Pourquoi devient on mauvais

who's bad!

il y a 24 minutes, Vilaine a dit :

L’acceptation est valable mais elle est réductrice.

L'acception est valable, et n'est pas réductrice, puisqu' au contraire elle permet de comprendre la pitié de façon non péjorative, de ne pas l'opposer mais de l'associer à la compassion. Elle enrichit le mot plutôt que le réduire.

il y a 24 minutes, Vilaine a dit :

Il faut être très prudent dans l’analyse des termes bibliques car bien souvent ils ont une signification différente.

Nous sommes d'accord. C'est pourquoi je n'ai pas sorti cette acception de mon chapeau, mais me suis appuyé sur la définition qu'en donne l'Église. 

il y a 24 minutes, Vilaine a dit :

Par exempe, le mot « amour » est souvent mal compris dans la bible. Je ne parle même pas du mot « crainte », ou du mot « connaître ».

Tu es sûre qu'ils y figurent? 

il y a 24 minutes, Vilaine a dit :

Après, libre à toi de me mépriser si ça t’amuse. Ça ne te donnera pas raison pour autant.

Si je te méprisais, je ne te répondrais pas. Tu me taquines, je te taquine. 

J’ai une sacrée touche avec Foncé...Je me demande si c’est ma piété ou ma pitié/compassion qui le fait fondre. Ou est-ce parce que j’ai évoqué son émission de prédilection? 

Bon, plus sérieusement...J’ai du mal à associer la pitié à la compassion, même si les deux sont liés, bibliquemement parlant. Et puisque qu’on parle de termes bibliques..quid de la miséricorde? De la grâce?

Vouloir expliquer pourquoi on est mauvais, c’est vouloir, d’une certaine manière, tenter de se justifier . En tout cas, le pas entre l’explication et la justification est vite franchi. On commence alors à trouver ça normal, et à minimiser ses actes, parce que certains font pires.

Je pense qu’il faut viser l’excellence, ne pas se contenter d’être « moins mauvais que les autres » mais vouloir être bons dans ce que l’on est, et dans ce que l’on fait. Ce n’est pas juste un objectif spirituel, cela devrait être un objectif personnel et professionnel, à condition, bien sûr, de ne pas tomber dans une certaine névrose perfectionniste.