Je me sens seule

Il y a 14 heures, Léna-Postrof a dit :

Où est-ce que vous avez lu encore qu'une grande partie des femmes se plaignent d'être seules ? 

Une femme a ouvert un sujet parce qu'elle se sent seule, et seulement de temps en temps. 

Il y a des individus, hommes et femmes, qui ont parfois du mal à composer avec la solitude, quand d'autres l'accueillent comme s'il s'agissait d'une vieille amie.

Et pour répondre à votre question, évidemment que nous sommes parfaites.

Des femmes sont assez simples finalement, il n'y ait que des hommes d'une bêtise incurable.

Effectivement vous avez raison en disant que les femmes ne se sentent pas seules, ou seulement a de rares occasions.

Accepter d'etre une femme c'est abandonner l'idée de la solitude, non pas que les femmes  soient parfaites mais parce que tout con verge vers la femme, elle est partout sollicitée.

La femme c'est la terre, la vie foisonnante, pour ça qu'il est trés difficile de croiser une femme vraiment spirituelle.

il y a 33 minutes, hell-spawn a dit :

La femme c'est la terre, la vie foisonnante, pour ça qu'il est trés difficile de croiser une femme vraiment spirituelle.

Je me demandais si tu n'en avais pas marre de faire ton Nietzsche aux petits pieds à tout bout de champ ?

Tiens, un résumé de ses tentatives auprès des femmes : http://existentialcomics.com/comic/150

il y a 2 minutes, Tequila Moor a dit :

Je me demandais si tu n'en avais pas marre de faire ton Nietzsche au petit pied à tout bout de champ ?

Tiens, un résumé de ses tentatives auprès des femmes : http://existentialcomics.com/comic/150

C'est en anglais, j'ai pas tout compris mais ça me semble bien trouvé .

Mais quand meme, avec les femmes on ne peut vraiment s'entendre que sur le terrain de la sensualité.

Si on cherche autre chose on est mal barré.

Nietzsche est parfois contradictoire, il se voulait dionysiaque et pourtant méprisait le manque de profondeur des femmes ou leur pragmatisme interessé.

A noter tout de meme qu'il leur accordait préférentiellement l'intelligence et aux hommes il réservait la volonté.

il y a 57 minutes, hell-spawn a dit :

C'est en anglais, j'ai pas tout compris mais ça me semble bien trouvé .

Mais quand meme, avec les femmes on ne peut vraiment s'entendre que sur le terrain de la sensualité.

Si on cherche autre chose on est mal barré.

Nietzsche est parfois contradictoire, il se voulait dionysiaque et pourtant méprisait le manque de profondeur des femmes ou leur pragmatisme interessé.

A noter tout de meme qu'il leur accordait préférentiellement l'intelligence et aux hommes il réservait la volonté.

Mais tu peux t'entendre sur tous les terrains possibles avec une femme, c'est juste que tu ne le feras que si tu en as le courage, et si tu commences aussi à comprendre qu'elle n'a pas besoin de toi, a priori : c'est souvent le problème des hommes, vouloir que les femmes répondent à leurs questions existentielles tout en assouvissant leurs besoins et envies. Ils ne se posent jamais la question de savoir ce qu'ils vont apporter, comme si la réponse était évidente.

Alors qu'ils n'apportent souvent que leurs névroses et leur bite. Et c'est un peu court.

Nietzsche était homme avec le même problème, exposant 1000, car ses ambitions concernant l'amour n'étaient de plus guère compatibles avec le plan-plan de la vie de couple : il aurait eu besoin de stimulation dans tous les domaines, c'est pourquoi il était aussi attaché à Lou Salomé. Il se trouve hélas qu'elle avait encore plus d'ambition que lui, avait encore plus besoin de stimulation que lui tout en étant plus intransigeante.

Elle avait compris le besoin d'assouvissement, c'est pourquoi elle se refusait aux hommes : pas folle la guêpe.

il y a 39 minutes, Tequila Moor a dit :

Mais tu peux t'entendre sur tous les terrains possibles avec une femme, c'est juste que tu ne le feras que si tu en as le courage, et si tu commences aussi à comprendre qu'elle n'a pas besoin de toi, a priori : c'est souvent le problème des hommes, vouloir que les femmes répondent à leurs questions existentielles tout en assouvissant leurs besoins et envies. Ils ne se posent jamais la question de savoir ce qu'ils vont apporter, comme si la réponse était évidente.

