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Frapper un homme à terre...


Blaquière

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 14 035 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
Posté(e)
il y a 2 minutes, Plouj a dit :

Absolument, c'est ce que j'ai écrit ! :o°

Je suis balade et vous vous ne suivez pas.

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Membre, Voyageur, 71ans Posté(e)
Plouj Membre 113 480 messages
71ans‚ Voyageur,
Posté(e)
il y a 13 minutes, Léna-Postrof a dit :

Je suis balade et vous vous ne suivez pas.

J'ai des bouchoirs, c'est bon quand on a

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
Il y a 18 heures, Léna-Postrof a dit :

Va pour les italiques, mais sus aux smileys. 

Ça la ficherait mal si c'était mon style de frapper les policiers à terre, ainsi que l'inspecteur des impôts au guichet, sauf que ce n'est pas le mien.

 

D'accord pour les smileys ! Pendant des années j'en ai mis pas un, je m'en insurgeais !.. Et depuis qq temps je me laisse aller ; celui qui rigole, et parfois celui qui sourit... Mais c'est le forum qui me corrompt !!! on est presque obligé d'en mettre pour dire ce qu'on pense sans trop intervenir. LE PIRE C'EST LE CŒUR ! : Il m'horripile et j'en mets souvent ! Vas comprendre... (Je ne suis pas celui que vous croyez !!!)

Je vais essayer de me corriger ! :smile2:... Oh pardon !

Pour ce qui est des inspecteurs des impôts, j'ai un bon copain qui est percepteur et je peux te dire qu'ils sont en première ligne pour savoir que ceux qui se débrouillent pour payer le moins, c'est les plus riches : il a une vision très "louisaragonesque" du problème.! Faut pas croire...

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 14 035 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
Posté(e)
Il y a 2 heures, Blaquière a dit :

D'accord pour les smileys ! Pendant des années j'en ai mis pas un, je m'en insurgeais !.. Et depuis qq temps je me laisse aller ; celui qui rigole, et parfois celui qui sourit... Mais c'est le forum qui me corrompt !!! on est presque obligé d'en mettre pour dire ce qu'on pense sans trop intervenir. LE PIRE C'EST LE CŒUR ! : Il m'horripile et j'en mets souvent ! Vas comprendre... (Je ne suis pas celui que vous croyez !!!)

Je vais essayer de me corriger ! :smile2:... Oh pardon !

Pour ce qui est des inspecteurs des impôts, j'ai un bon copain qui est percepteur et je peux te dire qu'ils sont en première ligne pour savoir que ceux qui se débrouillent pour payer le moins, c'est les plus riches : il a une vision très "louisaragonesque" du problème.! Faut pas croire...

Ah oui, il y a du laisser aller... Ressaisissez-vous, résistez !

Et est-ce que cela justifie de se laisser aller à la violence ? Ces sont des employés, semblerait-il. Adressez-vous toujours à Dieu, au lieu de traiter avec ses sous-fifres. 

 

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Membre, Voyageur, 71ans Posté(e)
Plouj Membre 113 480 messages
71ans‚ Voyageur,
Posté(e)
Il y a 2 heures, Léna-Postrof a dit :

Ah oui, il y a du laisser aller... Ressaisissez-vous, résistez !

Et est-ce que cela justifie de se laisser aller à la violence ? Ces sont des employés, semblerait-il. Adressez-vous toujours à Dieu, au lieu de traiter avec ses sous-fifres. 

 

Adressez-vous toujours à Dieu, au lieu de traiter avec ses sous-fifres. 

Bon, s'occuper des seins est parfois sympathique aussi !  Sans sous-tifs !

Je l'ai écrit, nous sommes vendredi ! Ce sera donc sans smileys ! ;-)

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 14 035 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
Posté(e)
il y a 8 minutes, Plouj a dit :

Adressez-vous toujours à Dieu, au lieu de traiter avec ses sous-fifres. 

Bon, s'occuper des seins est parfois sympathique aussi !  Sans sous-tifs !

Je l'ai écrit, nous sommes vendredi ! Ce sera donc sans smileys ! ;-)

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Sponsorisé par les APA (Alcooliques Pas Anonymes). 

