La fierté de ses parents

il y a 50 minutes, riad** a dit :

La fierté c'est provoquer les autres en duel, en Russie c'est être capable de jouer à la roulette russe, et au japon c'est se suicider si tu échoues.
 

La fierté c'est ce qui te fais te relever encore et encore alors que tout est fait pour que tu restes à genoux!

il y a 1 minute, Morfou a dit :

La fierté c'est ce qui te fais te relever encore et encore alors que tout est fait pour que tu restes à genoux!

c'est l'instinct de survie

à l’instant, Vilaine a dit :

Justement. Il a perdu toute sa fierté aux yeux du monde, mais Dieu l'a rétablie (et pas qu'un peu). Lis la fin de l'histoire...

Je connais l'histoire, Dieu s'ennuyait tout seule dan son coin, il invite satan à jouer une partie de monopoli, et au cours de la discussion satan dit à Dieu que si Job était bon c'est grâce à sa richesse et donc à sa réussite, Dieu a répondu " n'importe quoi, tu racontes des salades" et donc ils ont fait un pari, un pari rapporté par le héros, pas par le méchant de l'histoire, ça veut dire que même pauvre et malade Job n'a pas perdu son estime de soi, c'est ça la moralité de ce film préhistorique à mon avis, c'est contraire à ce que tu dis.
 

il y a 5 minutes, bouddean a dit :

bon, les enchères passent a 200 balles 

 

C'est pourtant claire comme de l'eau de roche...

à l’instant, Morfou a dit :

La fierté c'est ce qui te fais te relever encore et encore alors que tout est fait pour que tu restes à genoux!

C'est très interessant de voir ce que penses les autres peuples de la fierté :

" Masabumi Hosono était le seul japonais à bord du Titanic. Il était un fonctionnaire travaillant pour le ministère japonais des transports. Après que le Titanic avait percuté l’iceberg, Hosono est allé se réfugier sans hésiter dans une place vide dans l’un des derniers canots de sauvetage.

De retour au Japon, l’homme a perdu immédiatement son travail, il a été considéré comme un lâche par la presse japonaise et les manuels scolaires l’avaient décrit comme déshonorant. En effet, les gens au Japon pensaient qu’il avait trahit l’esprit samouraï de sacrifice de soi. Ils pensaient qu’il aurait dû laisser la place à quelqu’un d’autre et couler avec le navire.

L’homme a vécu le reste de sa vie dans la honte et sa mauvaise image a hanté sa famille jusqu’à sa mort."

il y a 7 minutes, lumic a dit :

Ce n 'est pas une raison puisque au vu de toutes ces difficultés , de toutes ces souffrances subies par nos ancêtres , montrons nous dignes et fiers de tous ces sacrifices , cela n 'aura pas été pour rien ...

Ce n'était pas des sacrifices, c'était juste leur vie!

il y a 5 minutes, EM-pirique a dit :

c'est l'instinct de survie

Non! fierté et instinct de survie ne sont pas synonyme!

Parce que pour survivre, ce qu'un humain est capable de faire, n'a vraiment rien à voir avec "fierté"!

il y a 15 minutes, riad** a dit :

Je connais l'histoire, Dieu s'ennuyait tout seule dan son coin, il invite satan à jouer une partie de monopoli, et au cours de la discussion satan dit à Dieu que si Job était bon c'est grâce à sa richesse et donc à sa réussite, Dieu a répondu " n'importe quoi, tu racontes des salades" et donc ils ont fait un pari, un pari rapporté par le héros, pas par le méchant de l'histoire, ça veut dire que même pauvre et malade Job n'a pas perdu son estime de soi, c'est ça la moralité de ce film préhistorique à mon avis, c'est contraire à ce que tu dis.
 

Tu la connais bien mal.

à l’instant, riad** a dit :

C'est très interessant de voir ce que penses les autres peuples de la fierté :

" Masabumi Hosono était le seul japonais à bord du Titanic. Il était un fonctionnaire travaillant pour le ministère japonais des transports. Après que le Titanic avait percuté l’iceberg, Hosono est allé se réfugier sans hésiter dans une place vide dans l’un des derniers canots de sauvetage.

De retour au Japon, l’homme a perdu immédiatement son travail, il a été considéré comme un lâche par la presse japonaise et les manuels scolaires l’avaient décrit comme déshonorant. En effet, les gens au Japon pensaient qu’il avait trahit l’esprit samouraï de sacrifice de soi. Ils pensaient qu’il aurait dû laisser la place à quelqu’un d’autre et couler avec le navire.

L’homme a vécu le reste de sa vie dans la honte et sa mauvaise image a hanté sa famille jusqu’à sa mort."

 

Les asiatiques et leur sacrifice de leur vie...

Ce n'est pas de la fierté, c'est de l'orgueil!

il y a 8 minutes, Morfou a dit :

La fierté c'est ce qui te fais te relever encore et encore alors que tout est fait pour que tu restes à genoux!

   Ça , c' est une bonne définition (à mon sens) ... Mais il y a certainement plusieurs façons de ressentir ce mot .

C' est aussi une digne satisfaction ... ou une certaine suffisance (telle l' initiatrice de ce fil) condescendante quoi (ouais , pour monter il faut tout de même un minimum d' empathie , de bienveillance et de gentillesse)

il y a 10 minutes, Morfou a dit :

Non! fierté et instinct de survie ne sont pas synonyme!

Parce que pour survivre, ce qu'un humain est capable de faire, n'a vraiment rien à voir avec "fierté"!

Ton point de vue t'appartient

à l’instant, Morfou a dit :

Les asiatiques et leur sacrifice de leur vie...

