Les intouchables : une campagne choc contre la maltraitance enfantine

Non il ne s’agit pas du film avec Omar Sy et François Cluzet en tête d’affiche, mais plutôt du dernier projet du photographe cubain Erik Ravelo sur les sévices infligés aux enfants de nos jours. “Les Intouchables” (“Los Intocables”) désigne en fait ces personnes influentes qui, sous couvert de leurs “positions”, maltraitent les plus jeunes et les plus vulnérables.

Ces clichés chocs renvoient à des sujets aussi délicats que les abus sexuels, les tueries scolaires, le vol d’organes, la pédophilie, la malnutrition, le tourisme sexuel ou encore les guerres et attentats

https://m.huffpostmaghreb.com/2013/08/02/projet-photo-les-intouchables_n_3694729.html

Et plus de photos ici :

https://www.google.fr/amp/www.konbini.com/fr/inspiration-2/les-intouchables-la-photo-choc-derik-ravelo/amp/

d’où vient cette envie de nous poster des crucifix? parce que je t'enverrais volontiers au confessionnal pour moins que ça.

tu dois avoir un truc a te faire pardonner.

il y a 13 minutes, chupa-chupi a dit :

d’où vient cette envie de nous poster des crucifix? parce que je t'enverrais volontiers au confessionnal pour moins que ça.

tu dois avoir un truc a te faire pardonner.

 

Très joli. Une préférence pour la « femme à la tête de fleur » mais tel n’est pas le sujet. 

je prends cette dérobade comme un aveu.

d'ailleurs c'est un truc de bonne sœur indignée cette série de photos.

c'est cruellement grâce aux petits enfants maltraités des mines de coltan qu'on bénéficie d'une technologie communicative miniaturisée apte à promouvoir cette indignation.

obtenue contre sévices salariaux ou en cadeau bienveillant. au bout du tunnel l'enfant est roi pour sa petite taille.

ayant piqué tous les nains restants disponibles pour assouvir leurs sévices ménagers, ça aggrave ta participation ingénue qui te rend si désirable et intouchable à la fois.

Il y a 1 heure, Léna-Postrof a dit :

Non il ne s’agit pas du film avec Omar Sy et François Cluzet en tête d’affiche, mais plutôt du dernier projet du photographe cubain Erik Ravelo sur les sévices infligés aux enfants de nos jours. “Les Intouchables” (“Los Intocables”) désigne en fait ces personnes influentes qui, sous couvert de leurs “positions”, maltraitent les plus jeunes et les plus vulnérables.

Ces clichés chocs renvoient à des sujets aussi délicats que les abus sexuels, les tueries scolaires, le vol d’organes, la pédophilie, la malnutrition, le tourisme sexuel ou encore les guerres et attentats

https://m.huffpostmaghreb.com/2013/08/02/projet-photo-les-intouchables_n_3694729.html

Et plus de photos ici :

https://www.google.fr/amp/www.konbini.com/fr/inspiration-2/les-intouchables-la-photo-choc-derik-ravelo/amp/

 

En faisant référence à la crucifixion, Erik Ravelo a plus voulu mettre en avant le caractère sacré de l’enfant que l’aspect religieux de la scène.

-----------------------Ben voyons...

Je n'accroche pas du tout. J'ai beau regarder, même les clichés (techniquement) je les trouve quelconques. L'idée est outrageusement démago et (parce-que?) extrêmement mal traitée: mettre sur un même plan la guerre en Syrie et la malbouffe ou le vol d'organes au Brésil fallait oser...

Et c'est encore une erreur cette "crucifixion" en arguant du caractère sacré (l'artiste est vraiment à côté). Immédiatement ce qui vient à l'esprit ce n'est pas "le caractère sacré", mais plutôt le sacrifice. Les enfants sacrifiés sur l'autel de la malbouffe, de la guerre, etc etc etc... 

Ce n'est pas choquant pour moi, c'est mauvais. 

une photo de blanche neige en crucifix floutée avec des petits carrés comme dans les film X asiatiques ne me choquerait pas non plus.

l'important c'est que le photographe s'amuse. les latinos sont très branchés bondieuseries.

Pourquoi mettre un petit gros sur un clown ? Parce que les clowns donnent trop de bonbons aux gamins ? 