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 6 999 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
Le 08/01/2019 à 10:49, Blaquière a dit :

Frapper un homme à terre...

Pour peu que l'on se pique de philosophie, j'entends du "plaisir de comprendre les choses", on trouvera par les temps qui courent pas mal de grain à moudre...

Frapper, achever un homme à terre?... Comment est-ce possible ? Est-ce humain ? Et il est "bien",il est heureux que la même scène ait été dans la même journée constatée dans les deux camps... Ce boxeur qui à Paris "finit" à coups de pieds le gendarme et ce flic de Toulon qui en fait autant sur un manifestant.  Il n'y a donc pas de gentil d'un côté et de m&chant de l'autre il s'agit d'un trait commun, d'une composante de base des individus, des hommes.

Ce qu'il y a de plus basique, de plus bas, ressort on le sait bien "grâce" à "l'effet de foule". C'est le plus petit, le plus bas dénominateur commun qui l'emporte.

"Dès qu'on est plus de quatre on est une bande de cons !" (Merci Brassens !)

Et le plus bas dénominateur chez l'homme, c'est l'instinct animal.

Mais encore ? Il n'est pourtant pas rare qu'un animal porte secours à un autre animal en danger. On l'a vu, je l'ai vu !  Il s'agirait donc d'un instinct plus bas que l'instinct animal en général ?

Achever un homme à terre ou un blessé me rappelle cette scène dont "un" ami avait été témoin : Un rapace fondant du ciel s'était abattu  sur un poulet parmi ses congénères dans un pré. Il l'avait pas mal amoché, mais voilà que ce pauvre poulet s'était si bien défendu qu'il avait à grands coups de son petit bec, réussi à faire fuir le rapace. Notre gent volaillère avait trouvé son héros ! Mal en point mais vivant ! Un exemple pour tous ! L'ont-ils porté en triomphe ? En ont-ils fait leur roi ? Que nenni ! Le trouvant affaissé, pantelant, sur le pré, sur le champ, se sont rués sur lui et l'ont parachevé !

Les oiseaux c'est connu sont des dinosauriens... Et l'humain quant à lui est un doux mammalien.

Il faut donc remonter à la génération précédente pour trouver le dénominateur ou l'ancêtre commun.  C'est donc le reptilien ! Le serpent est reptile ? S'agit-il de Satan ?  (Non, là je blague !)

Achever le blessé ? J'y vois certaine ressemblance avec ces énergumènes qui "cassent du pédé"... Dont la motivation est claire, à savoir de tuer en cet autre leurs propres penchants homosexuels. Hominidé, humain, un homme, un homo, soyons pédés mes frères et sauvons les blessés ! (Mais qu'est-ce que je dis ?!)

Il y a pire ou l'on retrouve Satan : Reptilien ? C'est acquis ! Mais reptile avancé, reptile évolué !  Car tuer la faiblesse de l'autre pour la chasser de soi, c'est déjà faire de la faiblesse un concept. Sans concept, sans idéalité, la faiblesse n'existe pas, il n'y a que des sensations de faiblesse. Si ma faiblesse et celle d'autrui participent de la même grand faiblesse, et que les deux sont échangeables c'est un début de savoir, d'intelligence. (Oui, le serpent est intelligent : sacré Satan !)

Il s'agit donc d'une empathie négative. (C'est tout nouveau, ça vient de sortir!)

L'empathie négative reptilienne... Éliminer, tuer sa propre faiblesse, mais dans l'autre et donc, l'autre.

Va falloir évoluer vers l'empathie positive, donner à l'autre de sa force, et non la lui asséner, devenir des mammifères, des hominidés, des vrais hommes : des homos !...

(Ben oui, quoi, ça m'amuse, ça !)

Bonjour,

Bien + mal = mal, parce que le bien est récessif et que le mal est dominant. 😊

C’est étrange, ce confit de canard au caca n’a pas le goût de canard. ☹

 

Je serais plus nuancé que vous.

Toutes les violences ne se valent pas.

