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Sombre

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  1. Je suis d'accord sur l'inacceptable et l'immoralité de la pratique d'entrave et de relation sexuelle forcée. Je suis sans illusion sur sa pénalisation. Mais encore et encore, ça n'ôte rien de l'immoralité de la zoophilie.
  2. Justice et morale ne se confondent pas. Justice et morale ne se confondent pas. Justice et morale ne se confondent pas. Et ton exemple n'est pas valable, il ne concerne en aucun cas la pédophilie où la notion de consentement est inexistante. Hors sujet. Hors sujet. Pour reconsidérer la question de ce point de vue. Il ne suffit pas d'observer des enfants qui ne mangent pas de viande, mais l'ensemble de l'humanité qui est omnivore. Oui mais hors sujet. Ta morale ou la mienne importent peu. La morale nous dit qu'une relation sexuelle non consentie est immorale, quelle qu'en soit le déroulement. La morale n'est pas un choix. Le choix consiste à se positionner par rapport à la morale. Que l'on soit moral ou immoral peu importe, la zoophilie est immorale.
  3. Un acte moral est effectivement justifié quand j'agis conformément à la morale. Ça fonctionne. L'immoralité ou moralité de ceux qui dénoncent la zoophilie comme immorale n'a aucune incidence sur l'immoralité de la zoophilie.
  4. Voilà. J'avais compris. Qui suit la morale agit avec moralité, tautologie de la morale. Une justice. Il dépend de l'homme d'agir avec moralité. On peut consentir à la souffrance, le consentement est donc principe. Nos vues diffèrent, pas la morale. Triplement si tu veux, l'immoralité se base sur le non-consentement. Nous naissons omnivores et l'observation suffit à le démontrer. Nous avons aujourd'hui la connaissance et les techniques nécessaire pour nous nourrir sans tuer un animal, ce qui nous oblige à considérer la moralité de notre alimentation. Je suis d'accord avec toi, le fait de naître omnivore n'est pas une excuse morale. Je suis d'accord. Le fait que la jument choisit parfois de rejeter l'étalon ne signifie pas que l'absence de réaction pendant l'acte zoophile signifie consentement, tout est là. Que ce soit faux-cul et que manger de la viande soit plus immoral que la zoophilie n'exonère pas la zoophilie de son caractère immoral. Les deux sont immoraux. Étrange, mais l'immoralité des uns n'annule pas l'immoralité des autres.
  5. La mienne n'est visiblement pas majoritaire à l'instant T de la morale à la carte. Rien de sexuel. La justice a pour fondement la morale, mais les deux ne se confondent pas. Parce que justice et morale ne se confondent pas. La justice dépend de l'homme, la morale non. Ce n'est pas la souffrance infligée qui est ligne de démarcation mais la notion de consentement. Oui. Ce qui n'invalide pas l'immoralité de la zoophilie. Omnivore. Tout à fait. On ne parle pas de droit humain mais de morale. L'un a beau être plus immoral que l'autre, l'autre reste immoral. Merci. L'homme a la possibilité du choix, l'animal non. Encore merci. C'est immoral quels que soient les qualificatifs. Il n'est pas faux cul de qualifier d'immoral ce qu'on pense immoral. Les deux sont immorales, quelle que soit la gravité de l'un ou de l'autre.
  6. Je raisonne à partir de la morale. J'ai envie d'une chose, si elle ne m'appartient pas ou que je n'ai pas les moyens ou le droit légal ou morale l'acquérir, je ne passe pas outre en arguant d'une morale relative ou personnelle. La morale n'est pas la justice. Même si la justice autorisait la zoophilie, elle n'en resterait pas moins immorale. Exactement. C'est pourquoi la zoophilie est immorale. La morale n'est pas la justice, et la souffrance infligée à l'animal est immorale quel que soit le contexte. Tu as raison là dessus. Ça n'enlève rien, bien au contraire, au fait que la zoophilie est immorale. Tout être humain est né omnivore, la volonté de manger ou non de la viande est un choix personnel souvent guidé par la morale. La nature omnivore se justifiait par la préservation et perpétuation de l'espèce, l'omnisexualité non. On choisit de ne plus être omnivore par choix parce que ça ne se justifie plus, alors qu'on choisit d'être omnisexuel par choix alors que ça ne se justifie pas.
  7. Il y a une morale et des milliards d'accomodements avec qu'on appelle morale personnelle pour se dédouaner. Imposer un rapport sexuel à un animal n'est pas moral, y compris au niveau personnel.
  8. C'est discutable. L'interprétation de la morale est subjective, ou la volonté de passer outre.
  9. C'est immoral parce qu'en toute conscience on accomplit un acte qu'on sait ne pas avoir le droit moral de faire. L'immoralité est un manquement à la morale, ce qui est le cas ici. Il n'est pas question de justice mais de morale. Accomplir un acte sexuel non consenti explicitement est immoral. Donc le consentement comme la morale sont affaire d'humain, qui est pleinement responsable quel que soit le comportement de l'animal qui ne peut être un argument. C'est un autre débat intéressant. L'humain est omnivore, est-il omnisexuel ?
  10. Et donc toute relation sexuelle zoophile est de facto immorale. Notons tout ce qu'on veut, c'est immoral.
  11. Le certain, c'est qu'il n'existe pas factuellement de consentement explicite exprimé par l'animal à une relation sexuelle consentie avec l'être humain. Toute notion de consentement est exprimée unilatéralement et arbitrairement par l'être humain.
  12. Tout esprit sensé vous objectera qu'on ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs.
  13. Jugement sévère, le pape ne peut agir autrement, sauf à aller contre la présomption d'innocence. Le cardinal Barbarin a fait appel, la condamnation n'est pas définitive. Je suis plus perplexe sur l'attitude du cardinal, qui savait que sa démission serait refusée, et qui aurait du se mettre en retrait sans l'adresser à François. Il donne le mauvais rôle au pape en faisant passer son refus pour un soutien tacite aux yeux de l'opinion.
  14. L'acception est valable, et n'est pas réductrice, puisqu' au contraire elle permet de comprendre la pitié de façon non péjorative, de ne pas l'opposer mais de l'associer à la compassion. Elle enrichit le mot plutôt que le réduire. Nous sommes d'accord. C'est pourquoi je n'ai pas sorti cette acception de mon chapeau, mais me suis appuyé sur la définition qu'en donne l'Église. Tu es sûre qu'ils y figurent? Si je te méprisais, je ne te répondrais pas. Tu me taquines, je te taquine.
  15. Le sens religieux du mot pitié vient de piété. Cette acception est valable, et élargit le sens exclusivement péjoratif dont on charge ce mot. Quand j'en serai à affirmer une ineptie telle que "le mot pitié ne se trouve pas dans la bible", je m'inquièterai pour mon cerveau.
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