Ce n'est pas de la fierté, c'est de l'orgueil!

Mais oui, c'est ça je cherchais le mot. mais en fait l'orgueil n'est pas une fierté démesurée?
 

à l’instant, Vilaine a dit :

Tu la connais bien mal.

Tu ne veux pas m'aider à la connaître mieux?

y a pas de fierté pour ni l'un ni l'autre..

je pars du principe que nous enfants, nous ne sommes pas tres fiers des parents quand on vois l'education recu, ou la maltraitance subi.., des parents totalement absents.. l'enfant se prend en charge tout seul 

Il y a 7 heures, Vilaine a dit :

On peut être riche, sans être attaché à ses richesses. C’est Jésus lui même qui invite à faire fructifier son capital. La richesse mais aussi, la gestion de ses biens est tout à fait compatible avec les evangiles. 

C’est aussi le Christ qui s’est rapproché d’hommes riches comme Zachée ou Mathieu. 

Il faut arrêter de penser que la richesse est une tare. Au contraire, cela représente une réelle bénédiction.

Et bien oui, je forcerais des jeunes enfants à aller à l’ecole, à faire leurs devoirs, à faire des petites taches ménagères. Je les empêcherais même de regarder la TV et de se goinfrer de bonbons. Ils auront beau crier, faire des caprices, appeler SOS enfants maltraités (enfin, ils auront du mal à le faire, car ils n’auront pas de téléphone), ça ne changera pas.

Oui, je suis un monstre, tu peux le dire.

-T'es pas un monstre non, t'arrives même pas à ça en fait, le truc c'est que tu veux conformer tes gosses a TA vision des choses, le rôle d'un parent c'est pas de taper sur ses gamins dès qu'ils font un pas non prévu, ça s'appelle du dressage ça

à l’instant, hannibal25 a dit :

y a pas de fierté pour ni l'un ni l'autre..

je pars du principe que nous enfants, nous ne sommes pas tres fiers des parents quand on vois l'education recu, ou la maltraitance subi.., des parents totalement absents.. l'enfant se prend en charge tout seul 

 

Il y a des familles aimantes...responsables, non intrusives etc.

il y a 3 minutes, The_Dalek a dit :

-T'es pas un monstre non, t'arrives même pas à ça en fait, le truc c'est que tu veux conformer tes gosses a TA vision des choses, le rôle d'un parent c'est pas de taper sur ses gamins dès qu'ils font un pas non prévu, ça s'appelle du dressage ça

Je n'ai jamais parlé de "taper sur eux", juste de mettre en place quelques règles qui relèvent pour moi du bon sens. Oui, en tant que parents, j'impose MA vision des choses, et je trouve ça normal. (Surtout que si je ne le fais pas, d'autres le feront pour moi). 

à l’instant, Vilaine a dit :

Je n'ai jamais parlé de "taper sur eux", juste de mettre en place quelques règles qui relèvent pour moi du bon sens. Oui, en tant que parents, j'impose MA vision des choses, et je trouve ça normal. (Surtout que si je ne le fais pas, d'autres le feront pour moi). 

Ah non, tu es un dictateur ultra violent qui manie le fouet au moindre éternuement non autorisé puisque tu n'es pas d'accord avec moi

il y a 52 minutes, Vilaine a dit :

Non, car même dans l'ancien testament, il était question de richesses. J'ai parlé d'Abraham, de Job, de David mais l'exemple le plus parlant, c'est sans doute Salomon. 

Salomon aurait écrit l'Ecclesiaste ( un roi qui a connu tous les plaisirs terrestres ) ou il est répété a l'envie: "vanité, vanité des vanités, tout est vanité"

Mais je parlais du nouveau testament et surtout des évangiles, étonnant que tu n'aies pas compris ça.

il y a 1 minute, The_Dalek a dit :

Ah non, tu es un dictateur ultra violent qui manie le fouet au moindre éternuement non autorisé puisque tu n'es pas d'accord avec moi

Le fouet c'est réservé aux adultes. 

Pour toi, ce sera le (gros) coin!

il y a 2 minutes, hell-spawn a dit :

Salomon aurait écrit l'Ecclesiaste ( un roi qui a connu tous les plaisirs terrestres ) ou il est répété a l'envie: "vanité, vanité des vanités, tout est vanité"

Mais je parlais du nouveau testament et surtout des évangiles, étonnant que tu n'aies pas compris ça.

La bible ne s'oppose pas aux richesses, je t'ai donné des exemples de l'Ancien et du Nouveau Testament (les deux étant de toutes façons liés). 

Il y a 3 heures, titenath a dit :

Je pense qu'il veut parler de la fierté d'être ce que l'on est, c'est à dire par exemple une personne droite, honnête, intègre, bienveillante, à l'écoute, sensible aux autres, etc....

Parce que ce que tu as matériellement peut être éphémère et le jour où tu as tout perdu (on ne sait pas ce que nous réserve la vie) et bien malgré tout tu peux rester fier de la personne que tu es.

 

Oui.

Hélie de saint Marc, rescapé des camps de concentrations nazis, ancien légionnaire, écrivain, disait que pour juger la valeur d'un homme il lui suffisait de l'imaginer nu dans un camp de concentration, il savait intuitivement ce qu'il serait devenu.

La fierté, meme la fierté envers soi-meme, ce n'est pas le plus important, ce n'est pas ça qui nous pousse a nous relever quand on est tombé tout au fond, ou qui nous empeche de tomber.

Il y a plus fondamental : se relever non pas pour soi, mais pour les etres qui dépendent de nous.