La déconnexion écologique !

Je viens de lire une lettre humoristique d'un papa à son fils fan de Greta.

Je vous en recommande la lecture (surtout si vous avez des enfants fan de la demoiselle) pour vous mettre de bonne humeur pour toute la journée :

https://www.contrepoints.org/2019/10/21/356158-tu-seras-un-homme-eco-responsable-mon-fils?utm_source=Newsletter+Contrepoints&utm_campaign=06ec6ca114-Newsletter_auto_Mailchimp&utm_medium=email&utm_term=0_865f2d37b0-06ec6ca114-113928313&mc_cid=06ec6ca114&mc_eid=b615e9122c

Contrepoints est un journal d'inspiration libérale administré par une association de libéraux (de capitalistes si vous préférez), lié à d'autres médias libéraux d'ici ou d'ailleurs. Pas étonnant qu'ils n'aiment pas Greta Thunberg qui remet en question les effets du capitalisme. Du reste, le papa de ce garçon sera cané quand les méfaits de la dégradation de l'environnement se feront brutalement ressentir, donc qu'est-ce qu'il en a à foutre, au fond ? Il peut en rigoler avant d'aller bouffer le pissenlit par la racine, même s'il y a des pesticides dedans ça ne lui fera plus rien.

j'ai lu l'article et il est intéressant car il permet de se remettre en question sur nos propres habitudes de consommation et d'autre part cet effet de mode pour l'écologie, au fond sait-on vraiment ce que c'est?

Lettre réelle ou certainement écrite par l'un de ces animateurs sociaux de 'contrepoint' sans intérêt. Je ne parle pas de la lettre. Celle-ci tombe dans la manichéisme le plus sot et réac' : l'attention à des questions environnementales face à la propre éducation dispensée par un père fictif ou réel qu'il refuserait donc de se remettre en question, se défaussant sur sa progéniture manifestement un peu moins conne que lui.

Moi aussi j'aime bien cette lettre même si elle est écrite selon la circonstance.

Elle décrit particulièrement bien ma jeunesse où la fammille sans eau courante, ni douche, ni téléphone, ni TV, ni voiture, nous allions chercher du bois pour alimenter la cuisinière. J'ai vu arriver le réfrigérateur quand j'avais 15 ans et l'eau au robinet l'été d'après mon bac quand je suis parti en fac. J'allais au collège puis au lycée en vélo matin et soir en parcourant 6 km à chaque fois et par tous les temps. Nous n'achètions presque jamais de viande de boucherie mais on mangeait des lapins, des volailles et un cochon que nous nourissions avec les produits du grand jardin travaillé à la main.

Voilà ce que fut ma jeunesse à la campagne jusque vers 1960. Après, il y a eu une accélération des éléments de confort mais je n'étais plus chez mes parents.

Donc à tous ceux qui n'imaginent pas vivre sans téléphone, sans TV, sans bagnole et sans internet, oui cela se peut quand même et je crois qu'au final on vit mieux au plan mental. Donc malgré ma bonne retraite, il me plait de vivre avec modestie dans le quotidien. Les écolos ne m'intéressent pas avec leurs grandes théories fumeuses. Qu'ils commencent à vivre avec une grande parcimonie de moyens matériels, ça leur fera du bien au mental.

il y a 5 minutes, Répy a dit :

Moi aussi j'aime bien cette lettre même si elle est écrite selon la circonstance.

Elle décrit particulièrement bien ma jeunesse où la fammille sans eau courante, ni douche, ni téléphone, ni TV, ni voiture, nous allions chercher du bois pour alimenter la cuisinière. J'ai vu arriver le réfrigérateur quand j'avais 15 ans et l'eau au robinet l'été d'après mon bac quand je suis parti en fac. J'allais au collège puis au lycée en vélo matin et soir en parcourant 6 km à chaque fois et par tous les temps. Nous n'achètions presque jamais de viande de boucherie mais on mangeait des lapins, des volailles et un cochon que nous nourissions avec les produits du grand jardin travaillé à la main.

Voilà ce que fut ma jeunesse à la campagne jusque vers 1960. Après, il y a eu une accélération des éléments de confort mais je n'étais plus chez mes parents.

Donc à tous ceux qui n'imaginent pas vivre sans téléphone, sans TV, sans bagnole et sans internet, oui cela se peut quand même et je crois qu'au final on vit mieux au plan mental. Donc malgré ma bonne retraite, il me plait de vivre avec modestie dans le quotidien. Les écolos ne m'intéressent pas avec leurs grandes théories fumeuses. Qu'ils commencent à vivre avec une grande parcimonie de moyens matériels, ça leur fera du bien au mental.