Alors qu'ils n'apportent souvent que leurs névroses et leur bite. Et c'est un peu court.

Nietzsche était homme avec le même problème, exposant 1000, car ses ambitions concernant l'amour n'étaient de plus guère compatibles avec le plan-plan de la vie de couple : il aurait eu besoin de stimulation dans tous les domaines, c'est pourquoi il était aussi attaché à Lou Salomé. Il se trouve hélas qu'elle avait encore plus d'ambition que lui, avait encore plus besoin de stimulation que lui tout en étant plus intransigeante.

Elle avait compris le besoin d'assouvissement, c'est pourquoi elle se refusait aux hommes : pas folle la guêpe.

T'inquiéte, la question de savoir ce que je peux apporter je me la pose, mais elle vient en dernier.

Concernant Lou Andrea Salomé elle ne se refusait pas a tous les hommes, seulement a ceux qui étaient les plus susceptibles de la désirer et l'aimer, ça la flattait quelque part de les faire languir.

C'était une grande ambitieuse, oui, mais sans grande sensibilité.

Je crois que Nietzsche comprenait bien les femmes, mais son comportement n'était pas en rapport.

Par 2 fois au moins il envoya un de ses amis faire sa demande pour lui: résultat c'est l'ami qui en tira les marrons du feu

Il y a 5 heures, libredeparler a dit :

Merci !

Avec plaisir et n'en profitez pas pour aller au bistrot ! 

Note : Tout ne tourne pas autour du féminisme et de pauvres hommes lésés, fort heureusement pour nous autres. 

Il y a 2 heures, hell-spawn a dit :

Effectivement vous avez raison en disant que les femmes ne se sentent pas seules, ou seulement a de rares occasions.

Accepter d'etre une femme c'est abandonner l'idée de la solitude, non pas que les femmes  soient parfaites mais parce que tout con verge vers la femme, elle est partout sollicitée.

La femme c'est la terre, la vie foisonnante, pour ça qu'il est trés difficile de croiser une femme vraiment spirituelle.

Je ne voulais pas du tout en venir là toutefois je suis d'accord avec vous sur ce point : les femmes sont encore davantage sollicitées effectivement (la faute à la tradition sûrement), il suffit de laisser un peu de côté internet et sortir de chez soi, afin de s'en rendre compte.

La Femme actuelle est davantage sollicitée, non seulement par les hommes, mais aussi par tous les autres "acteurs" de sa vie, et  dans l'idéal il lui faudrait plusieurs vies afin de vivre toutes ses vies, pleinement. Ainsi elle doit être épanouie dans son travail tout en étant une épouse parfaite, une mère de famille attentive, une ménagère 5 étoiles, une décoratrice d'intérieur au goût incontestable ou presque, une amie loyale et toujours disponible pour remonter le moral des troupes, la fille, la soeur, la petite fille qui prend soin des siens, l'écoute, une parfaite gestionnaire, l'infirmière qui va soigner tous les petits bobos de la joyeuse troupe, sans compter qu'idéalement elle doit aussi avoir des loisirs et un peu de conversation (et tout ce que j'aurais pu oublier). Si elle ne nous fait pas un burnout avec tout cela la femme actuelle... Nous lui en demandons beaucoup à la femme actuelle. Il y a à mon sens beaucoup trop d'attentes envers les femmes, et c'est peut-être là que le bas blesse. Elle est sollicitée, elle est convoitée, elle est absolument débordée. Elle pourrait avoir besoin de déconnecter. 

Non, accepter d'être femme ce n'est pas renoncer à l'idée de la solitude et nous ne sommes d'ailleurs pas obligées d'accepter tous les diktats sus nommés. Certains ont besoin d'oxygène ou sont des bandes à eux tous seuls. D'autres (hommes et femmes) ne la supportent tout simplement pas, ont un sentiment d'inconfort face à la solitude. D'autres encore composent avec puisqu'ils pensent n'avoir d'autres choix. Des femmes et des hommes -et même en couple- ont parfois ce besoin de solitude. Ils en profitent dès lors pour se recentrer sur eux-mêmes, se retrouver, exister en dehors de ce couple et ce n'est pas une question de genre, davantage de tempérament, à mon sens.

