Faut-il respecter les choix de ses enfants?

Julie, 23 ans, vit dans un petit studio, fait ses courses dans les hard discounts, et ne part jamais en vacances. 

Sa mère? C’est une brillante avocate passionnée de photo. Elle a transmise sa passion à sa fille et lui a offert son premier réflexe pour ses 18 ans. Julie a décidé de faire de sa passion...son métier. Elle a donc abandonné ses études de droit et s’est lancée à son compte, dans la photographie. Marché très compétitif, manque d’expérience, faible notoriété...Son business ne décolle pas et Julie vit comme une vraie gilet jaune (avec toutes les revendications qui vont avec). Elle vient donc réclamer (mendier) chaque mois, un peu d’argent à sa mère tout en la maudissant un peu plus, chaque jour.

A qui la faute? Les parents, la conseillère scolaire et la psychologue qui ont poussé Julie à «aller au bout de ses passions »? On sait ce que valent les psychologues et les conseillers sociaux d’aujourd’hui qui prônent la « liberté » et « l’écoute de ses ressentis »  mais comment un parent peut-il pousser son enfant à exercer un sous-métier, dans le contexte économique difficile dans lequel on se trouve?

Vous qui êtes frustrés par votre job, avec du du recul, auriez-vous souhaité être davantage poussé dans vos études? Auriez-vous souhaiter aller au delà du bac, de la licence?

A choisir, je préfère me lever chaque matin en étant contente d’aller travailler, quitte à vivre un peu plus chichement, que de faire quelque chose qui ne me plait pas et me bousille la santé mentale juste pour vivre dans le luxe. 

(évidemment être riche en faisant quelque chose qui nous plait c’est encore mieux ) 

à l’instant, Kahori a dit :

A choisir, je préfère me lever chaque matin en étant contente d’aller travailler, quitte à vivre un peu plus chichement, que de faire quelque chose qui ne me plait pas et me bousille la santé mentale juste pour vivre dans le luxe. 

(évidemment être riche en faisant quelque chose qui nous plait c’est encore mieux ) 

Ah je n’avais pas pensé à toi la rouquine.

Dans cette histoire, Julie vit dans la frustration...

C'est un peu facile de toujours tout mettre sur le dos des parents, non ? Elle n'est pas débile, cette fille, elle devait savoir que ce serait pas facile, elle a choisi: à elle d'assumer. Elle maudit sa mère, mais pas son argent visiblement..

il y a 1 minute, BELUGA a dit :

C'est un peu facile de toujours tout mettre sur le dos des parents, non ? Elle n'est pas débile, cette fille, elle devait savoir que ce serait pas facile, elle a choisi: à elle d'assumer. Elle maudit sa mère, mais pas son argent visiblement..

Tu penses que tous les sous-métiers devraient donc assumer leur condition?

il y a 1 minute, Vilaine a dit :

Ah je n’avais pas pensé à toi la rouquine.

Dans cette histoire, Julie vit dans la frustration...

En tant que parents, si mes enfants veulent se lancer dans ce genre de carrière je les préviendrais de la difficulté de faire son trou. A partir du moment où on sait où on met les pieds, y’a plus de raison d’être frustré puisque c’est un choix conscient  

il y a 2 minutes, Vilaine a dit :

Tu penses que tous les sous-métiers devraient donc assumer leur condition?

ceux qui ont choisi, oui.

il y a 4 minutes, Vilaine a dit :

Tu penses que tous les sous-métiers devraient donc assumer leur condition?

La frustration serait donc uniquement induite par tes "sous-métiers" ? Tu devrais sérieusement songer à booster le bout de ta lorgnette, il semble bien rabougri

Une irresponsable génitrice qui aurait dû conseiller à sa bêtasse de fille d' aller plutôt exercer dans un bordel de luxe et, ainsi étoffer son carnet d' adresse et son compte en banque, afin de se donner les moyens d' une carrière de professionnelle digne de ce nom...

il y a 2 minutes, Mite_Railleuse a dit :

La frustration serait donc uniquement induite par tes "sous-métiers" ? Tu devrais sérieusement songer à booster le bout de ta lorgnette, il semble bien rabougri

Oula non...Il y a bien d’autre sources de frustrations. 

il y a 21 minutes, Vilaine a dit :

Julie, 23 ans, vit dans un petit studio, fait ses courses dans les hard discounts, et ne part jamais en vacances. 

Sa mère? C’est une brillante avocate passionnée de photo. Elle a transmise sa passion à sa fille et lui a offert son premier réflexe pour ses 18 ans. Julie a décidé de faire de sa passion...son métier. Elle a donc abandonné ses études de droit et s’est lancée à son compte, dans la photographie. Marché très compétitif, manque d’expérience, faible notoriété...Son business ne décolle pas et Julie vit comme une vraie gilet jaune (avec toutes les revendications qui vont avec). Elle vient donc réclamer (mendier) chaque mois, un peu d’argent à sa mère tout en la maudissant un peu plus, chaque jour.

A qui la faute? Les parents, la conseillère scolaire et la psychologue qui ont poussé Julie à «aller au bout de ses passions »? On sait ce que valent les psychologues et les conseillers sociaux d’aujourd’hui qui prônent la « liberté » et « l’écoute de ses ressentis »  mais comment un parent peut-il pousser son enfant à exercer un sous-métier, dans le contexte économique difficile dans lequel on se trouve?