La légitime défense a un bienfondé, donc elle a des limites, ainsi qu’une proportionnalité, un code de loyauté.

Alors que l’agression a des ressorts prédateurs, d’une immoralité qui n’est pas dans le champ de la relation, mais dans la référence finaliste égoïste de son auteur.

Il serait malhonnête de compter les points entre les violences urbaines et les violences policières.

Parce qu’il n’y a pas de symétrie institutionnelle.

Si vous prenez l’Elysée d’assaut, je crains que cela transcende votre citoyenneté, voire votre humanité chez certains esprits légalistes.

Et lorsque le transcendant se retrouve positionné dans une compromission existentielle, les limites ne sont que vaguement définie par le droit.

 

On peut modéliser le cerveau de différentes façons, mais l’une d’entre elles, que vous avez évoqué, peut nous être utile :

Il y a le cerveau reptilien, le cerveau mammifère, et le cerveau humain.

Tous trois coexistent en une seule entité, mais ce réseau connaît une signalisation stricte (le feu ça brûle), innée, ainsi qu’une signalisation variable (que faire pour l’éteindre ?), acquise par la culture et l’éducation.

L’humanité est censée prendre la main sur l’animalité, mais il demeure une possibilité de court-circuitage de la part du reptilien, notamment via le stress, la peur et la colère.

 

Regardez Facebook et Twitter, ou encore notre forum.

Le dénominateur commun c’est plutôt « j’aime / je n’aime pas ».

Je conviens que la violence et la pornographie intellectuelles font beaucoup d’audience.

Mais c’est à mettre en relation avec le format d’expression :

Sur Twitter, on écrit comme on parle, alors que sur les forums de discussion, les modérés ont structurellement l’avantage.

 

Cordialement, Fraction.

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
Il y a 13 heures, Fraction a dit :

Bonjour,

Bien + mal = mal, parce que le bien est récessif et que le mal est dominant. 😊

C’est étrange, ce confit de canard au caca n’a pas le goût de canard. ☹

Excellent ! (Pas le confit!)

Je serais plus nuancé que vous.

Toutes les violences ne se valent pas.

La légitime défense a un bienfondé, donc elle a des limites, ainsi qu’une proportionnalité, un code de loyauté.

Alors que l’agression a des ressorts prédateurs, d’une immoralité qui n’est pas dans le champ de la relation, mais dans la référence finaliste égoïste de son auteur.

Oui ! Très bien vu !

Il serait malhonnête de compter les points entre les violences urbaines et les violences policières.

Parce qu’il n’y a pas de symétrie institutionnelle.

Si vous prenez l’Elysée d’assaut, je crains que cela transcende votre citoyenneté, voire votre humanité chez certains esprits légalistes.

Et lorsque le transcendant se retrouve positionné dans une compromission existentielle, les limites ne sont que vaguement définie par le droit.

Bien sûr !

 

On peut modéliser le cerveau de différentes façons, mais l’une d’entre elles, que vous avez évoqué, peut nous être utile :

Il y a le cerveau reptilien, le cerveau mammifère, et le cerveau humain.

Tous trois coexistent en une seule entité, mais ce réseau connaît une signalisation stricte (le feu ça brûle), innée, ainsi qu’une signalisation variable (que faire pour l’éteindre ?), acquise par la culture et l’éducation.

L’humanité est censée prendre la main sur l’animalité, mais il demeure une possibilité de court-circuitage de la part du reptilien, notamment via le stress, la peur et la colère.

(C'est ce à quoi nous assistons...)

 

Regardez Facebook et Twitter, ou encore notre forum.

Le dénominateur commun c’est plutôt « j’aime / je n’aime pas ».

Je conviens que la violence et la pornographie intellectuelles font beaucoup d’audience.

Mais c’est à mettre en relation avec le format d’expression :

Sur Twitter, on écrit comme on parle, alors que sur les forums de discussion, les modérés ont structurellement l’avantage.

 

Cordialement, Fraction.

Bonjour !

Tout ce que vous dites me semble très juste et très bien exprimé.

Mais...

Non : il n'y a pas de "mais" !

