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En Essonne, les policiers des BAC doivent se regrouper

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et depuis.....???.....

mais puiqu 'on vous dit que tout va bien.....

 

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tandis que dans le ciel bleu de Paris, pas de nuages....(juste un petit hélico)....

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Membre, 75ans Posté(e)
boeingue Membre 23 346 messages
Maitre des forums‚ 75ans‚
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il faut un sacré budget pour la police ,gendarmerie ,justice ,les prisons !!!

et du matériel , armes plus puissantes ,automobiles etc !!

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:D

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Article de décembre 2016

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Lassés des "procédures lourdes", 1500 policiers renoncent à leur habilitation OPJ

Les policiers lancent une deuxième vague de protestation, depuis mi-novembre, en renonçant à leurs habilitations d'officiers de policier judiciaire, pour protester contre l'accumulation des procédures administratives. Un appel très symbolique.

"J'ai l'honneur de solliciter le retrait de mon habilitation d'Officier de Police judiciaire. En effet, les nouvelles prescriptions de la loi du 3 juin 2016, entrée en vigueur le 15 novembre 2016, alourdissent encore considérablement notre charge de travail". Voici un extrait de l'un des 1500 rapports, envoyés selon le syndicat Unité-SGP Police FO, par des officiers de police judiciaire, aux procureurs depuis mi-novembre, . Ce mouvement est né chez la police de Montpellier et touche désormais plusieurs villes, comme Montauban, Versailles ou Lyon. 

Les fonctionnaires de police réclament le retrait de cette habilitation acquise par examen, qui leur permet d'effectuer des actes d'enquête judiciaire. Leur dessein? Protester contre les démarches administratives, de plus en plus nombreuses, qu'elle implique. 

 
Des lourdeurs administratives

Un premier mouvement national de grogne policière était né lors des violences contre des fonctionnaires de police, à Viry-Châtillon, le 8 octobre. Après plusieurs jours de manifestations, il avait débouché sur les promesses du gouvernement d'octroyer 250 millions d'euros pour de nouveaux équipements. Cette seconde fronde des policiers porte sur les lourdeurs administratives.  

Depuis le 15 novembre, la loi du 3 juin 2016 citée dans les courriers des policiers, est entrée en vigueur. Elle devait permettre de renforcer la lutte contre le crime organisé et le terrorisme, mais surtout simplifier la procédure pénale et alléger les charges de travail des officiers de police judiciaire (OPJ). Mais ce texte aurait, selon les concernés, conduit à l'inverse.  

"Du temps en moins au détriment du fond du dossier"

Parmi les points litigieux de cette loi, qui veut s'aligner sur des législations européennes, figure un nouveau droit octroyé au gardé à vue. Il peut désormais communiquer avec un tiers pour l'informer de son placement en garde à vue, si cette conversation "ne risque pas de permettre une infraction". "Il faut appeler ou voir cette tierce personne, arranger l'entretien... Cela engendre aussi plus de procès-verbaux", déplore un policier OPJ auprès de L'Express.  

Un brigadier-chef de la police judiciaire dans le Sud-Ouest, non-syndiqué, abonde: "Si le gardé à vue appelle son avocat, il faut faire un PV, s'il appelle son employeur, il en faut un second et encore un autre s'il veut contacter sa famille. Et s'il voit un médecin, nous devons encore rédiger deux autres PV..."  

"Pendant ce temps-là, les victimes attendent"

Autre mesure fustigée: la loi autorise désormais la présence d'un avocat lors d'opérations de reconstitution d'infraction et de la présentation du suspect à une victime ou à un témoin. Selon le policier du Sud-Ouest, si "quelqu'un fait usage de tous ses droits, on passe un tiers de notre temps à passer des coups de fil, notamment avec son avocat. C'est du temps que l'on ne passe pas à faire des auditions et pendant ce temps-là, les victimes attendent..." 