Vous qui êtes frustrés par votre job, avec du du recul, auriez-vous souhaité être davantage poussé dans vos études? Auriez-vous souhaiter aller au delà du bac, de la licence?

 

Moi c'est tout le contraire, j'aurais voulu qu'on me lâche la grappe avec les études, les diplômes comme facteur de réussite professionnelle et sociale et donc synonyme de bonheur. 

il y a 14 minutes, Kahori a dit :

A choisir, je préfère me lever chaque matin en étant contente d’aller travailler, quitte à vivre un peu plus chichement, que de faire quelque chose qui ne me plait pas et me bousille la santé mentale juste pour vivre dans le luxe. 

(évidemment être riche en faisant quelque chose qui nous plait c’est encore mieux ) 

Moi je veux bien faire un métier qui me bousille ma santé mentale que je déteste si je peux gagner des millions....

il y a 10 minutes, Kahori a dit :

En tant que parents, si mes enfants veulent se lancer dans ce genre de carrière je les préviendrais de la difficulté de faire son trou. A partir du moment où on sait où on met les pieds, y’a plus de raison d’être frustré puisque c’est un choix conscient  

Tu penses vraiment que tous ceux qui ont choisi d’exercer un métier difficile ne sont pas frustrés? Prenons l’exemple des médecins...Une véritable vocation pour certains, mais des conditions de travail souvent déplorables qui engendrent beaucoup de frustration.

il y a 2 minutes, Vilaine a dit :

Oula non...Il y a bien d’autre sources de frustrations. 

Alors pourquoi "sous-métiers" . Mis à part bien sûr ton réflexe pavlovien pour la provoc discount !

il y a 2 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Alors pourquoi "sous-métiers" . Mis à part bien sûr ton réflexe pavlovien pour la provoc discount !

Et pourquoi pas? 

J’aurais moins « provoqué » en parlant de frustration sexuelle? Ça aurait été plus « haut de gamme »?

"Il n'est point de sot métier...il n'y que des sottes gens"

pourrait-on dire :  il n'est point de sous-métier... 

il y a 6 minutes, Imaginaerum a dit :

Moi c'est tout le contraire, j'aurais voulu qu'on me lâche la grappe avec les études, les diplômes comme facteur de réussite professionnelle et sociale et donc synonyme de bonheur. 

Moi je veux bien faire un métier qui me bousille ma santé mentale que je déteste si je peux gagner des millions....

Plus tu vas loin dans tes études, plus tu as le choix de ta carrière et moins tu es sujet à la frustration. C’est en tout cas, ce que j’ai remarqué. 

il y a 24 minutes, Vilaine a dit :

Julie, 23 ans, vit dans un petit studio, fait ses courses dans les hard discounts, et ne part jamais en vacances. 

Sa mère? C’est une brillante avocate passionnée de photo. Elle a transmise sa passion à sa fille et lui a offert son premier réflexe pour ses 18 ans. Julie a décidé de faire de sa passion...son métier. Elle a donc abandonné ses études de droit et s’est lancée à son compte, dans la photographie. Marché très compétitif, manque d’expérience, faible notoriété...Son business ne décolle pas et Julie vit comme une vraie gilet jaune (avec toutes les revendications qui vont avec). Elle vient donc réclamer (mendier) chaque mois, un peu d’argent à sa mère tout en la maudissant un peu plus, chaque jour.

A qui la faute? Les parents, la conseillère scolaire et la psychologue qui ont poussé Julie à «aller au bout de ses passions »? On sait ce que valent les psychologues et les conseillers sociaux d’aujourd’hui qui prônent la « liberté » et « l’écoute de ses ressentis »  mais comment un parent peut-il pousser son enfant à exercer un sous-métier, dans le contexte économique difficile dans lequel on se trouve?

Vous qui êtes frustrés par votre job, avec du du recul, auriez-vous souhaité être davantage poussé dans vos études? Auriez-vous souhaiter aller au delà du bac, de la licence?

Pour devenir photographe il ne suffit pas de quitter l'école et d'acheter une caméra, il faut faire des études dans le domaine, en plus y a beaucoup de métiers en relation avec la photographie, si elle a fait des études artistiques, elle ne chaumera pas, y a d'autres choses à faire à part devenir photographe célèbre.
 

il y a 1 minute, Imaginaerum a dit :

"Il n'est point de sot métier...il n'y que des sottes gens"

pourrait-on dire :  il n'est point de sous-métier... 

Je pense qu’il y en a au contraire, mais ce n’est pas vraiment la question.

il y a 4 minutes, Vilaine a dit :

Tu penses vraiment que tous ceux qui ont choisi d’exercer un métier difficile ne sont pas frustrés? Prenons l’exemple des médecins...Une véritable vocation pour certains, mais des conditions de travail souvent déplorables qui engendrent beaucoup de frustration.

Leurs parents devraient peut être commencer par leur apprendre à gérer la frustration alors  

Des raisons d’être frustré on peut toujours en trouver. 

à l’instant, riad** a dit :

Pour devenir photographe il ne suffit pas de quitter l'école et d'acheter une caméra, il faut faire des études dans le domaine, en plus y a beaucoup de métiers en relation avec la photographie, si elle a fait des études artistiques, elle ne chaumera pas, y a d'autres choses à faire à part devenir photographe célèbre.
 

Peut être  qu'en fait que c'est une grosse feignasse ou qu'elle n'a aucun talent....