Régime alimentaire, doute et depression

Bonjour,

depuis mes 15 16 ans, suite à des décès dans ma famille dont l'origine était en partie alimentaire (problèmes circulatoires, cancer), j'ai voulu en savoir plus sur la meilleure façon de s'alimenter car, comme nous le savons tous, notre alimentation détermine en grande partie notre état de santé. C'est aussi à cette époque que j'ai commencé à faire du sport sérieusement. (athlétisme et vélo essentiellement)

Au fil des années, je me suis donc intéressé à différents régimes alimentaires : veganisme, végétarisme, paléo ou cétogène, ... chacun apportant des informations nouvelles, intéressantes mais qui amène au final à beaucoup d'incertitudes. En effet, en allant aussi me documenter sur internet, on ne sait véritablement plus comment s'alimenter : faut il ou pas manger des produits laitiers ? de la viande ? tous produits contenant des glucides simples ou complexes ? Faut il faire des jeûnes ? Faut il faire des cures ?

De nos jours, je vis dans une incertitude totale vis à vis de ce que je devrais manger, limiter voir supprimer dans mon alimentation et j'angoisse beaucoup, étant par ailleurs assez hypocondriaque, sur les conséquences qu'auront sur ma santé à terme des aliments dont j'aimerais savoir définitivement si oui ou non je peux les consommer. De plus, il y a un facteur culturel propre à chacun : il est difficile de revenir sur des habitudes acquises dans l'enfance, mais également sur le plaisir que l'on prend à consommer certains produits, les fromages ou la charcuterie notamment.

Face à cette indécision, à mes questionnement sur l'alimentation qui deviennent aujourd'hui littéralement obsessionnels et source de stress, je cherche à savoir comment changer et vivre normalement. Je pense passer par un(e) nutritionniste, mais un professionnel qui sortirait des sentiers battus du plan national santé dont l'élaboration est sujette à de nombreux conflits d'intérêts.

Comment pourrais je sortir de cette situation selon vous ?

Peut être simplement en comprenant que c'est d'équilibre dont ton corps à besoin.

 si comme tu le dis toutes tes recherches ne te provoquent que du stress c'est que tu es allé trop loin.

Et puis, ni le sport ni une alimentation équilibrée n'sont une véritable garantie pour ta santé. C'est juste un petit plus...

Il y a 1 heure, Davus a dit :

Bonjour,

depuis mes 15 16 ans, suite à des décès dans ma famille dont l'origine était en partie alimentaire (problèmes circulatoires, cancer), j'ai voulu en savoir plus sur la meilleure façon de s'alimenter car, comme nous le savons tous, notre alimentation détermine en grande partie notre état de santé. C'est aussi à cette époque que j'ai commencé à faire du sport sérieusement. (athlétisme et vélo essentiellement)

Au fil des années, je me suis donc intéressé à différents régimes alimentaires : veganisme, végétarisme, paléo ou cétogène, ... chacun apportant des informations nouvelles, intéressantes mais qui amène au final à beaucoup d'incertitudes. En effet, en allant aussi me documenter sur internet, on ne sait véritablement plus comment s'alimenter : faut il ou pas manger des produits laitiers ? de la viande ? tous produits contenant des glucides simples ou complexes ? Faut il faire des jeûnes ? Faut il faire des cures ?

De nos jours, je vis dans une incertitude totale vis à vis de ce que je devrais manger, limiter voir supprimer dans mon alimentation et j'angoisse beaucoup, étant par ailleurs assez hypocondriaque, sur les conséquences qu'auront sur ma santé à terme des aliments dont j'aimerais savoir définitivement si oui ou non je peux les consommer. De plus, il y a un facteur culturel propre à chacun : il est difficile de revenir sur des habitudes acquises dans l'enfance, mais également sur le plaisir que l'on prend à consommer certains produits, les fromages ou la charcuterie notamment.

Face à cette indécision, à mes questionnement sur l'alimentation qui deviennent aujourd'hui littéralement obsessionnels et source de stress, je cherche à savoir comment changer et vivre normalement. Je pense passer par un(e) nutritionniste, mais un professionnel qui sortirait des sentiers battus du plan national santé dont l'élaboration est sujette à de nombreux conflits d'intérêts.

Comment pourrais je sortir de cette situation selon vous ?

Manger modérément, varié, les productions locales et de saison de préférence.

Sans oublier de se faire plaisir.

Après, si tu es à l’écoute de ton corps, tu apprendras, avec l'éclairage de tout ce que tu as lu, à sentir ce qui te réussis, ou au contraire ce qui te fait du mal.

Mange des choses fraîches, les moins transformées possible, ne stocke pas trop les fruits et légumes frais car ils perdent leurs vitamines rapidement donc consomme- les après achat;évite  les calories vides ( sucre, alcool, aliments trop raffinés, aliments déshydratés, trop frits) et les aliments fermentés et ceux bourré de colorants (certains bonbons, sirops,....); ne fais pas l'impasse sur le gras car la moitié des vitamines se dissout dans les graisses. Mais choisis ton gras: huile de première pression à froid, beurre de qualité, lait frais ; la charcuterie est un aliment très transformé et bidouillé de manière à introduire pas mal de gras; c'est un aliment à ne manger qu'une fois tous les quinze jours et il vaut mieux privilégier le jambon cuit dégraissé. Le reste est boucané, bourré de conservateurs et de sel. Et dis -toi que l'eau est la seul boisson nécessaire à la vie!Choisis des fromages frais et à moins de 30% de MG.

