Ecrit ce midi au lycée

~ Leaf ~

Adossée à un arbre, les premières chaleurs du printemps s’imposaient redonnant vie à ce que le froid avait tué.

Je levais les yeux, les branches recouvertes par des feuilles d’un vert intense tombaient sur moi comme une pluie d’étoiles. A ma droite des arbres plus petits et alignés voyaient leur continuité rompue par des feuilles rouges dispersées au travers de nuances vertes. Au sol, les rares rayons ayant pu passer aux travers des branches rajoutaient au côté féerique de la scène, la brise agitée le paysage en faisant se mouvoir les cercles de lumière, et quand le vent se levait la nature l’accompagnait dans un grondement imposant le silence.

Tout reprenait vie, et moi à mon tour. L’hiver qui oblige le repos et fatigue le corps prépare à retrouver les couleurs en ravivant la beauté de celles-ci. Profitez bien de cet été !

Vous êtes charmante !

Question été... vous savez... à Brest ! Ca dépend des années ! Enfin, c'est toujours mieux que de s'entasser sur des plages payantes de galets dans le sud !

Il y a 1 heure, pila a dit :

Vous êtes charmante !

Question été... vous savez... à Brest ! Ca dépend des années ! Enfin, c'est toujours mieux que de s'entasser sur des plages payantes de galets dans le sud !

M'enfin ! Si le sud c'est invivable c'est quand même parce qu'on y est envahi par les gens de Brest, entre autres... Nous on n'a rien demandé !

(Pardon Naluue pour ce scandaleux hors sujet !...)

@Blaquière @pila

Faut pas oublier que dans le Sud il y a aussi de très belles plages de sable 

Oui, bien sûr; dans le sud, des brestois, des plages de sable... Mais il y a peu de falaises, il fait trop chaud.

Je me souviens, à Antibes ou Juan-les-Pins : des immeubles, la route, la voie ferrée et la plage.

il y a 40 minutes, Naluue a dit :

@Blaquière @pila

Faut pas oublier que dans le Sud il y a aussi de très belle plage de sable 

Absolument !

Il y a 5 heures, Naluue a dit :

~ Leaf ~

 

Adossée à un arbre, les premières chaleurs du printemps s’imposaient redonnant vie à ce que le froid avait tué.

Je levais les yeux, les branches recouvertes par des feuilles d’un vert intense tombaient sur moi comme une pluie d’étoiles. A ma droite des arbres plus petits et alignés voyaient leur continuité rompue par des feuilles rouges dispersées au travers de nuances vertes. Au sol, les rares rayons ayant pu passer aux travers des branches rajoutaient au côté féerique de la scène, la brise agitée le paysage en faisant se mouvoir les cercles de lumière, et quand le vent se levait la nature l’accompagnait dans un grondement imposant le silence.

Tout reprenait vie, et moi à mon tour. L’hiver qui oblige le repos et fatigue le corps prépare à retrouver les couleurs en ravivant la beauté de celles-ci. Profitez bien de cet été !

Si je peux me permettre, la formulation de la dernière phrase l'alourdit. 

Je propose en guise de régime cette phrase de conclusion : " Je reprenais vie à mon tour. L'hiver éprouve le corps mais le sensibilise à la couleur".

C'était juste pour éviter un commentaire météorologique de plus. 

Il y a quatre façons de prendre la saison... J'ai appris ça des troubadours !

Et bien sûr il n'y a que deux saisons : la belle et la moche...

Donc, grand un, c'est la belle saison, et

--soit mon cœur en suit le mouvement et je suis gai et je revis,

(Guillaume IX le premier troubadour

: "Ab la dolçour del tems nouvel (aveec la douceur du temps nouveau)

Fueilhon li boscs e lis aucels ("feuillent" les bois et les oiseaux)

Chanton chascun en lor latin (chantent chacun en leur/son latin)

segon lo vers d'un nouvel chant...(selon les vers d'un nouveau chant...) De mémoire, à vérifier!)

C'est ton thème !

--soit en dépit de tout ce qui chante autour de moi, je reste triste...

Grand deux, c'est l'hiver

-- Et "il pleut en mon cour comme il pleut sur la ville" !

-- Soit "malgré le temps mauvais mon cœur rayonne et se réchauffe d'amour !

Resterait un cinquième cas, si on veut, celui de Guiraud Riquier le dernier troubadour qui lui est toujours au top de l'inspiration !

"L'hiver ne m'empêche pas de chanter et l'été j'en suis tout autant capable !" :

(Iver non m'ten de chantar embargat

Ni per estiu non sui plus volontous !"

Voilà !

Courage!...

@Blaquière Si j'ai bien compris le but serait d'écrire un texte pour chaque avis de troubadours ? 

ha comme tu as raison! j'aime po l'hiver,froid ,jours courts,gens triste et emmitouflés! vive le soleil!

Il y a 18 heures, Naluue a dit :

@Blaquière Si j'ai bien compris le but serait d'écrire un texte pour chaque avis de troubadours ? 

Meuh non ! tu fais comme tu le sens quand tu le sens ! C'est juste intéressant de savoir ce que d'autres ont dit ou fait avant...

Ces quatre options sont un peu le cadre fixe à l'intérieur duquel nos sensations toujours particulières devraient pouvoir s'exprimer en tant que totalement nouvelles et différentes !

Il y aurait aussi un vison tout-à- fait négative du printemps... tout ce bouillonnement, toute cette effervescence ont aussi un côté écœurant... C'est selon. Il y a un absurdité de la nature qui recommence toujours tout pour finir à nouveau rapidement...

Mais nos sentiments sont toujours légitimes, puisqu'ils sont réels. Ils doivent être puissants pour luter (efficacement?) contre cette absurdité. Comme s'il fallait s'insurger contre le printemps pour l'apprécier ?... Je ne sais pas vraiment.

Le ‎30‎/‎04‎/‎2018 à 00:35, Naluue a dit :

~ Leaf ~

 

Adossée à un arbre, les premières chaleurs du printemps s’imposaient redonnant vie à ce que le froid avait tué.

Je levais les yeux, les branches recouvertes par des feuilles d’un vert intense tombaient sur moi comme une pluie d’étoiles. A ma droite des arbres plus petits et alignés voyaient leur continuité rompue par des feuilles rouges dispersées au travers de nuances vertes. Au sol, les rares rayons ayant pu passer aux travers des branches rajoutaient au côté féerique de la scène, la brise agitée le paysage en faisant se mouvoir les cercles de lumière, et quand le vent se levait la nature l’accompagnait dans un grondement imposant le silence.

Tout reprenait vie, et moi à mon tour. L’hiver qui oblige le repos et fatigue le corps prépare à retrouver les couleurs en ravivant la beauté de celles-ci. Profitez bien de cet été !

Mois vous voyez je travaille comme ça ''Compléter les phrases'' ''suivantes par les mots'' ''qui conviennent'' : ''Un mélange''!. Est- ce que vous comptez ça juste c'est pour ma première au CNED.

j'aime toutes les saisons, celle de l'hiver aussi, où, emmitouflé des pieds à la tête, on s'assoit dans un fauteuil bien mollasson devant un feu, avec un bon gros roman.