Il y a 21 heures, chupa-chupi a dit :

je prends cette dérobade comme un aveu.

d'ailleurs c'est un truc de bonne sœur indignée cette série de photos.

c'est cruellement grâce aux petits enfants maltraités des mines de coltan qu'on bénéficie d'une technologie communicative miniaturisée apte à promouvoir cette indignation.

obtenue contre sévices salariaux ou en cadeau bienveillant. au bout du tunnel l'enfant est roi pour sa petite taille.

ayant piqué tous les nains restants disponibles pour assouvir leurs sévices ménagers, ça aggrave ta participation ingénue qui te rend si désirable et intouchable à la fois.

Un cliché avec le cadavre de Steve Jobs n’a pas été possible, pour des raisons évidentes, et puis l’odeur... En effet, les enfants exploités au travail sont souvent oubliés (enfants mineurs, enfants ouvriers), il semblerait toutefois, que certains dirigeants aient cherché des solutions alternatives et fait le tri dans leurs sous-traitants. 

Pas de dérobade, il est toujours intéressant de laisser venir quelques réponses.

N.B : lâchez-moi les nains. 

Il y a 9 heures, January a dit :

Je n'accroche pas du tout. J'ai beau regarder, même les clichés (techniquement) je les trouve quelconques. L'idée est outrageusement démago et (parce-que?) extrêmement mal traitée: mettre sur un même plan la guerre en Syrie et la malbouffe ou le vol d'organes au Brésil fallait oser...

Et c'est encore une erreur cette "crucifixion" en arguant du caractère sacré (l'artiste est vraiment à côté). Immédiatement ce qui vient à l'esprit ce n'est pas "le caractère sacré", mais plutôt le sacrifice. Les enfants sacrifiés sur l'autel de la malbouffe, de la guerre, etc etc etc... 

Ce n'est pas choquant pour moi, c'est mauvais. 

Il y a 7 heures, chupa-chupi a dit :

une photo de blanche neige en crucifix floutée avec des petits carrés comme dans les film X asiatiques ne me choquerait pas non plus.

l'important c'est que le photographe s'amuse. les latinos sont très branchés bondieuseries.

Moins que quelconques, et tout autant que les colonnes de Buren, pour exemple. Techniquement... est-ce qu’il y a de la technique ou bien s’agit-il de prendre un cliché à la vas-y que je te pousse ? Le fond n’est pas sans rappeler le milieu hospitalier. Dépouillé. De prime abord, tout le monde pourrait prendre ce genre de cliché, il suffirait d’avoir l’idée. 

Peut-on juger une « œuvre d’art »? Peut-on le faire objectivement ? Sous le couvert de l’art, peut-on faire passer la médiocrité ? 

Parce qu’il est question d’aborder la maltraitance enfantine, des enfants sont attachés à leurs bourreaux, en position de crucifixion. Se sert-on encore de la religion comme ressort créatif ? Le mois dernier, une jeune femme faisait le buzz alors qu’elle posait nue, le mur des lamentations en fond... très au fond et sur une chaise en plastique 1er prix. 

Ce qui vient immédiatement à l’esprit est en effet le sacrifice de l’enfant, sur l’autel de la malbouffe, des abus sexuels, du trafic d’organes, de la guerre... Jésus n’a t-il pas été crucifié alors qu’il était un modèle de paix et d’amour, innocent comme l’enfant ? Est-ce le parallèle qu’un artiste trop pieux aurait souhaité faire ? 

il y a 1 minute, Léna-Postrof a dit :

Peut-on juger une « œuvre d’art »?

Oui

il y a 1 minute, Léna-Postrof a dit :

Peut-on le faire objectivement ?

Il y aura toujours, toujours une partie de la critique qui sera subjective. 

il y a 2 minutes, Léna-Postrof a dit :

Sous le couvert de l’art, peut-on faire passer la médiocrité ? 

Je le crois oui. 

il y a 1 minute, January a dit :

Oui

Il y aura toujours, toujours une partie de la critique qui sera subjective. 

Je le crois oui. 

 

Toujours une part de critique subjective... même quand il s’agit de vomir sur une toile avec des liquides colorés, ou bien quand il s’agit de peindre un point sur une toile pour une personne atteinte de cécité, et le vendre 10000 dollars ? 