Est-ce que sensualité s'oppose toujours à spiritualité ? Nous pourrions renvoyer la balle ou penser également, nous les femmes, qu'il est très difficile de croiser des hommes vraiment spirituels. Après tout, nous nous faisons constamment abordées au quotidien puisque nous sommes "charmantes". Des hommes sont attirés par des femmes éventuellement parce qu'elles pourraient leur donner une descendance. Autrefois, les mâles se dirigeaient vers les femmes bien portantes (signe de vitalité et de richesse, si je ne me trompe pas). Aujourd'hui est-ce que le male gaze est toujours tourné vers la reproduction, vers des signes distinctifs pouvant la favoriser, ou bien est-il juste attiré par des attributs, éventualité de passer un bon moment ?

Il y a 3 heures, hell-spawn a dit :

T'inquiéte, la question de savoir ce que je peux apporter je me la pose, mais elle vient en dernier.

Concernant Lou Andrea Salomé elle ne se refusait pas a tous les hommes, seulement a ceux qui étaient les plus susceptibles de la désirer et l'aimer, ça la flattait quelque part de les faire languir.

C'était une grande ambitieuse, oui, mais sans grande sensibilité.

Je crois que Nietzsche comprenait bien les femmes, mais son comportement n'était pas en rapport.

Par 2 fois au moins il envoya un de ses amis faire sa demande pour lui: résultat c'est l'ami qui en tira les marrons du feu

J'ai de la chance, c'est la partie la plus adolescente de toi qui me répond aujourd'hui. Détaillons un peu la réponse :

1) Posture du mystérieux qui a de formidables choses à apporter au monde, mais qui se restreint parce que le monde ne le mérite sans doute pas. On peut remplacer "le monde" par "une femme", ça marche aussi.

2) Réhabilitation de la figure de l'homme qui souffre par amour, figure qui parvient à synthétiser le profane (je te désire, tais-toi et sois ma mie) et le christique (la souffrance, c'est cool ça déplace des montagnes). Comme si donc le fait de désirer, de se consumer d'amour pour une femme était l'absolue garantie que cela allait rendre cette dernière amoureuse, voire heureuse. Comme si encore la femme en question avait l'impératif moral de choisir celui qui souffre le plus pour elle, alors qu'aucune souffrance n'a jamais rien prouvé en soi sur la valeur de qui ressent cette souffrance.

Donc non, Lou Salomé n'avait aucune raison de se donner au moustachu sous prétexte que ce dernier en bavait pour elle, dans tous les sens du terme. Et il est inutile de mettre en cause sa sensibilité, voire de la soupçonner d'avoir pris son pied à faire souffrir les autres : on peut juste dire qu'elle était assez équilibrée pour comprendre que la souffrance d'un homme qui se meurt d'amour pour une femme ne vaut rien. Et quand on voit comment Nietzsche a ensuite honni celle qui semblait auparavant être tout pour lui, il est clair que ce n'était pas lui le plus équilibré de l'histoire.

3) Utilisation d'un exemple qui se retourne contre ce qu'il fallait démontrer. Il fallait en effet me convaincre que Nietzsche comprenait les femmes, voire même qu'il comprenait l'amour. Or l'exemple choisi me donne à penser qu'il ne comprenait rien : ni les femmes, ni l'amour, ni les hommes, ni l'amitié. Bien joué.

Veux être Tequila quand je serais grande...

il y a 6 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Veux être Tequila quand je serais grande...

Ce n'est pas moi, c'est mon Tshirt.

D'ailleurs, il font les mêmes pour femme !

il y a 1 minute, Tequila Moor a dit :

Ce n'est pas moi, c'est mon Tshirt.

D'ailleurs, il font les mêmes pour femme !

 

Y aurait plutôt ça sur mon Tshirt ! Tu crois que... ?

à l’instant, Mite_Railleuse a dit :

Y aurait plutôt ça sur mon Tshirt ! Tu crois que... ?

Il y aurait bien un lointain rapport avec le sujet, mais c'est pas certain...

