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En Essonne, les policiers des BAC doivent se regrouper

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la 300ème...je te la laisse....

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Michel-Poulaert-humour-Police.jpeg

:baby::D

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Demain, en France?...

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:France:

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Aux armes, (plus léger)... etc.... ...:titenath:!

 

 

1996...

 

 

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à propos de la B.A.C. .

.. en  2017

Selon UNITÉ SGP POLICE : L’appel à candidature ne rencontre pas le succès escompté, les viviers locaux ou départementaux se vident, certaines unités en province sont appelés à disparaître. Les chefs de service ne souhaitent pas prélever des effectifs au sein du service général déjà en grande difficultés. L’ouverture au mouvement profilé établi, selon certaines règles*, par la DRCPN, sous couvert de la Direction Générale de la police nationale permettrait de ré- soudre en partie le manque d’effectifs dans ces unités.

http://www.unitesgppolice.com/sites/default/files/pdf/2017_09_27_COMPTERENDUBAC.pdf

Brigitte Julien de la Direction centrale de la sécurité publique confirme ce constat aux reporters de France 3 : "On a constaté qu'il n'avait pas une désaffection, mais enfin on avait moins de candidatures effectivement, et nos collègues chefs de services avaient quelques soucis pour recruter des policiers pour être dans les BAC"

 

https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/criminalite-a-marseille/video-la-bac-dans-la-tourmente-peine-a-attirer-de-nouveaux-policiers_282461.html

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En le stigmatisant et le construisant progressivement comme un individu dangereux, les hiérarchies changent d’attitude à son égard, dans la mesure où il perturbe ouvertement la mécanique trop bien huilée de la machine. Il dérange, peut-être d’abord inconsciemment mais très rapidement délibérément, un ordre coutumier fondamentalement régi par des rituels apparentant l’organisation policière à un clergé d’Etat (Lacaze, 2007) où, comble de paradoxe, le culte de la circulaire écrite est censée protéger l’institution des dérapages permanents de ses membres. Or, il ne cesse de demander des comptes écrits à tous les rouages des hiérarchies verticales et des partenaires horizontaux en leur opposant les notes de service que l’institution secrète au quotidien. Il les enjoint de s’expliquer sur la façon d’appliquer les normes reçues quand on lui fait remarquer qu’il ne s’y attèle pas nécessairement comme il le faudrait. Leur opposant, par son excès de zèle à vouloir bien faire ou mieux faire, les normes légales, il est conduit à établir de lui-même le constat que la machine les réinterprète à sa façon avant de les propager mécaniquement dans son ordre interne. Le constat a beau en être fort trivial parmi les sociologues des organisations (Gatto, Thoenig, 1993), les démocrates et les juges surtout n’en mesurent jamais assez les conséquences.

Or, les menaces diffuses qui ont jusque-là pesé sur les épaules du lanceur d’alerte se sont avérées sans effets, car il a su éviter deux écueils : celui des intimidations et menaces réitérées qui amènent en général la plupart des fortes têtes à récipiscence, après que les marchandages informels soient restés lettre morte ; celui de s’abstenir de critiquer ouvertement l’institution, non pas tant sur le plan de ses orientations politiques, mais en menant plutôt à l’intérieur un combat citoyen, en demandant des comptes aux trop nombreuses injonctions contradictoires auxquelles on lui demande de s’adapter comme il peut. Il se trouve que des agents, sans être inconscients, soient parfois dotés d’une propension naturelle à demander sans cesse des comptes à ceux de leurs supérieurs hiérarchiques qui ne veulent rien savoir des effets ravageurs de leurs décisions parmi le public qu’ils prétendent d’abord servir. En d’autres termes, il arrive que chez certains fonctionnaires, y compris parmi des fonctionnaires dits d’autorité, l’autorité ne soit précisément plus quelque chose qui aille de soi dansla manière dont elle devrait s’exécuter à l’extérieur de l’institution, quand elle y devient franchement abusive à l’interne.

Le diagnostic a été abondamment étayé selon lequel la suspicion policière a prioriengendre la perversion d’un fichage infini, et le fichage infini la suspicion démocratique à l’encontre de la police, même de la part des mieux disposés à son égard. L’enjeu de la nécessité du fichier STIC est désormais posé aux hommes de bonne volonté : pourquoi ne pas en envisager frontalement la destruction, puisqu’il fait plus de mal aux citoyens qu’il n’est vraiment utile à la police pour lutter contre la récidive ?

 

 

...

https://www.cairn.info/revue-archives-de-politique-criminelle-2011-1-page-113.htm

http://www.avocatparis.org/letat-durgence-dans-le-droit-commun-quand-lexception-devient-la-regle-au-mepris-des-libertes

 

...:hello:

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up....:hi:....

 

bonne nuit le post...

