. C'est dans la dialectique de ses empowerments et de ses déterminations, que nous naviguons de façon plus ou moins (auto)critique : pas le choix. C'est ainsi qu'une grande érudition peut devenir un cache-misère en termes de subtilité de raisonnement, mais que l'absence d'érudition, non seulement limite les sujets de raisonnement, mais en plus celles d'être original en vérité, car on a d'autant plus de chance de réinventer la poudre. Alors, certes, de sniffer toutes les poudres peut parfois nous décourager d'en inventer une nouvelle, voire nous faire faire une overdose castrant notre créativité. Néanmoins, c'est là qu'il faut savoir nous rappeler que nous ne vivons pas "dans l'érudition" mais, justement, dans un milieu précis.

La seule question alors, est de savoir ce que nous pouvons y contribuer singulièrement, en propre. Pas à pas, concrètement, même grâce aux théories abstraites, car les théories ne viennent pas de nulle part et ne vise rien d'autre qu'à retourner quelque part, pour servir. Emblématiquement, les maths.

Vous, je vous soupçonne d'être payé pour intervenir.

Payé au mot écrit.

Vous lire me donne mal à la tête, donc je ne vous lis pas.

il y a 57 minutes, Annalevine a dit :

Et alors ? Doit on se soumettre à la culture dominante ?  Vous développez une mentalité d'esclave. Le Français, dans sa mémoire émotionnelle sait qu'il n'est pas un esclave. Et je me dis, et si c'était cela le trouble actuel français ? Ce balancement entre la servitude que vous défendez et qui n'est pas le génie français et la fierté d'une culture originale et solitaire qui je pense est justement le génie français ?

Bref nous balançons entre le chien que vous désirez être et le lion que nous désirons rester être.

Là tu m'épates !

il y a 9 minutes, Marzhin a dit :

Sur la culture française, j'ai ça : Pourquoi râlent les Français, ou de la Francheté originelle.

Sur cette question de la culture, je propose avant tout de découvrir la notion de philistinisme.

Maintenant, je demande : que serions-nous sans la culture ? ... La question des enfants sauvages a été réglée : de 0 à 3 ans, livrés à la nature, même recueillis par des bêtes soigneuses, le petit humain meurt. A partir de 3 ans, une survie est envisageable. Mais quelle survie ... Le fait est que chaque spécimen se développe harmonieusement parmi les siens. En l'absence de milieu humain, les carences intellectuelles, affectives et sociales sont irréversibles. Pour le dire avec un exemple : le personnage fictif de Tarzan n'aurait jamais pu réintégrer quelque société que se soit, ses carences humaines développementales l'ayant atrophié, sans parler du mimétisme animal intégré dans la petite enfance déterminante, au plan développemental. Au mieux, nous dirions que c'est une sacrée bête humaine, au pire, un crétin dangereux.

Mais qu'est-ce qu'un milieu humain ? ... Un milieu humain, c'est un milieu qui non seulement est composé de spécimens humains, avec mimo-gestuelle afférente (expressions du visage, communication émotionnelle, inter-identifications psychologiques sources d'empathie, etc.) mais aussi un milieu qui parle, qui raisonne et qui fabrique et manipule des artefacts, transforme et imprime sa marque sur son environnement - serait-ce en cuisinant des aliments. Autant de techniques verbales, logiques, pratiques, ustensiles, etc. qui chacune sont issues d'une constellation culturelle territorialisée, avec ses échanges et influences voisines récupéré(e)s en propre.

Bien sûr, que cela conditionne. Mais conditionner, c'est aussi se mettre en condition pour vivre. Nous ne naissons pas dans un non-lieu intemporel purifié : aucun d'entre nous n'est un prétendu dieu absolu, "petit flocon de neige merveilleux et unique" - ce qui ne signifie pas à l'inverse, que nous serions "les merdes de ce monde prêtes à servir à tout" non plus. La culture nous trame, toute une tradition ingénieuse dont nous héritons plus ou moins, selon formation parentale, sociale, professionnelle, médiatique et institutionnelle. Comprenez-moi bien : même la plus minoritaire et reculée des nations, met en place de telles mises en condition, et peut-être elle plus que nous. En effet, avec ses rites initiatiques de passages à tel ou tel âge, elle initie, justement, ce dont nous semblons manquer, bien qu'il faille nuancer en disant que nous sommes démenés par des influences démultipliées (encore que se limitant souvent entre Cyril Hanouna, Google, YouTube, Facebook et Instagram, selon). Toute une culture !