Tu as illuminé ma fin d'aprem !! Purée le fou-rire

Il y a 2 heures, Léna-Postrof a dit :

Avec plaisir et n'en profitez pas pour aller au bistrot ! 

Note : Tout ne tourne pas autour du féminisme et de pauvres hommes lésés, fort heureusement pour nous autres. 

Je ne voulais pas du tout en venir là toutefois je suis d'accord avec vous sur ce point : les femmes sont encore davantage sollicitées effectivement (la faute à la tradition sûrement), il suffit de laisser un peu de côté internet et sortir de chez soi, afin de s'en rendre compte.

La Femme actuelle est davantage sollicitée, non seulement par les hommes, mais aussi par tous les autres "acteurs" de sa vie, et  dans l'idéal il lui faudrait plusieurs vies afin de vivre toutes ses vies, pleinement. Ainsi elle doit être épanouie dans son travail tout en étant une épouse parfaite, une mère de famille attentive, une ménagère 5 étoiles, une décoratrice d'intérieur au goût incontestable ou presque, une amie loyale et toujours disponible pour remonter le moral des troupes, la fille, la soeur, la petite fille qui prend soin des siens, l'écoute, une parfaite gestionnaire, l'infirmière qui va soigner tous les petits bobos de la joyeuse troupe, sans compter qu'idéalement elle doit aussi avoir des loisirs et un peu de conversation (et tout ce que j'aurais pu oublier). Si elle ne nous fait pas un burnout avec tout cela la femme actuelle... Nous lui en demandons beaucoup à la femme actuelle. Il y a à mon sens beaucoup trop d'attentes envers les femmes, et c'est peut-être là que le bas blesse. Elle est sollicitée, elle est convoitée, elle est absolument débordée. Elle pourrait avoir besoin de déconnecter. 

Non, accepter d'être femme ce n'est pas renoncer à l'idée de la solitude et nous ne sommes d'ailleurs pas obligées d'accepter tous les diktats sus nommés. Certains ont besoin d'oxygène ou sont des bandes à eux tous seuls. D'autres (hommes et femmes) ne la supportent tout simplement pas, ont un sentiment d'inconfort face à la solitude. D'autres encore composent avec puisqu'ils pensent n'avoir d'autres choix. Des femmes et des hommes -et même en couple- ont parfois ce besoin de solitude. Ils en profitent dès lors pour se recentrer sur eux-mêmes, se retrouver, exister en dehors de ce couple et ce n'est pas une question de genre, davantage de tempérament, à mon sens.

Est-ce que sensualité s'oppose toujours à spiritualité ? Nous pourrions renvoyer la balle ou penser également, nous les femmes, qu'il est très difficile de croiser des hommes vraiment spirituels. Après tout, nous nous faisons constamment abordées au quotidien puisque nous sommes "charmantes". Des hommes sont attirés par des femmes éventuellement parce qu'elles pourraient leur donner une descendance. Autrefois, les mâles se dirigeaient vers les femmes bien portantes (signe de vitalité et de richesse, si je ne me trompe pas). Aujourd'hui est-ce que le male gaze est toujours tourné vers la reproduction, vers des signes distinctifs pouvant la favoriser, ou bien est-il juste attiré par des attributs, éventualité de passer un bon moment ?

J'ai liké pour l'ensemble du discours mais je me contenterai de rebondir sur la partie que j'ai mis en évidence.

Les hommes vraiment spirituels ne se contentent pas d'une femme charmante, celle qui met en avant ses atouts, me semble t-il.

Mais etes vous sure que c'est le genre d'homme qui vous attire ? Ce serait curieux quand meme.

il y a 35 minutes, Tequila Moor a dit :

J'ai de la chance, c'est la partie la plus adolescente de toi qui me répond aujourd'hui. Détaillons un peu la réponse :

1) Posture du mystérieux qui a de formidables choses à apporter au monde, mais qui se restreint parce que le monde ne le mérite sans doute pas. On peut remplacer "le monde" par "une femme", ça marche aussi.