Je ne comprends pas ce que tu veux dire.

Je crois qu'il y aura toujours une part de critique subjective, c'est à dire issue d'un goût personnel, même pour le plus câlé de tous les professionnels, spécialisé dans l'art de la prise de vue/créativité (ce qui nous importe ici) - sachant qu'il sera extrêmement rare (impossible est mon avis) d'être le plus câlé de tous les professionnels dans tous les domaines de maîtrise de la photographie (et il y en a plus que de photographes je pense). 

il y a 45 minutes, January a dit :

Je ne comprends pas ce que tu veux dire.

Je crois qu'il y aura toujours une part de critique subjective, c'est à dire issue d'un goût personnel, même pour le plus câlé de tous les professionnels, spécialisé dans l'art de la prise de vue/créativité (ce qui nous importe ici) - sachant qu'il sera extrêmement rare (impossible est mon avis) d'être le plus câlé de tous les professionnels dans tous les domaines de maîtrise de la photographie (et il y en a plus que de photographes je pense). 

 

Ca coule de source...

 je ne lache rien, j'échange le sacrifice d'un enfant contre un roti de veau.

il y a une heure, January a dit :

Je ne comprends pas ce que tu veux dire.

Je crois qu'il y aura toujours une part de critique subjective, c'est à dire issue d'un goût personnel, même pour le plus câlé de tous les professionnels, spécialisé dans l'art de la prise de vue/créativité (ce qui nous importe ici) - sachant qu'il sera extrêmement rare (impossible est mon avis) d'être le plus câlé de tous les professionnels dans tous les domaines de maîtrise de la photographie (et il y en a plus que de photographes je pense). 

 

Quand c’est médiocre, ridicule, je pense que l’on peut objectivement/honnêtement/unaniment dire que ça l´est, tout goût personnel mis à part. 

Exemple : j’empaille un lombric et je le baptise « Rika Zaraï, symbole de l’utopie de chanson des masses et de son échec ».  

il y a 29 minutes, chupa-chupi a dit :

 je ne lache rien, j'échange le sacrifice d'un enfant contre un roti de veau.

 

Je ne cuisine pas le veau. 

il y a 5 minutes, Léna-Postrof a dit :

Je ne cuisine pas le veau. 

ai-je chanté paulette la reine des paupiettes?

ce désir d'afficher une pureté absolue et aveugle me chatouille la curiosité malsaine.

Il y a 4 heures, chupa-chupi a dit :

ai-je chanté paulette la reine des paupiettes?

ce désir d'afficher une pureté absolue et aveugle me chatouille la curiosité malsaine.

Presque. 

Je n'aime réellement et vraiment pas cela, en plus c'est vrai que c'est mignon un petit veau, moins une tête. 

Il y a 14 heures, Léna-Postrof a dit :

Exemple : j’empaille un lombric et je le baptise « Rika Zaraï, symbole de l’utopie de chanson des masses et de son échec ».  

Ben là tu vois (même si c'est pas le sujet), avant de dire que c'est débile je vais mettre un temps. Parce-qu'empailler un lombric, bah faut quand même le faire, c'est peut être un bijou de réalisation technique ce truc...

Le 26/08/2018 à 08:44, January a dit :

Ben là tu vois (même si c'est pas le sujet), avant de dire que c'est débile je vais mettre un temps. Parce-qu'empailler un lombric, bah faut quand même le faire, c'est peut être un bijou de réalisation technique ce truc...

À la fondation Louis Vuitton, vous pouvez admirer ceci : 

Avec pour légende cela : 

Ça part loin.

L’idée du lombric n’est pas plus idiote. Bon, techniquement... Dès que j’aurais accompli l’exploit et louer la salle des fêtes de Bouc-Étourdi, je vous fais signe. 

L’artiste Erik Ravelo accuse Facebook de censure :

Selon l’artiste, le réseau social aurait bloqué ses «Like» à un peu plus de 17'000, un seuil atteint à peine quelques jours après la publication des photos et qui n’évolue plus. Le Cubain affirme également qu’on lui a interdit de publier de nouvelles images puisque ses photos ne respecteraient pas les conditions d'utilisation.

(Le Matin)

https://m.lematin.ch/articles/551ab8a3ab5c37bb22005689