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34035743_684759318522178_744834893631140

 

Si si ! C'est écrit :D

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Harcèlement : enquête au sommet de la PJ

Un commissaire est suspendu, et la police des polices mène les investigations depuis la semaine dernière.

Un haut gradé de la direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) est dans la nasse de l'IGPN, la police des polices. Suspendu la semaine dernière de ses fonctions par le ministère de l'Intérieur, ce commissaire divisionnaire est soupçonné d'avoir harcelé une collègue: une commissaire, patronne du SIRASCO, le Service d'Information, de Renseignement et d'Analyse Stratégique sur la Criminalité Organisée - un véritable service de renseignement criminel au sein de la DCPJ. Comme on l'explique place Beauvau sous le sceau de l'anonymat, le commissaire, qui occupait les fonctions d'adjoint d'un sous-directeur, est suspecté de "harcèlement professionnel" sur fond "d'amour déçu". Des témoignages attesteraient d'un comportement récurrent de "gros lourd". 

C'est la cheffe de cette équipe de 20 personnes, autant issues de la police que de la gendarmerie, qui s'est plainte à sa hiérarchie. Elle a été entendue hier, mercredi 30 mai, dans les locaux de l'IGPN - elle n'a pas répondu aujourd'hui à la sollicitation de L'Express. La caractérisation des faits reste néanmoins tout l'enjeu de cette procédure, en dépit des témoignages, confie un proche du dossier.  

C'est en tout cas la première fois que des faits supposés de harcèlement sont mis au jour au sein de la hiérarchie policière. Alors que Mireille Balestrazzi, la patronne de la DCPJ, s'apprête à quitter son poste - elle part à la retraite - à la fin de l'année, la suspension d'un haut responsable risque de créer un traumatisme durable dans une direction sensible de la maison Police.  

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/enquete-au-sommet-de-la-police-judiciaire_2013300.html

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"C’est un groupe de personnes très déterminées qui nous attendait au pied du tribunal de Créteil (TGI), pour nous informer de leurs démarches et nombreuses interpellations des pouvoirs publics, par des courriers adressés aux ministères de la Justice et de l’Intérieur. A ce jour, toutes sont restées lettre morte. Pourtant, le sujet en question, et les rapports alarmants qui ont été produits et portés à la connaissance de ces édiles, sont accablants. Depuis plus de 20 ans, l’amiante, dans des quantités absolument dramatiques, contamine en silence les personnels travaillant sur le site du TGI de Créteil. "

"Daniel NAUDIN a alerté, depuis fort longtemps, les instances responsables de cette situation, notamment le ministère de la Santé, qui lui aurait répondu de se rapprocher des ministères de la Justice et de l’Intérieur, pour voir ce qu’il convenait de faire. A ce jour, rien n’a été entrepris, notamment pour encapsuler l’amiante par des travaux d’urgence (méthode permettant d’éviter la propagation de l’amiante par la pose d’un vernis par exemple) et aucune démarche n’a été entreprise afin d’avertir les personnels sur place ! Les ministères alertés n’ont fourni aucune réponse aux courriers qui leur ont été adressés. "

Citation

Présents à ce rassemblement, le secrétaire général de l’UNSA services judiciaires, Hervé BONGLET, accompagné de Brigitte BERCHER, secrétaire nationale UNSA-Justice et le docteur Claude DANGLOT, médecin biologiste et ingénieur hydrologue, en qualité d’expert médical. Enfin, Daniel NAUDIN, membre du conseil général du Val-de- Marne, alertant depuis de nombreuses années tous les acteurs concernés par les problématiques que rencontre le TGI de Créteil. Premier à prendre la parole, Daniel NAUDIN explique que, si le problème de l’amiante dans ce bâtiment est connu depuis 1997, le problème est bien antérieur, puisque la mise en service du tribunal date d’avril 1977. Même si, à l’époque, les normes étaient respectées pour la construction, et que l’amiante n’était pas encore reconnu comme dangereux, aujourd’hui ce n’est plus le cas. «  Il est connu de tous que l’amiante, c’est tout simplement une bombe à retardement à laquelle s’expose les intervenants, le personnel du tribunal, mais également toutes les personnes qui, pour diverses raisons, viennent fréquenter ce lieu, y compris la population civile ».