La culture nous empowers autant qu'elle nous détermine. C'est dans la dialectique de ses empowerments et de ses déterminations, que nous naviguons de façon plus ou moins (auto)critique : pas le choix. C'est ainsi qu'une grande érudition peut devenir un cache-misère en termes de subtilité de raisonnement, mais que l'absence d'érudition, non seulement limite les sujets de raisonnement, mais en plus celles d'être original en vérité, car on a d'autant plus de chance de réinventer la poudre. Alors, certes, de sniffer toutes les poudres peut parfois nous décourager d'en inventer une nouvelle, voire nous faire faire une overdose castrant notre créativité. Néanmoins, c'est là qu'il faut savoir nous rappeler que nous ne vivons pas "dans l'érudition" mais, justement, dans un milieu précis.

La seule question alors, est de savoir ce que nous pouvons y contribuer singulièrement, en propre. Pas à pas, concrètement, même grâce aux théories abstraites, car les théories ne viennent pas de nulle part et ne vise rien d'autre qu'à retourner quelque part, pour servir. Emblématiquement, les maths.

Ça fait un peu prêche d'un curé du haut de sa chaire.

il y a 5 minutes, Blaquière a dit :

Là tu m'épates !

D'autant plus que je suis souvent critique avec les Français, mais là ça dépasse les bornes ! Merde la France c'est mon pays tout de même !

il y a 10 minutes, ÈléonoreK a dit :

Vous, je vous soupçonne d'être payé pour intervenir.

Payé au mot écrit.

Vous lire me donne mal à la tête, donc je ne vous lis pas.

il y a 2 minutes, Annalevine a dit :

Ça fait un peu prêche d'un curé du haut de sa chaire.

Bande d'ostracistes.

il y a 10 minutes, ÈléonoreK a dit :

Un idiot qui ignore que tous les mots ont été inventés, qu'il s'en invente tous les jours.

HA non ! Il est parfait Riad ! Ca va loin ce qu'il dit ! Il est pile dans le sujet ! Comme s'il suffisait de parler anglais ou d'inventer un mot pour mieux comprendre. Dans 30 ans, la langue officielle des USA sera sans doute l'espagnol... Niti est presque déjà en retard...

Moi meilleur hispanisant qu'anglicisant , je serais pile dans le coup ! Merde, dans 30 ans je serai mort, pas de bol J'étais trop en avance !

à l’instant, Blaquière a dit :

HA non ! Il est parfait Riad ! Ca va loin ce qu'il dit ! Il est pile dans le sujet ! Comme s'il suffisait de parler anglais ou d'inventer un mot pour mieux comprendre. Dans 30 ans, la langue officielle des USA sera sans doute l'espagnol... Niti est presque déjà en retard...

Moi meilleur hispanisant qu'anglicisant , je serais pile dans le coup ! Merde, dans 30 ans je serai mort, pas de bol J'étais trop en avance !

Ma remarque ne portait pas sur cela.

Et puis vous savez, moi, je vous traite d'idiot un instant et l'instant suivant je vous aime.

il y a 4 minutes, Marzhin a dit :

Bande d'ostracistes.

Ne boude pas @Marzhin. On t'aime bien quand même. Mais il faut avouer que la concision n'est pas ton fort!

il y a 15 minutes, ÈléonoreK a dit :

Vous, je vous soupçonne d'être payé pour intervenir.

Payé au mot écrit.

Vous lire me donne mal à la tête, donc je ne vous lis pas.

Pourtant c'est lui qui colle le plus prés au sujet ( mais on peut encore faire plus prés )

@Marzhin  quel bel homme !

Niti a entraîné les autres dans un débat pour personnes aux petits pieds.

il y a 3 minutes, Aruna a dit :

Ne boude pas @Marzhin. On t'aime bien quand même. Mais il faut avouer que la concision n'est pas ton fort!

