Comment peut-on vivre au quotidien avec un rabat-joie psychorigide ?

il y a 6 minutes, sovenka a dit :

Que quelqu'un apprécie le rangement, passe encore, mais baiser la lumière éteinte, good God ! Mais fuyez !

et la lumière semi-éteinte, semi-allumée ?

il y a 1 minute, sovenka a dit :

Et ceux qui même après quarante ans de mariage ne s'autorisent de faire crac-crac que le vendredi soir parce que Jésus est mort un vendredi et que c'est un jour impur ?  Sérieux ça existe !

Moi j'ai pas ce problème, je 100% impur, je peux baiser tous les jours sans risque 

à l’instant, Crève a dit :

et la lumière semi-éteinte, semi-allumée ?

En couple tout est à essayer : éteinte, tamisée, lumière cru, rayon de pleine lune, chandelles...

il y a une heure, Imaginaerum a dit :

Mais j'ai rencontré une personne comme ça, et je me disais mon dieu comme je plains sa conjointe et après je me suis dit, si ça se trouve, c'est supportable de vivre avec quelqu'un d'opposé à soi.... Je me rends pas compte

C'est supportable tant que chacun exprime ses manies sans reprocher à l'autre de faire autrement, sans même en être frustré tant qu'à faire. Sinon c'est évident que vivre avec son opposé qui nous critique ou qu'on critique en permanence, ça semble une très très mauvaise idée qui pue rapidement la rancœur.  

On peut reprocher beaucoup de choses à l'autre, mais soi, est on parfait???

Il y a 16 heures, Crève a dit :

au point que les anses des tasses à café soient orientées toutes dans le même sens, c'est de la maniaquerie.

non, c'est juste que c'est plus joli. Quand tu vas dans un restaurant ou dans un bar, tu verras que les tasses sont toujours rangées ainsi, notamment parce que ça permet d'en ranger plus 

Il y a 16 heures, sovenka a dit :

En couple tout est à essayer : éteinte, tamisée, lumière cru, rayon de pleine lune, chandelles...

Pour la chandelle, il faut quand même une certaine souplesse hein ...

Il y a 19 heures, Imaginaerum a dit :

Hormis l'être soi-même, comment supporter la vie avec un rabat-joie psychorigide ?

Il suffit de l'empailler.

Il y a 2 heures, Tequila Moor a dit :

Il suffit de l'empailler.

de son vivant ? 

Il y a 2 heures, Imaginaerum a dit :

de son vivant ? 

Les spécialistes s'accordent pour dire que c'est possible. Seul problème : c'est douloureux, et ça dure longtemps... Et comme on parle ici de gens qui ont tendance à râler pour tout et rien, ils risquent de redoubler de verbiage nauséeux si on les empaille vivants.

Par conséquent, qui désire vraiment le silence prendra la peine de zigouiller son/sa rabat-joie psychorigide avant toute taxidermie en amateur.

il y a 43 minutes, Tequila Moor a dit :

Les spécialistes s'accordent pour dire que c'est possible. Seul problème : c'est douloureux, et ça dure longtemps... Et comme on parle ici de gens qui ont tendance à râler pour tout et rien, ils risquent de redoubler de verbiage nauséeux si on les empaille vivants.

Par conséquent, qui désire vraiment le silence prendra la peine de zigouiller son/sa rabat-joie psychorigide avant toute taxidermie en amateur.

C'est un sage conseil, merci

il y a une heure, Lucky Chloe a dit :

Bonjour,

De plus, on dit que les opposés s’attirent

les aimants, mais pas les amants ;

on dit aussi que qui se ressemble s'assemble. donc finalement tout le monde attire tout le monde, les opposés comme les ressemblants !

Plus on est proche de quelqu'un plus on est exposé à ses éventuelles ondes négatives. Soit la relation est constructive et contribue au progrès respectif, soit, si les ennuis persistent malgré la communication, la relation peut éventuellement perdurer grâce au seuil de tolérance, dépendant du positif faisant la contrepartie et de l'ampleur du problème. En tout cas faire des chichis empoisonne plus l'existence qu'ils ne la perfectionnent. Le perfectionnisme peut être utile, voire même précieux, s'il reste modéré et pas trop envahissant, s'il tient assez compte de l'ensemble de la situation et pas exagérément de certains détails secondaires, y compris dans le jugement d'autrui. (Cependant parfois faire trop de manières feint le perfectionnisme mais cache en réalité des tentatives d'humiliation, de domination, par un abus de critiques et d'exigences qui sont alors surtout des prétextes visant une cible, voire un souffre-douleur. Ou alors il peut s'agir aussi de se rassurer sur son aptitude à exercer un contrôle par des actions superflues, insignifiantes, mais facilement réussies, une forme de diversion fuyant ou renâclant la confrontation à des efforts prioritaires mais plus compliqués.) Quant à la pudeur, au-delà des conventions sociales, elle peut varier en fonction du degré d'estime de soi et de confiance. Et pour s'affirmer correctement il faut à la fois se connaître sous un jour réellement admirable (et non pas faussement) et savoir se valoriser.

Je te passe ma femme .