facebook-unsa.jpgDaniel NAUDIN a alerté, depuis fort longtemps, les instances responsables de cette situation, notamment le ministère de la Santé, qui lui aurait répondu de se rapprocher des ministères de la Justice et de l’Intérieur, pour voir ce qu’il convenait de faire. A ce jour, rien n’a été entrepris, notamment pour encapsuler l’amiante par des travaux d’urgence (méthode permettant d’éviter la propagation de l’amiante par la pose d’un vernis par exemple) et aucune démarche n’a été entreprise afin d’avertir les personnels sur place ! Les ministères alertés n’ont fourni aucune réponse aux courriers qui leur ont été adressés. Il ajoute enfin que le préfet ne peut pas mettre en place un CHS interministériel (comité d’hygiène et sécurité), afin de permettre de travailler à la résolution de ce qui risquerait de devenir un drame sanitaire à l’avenir.
Hervé BONGLET intervient à son tour : « Le droit de retrait, que peut exercer chaque employé du tribunal, est une menace pour le bon fonctionnement de celui-ci. Simplement, cette menace s’éloigne sitôt que le personnel n’a pas l’information, puisque c’est un droit de retrait qui ne peut s’appliquer qu’individuellement, personne par  personne. Il y va pourtant de la santé de tous, et les responsables jouent avec cette santé en maintenant les non-dits et en faisant la sourde oreille ».
Il nous rapporte que l’objet de ce rassemblement a pour but d’informer les employés, mais aussi de mettre en garde la direction des services judiciaires de cette possibilité, qui a déjà été mise en place sur le tribunal de Cayenne, par exemple. Le but est tout simplement que le tribunal de Créteil soit cité comme prioritaire, sur tout autre pour les travaux à réaliser, dans le projet de loi de programmation des budgets de 2019 à l’Assemblée nationale, puis au Sénat. 


Il ajoute qu’il est conscient que des travaux d’une telle envergure (estimés à 400 M€) peuvent s’étaler sur la durée du quinquennat sans problème, et qu’il faudra sûrement ce délai-là pour les réaliser dans de bonnes conditions. Il insiste sur le fait que d’autres tribunaux ont bénéficié de budgets, les années précédentes, pour réaliser des travaux, et que celui de Créteil reste « l’oublié » de la justice depuis 1997, date à laquelle les premiers constats sont réalisés par les agents d’entretien du TGI. Daniel NAUDIN explique qu’un de ces derniers, convoqué à la suite de cette annonce, s'est vu conseiller sèchement, en des termes « cordiaux » : « Tu vas fermer ta gueule ! ».

Sujet sensible dites-vous ? Le malheureux, M. Julien De Flores, sera, trois ans plus tard, atteint d’une maladie très grave, liée à l’amiante (asbestose), et reconnu très atteint à la suite d’examens, avec, à l’époque, une incapacité de 60 % de sa capacité pulmonaire. Le docteur Claude DANGLOT explique alors, que le taux accepté pour la norme est de 5 microfibres par litre, mais que certains endroits dans le bâtiment enregistrent un taux de 100 microfibres par litre. L’amiante est 400 fois plus fin qu’un cheveu. C’est une poussière naturelle, issue de la roche, qui s’envole au moindre coup de vent. Autrement dit, pour lui, tout le tribunal est infesté par cette poussière mortelle. Et il termine par cette phrase, qui claque à nos oreilles : « Cette norme de 5 microfibres par litre, ne veut rien dire car il suffit d’une fibre pour avoir des conséquences irrémédiables sur la santé ».
Et les gendarmes dans tout ça ?

Brigitte BERCHER signale alors que, selon les estimations, 3 000 personnels seraient concernés, sans parler du passage du public dans le tribunal, et que cette estimation est encore bien en deçà de la réalité, car elle ne dispose d’aucune statistique concernant  les gendarmes qui accompagnaient les détenus au tribunal, entre avril 1977 et l'an 2000. Les gendarmes patientaient à côté de l’amiante même, dans des locaux abîmés, comme les cellules attenantes à la salle d’audience, ou encore la salle des scellés et la salle de surveillance, dégradées et infestées d’amiante à nu.

Asbestos.jpgDaniel NAUDIN exhibe une photo où l’on voit l’amiante à l’état brut, sur un mur particulièrement abimé et à l’air libre, en expliquant que des gendarmes attendaient là, des heures durant, que les prévenus passent en jugement. La photo est glaçante quand on connait les risques liés à l’amiante. Brigitte BRECHER reprend alors la parole pour indiquer que la DGGN (direction générale de la Gendarmerie nationale) a reçu un courrier à ce sujet, il y a trois ans (le général Denis FAVIER commandait l’institution). Une lettre identique a été adressée à l’actuel directeur, le général LIZUREY. A noter que ces lettres sont également restées sans réponse, à ce jour.
Toutefois, il s’agit de pondérer. Si l’information a bien été communiquée, elle doit faire l’objet d’une étude approfondie. Il est évidemment complexe de déterminer quels sont les personnels de la gendarmerie ayant fréquenté le TGI, pour motifs professionnels, sur une période aussi longue (près de 21 ans après la déclaration de l’interdiction de l’amiante, mais 41 ans si on tient compte de la date de construction du tribunal). Cela ne justifie pas l’inaction ou le silence, car on peut estimer raisonnablement qu’après trois ans, une réponse aurait pu être envisageable. 
En effet, un personnel informé pourrait se voir doté d’une « fiche d’exposition à l’amiante ». Un document obligatoire que doit fournir l’administration quand l’exposition est avérée, et délivrée à toute personne qui en fait la demande. Le docteur Claude DANGLOT va plus loin, en indiquant que le dernier employeur est responsable devant la justice, en cas de problème, et qu’il appartient à chacun de réclamer cette fiche.