Vous dites :

L’humanité est censée prendre la main sur l’animalité, mais il demeure une possibilité de court-circuitage de la part du reptilien, notamment via le stress, la peur et la colère.

C'est ce à quoi nous assistons certainement. C'est le fait de continuer son "combat" alors qu'on a déjà gagné qui à mon avis est étrange. Je vois des animaux comme les chats qui entre eux, en se roulant par terre font la démonstration qu'ils ne sont pas agressifs. Qu'ils se soumettent. C'est leur code et ils savent s'y tenir.

Continuer à frapper l'ennemi déjà à terre me semble donc relever d'autre chose, presque en deçà de l'animalité ordinaire. Ce qui m'a fait m'amuser avec la notion de reptile, en deçà de l'animalité ordinaire. Vous dites la peur, la colère, oui. Une sorte de folie qui ne peut plus juger, plus comprendre que le combat est déjà gagné. Et qui se poursuit comme par inertie.

Il ne s'agirait plus d'autodéfense ni de combat mais d'assouvir, d'éliminer sa propre peur. (Ce que vous semblez dire.)

 

Cordialement, aussi...

 

PS que toutes les violences ne se valent pas (vaillent?) est un autre problème je crois. Une violence "officialisée" est-elle mieux justifiée ? La fonction de policier est une fonction de violence potentielle institutionnalisée. On en arriverait rapidement à évaluer la légitimité absolue entre une "cause" objective et une cause institutionnelle. (Une raison objective ou institutionnelle de la violence) Vous l'avez dit : il s'agit de se situer dans l'institution, dans la citoyenneté (notion variable) ou de la transcender. C'est l'histoire ou le temps seulement qui peuvent juger.

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 6 999 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
Il y a 10 heures, Blaquière a dit :

Bonjour !

Tout ce que vous dites me semble très juste et très bien exprimé.

Mais...

Non : il n'y a pas de "mais" !

Vous dites :

L’humanité est censée prendre la main sur l’animalité, mais il demeure une possibilité de court-circuitage de la part du reptilien, notamment via le stress, la peur et la colère.

C'est ce à quoi nous assistons certainement. C'est le fait de continuer son "combat" alors qu'on a déjà gagné qui à mon avis est étrange. Je vois des animaux comme les chats qui entre eux, en se roulant par terre font la démonstration qu'ils ne sont pas agressifs. Qu'ils se soumettent. C'est leur code et ils savent s'y tenir.

Continuer à frapper l'ennemi déjà à terre me semble donc relever d'autre chose, presque en deçà de l'animalité ordinaire. Ce qui m'a fait m'amuser avec la notion de reptile, en deçà de l'animalité ordinaire. Vous dites la peur, la colère, oui. Une sorte de folie qui ne peut plus juger, plus comprendre que le combat est déjà gagné. Et qui se poursuit comme par inertie.

Il ne s'agirait plus d'autodéfense ni de combat mais d'assouvir, d'éliminer sa propre peur. (Ce que vous semblez dire.)

 

Cordialement, aussi...

 

PS que toutes les violences ne se valent pas (vaillent?) est un autre problème je crois. Une violence "officialisée" est-elle mieux justifiée ? La fonction de policier est une fonction de violence potentielle institutionnalisée. On en arriverait rapidement à évaluer la légitimité absolue entre une "cause" objective et une cause institutionnelle. (Une raison objective ou institutionnelle de la violence) Vous l'avez dit : il s'agit de se situer dans l'institution, dans la citoyenneté (notion variable) ou de la transcender. C'est l'histoire ou le temps seulement qui peuvent juger.

Bonsoir,

Oui, frapper un homme à terre est sans ambiguïté, puisque la proportionnalité de la légitime défense n’est même pas plaidable.

 

Le maintien de l’ordre public implique parfois des nécessités localement liberticides, comme l’interdiction pour la population de circuler dans telle rue à telle heure.

Ceux qui décident de se soustraire à cette mesure d’exception doivent savoir à quoi s’en tenir, et s’exposent même à une relative disproportion de la répression, puisqu’ils sont corporellement en infraction.

 

Cordialement, Fraction

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