"C'est du temps en moins, au détriment du fond du dossier. On nous promet un allègement de la procédure, alors qu'au final, elle s'avère encore plus lourde", souligne aussi le premier OPJ. Un comble, puisque lors de ses promesses aux policiers en octobre, le gouvernement s'était engagé à simplifier la procédure de la garde à vue, en promettant notamment un seul procès, établi à la fin d'une garde à vue. Contacté par L'Express, le ministère de l'Intérieur n'a pas donné suite à nos sollicitations sur cette question.  

"Un acte symbolique"

Dans les faits, la demande des policiers relève essentiellement du cri d'alarme. "Le retrait n'existe qu'en tant que sanction, pour des manquements. C'est donc un acte symbolique", indique à L'Express un OPJ qui n'a pas encore effectué cette démarche, mais se pose la question. La démarche doit être faite par un service entier, "sinon on s'expose à des représailles de la hiérarchie", confie le brigadier-chef du Sud-Ouest. La demande de retrait permet néanmoins d'attirer une nouvelle fois l'attention des autorités sur la situation des policiers. 

Ce statut "offre plus de droits et de devoirs, et surtout des responsabilités bien plus importantes", précise le premier OPJ. Il permet au fonctionnaire de placer une personne en garde à vue, mais aussi de procéder à des perquisitions et fouilles de véhicules.Une charge de travail en plus, donc, récompensée par une prime d'environ 200 euros par trimestre. 

Le soutien des syndicats

Si les policiers "en colère" qui ont manifesté en octobre, souhaitaient pour la plupart s'affranchir des syndicats, cette fois, la fronde, même si elle est née de l'initiative personnelle de policiers, est unanime. Patrice Ribeiro, secrétaire général de Synergie, le second syndicat d'officiers, a indiqué à l'AFP que "tous les syndicats soutiennent ce mouvement qui, à court terme, peut bloquer la machine et les enquêtes judiciaires". Dans un communiqué, le syndicat UNSA police dit de son côté comprendre "l'exaspération des collègues OPJ et exige une véritable volonté d'allègement de la procédure pénale".  

"Selon un décompte fait jeudi, il y a 70% des OPJ du Sud-Ouest qui ont demandé le retrait de leur habilitation. Cela traduit une réelle détresse des policiers", indique à L'Express Yves Lefebvre, du syndicat Unité-SGP Police FO. Il indique avoir avisé Bernard Cazeneuve de cette situation mardi, sans obtenir de réponse. La fronde risque de perdurer encore quelque temps: les "policiers en colère" ont annoncé une "manifestation nationale" pour le 13 décembre. 

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/lasses-des-procedures-trop-lourdes-1000-policiers-renoncent-a-leur-habilitation_1856164.html

 

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Les fonctionnaires, membres de l’association Mobilisation des policiers en colère (MPC), ont pris la parole dans les médias alors qu’ils rendaient hommage à leurs collègues attaqués 1 an plus tôt à l’entrée de la Grande Borne. Un « manquement au devoir de réserve » selon l’administration.

La mauvaise nouvelle est arrivée dans leurs boites à lettres mercredi. Quatre policiers de l’association Mobilisation des policiers en colère (MPC) sont convoqués dans les locaux de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) les 3 et 9 novembre prochains. L’administration leur reproche d’avoir pris la parole dans les médias le 8 octobre dernier à l’occasion d’un rassemblement rendant hommage à leurs collègues attaqués et grièvement brûlés 1 an plus tôt à l’entrée de la Grande Borne à Viry-Châtillon.

Ils s’étaient retrouvés à une petite vingtaine devant la mairie de la ville pour une manifestation du souvenir mais aussi pour parler de leurs conditions de travail. Parmi les fonctionnaires qui vont devoir se rendre dans les locaux du XIIe arrondissement de Paris, un agent de services généraux de l’Essonne, une fonctionnaire de brigade anticriminalité des Yvelines et un policier affecté à l’unité d’appui judiciaire dans le même département.

