Pauvres bêtes, animaux des cirques

Qu'attendent les flamboyants Macron et Philippe pour prendre des mesures justes ?

On ferait bien de les échanger contre ces pauvres bestioles innocentes. Et leur adjoindre les Grimaldi !

Le Télégramme de Brest en ligne. 25/7/2019.

"Suite à un recours de l’association de défense des cirques de famille et la fédération des cirques de tradition, une délibération des élus de La Chèze (22) interdisant l’accueil dans la commune des cirques avec animaux sauvages, a été annulée par le tribunal administratif de Rennes.

Il est interdit pour un maire ou un conseil municipal d’interdire l’accueil des cirques avec animaux sauvages : tel est le sens du jugement rendu ce lundi 22 juillet par le tribunal administratif de Rennes qui a annulé une délibération adoptée le 23 mars 2018 par le conseil municipal de la commune de La Chèze (22). Les élus avaient motivé cette interdiction par des « risques d’atteinte à l’ordre public résultant du non-respect par les cirques exploitant des animaux sauvages des normes minimales visant à satisfaire aux impératifs biologiques de chaque espèce ». Ainsi que « par la nécessité de garantir la moralité publique dans la mesure où la mise en spectacle d’animaux sauvages ou de certains animaux domestiques dans des conditions incompatibles avec leurs besoins biologiques et leur habitat constitue une atteinte aux valeurs de respect de la nature et de l’environnement protégés par notre constitution »

Pour le tribunal administratif, une telle délibération « constitue une mesure de police » qui ne relève exclusivement que du maire et non de l’ensemble du conseil municipal. Elle est donc inapplicable. Et même si le maire avait pris cette interdiction, celui-ci n’est « pas compétent pour édicter une telle mesure » qui ne rentre pas dans le cadre de ses pouvoirs de police que lui accorde l’article L.2212-2 du Code général des collectivités territoriales. La commune de La Chèze devra verser 1 500 euros à l’association de défense des cirques de famille et la fédération des cirques de tradition au titre du remboursement de leurs frais de justice.."

Mais la cause avance: ce ne sont là que les ultimes soubresaut des kékés qui espèrent revenir à la situation d'asservissement total des animaux, ce qui n'est plus possible. Encore quelques temps et ces cirques seront interdits. L'opinion ne les acceptent plus. Et vu le % des animalistes aux dernières élections, c'est désormais un poids qui peut faire différence dans une élection...

pauvres animaux !!! vivre en cage !!!!!!!!

et maintenant ,avec des températures de 40 e  , couic !!!!!!!!!!