2) Réhabilitation de la figure de l'homme qui souffre par amour, figure qui parvient à synthétiser le profane (je te désire, tais-toi et sois ma mie) et le christique (la souffrance, c'est cool ça déplace des montagnes). Comme si donc le fait de désirer, de se consumer d'amour pour une femme était l'absolue garantie que cela allait rendre cette dernière amoureuse, voire heureuse. Comme si encore la femme en question avait l'impératif moral de choisir celui qui souffre le plus pour elle, alors qu'aucune souffrance n'a jamais rien prouvé en soi sur la valeur de qui ressent cette souffrance.

Donc non, Lou Salomé n'avait aucune raison de se donner au moustachu sous prétexte que ce dernier en bavait pour elle, dans tous les sens du terme. Et il est inutile de mettre en cause sa sensibilité, voire de la soupçonner d'avoir pris son pied à faire souffrir les autres : on peut juste dire qu'elle était assez équilibrée pour comprendre que la souffrance d'un homme qui se meurt d'amour pour une femme ne vaut rien. Et quand on voit comment Nietzsche a ensuite honni celle qui semblait auparavant être tout pour lui, il est clair que ce n'était pas lui le plus équilibré de l'histoire.

3) Utilisation d'un exemple qui se retourne contre ce qu'il fallait démontrer. Il fallait en effet me convaincre que Nietzsche comprenait les femmes, voire même qu'il comprenait l'amour. Or l'exemple choisi me donne à penser qu'il ne comprenait rien : ni les femmes, ni l'amour, ni les hommes, ni l'amitié. Bien joué.

Pour 1 et 2 tu n'y es pas.

Il y a eu des biographies de Lou salomé, on connait un peu sa personnalité, aprés qu'elle ait eu raison ou pas de dédaigner Nietzsche je n'ai rien a dire sur le sujet.

Et il ne me semble pas qu'il l'ai honni.

Nietzsche était trés certainement trés maladroit avec les femmes, une pudeur de sentiment excessive, il comprenait tout en profondeur mais ne pouvait pas passer a la pratique:

"faites ce que je dis, pas ce que je fais".

il y a 12 minutes, hell-spawn a dit :

Pour 1 et 2 tu n'y es pas.

Il y a eu des biographies de Lou salomé, on connait un peu sa personnalité, aprés qu'elle ait eu raison ou pas de dédaigner Nietzsche je n'ai rien a dire sur le sujet.

Et il ne me semble pas qu'il l'ai honni.

Nietzsche était trés certainement trés maladroit avec les femmes, une pudeur de sentiment excessive, il comprenait tout en profondeur mais ne pouvait pas passer a la pratique:

"faites ce que je dis, pas ce que je fais".

OK ça marche, je n'y suis pas. D'ailleurs je n'y suis plus. Hop ! Propulsion luminique pour aller voir ailleurs si j'y suis. Tu peux continuer à jouer au Nietzsche amateur, à te définir par ta souffrance, à surjouer la misogynie tendance XIX° : après tout si ça te donne l'illusion d'exister, c'est le principal.

il y a 8 minutes, hell-spawn a dit :

J'ai liké pour l'ensemble du discours mais je me contenterai de rebondir sur la partie que j'ai mis en évidence.

Les hommes vraiment spirituels ne se contentent pas d'une femme charmante, celle qui met en avant ses atouts, me semble t-il.

Mais etes vous sure que c'est le genre d'homme qui vous attire ? Ce serait curieux quand meme.

 

Les femmes réellement charmantes le sont tout autant quand elles sont décoiffées et avec une guenille sur le dos, à mon sens. Et quand bien même, il est possible de mettre ses atouts en avant tout en étant « spirituelle », non ? 

La flagornerie n’est pas intéressante, néanmoins j’ai parfois rencontré des hommes qui évitaient par toutes les pirouettes possibles de me dire que je leur plaisais aussi physiquement. Étant donné que je trouve cela stupide quand ce n’est pas de la timidité (c’est pardonnable), j’ai toujours pris soin de les éjecter fissa. Il n’y pas de stratégie en amour, plutôt de la sincérité. J’admets pouvoir plaire sur plusieurs plans, comme les hommes qui me plaisent, me plaisent en général sur plusieurs plans. C’est aussi simple que cela. 

il y a 10 minutes, Tequila Moor a dit :

OK ça marche, je n'y suis pas. D'ailleurs je n'y suis plus. Hop ! Propulsion luminique pour aller voir ailleurs si j'y suis. Tu peux continuer à jouer au Nietzsche amateur, à te définir par ta souffrance, à surjouer la misogynie tendance XIX° : après tout si ça te donne l'illusion d'exister, c'est le principal.