 

Guillaume Lebeau, l’un des fondateurs du MPC, en poste dans une brigade anticriminalité des Hauts-de-Seine fait aussi partie des fonctionnaires sommés de s’expliquer pour « manquement au devoir de réserve ». Il réagit vivement : « On se demande si c’est de la maladresse ou du mépris. C’était un jour particulier, on voulait juste leur rendre hommage et on se fait convoquer une nouvelle fois. C’est malheureux d’en arriver là. » D’autant que ce rassemblement, l’association l’avait déclaré en préfecture et tous les fonctionnaires présents avaient fait le déplacement sur un jour de repos. Guillaume Lebeau reprend : « Quand nous parlons dans les médias, nous ne communiquons pas sur des affaires en cours ou sur des enquêtes mais juste sur nos conditions de travail. »

« On demande à être reçus par le ministre de l’Intérieur, au lieu de ça, c’est l’IGPN qui nous convoque. »

Après les manifestations de grogne des forces de l’ordre organisées dans l’Essonne puis dans les rues de Paris à l’automne 2016, le policier avait déjà fait l’objet d’une enquête de la police des polices. S’il avait été reconnu coupable de fautes, l’administration avait décidé de ne pas le sanctionner « en raison du contexte lié à l’attaque de Viry-Châtillon ». Cette fois-ci, « la direction de la police estime que l’agression est loin et que des sanctions peuvent être prononcées, selon une source hiérarchique. Les patrons annoncent que des efforts sont faits et de l’autre côté, les policiers continuent de dénoncer leurs conditions de travail. Ça passe mal. »

Guillaume Lebeau, lui, poursuit : « On demande à être reçus par le ministre de l’Intérieur et que notre association soit reconnue. Au lieu de ça, c’est l’IGPN qui nous convoque. » L’administration lui a aussi demandé un exemplaire de son livre, écrit avec le journaliste David Ponchelet et titré « Colère de flic » pour déterminer si des passages devaient être retirés… Un peu tard puisque ce témoignage sort mercredi prochain.

http://www.leparisien.fr/viry-chatillon-91170/quatre-policiers-convoques-par-la-police-des-polices-apres-l-hommage-de-viry-26-10-2017-7356843.php

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Reporty : les applications de vigilance citoyenne sous l’œil des juristes

https://www.dalloz-actualite.fr/flash/reporty-applications-de-vigilance-citoyenne-sous-l-oeil-des-juristes

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Fin mars, la CNIL a épinglé l’expérimentation d’une application sécuritaire à Nice, jugée non proportionnée et disposant d’une base légale fragile. Un avis qui ne sonne pas pour autant comme un coup d’arrêt.

 
par Gabriel Thierryle 30 avril 2018
 
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Mardi 20 mars. Ambiance lugubre à la ville de Nice. La municipalité vient de se faire épingler par la CNIL pour son expérimentation du 10 janvier au 10 mars, d’une application sécuritaire, Reporty. Développée par une société israélienne, Carbyne, celle-ci permet via son smartphone de signaler à la police municipale divers incidents, du dépôt d’encombrants à un attentat en cours. L’avis de l’autorité administrative indépendante, cinglant, est clair : la proportionnalité du dispositif expérimenté n’est, « en l’état, pas garantie ». Au champ très large d’événements envisagés, à cette possibilité de visualiser en direct ou par enregistrement les images au centre de supervision urbaine, et aux risques pour les vidéastes-citoyens ne s’opposent pas assez de garanties, comme cette charte des bonnes pratiques permettant une désinscription, jugées « insuffisantes compte-tenu de l’ampleur du dispositif ».

Pour la ville de Nice, c’est un sévère camouflet. Dans un communiqué, le maire de la commune, Christian Estrosi, réplique vertement, en tentant de déplacer le débat du domaine juridique vers le champ politique. « Une nouvelle fois, sans réelle explication, ni motivation, la CNIL s’oppose aux initiatives prises en matière de sécurité en brandissant la protection des libertés individuelles comme étendard, sans s’intéresser à ceux qui subissent chaque jour des agressions sur leurs propres libertés », pointe-t-il.

Pas un coup d’arrêt mais un rappel des règles

Le verdict des juristes spécialisés dans les nouvelles technologies est beaucoup plus mesuré. « La CNIL n’a pas en réalité remis en cause, en publiant cet avis, tous les systèmes de vidéoprotection citoyenne, assure à Dalloz actualité Corinne Thiérache, avocate au barreau de Paris. Ce n’est pas un coup d’arrêt mais un rappel des règles à appliquer. La lutte contre la délinquance ne doit pas s’exempter des règles d’équilibre entre droits et obligations. » « Nous sommes sur une motivation conforme à la doctrine habituelle de la CNIL », remarque également à Dalloz actualité l’avocate Garance Mathias.