Il évoque surtout, le « facteur temps » dans les affections dues aux maladies que provoque l’amiante, de 25 à 40 ans. Un nombre important de gendarmes pourraient ainsi bien être déjà retraités. C’est pourquoi, il faut se faire tout de même connaitre, car, pour toute personne affectée, il deviendrait bien plus complexe de se faire indemniser, le malade n’ayant pas pu prouver le contact avec le lieu.
De quoi nourrir des regrets, de ne pas se faire connaitre, pour toute personne exposée.

Sachez enfin qu’il existe une persistance du risque, toute la vie durant. Claude DANGLOT reconnait d’ailleurs qu’on ne connait pas toutes les maladies et cancers que peut provoquer l’exposition à l’amiante. Certains font actuellement l’objet d’étude, car on soupçonne que l’amiante en soit la cause.

Rappelons qu’en 2015, un gendarme, qui enquêtait sur les méfaits de l’amiante, est tombé malade (il a développé un épaississement de la plèvre). Il a finalement obtenu une indemnisation du FIVA - fonds d'indemnisation des victimes de l’amiante - de 27 000 €.

Selon un rapport du Sénat, l’amiante, interdit en 1997, pourrait causer la mort de 100 000 personnes d’ici à 2025.

https://www.pandore-gendarmerie.org/justice/creteil-amiante

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Septembre 2014:

Police : des ripoux au tribunal

"Pour avoir tiré le système à leur avantage, les deux commissaires ont comparu devant le tribunal correctionnel. Le parquet a requis contre François Ottaviani 3 ans de prison avec sursis simple, 10 000 euros d'amende et interdiction d'exercer. Contre Benoît Collin, 30 mois de prison avec sursis simple, 10 000 euros d'amende et interdiction d'exercer. Mardi soir, leurs avocats ont plaidé l'absurdité du système. Le jugement a été mis en délibéré."

http://www.lepoint.fr/societe/des-ripoux-au-tribunal-10-09-2014-1861905_23.php

 

Novembre 2017:

Paris : 18 mois sans salaire pour un commissaire de police «ripou»

" Ce mardi, le clap de fin de ce dossier de ripoux daté de 2014 qui impliquait d’autres grands flics est enfin tombé. Après la sanction judiciaire, le commissaire, 55 ans, est passé en conseil de discipline instruit par l’IGPN, la police des polices. "

(...)

"Depuis son procès au pénal, il y a trois ans, et après être passé par différents services de police, commissariats parisiens et police judiciaire puis à Bobigny (Seine-Saint-Denis), le commissaire sanctionné a atterri, «placardisé» à l’état-major des Haut-de-Seine. «Il a un emploi fictif, soupire un policier. Il est sur l’organigramme mais on ne le voit jamais. En gros, il est payé pour lire le journal. Et à plus de 6 000 euros nets par mois, ce n’est pas mal !». "

http://www.leparisien.fr/paris-75/dix-huit-mois-sans-salaire-pour-un-commissaire-de-police-ripou-21-11-2017-7407063.php

 

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la 46.....

 

 

...

 

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.../..."refusée à tout commentaire".....:facepalm:

:bravo:

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 "Policiers en colère a notamment permis à des collègues d’obtenir un week-end sur deux de repos dans certains commissariats, au lieu d’un week-end sur sept, explique une source. Mais à part ça, rien n’a changé". Et ce ne sont pas les mesures annoncées par Gérard Collomb fin novembre qui feraient dire le contraire.

https://www.lyoncapitale.fr/actualite/suicides-des-policiers-entre-devoir-de-reserve-et-besoin-de-parler/

 

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il y a 21 minutes, Anne Atôle a dit :

 

 

la 46.....

 

 

...

 

Septembre dernier:

Citation

Selon nos informations, un total de 2 028 CRS sont ce jeudi simultanément en arrêt maladie dans toute la France. Mieux, pour le déplacement ce jeudi d'Emmanuel Macron à Marseille, sur 392 CRS prévus pour assurer la sécurité pas moins de 321 se sont fait porter pâles.

http://www.leparisien.fr/economie/plus-de-2-000-crs-se-mettent-en-arret-maladie-le-jour-de-la-grogne-sociale-21-09-2017-7275930.php

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