D'après les nombreux livres que j'ai lus il y a corrélation entre carences en vitamines et maladies (cancers???) mais entrent aussi en ligne de compte la radioactivité et aussi l'environnement. Un livre fait même mention d'une composante psychologique dans le cancer:une sorte d'état d'échec global dans lequel se trouve notre maître intérieur. Et pour les ennuis circulatoires la difficulté de laisser la vie s'épanouir et circuler en nous. Ceux qui sont morts de cancer dans ta famille  de ta famille ont dû avoir une vie bien difficile et bien peu épanouissante en tous cas à  leurs propres yeux.

Manger sainement en essayant d'en faire soi même le maximum, éviter le gras, consommer des légumes pour le transit, et des fruits en toute saison, mais le seul à bannir c'est aller se goinfrer à Mac Do de leurs cochonneries ou le faire accessoirement , on retrouve tous les gros là bas, les ricains en font la preuve

Il y a 3 heures, querida13 a dit :

Mange des choses fraîches, les moins transformées possible, ne stocke pas trop les fruits et légumes frais car ils perdent leurs vitamines rapidement donc consomme- les après achat;évite  les calories vides ( sucre, alcool, aliments trop raffinés, aliments déshydratés, trop frits) et les aliments fermentés et ceux bourré de colorants (certains bonbons, sirops,....); ne fais pas l'impasse sur le gras car la moitié des vitamines se dissout dans les graisses. Mais choisis ton gras: huile de première pression à froid, beurre de qualité, lait frais ; la charcuterie est un aliment très transformé et bidouillé de manière à introduire pas mal de gras; c'est un aliment à ne manger qu'une fois tous les quinze jours et il vaut mieux privilégier le jambon cuit dégraissé. Le reste est boucané, bourré de conservateurs et de sel. Et dis -toi que l'eau est la seul boisson nécessaire à la vie!Choisis des fromages frais et à moins de 30% de MG.

D'après les nombreux livres que j'ai lus il y a corrélation entre carences en vitamines et maladies (cancers???) mais entrent aussi en ligne de compte la radioactivité et aussi l'environnement. Un livre fait même mention d'une composante psychologique dans le cancer:une sorte d'état d'échec global dans lequel se trouve notre maître intérieur. Et pour les ennuis circulatoires la difficulté de laisser la vie s'épanouir et circuler en nous. Ceux qui sont morts de cancer dans ta famille  de ta famille ont dû avoir une vie bien difficile et bien peu épanouissante en tous cas à  leurs propres yeux.

 

Tu vas trop loin Apis .colporter ce genre de théories farfelues .c'est implicitement reprocher aux malades qu'ils sont resposables... or c est une théorie plus que simpliste .. sans aucun fondement réel .  

En d'autre terme ma soeur m'a balancé que j'avais bien chercher mon cancer, parce que j étais dépressive .

C'est moi qui ai écrit cela et pas Apis.Voir:

https://www.entre-vos-mains.fr/blog/psychologie-energetique/

Tu as peut être  aussi des carences en vitamines du groupe B (attention à la consommation d'alcool , aux régimes carencés qui aggravent ces fuites).Va regarder sur Google tape" vitamines de la bonne humeur".

Il y a 12 heures, querida13 a dit :

C'est moi qui ai écrit cela et pas Apis.Voir:

https://www.entre-vos-mains.fr/blog/psychologie-energetique/

Tu as peut être  aussi des carences en vitamines du groupe B (attention à la consommation d'alcool , aux régimes carencés qui aggravent ces fuites).Va regarder sur Google tape" vitamines de la bonne humeur".

A zut m'éprise, désolée Apis...

Le conseil s'adresse à moi Quérida ?

Hello. À mon avis, tu devrais prendre rendez-vous avec un professionnel, comme un nutritionniste. Ce serait mieux d’avoir de vrais conseils au lieu de prendre tous ceux qui traînent comme informations sur le Net. J’ai fait cette erreur, et franchement, ça ne m’a pas du tout réussi !

Bonjour,

je vous remercie de m'avoir répondu.

En effet la visite d'un(e) profesionnel(le) pourra peut être m'aider.

Concernant le cancer, il y a bien entendu des traumatismes qui peuvent générer le mal. Je connais personnellement trois cas où des personnes, après avoir vécu un événement difficile (divorce, décès, abandon par ses proches, ...) sont tombés quelques semaines ou mois après malades. Et la réciproque est vraie : un état esprit indéfectiblement positif, batailleur favorise la guérison. (j'avais notamment lu le témoignage d'un jeune cancéreux de moins de 35 ans qui avait survécu à un cancer digestif très avancé alors que ses médecins l'estimaient condamné tout simplement parce qu'il n'acceptait pas l'idée de partir si jeune)

Après tout cela mériterait d'être prouvé scientifiquement car à ce jeux là nous connaissons tous des exemples particuliers pouvant confirmer nos a prioris mais cela n'est pas valable comme argument.