En toute amabilité : le développement ni la méditation, les vôtres. Mais si je ne vous aimais pas, je ne serais pas là.

il y a 1 minute, Aruna a dit :

Ne boude pas @Marzhin. On t'aime bien quand même. Mais il faut avouer que la concision n'est pas ton fort!

Finalement, je suis bête ! Irrémédiablement bête !

Je ris à tout ça et j'ai même pas lu son pavé, ça m'a fait peur....

Tiens un sujet : a-t-on conscience, peut-on reconnaître sa propre bêtise ?

à l’instant, hell-spawn a dit :

Pourtant c'est lui qui colle le plus prés au sujet ( mais on peut encore faire plus prés )

@Marzhin  quel bel homme !

Niti a entraîné les autres dans un débat pour personnes aux petits pieds.

C'est votre droit d'aimer les hommes.

Mais attendez de l'avoir réellement vu avant de déclamer qu'il est beau.

il y a 1 minute, ÈléonoreK a dit :

C'est votre droit d'aimer les hommes.

Mais attendez de l'avoir réellement vu avant de déclamer qu'il est beau.

Quelle pitié.

il y a 1 minute, Blaquière a dit :

Finalement, je suis bête ! Irrémédiablement bête !

Je ris à tout ça et j'ai même pas lu son pavé, ça m'a fait peur....

Tiens un sujet : a-t-on conscience, peut-on reconnaître sa propre bêtise ?

Oui mais jamais si vite, elle a besoin de temps pour se laisser reconnaître, je parie que vous en avez oublié des morceaux dans recoins de votre psychée.

il y a 1 minute, Marzhin a dit :

Quelle pitié.

Je ne connais pas la pitié. Je suis née ainsi.

il y a 4 minutes, hell-spawn a dit :

Pourtant c'est lui qui colle le plus prés au sujet ( mais on peut encore faire plus prés )

@Marzhin  quel bel homme !

Niti a entraîné les autres dans un débat pour personnes aux petits pieds.

Celui-là alors ! Il attend que tout le monde se soit déclaré pour ramasser la mise et dire : c’est moi la plus grosse bite. Bon sang qu’il nous la trouve sa femme et qu’il arrête de nous emmerder avec son impuissance illuminative.

il y a 1 minute, ÈléonoreK a dit :

Oui mais jamais si vite, elle a besoin de temps pour se laisser reconnaître, je parie que vous en avez oublié des morceaux dans recoins de votre psychée.

Je pense à Gainsbourg :

"Parfois je me prend le droit d'être con !"

il y a 1 minute, Annalevine a dit :

Celui-là alors ! Il attend que tout le monde se soit déclaré pour ramasser la mise et dire : c’est moi la plus grosse bite. Bon sang qu’il nous la trouve sa femme et qu’il arrête de nous emmerder avec son impuissance illuminative.

il y a 4 minutes, ÈléonoreK a dit :

Je ne connais pas la pitié. Je suis née ainsi. 

Quelle pitié.

il y a 30 minutes, Loufiat a dit :

L'opposition est absurde. Un esprit vif et avide se nourrit de tout dans sa réalisation. Il se cultive. Un esprit qui tourne en rond tourne en rond, aussi chargé de connaissances soit-il. Il est seulement, éventuellement, plus présomptueux ou plus capable de donner le change. Mais ça s'arrête là.

Pas du tout absurde !

On assiste de plus en plus a une spécialisation des esprits, un compartimentage.

Et également a un certain mépris de la culture, la vraie celle des livres  ( merci internet )

Beaucoup de gens se pensent cultivés parce qu'ils peuvent consulter a tout moment wiki et compagnie, comme si c'était la une excroissance de leur cerveau.

Et ne font aucun complexes quand il s'agit de se lancer dans le domaine de la pensée.

Tout le monde s'exprime sur internet: le bon et le moins bon sont confondus.

La question est de savoir si sans culture ( ou a peu prés ) on peut ne pas tourner en rond ? ( ce qui ne veut pas dire que la culture nous en préserve forcément )