Ce genre d’application de vigilance citoyenne, ici couplée avec de la vidéo, pourrait bien pourtant essaimer en France à l’avenir. Car la ville de Nice n’est pas la seule à s’y intéresser. L’association de défense des libertés numériques La Quadrature du net a ainsi repéré un projet similaire dans les cartons à Marseille. Les communes intéressées ne pourront cependant pas faire l’impasse sur une sérieuse anticipation juridique de tels dispositifs. « Il convient de procéder à des études d’impact, de veiller à développer des outils qui auront pris en compte, dès en amont, les principes de la vie privée et de la sécurité, énumère Corinne Thiérache. Manifestement, pour Nice, la CNIL n’a pas eu les réponses adéquates concernant l’outil Reporty ».

Un encadrement plus soutenu

Et ces juristes de souligner les nombreuses questions nécessitant une réponse avant d’imaginer le déploiement de projets similaires, notamment avec l’entrée en vigueur prochaine, le 25 mai, du règlement européen sur la protection des données personnelles – une collectivité comme Nice aura l’obligation de nommer un délégué à la protection des données qui aurait un rôle à jouer sur un tel dispositif. Règles éthiques à mettre en place, destinataires des informations citoyennes, durée de conservation de ces informations, droit à l’image des personnes filmées, parfois à leur insu, garde-fous face à d’éventuelles dérives ou des utilisations à des fins détournées, ou encore consultation, en amont, de la CNIL.

Craints pour leur caractère intrusif, les dispositifs de vigilance citoyenne s’inscrivent dans une tendance plus générale. « Nous remarquons que pour tout un pan de la société, pour la corruption ou la discrimination, nous demandons aux citoyens de dénoncer, souligne à Dalloz actualité l’avocate Blandine Poidevin. Certaines communes demandent la même chose. Je ne comprendrais pas que nous arrivons à trouver un équilibre pour des dispositifs utilisés sur la voie publique alors que nous y arrivons avec les entreprises avec les lois Sapin et Sapin 2 ». Une nouvelle loi, c’est justement ce que suggère la CNIL dans son avis. « Au regard des risques élevés de surveillance des personnes et d’atteinte à la vie privée qui pourraient résulter d’un usage non maîtrisé d’un tel dispositif », il est « hautement souhaitable qu’un tel dispositif fasse l’objet d’un encadrement législatif spécifique », explique l’autorité administrative indépendante. Affaire à suivre au Parlement.

 

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:sleep:

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Bah c'est cool... On demande même aux forces de l'ordre de garder des panneaux publicitaires :facepalm:

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Une vingtaine de gendarmes de la compagnie d'Avignon dont ceux du Psig se sont déployés cet après-midi sur la place Joseph-Thomas en plein centre ville du Pontet. À la demande du maire, la Une du magazine Le Point consacrée à "Erdogan, le dictateur" a été remise en place dans la sucette publicitaire par l'annonceur JC Decaux, au kiosque à journaux. Des membres de la communauté turque se trouvaient aussi sur les lieux.

Les pro-Erdogan demandaient aux élus présents sur place et au directeur de cabinet du maire Joris Hébrard, Xavier Magnin, de retirer à nouveau cette Une. Ce dernier leur a annoncé qu'il n'accéderait pas à leur demande en raison de la liberté d'expression. La situation était très tendue et certains membres de la communauté auraient menacé de revenir ce samedi soir s'installer sur la place. Un dispositif de gendarmerie pourrait rester en place tout le week-end.

Le dispositif de gendarmerie a finalement été levé vers 18 heures. Les membres de la communauté turque qui réclamaient le retrait de l'affiche ont, semble-t-il, quitté la place Joseph-Thomas. La nuit prochaine, des rondes associant les policiers municipaux et les gendarmes de la compagnie d'Avignon vont être organisées pour surveiller le kiosque à journaux.