On peut vraiment pas dire de moi que je joue les mystérieux, pour d'autres en revanche ce serait pertinent.

Sinon pour le reste tu interpretes comme tu veux, ça n'a pas d'importance pour moi, tu ne fais pas partie des personnes qui m'interpellent.

Quoiqu'a la réflexion le 2 se défend, je pourrais m'en faire l'avocat, en partie

il y a 9 minutes, Léna-Postrof a dit :

Les femmes réellement charmantes le sont tout autant quand elles sont décoiffées et avec une guenille sur le dos, à mon sens. Et quand bien même, il est possible de mettre ses atouts en avant tout en étant « spirituelle », non ? 

La flagornerie n’est pas intéressante, néanmoins j’ai parfois rencontré des hommes qui évitaient par toutes les pirouettes possibles de me dire que je leur plaisais aussi physiquement. Étant donné que je trouve cela stupide quand ce n’est pas de la timidité (c’est pardonnable), j’ai toujours pris soin de les éjecter fissa. Il n’y pas de stratégie en amour, plutôt de la sincérité. J’admets pouvoir plaire sur plusieurs plans, comme les hommes qui me plaisent, me plaisent en général sur plusieurs plans. C’est aussi simple que cela. 

L'essentiel c'est que vous n'avez pas de mal a trouver chaussure a votre pied.

à l’instant, hell-spawn a dit :

On peut vraiment pas dire de moi que je joue les mystérieux, pour d'autres en revanche ce serait pertinent.

Sinon pour le reste tu interpretes comme tu veux, ça n'a pas d'importance pour moi, tu ne fais pas partie des personnes qui m'interpellent.

En fait si, c'est même un de tes motifs récurrents : "dites-moi ce que vous en pensez de ce sujet, je parlerai ensuite".

Ou alors "non mais je suis là pour déclencher des réactions, faire accoucher des sensibilités, pas là pour m'avancer".

Ou bien sûr, le fort amusant "excellente contribution, tu peux nous en dire plus ?" alors que tu ne dis rien en échange.

Pour le reste : c'est plutôt heureux, car je n'ai jamais eu cette ambition. Je ne suis pas là pour te nourrir en réactions, sensibilités, contributions. Je suis là pour m'amuser.

il y a 4 minutes, Tequila Moor a dit :

En fait si, c'est même un de tes motifs récurrents : "dites-moi ce que vous en pensez de ce sujet, je parlerai ensuite".

Ou alors "non mais je suis là pour déclencher des réactions, faire accoucher des sensibilités, pas là pour m'avancer".

Ou bien sûr, le fort amusant "excellente contribution, tu peux nous en dire plus ?" alors que tu ne dis rien en échange.

Pour le reste : c'est plutôt heureux, car je n'ai jamais eu cette ambition. Je ne suis pas là pour te nourrir en réactions, sensibilités, contributions. Je suis là pour m'amuser.

Je suis la pour connaitre les gens, tout simplement.

Et évidemment me situer par rapport a eux.

Alors si les sujets ne s'y pretent pas j'en crée.

Et prétendre que je ne dis rien quand meme... !

il y a 32 minutes, Tequila Moor a dit :

En fait si, c'est même un de tes motifs récurrents : "dites-moi ce que vous en pensez de ce sujet, je parlerai ensuite".

Ou alors "non mais je suis là pour déclencher des réactions, faire accoucher des sensibilités, pas là pour m'avancer".

Ou bien sûr, le fort amusant "excellente contribution, tu peux nous en dire plus ?" alors que tu ne dis rien en échange.

Pour le reste : c'est plutôt heureux, car je n'ai jamais eu cette ambition. Je ne suis pas là pour te nourrir en réactions, sensibilités, contributions. Je suis là pour m'amuser.

Vous amuser ? Faire, comme bien d’autres, du suivisme... sans doute pour cela que vous êtes si rasoir à lire.