Oui tu sais te passer de beaucoup de choses et revenir aux "  fondamentaux " sauf que tu utilises du roundup ( tu l’as dit sur ce forum, et tu es un défenseur de son utilisation ) pour ton jardin, donc faire la leçon aux autres est malvenue. 

il y a une heure, Ines Presso a dit :

Oui tu sais te passer de beaucoup de choses et revenir aux "  fondamentaux " sauf que tu utilises du roundup ( tu l’as dit sur ce forum, et tu es un défenseur de son utilisation ) pour ton jardin, donc faire la leçon aux autres est malvenue. 

Je n'ai jamais mis du roundup dans mon jardin potager !

J'en mettais le long des clôtures grillagées pour tuer le liseron qui grimpait dedans et sur les 50 m² d'un sol en dallage opus incertum pour tuer les herbes dans les interstices.

J'ajoute que les dangers du glyphosate ne sont pas proportionnels au tapage médiatique fait à son sujet. Un grand nombre de molécules de pesticides sont beaucoup plus dangereuses pour l'environnement tant par leur toxicité que par leur rémanence.

Mais voilà les médias et les écolos aux connaissances de biochimie rudimentaires ou inexistantes font une fixation sur le roundup surtout parce qu'il a été développé par Monsanto.

il y a une heure, Répy a dit :

Moi aussi j'aime bien cette lettre même si elle est écrite selon la circonstance.

Elle décrit particulièrement bien ma jeunesse où la fammille sans eau courante, ni douche, ni téléphone, ni TV, ni voiture, nous allions chercher du bois pour alimenter la cuisinière. J'ai vu arriver le réfrigérateur quand j'avais 15 ans et l'eau au robinet l'été d'après mon bac quand je suis parti en fac. J'allais au collège puis au lycée en vélo matin et soir en parcourant 6 km à chaque fois et par tous les temps. Nous n'achètions presque jamais de viande de boucherie mais on mangeait des lapins, des volailles et un cochon que nous nourissions avec les produits du grand jardin travaillé à la main.

Voilà ce que fut ma jeunesse à la campagne jusque vers 1960. Après, il y a eu une accélération des éléments de confort mais je n'étais plus chez mes parents.

Donc à tous ceux qui n'imaginent pas vivre sans téléphone, sans TV, sans bagnole et sans internet, oui cela se peut quand même et je crois qu'au final on vit mieux au plan mental. Donc malgré ma bonne retraite, il me plait de vivre avec modestie dans le quotidien. Les écolos ne m'intéressent pas avec leurs grandes théories fumeuses. Qu'ils commencent à vivre avec une grande parcimonie de moyens matériels, ça leur fera du bien au mental.

   Je me reconnais bien dans ce que tu écris . J' aurais carrément pu écrire la même chose .

Sauf que toi tu as tout de même pu faire de bonnes études , alors que moi et mon frère (presque jumeau , nous avons 11 mois de différence) nous avons dû bosser très jeune , justement pour que ceux qui nous ont suivi puissent étudier , eux .

Moi , itou , pour une vie modeste et sans prise de tête intello-écolo-gauchardière .

il y a une heure, Ines Presso a dit :

Oui tu sais te passer de beaucoup de choses et revenir aux "  fondamentaux " sauf que tu utilises du roundup ( tu l’as dit sur ce forum, et tu es un défenseur de son utilisation ) pour ton jardin, donc faire la leçon aux autres est malvenue. 

   Que ça en est tout de même risible ...

Tu accuses les gens d' avoir utilisé roundup , comme si ils étaient coupable d' un crime . Tout le monde ou presque en à utilisé un jour ou l' autre . D' autant qu' il n'a toujours pas été prouvé qu' il est véritablement toxique .

Dans mon entreprise ( une importante graineterie plus une jardinerie plus une grosse boutique attenante de pêche et chasse) j' en ai vendu de très grosses quantités de roundup . J' en ai bien sur utilisé dans mes allées mais pas dans mon potager ou bien avant le mouvement écolo (auquel je ne participe pas) je ne mettais aucun traitement ou presque . pourtant j' avais tout ce que je voulais à portée de main .

Les avis ont l'air très partagés ! La jeunesse de quelques uns a ressemblé à la mienne, question de génération et de bonne mémoire !

Je suis certaine que le père craquera avant le fils….

Même les générations qui ont connu des temps nettement plus durs auraient du mal à se passer du confort moderne énergivore...

Je me vois mal refaire la lessive à la main, n'avoir qu'un écran vide pour le téléviseur ou l'ordinateur sur un très long terme...