Vendredi après-midi, une dizaine de membres de la communauté turque du Pontet, de toute évidence pro Erdogan, avaient réclamé la suppression de la première page du Point du kiosque à journaux auprès de l'afficheur publicitaire JC Decaux. En attendant l'arrivée de l'affichiste, la dizaine d'homme avaient déroulé un portrait du président turc, recouvrant également l'affiche du magazine L'Express. La scène avait été filmée et la vidéo diffusée sur la page Facebook La "Turquie contemporaine", animée par des opposants au régime turc. La vidéo se terminait avec l'arrivée du représentant du groupe publicitaire, "venu spécialement de Marseille" qui, intimidé et entouré de la dizaine d'hommes, n'avait d'autre choix que de retirer la Une de nos confrères et de s'en aller.

https://www.laprovence.com/actu/en-direct/4990663/le-pontet-situation-tendue-la-une-du-point-remise-en-place.html

 

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26 mai 2016 : Le cortège LGBT et ses slogans originaux (All rights reserved Jan Schmidt-Whitley)

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:D

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30 jeunes armés se sont battus place Gambetta à Yerres, ce samedi en fin d’après-midi. Trois blessés légers sont à déplorer. Et trois jeunes ont été interpellés.

Les rixes se succèdent entre jeunes de quartiers rivaux dans le Val d’Yerres. Après l’attaque au marteau dans un établissement scolaire, le bus ravagé pour atteindre des protagonistes d’une ville voisine, une bagarre jusque sur les rails du RER D, ce samedi, une trentaine de personnes originaires de Crosne et Yerres se sont affrontées place Gambetta à Yerres. Ils étaient armés de bâtons. Trois belligérants ont été blessés. Et trois suspects ont été interpellés, dont deux qui avaient encore une barre de fer avec eux. Ils ont été placés en garde à vue.

« Ces guerres entre bandes rivales continuent alors que les trois commissariats du secteur n’ont toujours pas les effectifs nécessaires, peste Claude Carillo, du syndicat de police Alliance. D’ailleurs le projet de mutualisation qui ne dit pas son nom des brigades anti-criminalité est toujours en cours. » Par manque de fonctionnaires sur les commissariats de Brunoy, Montgeron et Draveil, un bassin de population de 130 000 habitants, une note de la direction a indiqué début mai qu’au cas où trois agents ne seraient pas disponible en même temps au sein d’une même structure, désormais, il n’y aura que deux patrouilles du genre pour ces trois circonscriptions, frontalières avec la Seine-et-Marne et le Val-de-Marne.

http://www.leparisien.fr/essonne-91/affrontement-entre-bandes-rivales-de-yerres-et-crosne-26-05-2018-7737351.php#xtor=AD-1481423552

 

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V. Pécresse ce matin sur LCI

La faute à qui  : " A l ' extrême gauche"

les bons : "Les flics et le peuple"

la solution : "La mixité"...

Voilà, débrouillez vous avec ça...

la 5 en direct...

"Marseille, peur sur la ville"....

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.../...« Cela fait 30 ans que je suis dans la police, je suis entré par vocation et j'ai eu plaisir à filocher, planquer même les nuits. Aujourd'hui, je ne fais aucune planque. Je n'ai plus de tonton et je fais de la police depuis mon bureau. » Cette citation a été placée en exergue de la minutieuse enquête menée par le syndicat Alliance sur les services d'investigation de police judiciaire. Ce travail du syndicat majoritaire chez les gardiens de la paix et les gradés mené pendant trois mois en dit long sur l'évolution du travail d'enquêteur vers sa bureaucratisation..../...

 

http://www.lepoint.fr/societe/police-le-grand-malaise-des-services-d-investigation-29-06-2017-2139236_23.php

On y apprend que près de 70 % des fonctionnaires de police expliquent ne plus pouvoir faire face à leur charge de travail, tous services confondus.

68 % des gardiens et des gradés interrogés ne se sentent pas soutenus par leur hiérarchie. En sécurité publique – la police du quotidien –, ce chiffre monte à 85 %.

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Les multiples réformes de la procédure pénale sont vécues comme autant d'obstacles par les enquêteurs. La loi du 3 juin 2016 est vivement critiquée, car, contrairement à ce qu'elle indiquait, elle n'améliore absolument pas l'efficacité du travail des enquêteurs. En cause, l'alourdissement de la procédure. En multipliant les obligations lors de la garde à vue – ressenties comme autant de défiance institutionnelle à l'encontre de la police – , elle a considérablement réduit le temps dévolu aux auditions des suspects. Résultat : 86 % des répondants jugent cette loi inefficace. « Elle cristallise le ras-le-bol des services d'investigation » 

https://www.francetvinfo.fr/societe/le-gouvernement-pourrait-taxer-la-prime-de-deplacement-des-crs-et-des-gendarmes_1815497.html

"Nous n'avons aucune ligne de budget disponible", réagit un gendarme au Parisien. Face à cette annonce, les syndicats de police promettent un mouvement social "dur".

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Il y a un épuisement au niveau des forces mobiles.  Et de l’autre côté on met en danger le montant de nos indemnités. Pour les collègues, ça a été ressenti comme une agression.

Grégory Joron, du syndicat SGP Unité Police

à franceinfo

A défaut de faire grève, ce qui leur est interdit, plus de 2 000 CRS se sont mis simultanément en arrêt maladie le 21 septembre dernier en signe de protestation. Leurs représentants se disent prêts à renouveler une telle journée avec une plus grande ampleur s'ils ne sont pas entendus. "Quand ça se passe très mal, on appelle les Compagnies républicaines de sécurité, le dernier rempart pour protéger l’institution", rappelle Grégory Joron, qui sera dans la délégation intersyndicale reçue à Beauvau aujourd’hui.          

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:zen::give_rose:

2007...

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Le maire de Colmar, Gilbert Meyer, a de nouveau pris sa plume, pour alerter le ministère de l'intérieur sur le problème de sous effectif au commissariat de Colmar. Il y a 117 policiers, contre 147 en 2002. Il y a aussi seulement 16 officiers de police judiciaire pour mener les enquêtes.

Alors que les renforts promis l'année dernière ne sont pas arrivés, Le maire de Colmar, Gilbert Meyer a de nouveau pris sa plume, pour écrire à Gérard Collomb . Le premier magistrat interpelle à nouveau le ministre de l'intérieur sur le sous effectif au commissariat de Colmar. Alors que la situation serait étudiée avec attention, avait répété le ministre, en octobre 2017,  l'élu n'a rien vu venir et la situation s'est empirée. 

 

Le maire de Colmar regrette aussi de ne pas avoir été choisi dans la liste des quartiers de reconquête républicaine pour avoir des moyens supplémentaires. Il déplore le manque d'effectif, alors que les rodéos ont repris dans certains quartiers, avec les beaux jours.

Moins d'enquêteurs et moins de policiers sur le terrain 

Selon les derniers chiffres du syndicat Alliance du 1er mars 2018, il y a 117 policiers, contre 147 en 2002. Ce qui fait une baisse de 30 policiers , en plus de dix ans. Le chiffre qui inquiète aussi, c'est le nombre des officiers de police judiciaire, pour mener les enquêtes. 

Ils ne sont que 16 actuellement. "C'est l'équivalent du commissariat de Sélestat, 19.000 habitants, alors qu'il faudrait  au moins 30 officiers" souligne Michel Corriaux, le secrétaire administratif du syndicat de police, Alliance. 

Alliance espère que dans quelques jours des policiers souhaitent rejoindre le commissariat lors d'un appel à la mutation . Le syndicat espère surtout un geste du ministre de l'intérieur Gérard Collomb, pour qu'il revoit les effectifs du commissariat de police à la hausse

Nous avons des officiers de police judiciaire qui se retrouvent avec 300 dossiers sur dos. Ils sont noyés. On a beau tirer la sonnette d'alarme , mais rien n'évolue au niveau des effectifs," Michel Corriaux du syndicat Alliance 

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/colmar-sous-effectif-au-commissariat-de-police-le-maire-interpelle-a-nouveau-gerard-collomb-1527262174

 

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